[RP] Back In 2015 Marty !

Shiho Montagné était assise sur son lit en tailleur avec une petite tenue qui ferait ravir les plus gros pervers relous de la région, en train de succuler une bière de la marque Duff tout en ce matant les deux films faits sur la vie de son mari pour être prête pour le troisième opus qui sort en fin d'année.
Elle avait aussi prévu de mater la Trilogie Retour Vers le Futur ce soir mais ça s'est une histoire.
Là c'était le second volet qui était en train de passer et contrairement au premier, il était produit et dirigeait ne coulisse par les Montagné Production, une boite que notre couple préférée avait créé pour faire des courts métrages plus que douteux.
Cet épisode 2 se nommait Gilbert II, The Shiho's Life et était étonnamment presque autant fidèle à la réalité que le premier alors que justement nos deux héros avaient critiqué ouvertement le fait que c'était pas le cas et que c'était pour cela qu'ils reprenaient les rennes.
Là où on reprendre l'histoire, elle était à la scène qui reprenait le second chapitre d'une certaine FIC.
Dedans, on y voyait Gilbert et Shiho dans leur ancienne chambre dans la Base l'US Air Force qui leur servait de repaire entre le moment où Hydra à exploser le Manoir Kennedy et celui où les LMD avaient remplacé la moitié de l'équipe, donc pendant 2 longues années.
L'aveugle fumait le narguilé et sa compagne était remplacée pour la scène par une mannequin, ce qui normalement ne devrait pas se voir dans le rendu final avec les effets d'incrustations mais en faite si car on avait l'impression que elle sortait d'un jeu Playstation 4.
Pareil pour les décors entièrement tournés en fond vert à Paris qui donnaient la même impression.
Heureusement que pour le N°3, ils reviennent plus à l'ancienne comme dans le dernier Mad Max.
D'un coup, on défonça la porte d'un coup de poing, et l'auteur n'était autre que Leon Scott Kennedy qui était vêtu d'une tenue de soudeur avec masque compris et qui était armé d'une très grosse barre à mine.

Leon : Je suis trop vieux pour ces conneries !

Gilbert : Ciel, mon mari !

Leon : D'où tu as osé couché avec ce babouin là !?

Gilbert : C'est pas ma faute, elle m'a excité en faisant cul-cul tam-tam !

Leon : Toujours a chercher des excuses, comme la fois où tu t'es fourré une belette dans le cul !

Gilbert : Alors déjà cette belette s'appelait Chris Evans et puis...

Bon là le dialogue devenait nanardesque donc je vous laisse respirer un peu.
C'est juste le temps voir ce que fait Leon, le vrai, pendant ce temps là.

Alors qu'on arrivait à la scène où Gilbert et Esma arrivaient à la Prison Fédérale, sauf que dans cette version fictive c'était en jet privé qu'ils avaient fait leur trajets, on toqua à la porte de la chambre du Couple Montagné puisque ces derniers en avait une commune partageant les goûts des deux concernés.
D'un coté pour Gilbert nous avions :
- La collection de ses propres disques et ainsi que ceux d'autres grands paroliers français tells Goldman, Farmer ou encore Mitchell avec qui il partage une bonne relation et qu'il voit de temps en temps pour parler d'un peu de tous mais surtout de lui même car son ego et son image sont très importants à ses yeux.
- Une affiche inédite de Star 80 où il met la main au cul de Jean-Luc Lahaye et une autre de sa suite où il roule une pelle à Renaud, les deux victimes étant fortement surprises par son comportementt et ça expliquerait certaines plaintes qu'il a reçu après avoir participé au tournage de ces deux œuvres.
- Une vraie guitare ayant appartenu au King.
- La médaille de la légion d'honneur trempant dans du formole.
- Deux photos qui ont fait beaucoup parlées d'elles à l'époque, avec en 2009 une où on le voit pisser sur une pub pour la promulgation de la Loi Hadopi et une autre assez récente où on le voit arracher l'oreille de Benyamin Netanyahou pour répondre à l’oppression et les crimes qu'exercent Israël à l'encontre de la Palestine.
Et de l'autre coté pour Shiho nous avions :
- Le Diplôme du Prix Nobel de chimie pour la découverte des Formes de Vie Intraphotocellulaires.
- Une poupée vaudou à l'effigie de Gilbert, envoyé par Zarick Himaslinam pour embêter celui représenté si il n'est pas sage et n'écoute pas bien sa femme quand il le faut.
- Un poster de Nirvana, son groupe de rock préféré, qui lui rappelle bien la dureté de la vie en règle générale mais qu'il faut passer outre et l'accepter pour mieux à la déjouer.
- Un tas de perruques posés sur des présentoirs, ainsi que des costumes qui vont avec et qui sont rangés dans une armoire, surement pour des délires occasionnelles ou des missions d'infiltrations.
- Trois photos d'elle même illustrant les citations de trois grands hommes. Dans la première on la voit recevant son prix mentionné plus haut avec en citation "La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés.". Dans la seconde on la voit marcher dans une rue typiquement du Sud Ouest de la France avec des sandales au pied et des souliers dans ses mains, avec en citation "Marche avec des sandales jusqu'à ce que la sagesse te procure des souliers.". Et dans la dernière elle en plein dans son boulot avec sa tenue de travail tandis que la citation dit "Aucune expérience humaine n'est dénuée de sens ou indigne d'analyse.".
Aujourd'hui le mari n'était pas là, comme la veille, mais ça va la petite frimousse rousse ne s'ennuyait pas.
Elle se demandait juste qui pouvait bien toquer à la porte comme ça après une demi seconde de réflexion, elle savait qui ça pouvait bien être, surtout après ce qui s'était passé hier et connaissant le caractère de cette personne.
Après avoir ouvert la porte ses soupçons furent confirmés, c'était bien la mèche brune ou blonde qui était là.
Elle remit droite sa culotte qui était légèrement baissée puis croisa les bras, le visage neutre.

Shiho : Les probabilités que ça soit toi étaient trop importantes pour que ça ne le soit pas.

Puis elle s'écarta légèrement pour le laisser entrer en rajoutant une petite citation au passage.

Shiho : Le temps fait oublier les douleurs, éteint les vengeances, apaise la colère et étouffe la haine; alors le passé est comme s'il n'eût jamais existé.

Elle ne semblait pas spécialement lui en vouloir pour sa maladresse d'hier.

Shiho : Le temps fait oublier les douleurs, éteint les vengeances, apaise la colère et étouffe la haine; alors le passé est comme s'il n'eût jamais existé.

Leon : Je dois avouer que tu as raison

Il marque une courte pause avant de continuer.

Leon : Désolé de te déranger maintenant, je vois que tu étais occupé, tu veux que je repasse plus tard ? Néanmoins je voulais quand même m'excuser pour hier. Je me suis mal exprimé.

Leon : Je dois avouer que tu as raison.

Shiho : Enfin, c'est surtout Avicenne qui a raison, l'un des rares musulmans censés.

Leon : Désolé de te déranger maintenant, je vois que tu étais occupé, tu veux que je repasse plus tard ? Néanmoins je voulais quand même m'excuser pour hier. Je me suis mal exprimé.

Shiho : Pas de souci, tu n'es pas le premier, et tu ne seras pas le dernier à faire des erreurs bien que tu sois l'un des rares à m'avoir fait sortir de mes gonds, sachant que j'aime pas montrer mes émotions comme ça. Ce n'est pas de ta faute par contre, c'est juste que j'ai peur que Gin revienne encore un jour.

En réaction à sa question, elle tourne le regard vers sa télévision où on y voit l'acteur jouant Leon daber plusieurs fois.
Elle retourne son attention sur le vrai Kennedy devant elle en lui souriant.

Shiho : Non c'est bon, je l'ai déjà vu, ce qui est normal vu que j'ai mon nom dans le générique en tant que Productrice et Réalisatrice. Il est meilleur que le premier que n'est pas de la Montagné Production, mais tout aussi absurde.

Elle invite le tombeur à s'avancer, fermant la porte derrière lui.

Shiho : Gilbert n'est pas là, il est parti à Lyon interroger les méchants capturés à Strasbourg, en compagnie de Saryna parce que... Parce que.

La petite frimousse change soudainement de conversation, sentant que ça n'allait mener à rien.

Shiho : On va discuter un peu de mes problèmes. Tu veux à boire ? On a installé un frigo il y a peu, et on a de tout dedans.

Elle attend la réponse de l'ex agent américain.

Shiho : Pas de souci, tu n'es pas le premier, et tu ne seras pas le dernier à faire des erreurs bien que tu sois l'un des rares à m'avoir fait sortir de mes gonds, sachant que j'aime pas montrer mes émotions comme ça. Ce n'est pas de ta faute par contre, c'est juste que j'ai peur que Gin revienne encore un jour.

Leon voit la scène où un acteur qui est censé le représenter dabe plusieurs fois, il soupire.

Shiho : Non c'est bon, je l'ai déjà vu, ce qui est normal vu que j'ai mon nom dans le générique en tant que Productrice et Réalisatrice. Il est meilleur que le premier que n'est pas de la Montagné Production, mais tout aussi absurde.

Leon : J'hallucine, c'est un guignole qui joue mon rôle.

Il rentre dans la chambre.

Shiho : Gilbert n'est pas là, il est parti à Lyon interroger les méchants capturés à Strasbourg, en compagnie de Saryna parce que... Parce que.

Il observe la chambre du couple.

Shiho : On va discuter un peu de mes problèmes. Tu veux à boire ? On a installé un frigo il y a peu, et on a de tout dedans.

Leon : Non merci, c'est gentil. Je remarque que votre chambre est bien décoré comparé à la mienne, après je vais déménager dans peu de temps.

Il se tourne vers Shiho.

Leon : Et ne t'inquiète pas pour Gin, on saura l'affronter s'il revient. Et on sera tous là pour t'aider à affronter la situation, tu peux compter sur toute l'équipe.

Shiho rigole un peu de façon touchante à la remarque de Leon au sujet du gars dans la TV.

Shiho : Tu sais qu'il ne fait que suivre ce que les Scénaristes ont écrits, et c'est Holt et Saryna qui l'ont fait le scénario en étant bourrées, donc imagine un peu ce que ça donne.

Ne voulant pas d'images d'horreurs dans sa tête, le beau brun répond à la question de celle qui dort ici.

Leon : Non merci, c'est gentil. Je remarque que votre chambre est bien décoré comparé à la mienne, après je vais déménager dans peu de temps.

Shiho : Déménager ?

C'est alors que Leon lance un regard involontairement charmeur auprès de celle qui résiste en général à ce genre d'attaque mais qui là tombe sous ces beaux yeux hypnotiques, puis commence à fantasmer diverses choses entre elle et le quarantenaire qui fait dix ans de moins pour elle.

Leon : Et ne t'inquiète pas pour Gin, on saura l'affronter s'il revient. Et on sera tous là pour t'aider à affronter la situation, tu peux compter sur toute l'équipe.

Shiho : Ouais... l'équipe... je veux te...

D'un coup elle revient à la réalité et secoue sa tête de droite à gauche avant de reprendre un visage bien plus normal.

Shiho : Tu emménages où ? Non parce qu'un luxurieux manoir comme le tiens, ça va prendre un an à ce faire, si tu n'as pas des trous de mémoires comme tu peux en avoir parfois.

Elle attend à nouveau une réponse.

Shiho : Tu emménages où ? Non parce qu'un luxurieux manoir comme le tiens, ça va prendre un an à ce faire, si tu n'as pas des trous de mémoires comme tu peux en avoir parfois.

Leon : Je vais emménager chez Haruhi. Ça sera plus grand que notre chambre sur le Vailant. Et puis, je voudrais pouvoir profiter de ma famille. Enfin de ce qui en reste.

Il réfléchit.

Leon : Sinon, tu voulais qu'on parle de quelque chose que mon déménagement prochain, je me trompe ? Ou alors, j'ai vraiment des trous de mémoires et je devrais sérieusement m'en inquiéter.

Leon : Je vais emménager chez Haruhi. Ça sera plus grand que notre chambre sur le Vailant. Et puis, je voudrais pouvoir profiter de ma famille. Enfin de ce qui en reste.

Shiho : Nous sommes aussi un peu ta famille, ne l'oublie jamais.

Leon : Sinon, tu voulais qu'on parle de quelque chose que mon déménagement prochain, je me trompe ? Ou alors, j'ai vraiment des trous de mémoires et je devrais sérieusement m'en inquiéter.

Shiho : Bien sûr, assis toi là...

Elle se rend compte de la connerie qu'elle vient de sortir et essaye de se rattraper.

Shiho : Reste où tu es, je vais m'asseoir sur cette chaise là.

Elle prend une chaise qui n'a rien demandé et dormait devant un bureau, pour l'installer auprès de son ami.
Elle s'y pose ensuite avec ses fesses dont les traits sont accentués par la culotte qu'elle porte.

Shiho : Si tu veux me mater un peu mon corps, profite, Gilbert ne sera pas jaloux.

Son attitude plutôt joyeux s'arrête un peu pour montrer un visage plus triste.

Shiho : J'ai déjà cru une fois que Gin était mort, quand on avait confronté les Corbeaux toi, moi et les autres. Puis il est revenu, a causé la mort de tant de gens parmi nous en étant allié à Killgrave. Mon Passé continue à me tourmenter, et j'en ai marre. Mes envies suicidaires me reviennent de temps en temps...

Petit silence, les yeux vides.

Shiho : J'aimerai pouvoir faire plaisir à Gillou et vivre une vie normale, une vraie vie.

Elle se tait ensuite, laissant le temps à Leon d'y répondre.

Leon : Je vois ce que tu veux dire Shiho, mais à l'heure actuelle tout ce qu'on peut faire, c'est de s'entraider. Mais je suis sur que tu arriveras à avoir la vie que tu veux surtout quand toute cette histoire sera terminé.

Il préfère détourner le regard du corps de Shiho, il veut rester courtois et aussi que Haruhi risque de lui en vouloir.

Leon : Mais ne t'inquiète pas, je sais que vous faites parti de ma famille, mais je voudrais être un peu au calme pour ma convalescence.

Il pense surtout à Haruhi et à son fils, il voudrait vraiment réussir à mieux connaître ce dernier. Il ne connait pas grand chose de lui à part les rares informations qu'Ada lui fournissait.

Leon : Je vois ce que veut dire Shiho, mais à l'heure actuelle tout ce qu'on peut faire, c'est de s'entraider.

Shiho ne comprend pas pourquoi il parle à la troisième personne du singulier mais se doute que c'est surement une faute de frapper.

Leon : Mais je suis sûr que tu arriveras à avoir la vie que tu veux surtout quand toute cette histoire sera terminé.

Shiho : Merci Leon.

Elle remarque que le bel homme détourne le regard de son corps, ne la faisant pas complexer car elle se doute de pourquoi.

Leon : Mais ne t'inquiète pas, je sais que vous faites parti de ma famille, mais je voudrais être un peu au calme pour ma convalescence.

Shiho : Ne t'en fais pas, en espérant que personne ne t'embêtera durant cette période.

Alors que Leon est pensif au sujet de diverses chose, la jeune femme éternelle se lève brièvement pour aller se chercher une brique de jus d'orange de la marque "Pissou" pour aller en boire de retour à sa position assise. Entre deux sirotages, elle en profite pour continuer à parler.

Shiho : Tu as de la chance d'avoir Haruhi, tu le sais ? Cette fille fait beaucoup d'efforts pour toi, surtout sachant à quel point tu attires les filles autour de toi. En plus, la majeure partie des hommes aimeraient avoir une petite amie qui se déshabille au calme devant tout le monde car ça ne la gêne pas du tout et n'en voit pas le problème.

Finissant sa boisson plutôt rapidement, elle enchaîne sur autre chose.

Shiho : L'aide qu'elle aurait pu nous fournir si elle avait été là à l'époque avec ses pouvoirs divins.

Se rappelant de comment tout ça avait commencé, elle en rit un peu.

Shiho : Tu te rappelles comment ça avait commencé notre chasse aux hommes en noirs ? Moi et Gill en détectives, alors que je me déguisais en toi au passage. Tu étais malade comme un chien et j'avais dû te neutraliser avec une piqure endormante pour qu'on ait pas de problème. Par contre, je ne sais pas si tu m'avais déjà dit comment tu avais fait pour nous retrouver.

Elle attend de voir ce qu'il va en dire.

Shiho : Tu as de la chance d'avoir Haruhi, tu le sais ? Cette fille fait beaucoup d'efforts pour toi, surtout sachant à quel point tu attires les filles autour de toi. En plus, la majeure partie des hommes aimeraient avoir une petite amie qui se déshabille au calme devant tout le monde car ça ne la gêne pas du tout et n'en voit pas le problème.

Leon est un peu gêné.

Leon : C'est vrai, mais je préfèrerais qu'elle garde ça pour nous deux et qu'elle n'en fasse pas profité tout le monde.

Shiho : L'aide qu'elle aurait pu nous fournir si elle avait été là à l'époque avec ses pouvoirs divins.

Leon : Oui, mais il y aurait surement eu beaucoup plus de dégât.

Shiho : Tu te rappelles comment ça avait commencé notre chasse aux hommes en noirs ? Moi et Gill en détectives, alors que je me déguisais en toi au passage. Tu étais malade comme un chien et j'avais dû te neutraliser avec une piqure endormante pour qu'on ait pas de problème. Par contre, je ne sais pas si tu m'avais déjà dit comment tu avais fait pour nous retrouver.

Leon : Le fait de vous retrouver n'a pas été facile, je m'en souviens.



Leon se réveille dans un lit de l'infirmerie avec un mal de tête mémorable. Il se souvient juste qu'il voulait engueuler Gilbert et Esma pour avoir prit son identité censé rester secrète, puis une soudaine piqûre dans le cou et plus rien.

Leon : Bordel... Qu'est-ce qu'ils m'ont encore fait ? Il faut que je les retrouve avant qu'ils ne fassent une plus grosse connerie.

Il essai de se redresser et se remet à tousser. Apparemment, la personne qui l'a emmener ici n'ai pas encore là.

La pauvre Leon a fini dans l'aile médicale de la base de l'US Army servant aussi aux Avengers après avoir fait une de ces mauvaises rencontres avec Gilbert et Esmaraldine qui ont tendance à faire tourner ses cheveux au gris. Cette fois ci ne déroge pas à la règle, et dieu seul sait où ils sont passés à présent ces petits filous.

Leon : Bordel... Qu'est-ce qu'ils m'ont encore fait ? Il faut que je les retrouve avant qu'ils ne fassent une plus grosse connerie.

Tu es loin de te douter dans quoi tu vas te mêler en essayant de les retrouver.
Alertées par la toux du monsieur qui ne parvient pas à se relever à cause de son virus qui s'éclate toujours niveau disco dans son corps, les médecins militaire viennent lui tenir compagnie en veillant à ce qu'il ne déconne pas trop avec son état de santé fragilisé qui devrait se remettre d'ici deux-trois jours.
Dans le même temps, deux personnes font étrangement leur apparition dans l'infirmerie.
Le Colonel Glenn Talbot en charge de cette planque et Claire Redfield qui visite pour la première fois le coin, les deux s'approchant du lit du malade pour aller lui parler. L'officier le salut comme si il était un de ses supérieurs, malgré que Leon ne soit juste le chef des Avengers en intérim depuis la disparition de Baptiste Sixte, lui même ayant pris la place pendant très peu de temps de Maxime Moulin, le fondateur du groupe de "supers" héros.

Glenn : Leon vous nous avez fait peur à être étalé comme ça dans le couloir en dehors du dortoir des Montagné.

Claire : C'est moi qui t'ait trouvé alors que je voulais pour une fois te voir un peu durant ton temps en tant que membre de ce groupe particulier afin de découvrir cette part de ta vie que je ne connaissais pas.

Glenn : En vérité, je suis d'autant plus surpris que même un quart d'heure avant je vous avais vu en pleine forme en train d'avoir une conversation privée avec cette femme, Madame Harper.

Claire : Des fois, les symptômes débarquent d'un coup, c'est un choc.

Glenn : Vous allez mieux maintenant ?

Claire : Si tu veux quelque chose, je peux aller faire les courses il le faut, ça ne me dérange pas.

Ce qu'ils ont dit risque de faire tiquer leur interlocuteur.

Leon observe les médecins militaires, il soupire en fermant les yeux, jusqu'au moment où deux autres personnes entrent dans la pièce. Il rouvre ses yeux et aperçoit le Colonnel Glenn Talbot et Claire Redfield. Il sourit légèrement, ça lui fait du bien de voir une tête amicale. Glenn fait un salut militaire à Leon.

Glenn : Leon vous nous avez fait peur à être étalé comme ça dans le couloir en dehors du dortoir des Montagné.

Claire : C'est moi qui t'ait trouvé alors que je voulais pour une fois te voir un peu durant ton temps en tant que membre de ce groupe particulier afin de découvrir cette part de ta vie que je ne connaissais pas.

Glenn : En vérité, je suis d'autant plus surpris que même un quart d'heure avant je vous avais vu en pleine forme en train d'avoir une conversation privée avec cette femme, Madame Harper.

Claire : Des fois, les symptômes débarquent d'un coup, c'est un choc.

Glenn : Vous allez mieux maintenant ?

Claire : Si tu veux quelque chose, je peux aller faire les courses il le faut, ça ne me dérange pas.

Leon se redresse soudainement, surprit par la révélation, mais tousse à nouveau avant de se allonger.

Leon : Je suis malade depuis 48h et ce n'est pas moi qui ais parlé à Helena tout à l'heure. Mais Esmaraldine qui c'est déguisé en moi. Gilbert devait surement l'accompagner. Il faut que je les arrête avant qu'ils ne fassent une connerie monumentale.

Il tousse à nouveau et ferme les yeux épuisés par la maladie.

Leon : Je dois toujours leur courir après ou réparer leurs conneries...

Glenn et Claire se lancent un petit regard compréhensif suite à la première suite de phrases du malade, montrant qu'ils se comprennent tous vis à vis de la galère que peut nous faire éprouver le Couple Della Muerte du Forum, ce que tout personne qui les ont déjà rencontré au moins une fois peut ressentir.

Claire : Je connais Gilbert depuis très longtemps, il n'a pas toujours été aussi pénible.

Glenn : Je ne les ai que peu vu mais ils ne m'inspirent que peu confiances.

Leon : Je dois toujours leur courir après ou réparer leurs conneries...

Les toussotements réguliers et la couleur de peau du pauvre homme inquiètent son amie.
Cette dernière se met un peu plus à son chevet en prenant un siège de livre, avancé par l'un des médecins.

Claire : Pour une fois tu n'auras rien à faire, on s'en occupe, OK ?

Glenn : Je vais essayer de savoir où ils sont partis ?

Claire : Helena ne vous a rien dit sur pourquoi elle voulait les voir ?

Glenn : Non, juste que cela concernait Gilbert.

Claire : Je me demande ce que ça peut bien être.

Glenn : Je reviens plus tard pour vous apporter des bonnes nouvelles, je l'espère.

Le tenancier de la base s'éclipse en même temps que presque tout le personnel soignant, sauf une personne pour surveiller que la tension reste correcte. Les deux survivants de l'ancienne Raccoon City peuvent donc être plus tranquilles, en semi confidentialité.

Claire : Une idée de ce qui pourrait le concerner ?

Elle attend de voir les suppositions du brun au lit.