[RP] Un secret ? [Terminé]

Henri était sur le cul, Ling était un gros traître.
Pour une fois il s'était bien fait avoir, il ne s'était douté de rien, lui qui pourtant avait un don pour sentir les entourloupes et les gens non dignes de confiance, un peu comme Adrien Normikwawal avait aussi jadis.
Le détective s'approcha de l'espionne Asiatique pour lui parler un peu face à face.

Henri : L'auteur de ce journal intime que j'ai ramassé était l'agent de sécurité chargé de surveiller l'entré, la personne chargé de ça changé tous les mois, malheureusement ce type doit être mort à l'heure actuelle donc faudra un autre moyen d'obtenir les codes si on veut sortir d'ici... Ce qui veut dire que l'on va devoir s'aventurer plus en profondeur dans cet endroit qui doit grouiller d'armes biologiques encore jamais vue.

Il soupira puis continua avec les infos qu'il avait obtenu du document.

Henri : Ce document au moins a confirmé le fait que Umbrella Corporation est dans la panade, ils ne sont plus nombreux et à priori leur nouveau dirigeant fait n'importe quoi, ce qui n'aide pas... Ça redonne espoir, on arrivera peut être un jour à se débarrasser de ces salauds même si il ne faut pas oublier les autres organisations qui ont prit la relève, comme Hydra, Léviathan... Mais moi je dis c'est possible, l'Organisation Crisis avait été dissoute, donc on peut le faire encore.

Il afficha un petit sourire pour se redonner espoir et sortit un cigare d'une boite d'en sa poche et se l'alluma avant de prendre une petite bouffé pour la route.

Henri : On y va ?

Il attendit sa réponse.

Ada: Umbrella.... Qu'est-ce que je hais cette organisation. La détruire sera une joie pour le monde.

Elle regarda son compagnon, il avait raison. Si l'agent de sécurité a été transformé en arme biologique ou tué, ils devront plonger au coeur du Hive. Elle va devoir faire très attention et elle devra surveiller Henri car toute seule, elle ne s'en sortirait certainement pas.

Ada: Laissons ce que nous a fait Ling de côté pour le moment. Si on commence à douter de chacun d'entre nous, nous risquerons la mort et même pire, être une arme biologique à notre tour. Allons-y.

Elle leva un peu plus son arbalète, histoire d'être prète à toute éventualité et se dirigea vers le fond de la salle. Unesorte de grand ascenceur de service se situait là, assez grand pour un camion. Elle s'y plaça en y faisant attention et regarda Henri.

Ada: C'est bon, je ne vois pas d'autre moyen pour aller en bas.

Ada: C'est bon, je ne vois pas d'autre moyen pour aller en bas.

Henri acquiesça et après être entré à son tour regarda les différents bouton.
Il n'y en avait qu'un menant au N-1 qui se trouvait pourtant assez loin sous terre, il le pressa et le monte charge commença à descendre.
L'homme curieux regarda les alentours et remarqua des conduits qui avaient été brisé de l'intérieur avec du sang sur certain d'entre eux.
Il les pointa du doigt.

Henri : Ils ont dû venir de par là pour tuer le mec de la sécurité... J'espère que le Dylan a laissé des notes derrières lui pouvant nous éclairer sur la situation. Car de nombreuses questions se pose en ce moment même. Quel était ce virus ? Pour qui bosse Ling ? Est ce que les mecs du gouvernements sont dans le coup ? Car je doute qu'ils laissent Ling partir sans explication. Est ce un accident ou est ce un ennemi d'Umbrella qui a délibéré libéré le virus dans les labos ? J'aurais du me renseigner d'avantage sur ce Davidson... Mais bon si on s'en sort, on aura l'occasion de lui poser quelques questions et rechercher Ling.

Petrick eut fini son cigare et garda son sourire habituelle, pouvant le rendre suspect auprès des autres.

Henri : Bon je crois que pour le restau, on laisse tomber, un ami tient un bar à HarvardVille, on ira y boire un coup... Et en tout cas moi j'ai pleinement confiance en vous, et j'espère ne pas avoir tort, car ça voudrait dire que je devrais même me méfier de l'agent secret le moins secret du monde, Léon Scott Kennedy, agent de DSO et membre des Avengers, votre mari m'impressionne.

Il se tut, trouvant qu'il jacassait un peu trop et ça laissait le temps à Ada de lui répondre avant que le monte charge arrive au niveau moins un.

Elle regarda alors les conduits, c'était pas beau à voir, c'est sur.

Ada: Rien de rassurant, même das cet ascenseur. Je dirai même que je ne serai pas contre de ne jamais rencontrer l'une des choses qui se trouvent ici. Nous penserons à comprendre ce qui s'est passé et à Ling une fois le mkment venu. L'important est de survivre dans cet endroit et d'en ressortir indemne.

Puis, il vint parler de Léon.

Ada: Léon a la facheuse mani de se faire remarquer, je l'approuve. Mais si il n'avait pas ce défaut, jamais je n'aurai pu le suivre dans ses missions.

L'ascenseur s'arrêta alors et dévoila une nouvelle salle avec une porte automatique devantcouverte de sang mais...aucun corps. Elle eue un petit frisson.

Ada: Faisons e moins de bruit possible.

Elle commença à marcher vers la porte.

Il y avait une porte automatique qui était restée en mode semi ouverte avec du sang dessus et sur le sol mais pas de corps, ça ne rassura pas le français qui écouta le conseil d'Ada et prit à son tour son pistolet qu'il garda dans sa main gauche et ne décida de ne plus le lâcher à partir de maintenant.
Il prit la parole en murmurant.

Henri : Aucun corps, c'est jamais bon signe.

Arrivé devant la porte, il se baissa et passa en dessous en faisant signe de la main droite à Ada, de rester de l'autre coté en attendant son signal.
De l'autre coté se trouvait une pièce servant de salle d'accueil avec un bureau pour un secrétaire aux abonnés absents, sinon il y avait un couleur à gauche avec un panneau "Ail Ouest" et un à droite avec marqué "Ail Est".
Ne voyant rien de de dangereux pour le moment, il se retourna.

Henri : RAS.

Puis il partit vers le bureau d’accueil pour le fouiller, il y aurait peut être des documents ou objets utiles.

Henri entra alors dans la salle, me laissant seule. Je resta sur mes gardes en cas où une arme biologique nous sauterait dessus. Puis, il vint me dire "RAS" pour me dire qu'il n'y avait rien de suspect....à part le sang. Toujours aucune trace de secours.

Une fois de l'autre côté, elle regarda vers l'aile Est, quelque chose l'attirait vers là-bas. Elle arriva devant la porte et appuya sur un système d'ouverture tactile. La chance fut avec elle car la porte s'ouvrit. Du samg coulait encore de la bouche d'aération. Ca devait pas dater. Elle préféra retourner en arrière et voir Henri en murmurant.

Ada: Votre gars a dû oublier des gens dans son journal. Je viens de voir du sang couler d'une bouche d'aération. C'est fout frais.

Ada : Votre gars a dû oublier des gens dans son journal. Je viens de voir du sang couler d'une bouche d'aération. C'est fout frais.

Henri : Donc il peut y avoir des survivants, il faut en trouver. Malheureusement je sais que c'est complètement suicidaire mais il va falloir se séparer, tu prends l'Aile Est, et moi une fois que j'ai fini de fouiller le bureau, je fouille l'Ail Ouest.

Petrick sortit alors de sa poche un talkie-walkie de sa veste et le donna à Ada.

Henri : J'en ais toujours un sur moi, je pense que vous savez comment ça marche, vous pressez le bouton et attendait 3 secondes avant de parler.

Il lui fit une petit tape amicale à l'épaule et la laissa partir pendant qu'il continuait sa fouille, au bout de 10 secondes, il trouva une petite note qui disait "Dugan, pense à reprendre ta carte magnétique du N-1, tu l'as fais tombé par terre la dernière fois." et juste à coté du mémo se trouvait la carte magnétique de ce niveau.
Espérons que Ada en trouve une elle aussi.
Il n'y avait rien d'autre d’intéressant sur le bureau alors il partit donc en direction opposé à celle prise par la chinoise.
Dieu seul savait ce qui allait leur tomber sur la tête.

Ada: Okay.

Elle repartit donc, prudement, vers l'Aile Est, repassant par le couloir dont le sang avait coulé. Oui, il s'était arrêté et la couleur du sang ressemblait bien à celui d'une personne normale. Avec une telle quantité de sang, il devait être mort. Elle xonrinua sa route et arriva à une autre porte qu"elle ouvrit de la même façon....Et où ne faut-il jamais être avec des armes biologiques aux alentours? Le laboratoire! Ada prit une bouffée d'air avant d'entrée et regarder de par la vitre blindée, voyant des tables recouvertes de sang et les murs blancs rougeoyant. La façon dont le sang avait été projetté et les organes éparpillés firent titiller les neurones d'Ada. Elle sortit donc le talky-walkie et appuya sur le bouton.

Ada: Henri? C'est Ada. Je suis à l'entrée d'un des labos. J'ai l'impression d'avoir découvert une catégorie d'arme biologique se trouvant ici. La façon dont je voie l'éparpillement dans la pièce me laisse présager qu'il y a eu implosion....

Elle regarda alors en direction d'une partie de corps qui se trouvait sur le sol de la pièce. Un bras tenant une carte électronique.

Ada: Je vois une carte dans cette pièce, je vais m"y risquer.

Elle commença à se diriger vers la porte automatique.

En suivant les couloirs il arriva devant une porte, s'ouvrant et révélant un Open Space derrière, il s'arrêta juste après être entré pour regarder aux alentours et il vit une traînée de sang qui semblaient logner les différents bureaux et c'est alors qu'il vit une sorte d'ombre humanoïde passer d'un bureau à un autre très rapidement puis... Plus rien.
Il n'avait pourtant pas rêvé, il y avait bien quelqu'un... Ou quelque chose avec lui dans cette pièce.
C'est alors que la radio l'alerta.

Ada (R) : Henri ? C'est Ada. Je suis à l'entrée d'un des labos. J'ai l'impression d'avoir découvert une catégorie d'arme biologique se trouvant ici. La façon dont je voie l'éparpillement dans la pièce me laisse présager qu'il y a eu implosion.... Je vois une carte dans cette pièce, je vais m"y risquer.

Henri : Bien reçut, je me trouve dans les bureaux de l'administration, et je ne suis pas seul j'ai l'impression, je vais enquêter, terminer.

Je suivis la trace de sang et je commençais à entendre des bruits de dents, de dents qui mastique.
Je tombais alors sur un corps, un corps difforme entrain de se faire manger par quelque chose ayant la même apparence (Voir l'apparence).
J'eus très peur en voyant ce "Slasher" comme je le nommerais, ce dernier ne semblait pas m'avoir remarqué et je ne savais pas vraiment quoi faire, je me mis alors en position de canard et me cacha derrière un bureau pour prévenir Ada.

Moi : Ada, j'ai une de ces choses dans mon champ de vision, il mange un de ses congénères, c'est pas des zombies, Ce Slasher, on va appelé ça comme ça, on une espèce de pique formé avec leur os qui sort de chacune de leur main, c'est horrible, j'ai envie de gerber.

J'attendais de voir ce qu'elle me répondrait.

HS Joli, j'avais pensé aussi aux monstres de Dead space HS

Alors que qu'elle allait se trouver dans la zone de détection, elle entendit Henri lui répondre.

Henri (R): Ada, j'ai une de ces choses dans mon champ de vision, il mange un de ses congénères, c'est pas des zombies, Ce Slasher, on va appelé ça comme ça, on une espèce de pique formé avec leur os qui sort de chacune de leur main, c'est horrible, j'ai envie de gerber.

Ada: Hein? Henri, je vais revenir vers votre position. Tant pis pour la carte, je reviens vers....

Alors que qu'elle parla, une forme de chauve souris se vit passer rapidement dansla pièce de l'autre côté de la mienne avec la salle au centre. Elle se dit que ce n'est pas bon et retourna sur ses pas jusqu'à la salle principale en fermant les portes derrière elle. Elle reprit son talkie-walky.

Ada: Je ne sens pas du tout cet endroit, il ne faut pas qu'on se sépare. Je suis dans la salle d'accueil.

Ada : Hein? Henri, je vais revenir vers votre position. Tant pis pour la carte, je reviens vers....

Henri : Hein Ada ? Vous m'entendez ?

C'est alors que la bestiole rappelant les Nécromorphes de Dead Space se leva et celui qu'elle bouffée, aussi, c'était très mal barré pour Petrick.
Mais d'un coup, plusieurs coups furent tirés, des espèces des projectiles à énergie plasma vinrent couper les membres des Slashers, ce qui les tua.
Henri se leva d'un coup pour voir d'où venir les tirs et il vit un homme, la quarantaine, borgne de l’œil droit, chauve, joufflu, un gros nez écrasé, des dents pourris et l’œil gauche de couleur noisette.
Il avait la tenue des "PrivSol" d'Umbrella avec marqué Dylan dessus.
Le détective prit un coup sur la tête, il n'en croyait pas ses yeux.

Henri : Vous êtes vivant !?

Dylan : Ouais même moi j'ai cru que j'allais y passer à un moment mais je suis vivant. Où sont les autres, Davidson m’avait dit qu'il m’enverrait 3 personnes pour me sortir de là.

Henri : Ada Wong nous attend à l'accueil, moi c'est Henri Petrick et Ling nous a trahi et enfermé ici.

Dylan : OK c'est bon j'ai les codes pour sortir d'ici, le type chargé de la porte me les as filé, paix à son âme, le pauvre j'ai vu son corps... bref j'ai plein de trucs important dans mon sac à dos, faut pas le perdre, en route.

Le mec s'élança et je ne pus que le suivre sans trop y donner de la tête.
Mais il faut dire il était énergique.
Nous arrivions très vite auprès d'Ada qui semblait aussi surprise que moi.

Dylan : Vous devez être Ada, Dylan, le mec que tout le monde croit mort, je vais nous faire d'ici...

C'est alors que des cries de monstres se firent entendre au loin et ils semblaient se rapprocher.
C'était très mauvais signe.

Ada: Vous êtes en vie? Oh mon dieu, cette journée est pleine de surprise. Barrons nous d'ici avant qu'ils ne viennent....

Les cris se firent entendre, des cris terrifiants. Comment de tels cris peuvent-ils provenir d zombies? Elle n'en avait jamais entendue de tel.

Ada: C'est quoi ces zombies? Ca n'a pas l'air d'être ceux habituels.

Elle courue avec les autres, passant sous la porte mais elle tomba nez à nez avec un Slasher qui la recouvra ses 2 bras pointes pour tenter de la mordre. L'arbalète se trouvait en bonne position et elle.lui tira dans la ête...Pourtant, même avec la flêche dans la tête, il s'en ficha. Comment est-ce possible?! Umbrella a-t-elle réussie à rendre ses zombies immortels? Elle tenta de toute ses forces à l'éloigner d'elle.

[- 1 Carreau]

Après qu'Ada soit passé, Petrick fit de même alors que le VIP couvrait leurs arrières.
De l'autre coté, il découvrit avec stupeur, Ada entre les griffes d'un Slasher.
Il lui foutu un coup d'épaule qui lui fit lâcher sa prise puis il lui tira dessus à 5 reprise avec son pistolet belge.
Rien !
Le monstre s'était prit un coup dans le tête et deux dans la torse mais rien, il s'en fichait.
Mais fort heureusement, 4 salves de plasma furent tirer et démembra entièrement la créature qui sembla périr de ses blessures.
C'était Dylan qui était venu à leur secours et qui montra son engin.

Dylan : Un Cutter Plasma qu'ils appellent, c'est un prototype d'arme que je leur ais chipé, c'est utile contre eux... Il faut les démembrer, c'est le seul moyen de les tuer.

Henri : Hé bien c'est super, je n'ai rien sur moi pour faire ça.

Dylan : Prenez le, ce bouton en dessous sert à changer le mode tir, horizontale ou verticale, et vous madame Wong, tenez j'ai trouvé ça.

Il sortit de son sac à dos un katana et l'offrit à Ada.
Puis le trio se remit en route et atteignit le monte charge d'où l'espionne et le détective étaient venues.
Dylan activa le bouton qui fit monter très lentement le monte charge, préfigurant une futur baston.

Henri : Vous être de quel organisation et c'était quoi votre mission ici ?

Dylan : DSO, comme le mari de cette dame, j'étais ici pour trouver des infos concernant les membres de l'équipe Wolfpack, nous les pensions morts à Raccoon City ou ayant déserté Umbrella mais les voila de retour depuis cet été au même moment où Natalya s'est montrée au public. Un certain Vector est d'ailleurs mort durant l'attaque à la Prison non loin de la ville, mais c'était un clone.

Henri : Wolfpack, jamais entendu parlé, pourtant je suis bien renseigné sur Raccoon City, les aventures de Claire et Léon le 29 et 30 Septembre, l'épopée de Jill Valentine et Carlos Oliveira contre Némésis, et ce fameux groupe de 8 Survivants ayant fourni pas mal d'infos ainsi que des antiviraux contre le Virus T, tel que le Daylight pour citée celui que le BSAA utilise. Ada, ça vous dis quelque chose, vous ?

Il attendait une réponse et ce serait surement la dernière qu'elle aurait a donné avant le prochain combat.

[- 5 Balles Pistolet]

Ada: Pour tout vous dire, Henri, ce que vous me dîtes me rappelle de vieux souvenirs mais je ne suis pas du genre à penser au passé, seul le futur m'importe. Par contre, je vous avouerai que je suis perplexe, Dylan. Un clone? Aurait-il prit les travaux qui ont permis la création du mien, celui qui a berné Simmons?

Tout cela ne présageais rien de bon et Ada prit le katana en remerciant Dylan. Elle était légère et...tranchante à souhait. C'est une arme qui sera pratique pour le démembrement de ces créatures, oui, très utile. Elle avança alors vers la salleettegarda les différents conduits qui semblèrent crier à cause des zombies. Une lumière se dégageai d l'un d'entre eux, un gros bras fluorescent en sortie puis le corps d'un zombie mince en sortie, riant.

Ada: C'est auoi ce truc? Dylan, il faut ouvrir le plus vite ces portes!

Dylan : C'est probable, Umbrella qui pique les travaux à Néo Umbrella, c'est comme cette histoire de Crisis et Néo Crisis, ça me fait bien marrer.

Henri : Moi ça me fait penser que nous n'avions plus eu de nouvelle de cette société pour laquelle bossé ce Simmons à l'époque, était ce Hydra, Léviathan... Mystère.

Dylan : Non, c'était la Famille leur nom mais c'est vrai que silence radio de leur coté.

Finalement le voyage dans le monte charge se passa sans soucie apparent, c'était après que ça allait barder.
Ils arrivèrent sur la plateforme d'entré où se trouvait la grande porte fermé, derrière se trouvait la quai avec le train qui leur permettrait de repartir d'ici.
Mais alors que Dylan se mettait devant le panneau de contrôle de la porte avec plein de boutons et bidules, Ada se fit entendre.

Ada : C'est quoi ce truc? Dylan, il faut ouvrir le plus vite ces portes !

Dylan : Je fais de mon mieux, couvrez moi.

Henri se tourna vers le conduit signala par son alliée où il vit une bestiole en sortir et tomber sur le sol.
Cet "Exploder" poussait de temps en temps un crie ressemblant à un rire et son bras gauche semblait être explosif, car un gros truc jaune comme ça, c'était explosif dans les jeux.
Petrick tira dessus pour vérifier sa théorie et en effet, boom le monstre !
D'autres créatures vinrent en masse, des Slashers, Exploders et aussi un "Leaper" qui semblait savoir se déplacer rapidement, ce qui n'était pas bon signe.

Henri : Il y en a combien de sortes différentes !?

Dylan : Vous préférez ne pas le savoir ! J'ai bientôt fini mais faudra la refermer ensuite !

Bordel, on était pas sorti de l'auberge.

[- 1 Balle Pistolet]