[RP] Crème Cassis + Bourgogne Aligoté = ??? [Terminé]

Naru regarde le paté d'immeuble partir en fumée après une énorme explosion de feu qui a tué toute la population alentour et laisser comme seul bâtiment debout l'hôtel qui en a déjà vu des vertes et des pas mûres.

Naru Euh...

Il cligne des yeux, une fois, deux fois, trois fois,

Mama : J'aime quand un plan se déroule sans accroc, ahahaahah

Le spychopathe dragon se gratte la tête

Naru : Est-ce que vous faîtes toujours ça, je veux dire de détruire plusieurs immeubles et tuer des innocents juste quand on vient toquer à votre porte ? Non parce que niveau discrétion on a vu mieux quand même.

Maman : Qui êtes vous et que voulez vous à mon sang ?

Nouveau grattage de tête.

Naru : Ok, je sais pas le genre de film que tu t'ais fait dans ta petite tête Gaki mais j'ai rien contre toi moi tout ce que je voulais c'était remercier ce qui me semble être ta grande soeur et lui poser quelques questions sur l'affaire qui a failli tuer ma fille, c'était pas la peine de détruire la moitié du quartier pour ça tu sais ?

Il commence à gronder la petite fille un peu comiquement vu que la situation exigerait peut-être plus de sévérité mais ce serait hypocrite de sa part alors que lui a pu faire pire par le passé et fera surement pire dans l'avenir.

Au moins pour une fois, on peut dire que Naru est impressionné.
Faire sauter le cartier au moindre colis de Chronopost, même lui n'y avait pas pensé.
Je commence même à me demander si les Hommes en Noirs ne sont pas au courant de la présence d'une partie de cette famille ici mais qu'ils ont trop peur de les affronter, au vu de la puissance de feu qui nous a été montré de la part de ces gros tarés.
Même au Texas, ils osent pas ça.
Les nerfs de la gamine de 14 ans commencent à se voir sur son visage quand l'adulte commence à la gronder tout sourire comme si elle avait fait juste une petite bêtise, trois fois rien.
Attendez, je me retiens de rire.
Voilà, c'est bon.
Au bout du compte, la chaleur de l'enfer se fait sentir à partir de la voix de celle qui s'exprime.

Mary : Peut être bien que vous dites la vérité, mais vous me cachez quelque chose. Votre force, elle n'est pas humainement possible, alors je voudrais savoir d'où elle vient, sinon n'espérez pas approcher ma fille.

Voilà qui est clair.

Naru : Oh voilà un Chibi-chan observateur, attends une minute t'as dit ta fille, t'es une naine ou t'a rétréci au lavage ?

Il finit sa petite blague pour tenter de détendre l'atmosphère mais vu que ça marche pas très bien étant donné le sérieux de la situation il reprend un ton calme et sérieux.

Naru : Bien toute blague mise à part, je répondrais à toutes tes questions si tu veux bien répondre aux miennes par la suite d'accord ? Mais avant ça as-tu une autre planque parce que là y a moyen qu'on ait les flics sur le dos très vite, je peux nous faire sortir d'ici sans éveiller les soupçons mais je ne veux pas t'imposer un lieu alors choisis mais rapidement.

Il la laisse décider du lieu afin qu'elle soit à l'aise, après tout tant qu'elle sait qu'elle a le contrôle, elle sera plus disposée à écouter, la forcer dans ces condition serait stupides et il n'a plus assez d'énergie pour rectifier son petit loupé.

La mère qui ne fait pas son âge a une idée derrière la tête pour un refuge temporaire.

Mary : Je sais chez qui nous rendre pour être sûr de ne pas être trouvé.

L'expression de son visage montre qu'elle est confiante dans son idée.


Minuit approche à grand pas, comme quoi le temps est passé rudement vite avec toutes ces péripéties.
Les tic tac d'une horloge en forme de chien fait signe de sa présence alors que deux médors sont en train de pioncer dans leur panier, alors que quatre personnes sont assis autour d'une table. Il s'agit de Mary qui s'est enfin présentée sous son vrai nom, sa fille Masumi, Tsuruya qui est là parce que voilà quoi et bien entendu ce très cher Naru.
Deux autres personnes sont aussi là, debout quand à elles, et je n'ai pas besoin de les présenter.

Yumi : Tu sais Hage-Nezumi, quand j'avais parlé d'un jour de rencontrer ta mère, je ne pensais pas que ce serait ainsi.

Shūkichi : Navré Yumi-tan !

Hé oui, c'est la fliquette Yumi Miyamoto et le joueur Shūkichi Haneda !
Que le monde est petit !

Naru qui vient d'arriver en compagnie de Mary qui s'est présentée pendant que le Démon volait avec elle dans les bras, est assez surpris de rencontré deux personnes qu'il a rencontré précedemment dont l'une pas dans les meilleurs circonstances.

Naru : Oh merde, dans quoi je me suis embarqué moi

Il pâlit comiquement en voyant la femme flic, bien entendu il n'a pas vraiment peur, mais depuis quelques temps maintenant ses réactions sont comiques, cela permet de détendre l'atmosphère ou du moiins d'essayer, c'est dur avec son air suspect.
Il tente de se faire tout petit derrière Mary en s'accroupissant derrière.

Voyant que personne ne cause, quelqu'un finit par vraiment s'impatienter car après tout c'est chez elle.

Yumi : Bordel, est ce quelqu'un va enfin causer ici !? Ou alors vous dégagez !

Sa colère se tourne vers celui qui lui donne le plus envie de fracasser es gueules au poing.

Yumi : Déjà toi le taré, tu devrais être en prison après ce que tu as fait ! Encore heureux qu'ils soient vivants, mais depuis ils sont en dépressions et leur parents s’inquiètent beaucoup pour eux !

Masumi : Attends ! C'est de sa faute ce qui est arrivé aux DB !?

Yumi : Exactement !

Shūkichi : Le malaise...

Mary : Les Débiles...

Masumi : Ils sont sympas, je les aime bien ces gosses !

Yumi : Même ta mère le dit vu qu'elle les a rencontré, tu vois Chukichi ?

Shūkichi : Ce n'est pas ma mère, c'est ma sœur.

Yumi : Quoi !?

Mary : Je suis leur mère.

Yumi : Hein !?

Mary : Et toi là derrière, tu peux sortir de ta cachette. Après tout c'est toi qui débarque dans notre vie à tous en soit disant étant contre les Hommes en Noirs mais en nous attirant plus d'ennuis avec eux, et même avec tout le monde en général.

Yumi : Les quoi !? bordel mais vous pouvez m'expliquer ou c'est le banco intersidéral là !

Shūkichi : Viens dans la cuisine, je vais tout t’expliquer, mais tu me promet de ne pas gueuler ?

Yumi : Je ne promet rien tant que j'aurais pas tout entendu de ta part.

Le couple s'absente donc un instant, laissant la patriarche reprendre là où elle en était.

Mary : Naru, on va faire comme il a été convenu. Je te pose des questions, tu y réponds franchement. Ensuite, tu me poseras des questions, et j'y répondrai franchement. Si à un moment donné, je vois que tu me mens, alors il sera aussi possible que je mente à tes questions plus tard. Je n'ai peut être pas des compétences égales aux tiennes, mais mes sens sont quand même très affutés.

Masumi : Tu me fais peur Mama.

Tsuruya : Je serai là pour calmer le jeu au cas où.

Mary : Première question. Qu'est ce que tu es ?

Tsuruya : Ça je le sais mais je vais le laisser répondre.

Masumi : Tu peux tout dire, c'est 2015, plus rien peut nous surprendre.

Tsuruya : Je plains d'ailleurs la Brigade SOS pour tout cacher à Haru-nyan.

Il est temps à Naru de répondre honnêtement.

Naru fait une moue comique et se relève derrière la matriarche qu'il commence à apprécier malgré ce qu'il pensé au début mais il reprend son attitude sérieuse.

Naru : Je répondrais honnêtement, mais vous devez promettre de ne divulguer ça à personne sans accord de ma part, on parle de la sécurité du monde là, je suis très sérieux. Bien Mary-chan, je suis ce qu'on appelle un Dieu-Dragon, bien qu'actuellement piégé dans un corps d'humain réincarné en Diable.

Sa voix est sincère, calme et sérieuse, laissant le côté comique pour plus tard.

Masumi cligne trente fois des yeux à la vitesse de la lumière, son cerveau venant de planter.
Sa mère, elle, ne semble pas choquée pour le moins du monde.

Mary : C'était évident...

Masumi : Mais non !

Tsuruya : Laisse Masu-nyan, ce qui se passe là te dépasse complètement.

Masumi : J'en ai marre qu'on me prenne toujours pour une abrutie.

Boudant un peu, l'enfant laisse les adultes s'exprimer entre cerveaux brillants.

Mary : Je comprends que vous ne vouliez pas que votre identité soit révêlée car je pense que ce serait comme mettre une cible sur votre dos. De mon passé au SIS, je sais que la Main, une société mystique, pourrait être dangereuse pour vous, et que si ce n'est pas eux, vos semblables pourront l'être je suppose. En effet, je devine bien ce n'est pas vous même que vous êtes piégé dans ce corps d'humain mais quelque chose du même niveau que vous.

Tout ce raisonnement impressionne grandement les deux autres filles dans la pièce.

Naru : Aurais-je enfin trouvé une personne qui comprend ma triste situation sans avoir besoin de tout expliqué ? Enfin quelqu'un d'assez intelligent pour me comprendre.

Des larmes d'animé coulent de ses yeux à la joie.
Repassant au sérieux en une seconde.

Naru : Je ne sais pas grand chose de cette organisation de Main, je m'en suis jamais occupé lorsque j'avais mon vrai corps et vu que mon identité n'est pas encore trop connu dans ce Monde, je suppose que j'ai pas trop à craindre d'eux pour le moment, cependant, il est clair que dans ma forme actuelle, je ne serais pas capable de faire face à ceux qui m'ont piégé, alors oui si mon identité pouvait rester secrète quelques temps encore ce serait mieux, je compte retrouver mon corps dans pas trop longtemps.

Du moins 5 ans pour un Dieu Dragon ne sont rien.

Naru : mais je t'en pries Mary-chan continue tes questions

Avant de passer à une nouvelle question, la sage femme qui avait en vérité la cinquantaine passée, voulait donner un précieux conseil au Dieu Dragon.

Mary : Ne faites pas l’erreur de sous estimer notre espèce. Nous sommes faibles en apparence, mais certains pratiquent une puissance magie, et ceux qui ne le peuvent pas ont inventé la bombe atomique pour contre-palier à ce problème. Je m‘avance peut être, mais je dirais qu’on est la pire chose qui puisse exister dans cet univers. Capable tout autant de nous détruire que de le détruire.

Masumi : Ça me rappelle HunterxHunter ça avec l'Antéchrist et la Rose Miniature.

Mary : Certains me diront que je suis trop négative, mais je suis juste réaliste, et je me base sur mon vécu.

Tsuruya : Moi au contraire, je suis toujours positif ! Je vois des billets de 100 yens dans mon boule de soupe miso !

Mary : Deuxième question. Pour quelle raison êtes vous après les Hommes en Noirs ?

Simple, sobre, classique.

Naru est assez impressioné de la sagesse de la femme, elle vient de gagner son respect avec ses paroles sages,

Naru : Des paroles d'une grande sagesse Mary-chan, tu es bien la première humaine que je rencontre ce fait, l'humain est bien la race qui est la plus dangereuse dans ce Monde, parce que votre évolution ne connait pas vraiment de limite, 'est votre plus grande force et votre pous grande faiblesse à la fois.

Il prend une pause et pense à sa réponse à sa deuxième question.

Naru : Au début, je n'avais pas vraiment de raison de les pourchasser, tout à commencer par un contrat passé avec une petite scientifique rousse, vois-tu en tant que Diable je dois remplir des contrat en réalisant les désirs des clients en échange je prends une partie de leurs énergie pour augmenter la mienne, rien de permanent pour le contractant mais cela augmente la puissance de ce corps, évidemment à terme le but est est d'en avoir assez pour briser le sort qui m'emprisonne dans ce corps, mais je m'éloigne du sujet, donc son contrat me demande de libérer un homme de leurs griffes et accessoirement de les détruire, je me suis donc lancé à leurs poursuites depuis deux semaine, mais après les évènements d'aujourd'hui c'est devenu personnel. Lun des leurs a essayé de tuer ma fille qui est encore à l'hôpital et si Masu-chan n'était pas intervenu cela aurait pu être plus grave.

Mary ses deux mains sous son menton pendant tout le monologue histoire de tout connecter dans son esprit.
Tsuruya pousse alors du coude celle qui est à ses côtés afin de lui faire une remarque à voix très basse.

Tsuruya : Ta mère, c'est Sherlock j'ai l’impression.

Masumi : Heureusement qu'ils ne l'ont pas pris à la place de Benedict Cumberbatch pour jouer dans la série.

Ne faisant pas attention à ces remarquer qu'elle a clairement entendu, la personne mature se confie un peu.

Mary : Je peux paraître désagréable mais c'est juste que je ferai tout pour protéger ma famille, ce que mon défunt mari n'a pu faire en ce frottant à ces types qu'il croyait battre en étant au FBI, mais à part nous maudire, il n'a su rien faire d'autre ce bon à rien.

Un soupir se fait sentir juste après.

Mary : Maintenant j'ai deux de mes gosses qui combattent séparément cette menace et l'autre qui nie le danger en se mettant aux jeux. Malgré leur défauts, je les aime beaucoup et je voudrais juste que ma vie redevienne comme avant pour être moi aussi dans le dénie complet.

Elle regarde ses mains de collégiennes avec une tristesse dans le regard.

Mary : J'ai l'air d'avoir quatorze ans, j'en ai quarante de plus.

Tsuruya:  Oh purée !

Mary : Je met toute la faute sur Tsutomu en disant que c'est de sa faute si je suis dans cet état à l'heure actuel et l’Épée de Damoclès nous pourchasse, mais en vérité... Quelqu'un a du nous jeter un sort depuis bien longtemps. C'est ma grande sœur, Elena, qui en a fait les frais avec son époux à elle, les tuant tous les deux il y a bien des années de ça, avant même le vingt et unième siècle. Ses deux filles ont fini par la suivre, ayant été entrainées dans le piège mortel de ces Corbeaux.

Masumi : Mes cousines... Tu ne m'en parles jamais Mama.

Mary : A quoi bon ? Akemi et Shiho ne reviendront pas, c'est la dure réalité.

Un long silence accompagne ces dernières paroles.
Et là normalement, quelqu'un devrait tiquer sur les noms donnés.

Naru écoute la femme se confier un peu, il pouvait le sentir, elle retenait tout cela depuis longtemps, sans avoir oser en parler à quelqu'un d'autre, probablement ne voulait-elle pas inquiéter se enfants. Mais le plus grand choc pour Naru ce fut la révélation de la fin de la confession, Akemi et Shiho deux soeurs, liées à l'Organisation, il ne peut s'agir d'une coincidence, les deux soeurs qu'il a déjà rencontré sont donc liées à cette famille. Maintenant que Mary le dit, elle a effectivement un air de famille avec Shiho ou Ai Haibara comme elle se fait appeler sous sa forme d'enfant.

Baissant légèrement les yeux avec regret il commence une réponse qui allait sûrement surprendre la matriarche.

Naru : Akemi... Akemi Miyano était son nom, n'est ce pas ?

Il fait une petite pause et la voix pleine de regrets il annonça :

Naru : Je l'ai bien connue à l'époque où elle était encore en vie, nous étions de bons amis et bien que j'ignorais l'existance des corbeaux à ce moment-là, je savais qu'elle trempait dans des affaires louches, malheureusement, lorsque je suis arrivé sur place le jour où elle est morte, je suis arrivé trop tard pour l'aider, je suis vraiment désolé.

Les remords sont sincères, il savait que s'il avait chercher à en savoir plus il aurait pu lui éviter ce tragique destin mais il n'avait pas fait ce qu'il fallait.
Cependant il a relevé la tête, il ne savait pas si la chimiste était au courant qu'il lui restait de la famille encore en vie et d'après ses paroles elle ne l'étaient sûrement pas, mais il devait leur dire qu'elle était vivante, cela devrait leur remonter un peu le moral et sans trop savoir pourquoi, il ne voulait pas qu'ils soient tristes en particulier la collégienne en face de lui qui semblait abattue par sa déclaration.

Naru : Cependant en ce qui concerne Shiho-chan, elle est... elle est en vie et c'est elle qui m'a engagé pour cette affaire, c'est aussi la raison pour laquelle j'ai décidé de l'aider aussi rapidement, en souvenir d'Akemi.

La bombe sentimentale était lancée, la réaction ne se ferait pas attendre

Les paroles du Père Naru sur son amitié avec Akemi, dont on se demande si Shiho en avait entendu parlé jadis, même brièvement par le biais de sa sœur, vu qu’elles avaient l'habitude de se parler au café, touche profondément la poitrine de la mère qui était désabusé jusqu’à présent et reprend une lueur d'espoir car bien évidemment, il n'y a aucune raison qu'il lui mente, et vu l'espèce dont il fait parti, il a pu vraiment la connaître à l'époque.
Bien que son corps actuel devait être plutôt jeune à l'époque.
Chose que je sais, mais que personne ne semble savoir, que que Rei Furuya avait aussi connu jadis la défunte sœur quand il était petit alors est ce qu'il a pu voir aussi celui avec qui il a une conversation assez tendu plus tôt dans la soirée même si il ne s'en rappelle peut être pas.
Que de questions qui attendent des réponses.
Cependant, sentant que la conversation devenait trop triste à son goût, il y a une personne qui tente de remettre de la joie dedans sauf que la mayo de prend pas, c'est dommage.

Tsuruya :

Autant dire que sa remarque ne plaît à absolument personne, et qu'elle se voit contrainte par la force des regards noirs, de s'éclipser dans la cuisine afin de voir si l’autre couple ne s'est pas entre-tué comme ils reviennent pas depuis un quart d'heure.
Se croyant dans un démineur, l’homme qui ne fait de s'exprimer, balance une bombe qui rebondit en chaîne et touche les deux parentes dans leur sentiments et l’obligent à se regarder quelques secondes sans y croire avant de ce dire que c'est trop gros pour ne pas être vrai, bien ce devrait être impossible.

Masumi : Ma cousine est morte depuis quinze ans ! J'avais à peine trois ans, je n'ai aucun souvenir d'elle !

Mary : Vous a t-elle dit quoique ce soit sur sa survie ?

Plus professionnelle que sa fille, la fausse collégienne a su très vite retrouver son calme.

Le Dieu-Dragon regarde les deux parentes et commence à expliquer ce qu'il sait bien que ce soit peu :

Naru : Je ne sais pas grand chose d'elle cela ne fait que deux semaines que je l'ai rencontrée, ce que je sais et ce que j'ai pu déduire de mes conversations avec Akemi, c'est qu'au lieu de les tuer, elles ont toutes les deux travailler pour eux, je ne connais pas les détails mais je sais quAkemi m'avait parlé de sa soeur qui travaillait dans la même boite qu'elle en tant que scientifique en continuant les recherches de leurs parents, j'imagine que la boite en question faisait référence à l'organisation, je pense donc qu'ils avaient besoin d'eux vivant ou du moins de Shiho puisqu'ils ont tué Akemi peu après notre conversation, peut-être même à cause de celle-ci allez savoir, quoi qu'il en soit, Shiho s'est échappée d'une manière ou d'une autre cependant dans la forme dans laquelle je l'ai rencontré, elle était une enfant de 8 ans tout au plus.

Il répond sincèrement essayant de leur fournir le peu d'info qu'il possède