[RP] Dernier Noël ? [Terminé]

Vector:

Vector: Des Possédés? C'est pas un nouveu genre de zombie ça?

Je continu à marcher en avant, son arme à feu en main. Ces tunnels me rappelaient des souvenirs, toujours les mêmes. Il faut dire que j'espérai plusieurs fois me retourner et revoir Hute, mais jamis cela ne sétait peosuit. Jamais.

Enfin, ils arrivèrent dans un carrefour de 3 passages (plus celui emprunté). Quelque chose ne tourna pas rond, pourquoi y avait-il 4 passages?! Il n'y en avait que 3 la dernière fois qu'il était venu.

Vector: Elle m'a bien eue... C'est bien le bonne endroit, un endroit où je passai pour me rendre au complexe mais....Il y a un tunnel de trop.

Okay, je sais, je suis un peu perdu là. Jamais je n'avais vu cela et c'était comme ci un tunnel avait poppé par magie. Cette frappadingue avait tout calculé mais...Ik ne faut jamais essayer d'embrouiller un ex Wolfpack. Je me mis donc à suivre le long des murs du carrefour jusqu'à arriver au troisième passage dont des yeux bizarres me regardèrent de trop prêt. J'eu assez le temps de faire un bond en arrière mais glissa à cause de l'eau au sol, me retrouvant au ilieu du carrefour.

Vector: Ouch!

[Je mets juste un passage avec Martin, mais Saryna, tu peux mettre ton post ^^]

Une terrible migraine, c'est ce que je ressentis à mon réveil.
Je m'étais pris un sale coup, de la part de Wesker en plus.
Déjà que être bloqué dans les toilettes me suffisait pas, fallait qu'il m'arrive quelque chose comme ça mais ça va, plus de peur que de mal de ce coté là.
Je m’appuyais sur a cuvette qui fit le point d'appuie le plus proche de moi et je réussis grâce à ça et me remettre debout sur mes jambes.
Je posais ma main gauche sur mon front en haletant un peu, j'étais essoufflé, je ne savais pas pourquoi.
Et ces maux de têtes...
Je pris alors la poignet de prote avec mon autre main et je sortis très rapidement de la salle de bain en manquant de trébucher maladroitement dû au fait que j'étais à la ramasse.
Je me retrouvai rapidement à la salle de détente, seul, et c'est alors que mon esprit partit loin dans mes souvenirs, me faisant revivre un flashback.



Je me rappellerais toujours, ce chaos, cette ville recouvert par le sable et la mort, que de souffrance.
Cela faisait deux jours qu'on était là et maintenant j'étais seul, assis sur le sable et attendre que le destin me fasse signe.
Le seul signe que j'eus, ce fut un convoi de 2 Humvee des Marines qui vint à moi, et s'arrêtèrent donc très près de ma position.
J'avais passé mes deux jours à tuer des gars de l'US Army comme moi, et là j'allais être sauver par l'US Marines ?
Pfff, j'avais l'impression qu'on se foutait de ma gueule.
Malgré tout, je me levais difficilement et je commençais à marcher vers eux avec mon fusil AA-12 dans la main, en mode près à attaquer si besoin sans pour autant les viser avec, je n'était pas encore assez fous pour faire ça à ce moment là.
Les Marines descendirent du véhicule et celui qui pilotait le Humvee de devant et qui devait être le chef d'escouade, parla à son oreillette.

Roberts : Commandant, ici Falcon 1. Je crois qu'on l'a trouvé.

Il reprit ensuite son arme, une M4A1, celle qui j'aurai plus tard.
Il s'avança à son tour avec ses soldats.

Robert : Capitaine Walkers ?

Soldat 1 : Il est armé !

Roberts : C'est bon, ne tirez pas !

A ce moment, je m'arrêtai pour les regarder.

Soldat 2 : Je ne comprends pas... Qu'est ce qu'il fait ?

Soldat 3 : Regardez ces yeux... Il y a quelque chose qui cloche.

Roberts : Capitaine Walkers, on vient vous aider. Mais d'abord, vous devez baisser votre arme.

Soldat 1 : Il ne coopère pas.

Roberts : Il est en état de choc, donnez lui un instant. Donnez moi votre arme capitaine.

Et c'est à ce moment là, que je pris peur dés qu’il tendit la main pour récupérer mon fusil à pompe.
Je, je ne savais pas pourquoi mais mon premier reflex fut de viser sa tête, et puis la seconde d'après il n'en avait plus.
J'avais tué des rebelles, des soldats qui avaient trahis notre cause, des civils et maintenant mes sauveurs, je n'étais vraiment pas un héros.



Je repris enfin mes esprits après 10 minutes de perte de soi, il devait être 17 heures et demi, et tout ceci allait surement nous prendre aussi toute la soirée.
A mon retour dans la réalité je pouvais m'apercevoir que j'ai toujours à coté du bar, mais que surtout il y avait une autre personne dans la pièce cette fois ci.
C'était le Lieutenant-Général Sanchez qui se trouvait à 3 mètre devant moi, immobile, le visage orienté vers le sol.
Il me semblait ne pas aller bien, c'était à se demander si il m'avait vraiment remarqué.
Je m'approchai alors de lui et je lui touchais l'épaule gauche avec ma main.

Martin : Général, totu va bien, vosu n'êtes pas avec les autres ?

Sanchez : Grr, iiinnnn...

C'est alors que son crié gare il me mordit violemment l'avant bras car c'était devenu un putain de zombi.
Je reculai d'un coup pour me retirer de son emprise, ce qui me fit perdre un morceau de chair.
Avec mon autre bras, je sortit mon pistolet et je lui logeais sans chercher à comprendre, une balle pile entre les deux yeux, le faisan tomber en arrière, mort.
J'étais en sueur et mon bras saignait, c'est pour cela que je rendis en vitesse à la salle de bain d'où j'étais venu pour prendre des bandages et de quoi soulager la blessure.
Après quelques douleurs, le tout fit bander et un peu désinfecté.
Même si je savais qu'il avait dû m’infecter au passage.
Mais comment c'était il transformé en zombi ? En plus ça avait l'air d'être du Virus T.
J'allais bientôt avoir ma réponse.

[- 1 Balle Pistolet; Statut Infecté Ajouté, + 10 Virus; - 10 PV]

je continu a suivre le groupe sans rien dire , quand on arriva devant plusieurs couloir . et voila que l'ex wolpack tombe aux sol a causse d'une flaque d'eau , je regarde cette chose qui elle nous regarde et me voila a reculer face a cette chose qui elle s'approche de nous .

puis je senti comme une présente derrière nous se qui me fit retourne arme a la main mais je ne vie personne , mais je remarqua qu'il manquer une personne la c'était pas bon du tout . je me demande qui avais pus faire ça sans faire le moindre bruit quand a la personne qui manquer elle n'avais même pas hurler de plus il y avais pas la moindre trace ,

Ada:

Et la notre gagnante est... Esmeraldine! Qui vient tout juste de disparaître sans laisser de trace et sans bruit. Comment est-ce possible? Je l'ignore car, pourtant, elle se trouvait derrière moi et Léon. Vraiment, c'est n'importe quoi.

Vector vient tout juste de glisser sur une flaque d'eau, enfin c'est ce que je pue entendre vu que les autres devant m'empêchaient de voir e qui se passa.

Les yeux bizarres se révélèrent bien vite être juste une nuée de chauve souris non infectés qui passèrent au dessus du groupe avant de partir vers le tunnel du gauche alors qu'elle venait de celui de droite.
C'est ensuite que quelqu'un dans le groupe s'exclama.

Carton Man : Capitaine France a disparu.

Œil de bigleux : Esmaraldine aussi.

Alphonse : Il se passe quoi ici ?

Baptiste qui venait d'aider Vector à se relever, regarda le groupe puis mit le doigt sa bouche pour leur faire signe de se taire le temps qu'il écoute.
Son regard se transforma vite pour annoncer une violente peur qui parcourait le chef.

Baptiste : C'est un piège.

A ce moment là Alphonse Adams se fit choper par derrière par un Possédé, aussitôt la fameuse décharge d'énergie bleu passa dans son corps et les taches noirs apparurent autours de ses yeux.

Baptiste : Fuyez ! On les sauvera plus tard !

Ophelia : Merde !

Ce fut la panique totale, le groupe se sépara et s’engagea dans les différents tunnels, une bonne partie d'entre eux allait surement rejoindre le rang des Possédées.
Heureusement il y aura encore un moyen de les sauver ultérieurement... Si Saryna ne leur colle pas une balle dans la tête évidemment.

je me retrouva séparais du groupe , je regarda aux tour de moi j'était seul et sur tout a la merci de cette folle de sarah . je continu ma route jusqu'aux moment ou je tombe sur une porte avec une vitre blinde , bien sur la porte et ferme et voila que la pièce de l'autre coter de la porte s'éclaire la je vie avec horreurs esmaraldine sur une chaise type chaise électrique mais en plus moderne . je voyer dans sont regard la peur de mourir ,

alors je tente de trouve comment ouvrir cette maudite porte avant qu'il sois trop tard . je voie haut dessus de la porte un crono qui s'active d'un coup . mais voila il y a pas le moindre système d'ouverture pour cette porte , puis je vie arrive baptiste qui regarde la porte et je vie sont regard changer

-il faut faire quelque chose ou elle mourra ,

puis la voie de cette folle raisonne

Vector:

J'eu également mon lot de malchance car une trappe vint s'ouvrir en-dessous de moi et de m'envoyer dans des ténébres aussi dense que de la purée de poids avant que je ne rencontre un sol dur et froid. La trappe s'était fermée au dessus de moi et j'activa les lunettes nocturnes de mon casque, une chance que la chute ne les a pas abîmés.

Je me retrouvais donc dans une salle cylindrique, sans vitres, sans portes, rien du tout. Elle comptait jouer à quoi en me faisant aller là? Surtout que cette enfoiré vient juste d'allumer des projecteurs au plafond. Imaginez vous en train de regarder le soleil à l'oeil nu. Vous mettez ça et vous augmentez le seuil de douleur par 100 et vous saurez ce que ca fait d'avoir des lunettes nocturnes en "plein jour". Je dû le retirer.

Une voix vint sortir d'un haut-parleu, c'était celle de notre ennemie. Elle semblait plutôt amusée.

[Ce sera à Ada puis ensuite à moi avec Henri/Baptiste/Esma]

Je regardais attentivement mon reflet dans le miroir, ma face déprimé et le bandage aussi qui se trouvait sur mon bras.
Puis mon regard sa posa sur le hublot à ma droite, il faisait nuit noir dehors, j’espérais que les autres s'en sorte.
Mais pour le moment, mon enquête allait devoir se concentrait sur l'avion en lui même.
Si Sanchez était devenu un zombie, c'est qu'il y avait un problème, un gros problème.
La première personne que je décidais d'aller voir, c'était le Dyne je crois, l'assistant d'Ophelia, il devait se trouver au cockpit, il fallait que je voye si il allait bien et le prévenir de la situation dans le cas où il ne serait au courant de rien.
Je sortis donc des toilettes puis je longeais le couloir en passant à coté des dortoirs et de la chambre de la boss pour arriver à l’endroit voulu.
Je vis en entrant qu'il était là, assit dans son siège, immobile.

Moi : Hé Dyne ?

Il ne répondit pas.
Je préférais alors braquer ma M4, que j'avais sorti, vers lui car je n'avais pas spécialement envie de me faire croquer encore une fois.
J'arrivai alors à ses cotés pour constater que non c'était pas un zombie mais qu'il était mort.
Sa gorge était largement ouverte, une marre de sang sur ses genoux, et un couteau de survie dans sa main droite.
Mon premier reflex fut alors de lui fermer les yeux en détournant les yeux car ça me rappelait trop de mauvais souvenirs.
Un rire se fit alors entendre et je me tournai subitement en arrière pour voir à homme à l'entré de la pièce.
Je vis que ce n'était autre que le Major-Général Arnword Mittersni qui se tenait là devant moi en mode gros psychopathe.

Moi : Major Mittersni ?

Arnword : Raté, c'est ce que j'ai réussis à vous faire croire mais le vrai Mittersni n'a jamais quitté le pays, j'ai tout fait en sorte pour qu'il n'arrive jamais au rendez vous.

Moi : Mais vous êtes qui ?

Arnword : Une "vieille" connaissance de Esmaraldine et Ophelia, c'est pour ça que je n'ai prononcé aucun mot alors que j'étais sous couverture, je ne voulais pas risquer qu'elles reconnaissent ma voix.

Moi : Vous êtes qui putain !?

Arnword : Taisez vous ! Et maintenant souvenez vous, souvenez vous des mauvais choix que vous avez fait à Dubaï.

Je ne sais pas pourquoi mais je fus comme obligé de me ressouvenir de mauvais passages et qu'un mauvais choix en particulier.



Nous étions plus que 4 à ce moment là, moi, Adams, Lugo et Brocks, un timide qui parlait que vraiment si c'était nécessaire.
Nous étions arrivé sur une zone qui offrait une belle vue que les deux bâtiments qui formaient une espèce de grande porte droit devant nous.

Alphonse : Ça doit être notre porte.

La zone où nous étions était perché en hauteur et bas se trouvaient de nombreux soldats ennemis, il y avait aussi un garde près de nous et il ne semblait pas nous avoir remarqué.

Moi : Adams, occupe toi du garde.

Alphonse : Je m'en occupe.

Il fit un petit saute pour descendre la marche un peu trop grande en face et s'avança discrètement vers le mec avant de le choper et de le planter à la gorge au couteau.

Alphonse : Bonne nuit, connard.

Nous arrivâmes à notre tour et ensemble, nous nous mettions à couvert sur les sac de sables qui formaient une barrière pour éviter de tomber au rebord et aussi pour donner une position de couverture.

Moi : Alors, Lugo, à quoi on a affaire ?

John : Une armée, plus ou moins.

Moi : Et merde.

John : Comment on va passer ?

Alphonse : Ça, ça peut aider.

Je cru d'abord qu'il parlait de la M249 SAW qu'il avait dans ses mains.
Mais en fait il pointa ensuite un canon se trouvant proche de nous.

Moi : Bien. Brocks, Prépare ça.

John : Bordel, mais c'est une blague ? C'est du phosphore blanc.

Moi : Je sais ce que c'est.

John : Vous savez ce que ça fait cette merde ! On peut pas s'en servir.

Alphonse : On a pas le choix, Lugo.

John : On a toujours le choix.

Moi : Non, pas dans ce cas.

Et je me mis en route vers l'ordinateur de contrôle du canon, pour aller faire un massacre dans el camp ennemi.
je regrette de ne pas avoir écouté Lugo à ce moment là.


J'avais repris mes esprits et évidemment l'autre Spy n'était plus là.
Mais je ne me sentais guère plus en sécurité.
Malgré tout je devais avancer et savoir si les autres personnes dans l'avion allaient bien.

[+ 10 Virus]

Tout se passa rapidement, nous furent envahis par les mort-vivants. Leon fut plus rapide que moibet nous emmena dans l'un des passages. Nous partîmes dans ce long couloir qui se transforma en fin de compte en un labyrinthe. Qu'est-ce que c'est que ça? Comment un labyrinthe peut-il exister sous terre? On se croirait dans le labyrinthe du Minotaure, sous Minos.

Ada: Il faut qu'on retrouve les autres.

Un rire se fit entendre un peu partout dans la zone, c'était vous savez qui.

Sarah : Nous allons jouer à 3 jeux vous voulez bien ? Baptiste et Saryna, si vous voulez sauver Esmaraldine de sa mort certaine, Il faudra que l'un de vous meurt, et j'ouvrirais alors la porte, sinon dans 10 minutes, elle sera décédée. De votre coté Vector nous allons jouer à éviter les lasers, votre but est de tenir 10 minutes dans cette pièce, voila, reste à savoir si vous serez encore entier à la fin, hihihi ! Et pour finir Léon et Ada, vous allez traverser un labyrinthe content entre autres des Hunter S, petits mais rapides, des Lickers et aussi des Zombies bourrés au Virus T, ça va vous rappeler des souvenirs. Je compte sur vous, vous êtes les derniers à priori. Bonne chance !

Baptiste tapa du poing contre la porte.
Il ovulait sauver Esma mais ça voulait dire que lui ou Saryna allait y passer.
Il soupira.

Baptiste : Il faut la sauver ! Alors, à moins que tu n'es un super plan qui va à l’encontre de ce qu'elle à dit, on fait quoi ? Qui doit mourir entre nous deux ?

Il posa son dos au mur caverneux et et leva les yeux au plafond, complètement perdu face à ce dilemme.

je regarde cette porte puis baptiste qui avais le dos contre la porte , la était la question qui de nous deux aller devoir se sacrifier pour sauver esmaraldine . puis je pris ma décision

-C'EST MOI QUI ME SACRIFIRA

la je vie la tête de baptiste me regarde puis le voila qu'il se lève et me prend par les épaule et me regarde tristement , et voila qu'une petite porte s'ouvre avec une empreinte de main . et je mis ma main sur cette empreinte et voila qu'une lame me traverse la main de par en par , et je voie mon sang partir je ne ses ou . hé oui j'aller mourir a petit feu , puis la porte s'ouvre enfin

-va délivre esmaraldine maintenant

je regarde baptiste partir sauver esmaraldine

Vector:

Vector: ... Oh la salop....!

Et voila que les murs s'ouvrirent à plusieurs endroits pour laisser passer des lasers avant de se refermer pour refroidir ce qui envoie les lasers. Non mais n'importe quoi, on se croirait dans Star Wars! Je ne suis pas Luke Skywalker, je suis Vector, un agent du Wolfpack. J'ai la nette impression que cette garce se marre bien de moi mais bon, je ne souhaites vraiment pas mourir.

Lorsqu'un laser se dirige dans ma direction, je m'abaisse. Si je ne peux pas m'abaisser, je saute au dessus. Et si je peux pas passer ni haut dessus, ni en dessous, je saute au milieu! J'ai l'impression d'être un singe du cirque à force.

[Je continue l'intrigue avec Martin, Ada tu peux poster si tu veux ^^]

J'arrivai enfin à la soute vide de véhicules, le canon pointa devant moi, et je m'approchais du rebord menant au rez de chaussé et je pointais mon arme aux alentours pour m'assurer qu'il n'y ait pas d'ennemis.

(Suite en cours)