[FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
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Resident Evil 9 :: Côté RP/FIC :: Paris
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[FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 1 : Enterrement de Vie de Jeune Fille
30 Octobre 2019
France; Limousin; Creuse; Demeure Dodgera
Le grande jour viendra demain pour l'un de nos couples préférés de ce Forum.
En attendant nous sommes la veille, durant une nuit venteuse où le ciel est très étoilé, donnant un magnifique spectacle pour quiconque voudrait s'asseoir dans l'herbe et les contempler. Ce n'est pas en ville qu'on peut voir ça, vu l'éclairage gargantuesque présente pour empêche ça.
La demeure qui attire notre attention produit justement pas mal de lumière du haut de sa petite colline isolée, alors qu'une forêt l'entoure de trois côtés, ne laissant que le quatrième pour y apercevoir une clairière en bas avec quelques arbres isolés et un village à quelques kilomètres de là.
A l'intérieur de la bâtisse se trouvent les deux futures mariées, en compagnie de leur proches afin de fêter tous ensemble leur enterrement de vie de jeune fille. Tout le monde est situé dans le salon, accédant à la salle de bain, à droite en partant du couloir d'entrée, juste en face de la cuisine qui mène à la réserve.
Juste à côté de l'escalier menant à l'étage, nous avons la petit buanderie.
En haut, il y a les chambres et le grenier devant elles, avec le bureau du chef entre tout ça.
A l'extérieur de la résidence se trouvent deux autres bâtiment qui ont chacun leur importance, à savoir le garage servant aussi de zone de collection pour le proprio du terrain, et une grange où vivaient autrefois des chevaux avant que tous ne périssent avec le temps.
Voici le carte de l'endroit si vous voulez vous en faire une image claire dans votre bulle mentale :
Je vais à présent vous présenter un peu tous les personnages de cette fic pour mettre de l'ordre dans nos souvenirs.
1) Ophelia Sarkissian, l'une des rares têtes d'Hydra encore en vie actuellement, bien qu'elle ne s’immisce plus vraiment dans les affaires de cette organisation pour qui elle a tout donnée par le passé. Elle affiche fièrement la joie qu'elle a d'enfin pouvoir s'unir avec sa promise, en envoyant hâte d'être en intimité dans la mairie.
2) Lucy Dodgera, jeune femme de 26 ans qui est adoré tuer des gens de diverses manières, même si à la tronçonneuse reste sa méthode préférée, et qui ne parle que très peu de son son passé et avec seulement quelques rares personnes. Pour l'occasion, elle garde à ton plus calme et moins expressif que sa compagne, juste un petit sourire.
3) Leon S. Kennedy, ancien agent de la DSO et Officier de la Raccoon Police Department qui est le héros de ces dames, ayant ainsi un niveau de charisme très élevé. Sa relation avec Lucy est assez particulière, un peu comme un chat voulant s'amuser avec sa souris, sachant qu'il n'est pas le matou dans la métaphore.
4) Shiho Miyano, une biochimiste de renom connue à l'international pour ses travaux et a la faculté de se transformer en canne épée volante pour pouvoir battre assez facilement ses ennemis. Dés son entrée dans les Avengers, elle s'est liée d'amitié avec la mariée blonde, venant les meilleurs potes en très peu de temps.
5) Armand Dodgera, un vieux vétéran de plusieurs guerres, y compris celle l'opposant des Boches, Ritals et Japs où il a même confronté Hydra et Ophelia elle même à l'époque en s'en tirant vivant. Grand Père de Lucy et tenancier de la baraque, il est très proche de sa petite fille qui reste sa seule famille à l'heure actuelle.
6) Johann Schmidt, le fondateur d'Hydra qui a réussi à s’imposer lors de la Seconde Guerre mondiale malgré les grands acteurs déjà en place. Il est le mentor d'Ophelia et aussi celui qui a réussi à lui donner une vie alors qu'elle vivait dans la misère, avec toute la haine antisémite la pourchassant à travers son enfance.
7) Danielle Harris, une actrice loin d'être super connu mais qui a principalement jouée deux rôles assez importants dans la saga Halloween, et plus récemment vous avez pu l’apercevoir dans un petit rôle dans Once Upon a Time… in Hollywood de Quentin Tarantino. C'est elle qui a permis à Ophelia de sortir de sa biostase et qui est devenue sa meilleure amie, ainsi que l'une de ses deux protégées.
8 ) Baptiste Sixte, le Président-directeur général d'Armacham Technology Corporation qui a remis de l'ordre dans sa boite et est parvenu à la redresser au sommet là où d'autres se seraient écroulés lamentablement. Ancien Dirigeant des Avengers, il est celui qui a permis à Lucy d'en faire parti, et il doit sa survie à Ophelia qui a pu le soigner juste à temps de son infection au Virus T avant qu'il se mette à manger des gens vivants.
9) Stive People, un ami un peu con du fondateur malveillant des Avengers qui mène tranquillement sa petite vie tranquille seul en exerçant le boulot d'Agent de Production chez "Bridéluxe" une marque chinoise. Il loge dans le même immeuble que les mariées et ensemble elles vont souvent se faire un bowling chez "Bow Ling" un établissement chinois.
10) Raven, un sorcier mercenaire maniant l’électricité dont la puissance varie d'un épisode à un autre, un peu comme toutes ces nombreuses œuvres de fiction où les scénaristes utilisent mal les pouvoirs de leurs personnages. Il a déjà croisé l'autre mercenaire de la soirée lors d'une mission où elle lui a filé le numéro de sa compagne.
11) Angela Ziegler, un médecin de renom ayant inventé une méthode révolutionnaire pour soigner les blessures graves et qui parcours les champs de bataille sous le surnom d"Ange" pour secourir les blessés. C'est Lucy qui l'invité ici et je dois avouer ne pas savoir pourquoi, n'ayant jamais su qu'elles se connaissaient.
12) Kenzie Dodgera-Sarkissian, une petite fille de 3 ans aux cheveux rouges carmins enfantée d'Ophelia et le tueur en série Naru.
13) Akemi Montagné, une petite fille de 2 ans aux cheveux auburn qui s'entend très bien avec celle d'au dessus.
Il y a donc treize personnes à table, de quoi inquiéter les superstitieux.
Allons nous faufiler auprès des différents sous groupes pour voir ce qu'ils font et racontent de beau.
Baptiste et Ravn sont tous les deux posés sur le canapé, en train de regarder une page de publicité où il y a la bande annonce pour le film Lady Diana qui vient tout juste de sortir et où l'un des deux spectateurs un obtenu un petit rôle de dernière minute dans celui ci après avoir résolu une affaire de meurtres en série.
Ils discutent de la fois où ils se sont rencontrés pour un job confié par le PDG lui même.
Baptiste : Encore merci d'avoir sauvé la vie de Naomi en remplacent sa garde du corps.
Raven : Je n'ai fait que ce pourquoi j'étais payé.
Baptiste : Vous devenez quoi depuis ?
Raven : Pas grand chose, je rencontre que des fous, et on me demande aussi de faire des choses où je ne suis pas spécialisé, comme enquêter sur un crime.
Baptiste : Je vois.
Raven : Après ils s'étonnent que les résultats ne sont forcément fructueux.
Baptiste : Il est logique qu'en temps que mercenaire l'on vienne vous demande de nombreuses taches variées.
Raven : Mon mentor aime bien m'enfoncer entre autre à ce sujet.
Baptiste : J'imagine la chose.
Raven : La dernière fois, j'ai piégé son café lors d'une de ses visites pour lui rendre la monnaie de sa pièce.
Baptiste : Ah... Il est toujours vivant ?
Raven : Oui.
Cette froideur qui dégage du maître de l’électricité par moment peut être déconcertante.
On dirait presque ça le fait chier d'être venu, alors qu'il n'y était pas obligé.
Bougeons un peu sur leur droite pour arriver au niveau du bar, car où les Dodgera en on un, où Stive est est posé tranquillement en attente qu'on vienne lui demander ce qu'il veut boire. Ange est juste derrière lui, penché vers son oreille gauche en lui murmurent des choses inaudible.
Seule la réponse du jeune homme aux cheveux noir nous est perçu comme il la crie presque.
Stive : Non, Erza est bien une femme ! C'est juste qu'elle se trimballe toujours une fausse bite et une fausse paire de couille afin de dissuader les violeurs qui arriveraient à la vaincre de pouvoir passer à l'acte ! Moi on me la fait pas à moi !
Ange : Comment est ce que tu sais ça toi ?
Stive : Mystère !
Ange : Okay...
Stive : Les seuls moments où elle ne les a pas, c'est quand elle est en petite tenue afin de pouvoir mettre une culotte sans être serrée en bas !
Ange : Je ne veux rien savoir de plus.
Ne cherchons pas plus il vaut mieux.
Je peux vous confirmer qu'elle n'est pas née biologiquement homme, car je sais d'instinct ce genre de choses.
A la table en face du comptoir, Leon et Shiho se sont arrêtés brièvement de parler en entendant l’explication sur le sexe de leur amie rousse qui s'est évadée de prison plus tôt cette année. Ils reprennent leur papotage en lançant un nouveau sujet, l'ancien étant terminé.
Shiho : En parlant de femme vraiment femme, parlons un peu de comment Lucy t'a chamé à votre première rencontre.
Leon : Douloureux souvenir.
Shiho : Je ne crois pas qu'une femme ait réussi à te transformé en adorable toutou comme ça, pas même Ada ou Haruhi.
Leon : Ne cherche pas, je suis sûr qu'elle possède un véritable pouvoir magique ou autre, à la manière d'un Killgrave.
Shiho : Tu trouves cela probable ?
Leon : Pas moins que ce qu'on affronte au quotidien.
Shiho : Pas faux.
Leon : Bordel... J'avais eu les couilles bleus pendant une semaine.
Shiho : Tu voudras que je vérifie si elles le sont toujours après tant de temps, et les soigner à ma façon ?
Leon : Dis donc, on dirait bien que le groupe de soutien et d'autres évènements sociables t'ont permis de te rouvrir aux autres, un peu comme quand tu étais une canne.
Shiho : On dirait bien.
Leon : Quand on s'est rencontré, je n'étais pas sûr si tu étais un garçon ou une fille.
Shiho : En même temps, je maintenais pas mal le flou là dessus.
Leon : Pour Erza, il n'y avait aucun doute quand je l'ai vu débarqué en sous vêtement dans mon jardin alors que j'essayais de réparer ma clôture.
Shiho : Elle aurait pu faire une transformation complète ?
Leon : Non, j'ai déjà rencontré des personnes très belles qui avaient le processus complet et je ne sentais pas la même même chose qu'avec une vraie femme.
Shiho : Tu as le même odorat que Stive ?
Leon : On peut dire ça comme ça.
Shiho : Pour en revenir à toi et Lucy...
Leon : Rhhoo pitié.
Shiho : Elle a enregistré ta pire tentative de drague à son encontre et m'a filé un exemplaire.
Leon : Ah bon ?
Shiho : Je te le fais écouter.
Leon : Je ne vois pas quoi il s'agit.
La scientifique sort son téléphone et parcours dessus son contenu jusqu'à trouver la fameuse preuve incriminante.
Elle appuie ensuite sur play.
Leon : Ici ce sont les chambres a coucher, d'ailleurs si tu veux les essayer avec moi, jolie coquelicot en fleur, tu verras on sera bien; je serai une abeille et toi ma fleur, tu sera mon yang je serai ton ying, mais surtout je vais te BAISERRRRRRRRRRRRRRRR !!!??? SALOPE !! JE VAIS BIEN MAIS VRAIMENT TE DÉFONCER PAR TOUT LES TROUS !! Alors ça te dit HEIN !?
La personne qu'on vient d'entendre lève les mains, paumes vers le haut, sans comprendre ce qu'il vient d'entendre.
Leon : J'ai vraiment dit ça ?
Shiho : Je ne savais pas que tu venais du Nord de la France Léon.
Il tourne alors son regard vers cette grande chatte blonde souriante en plissant beaucoup des yeux, les sourcils froncés.
Lucy : Alors toujours les couilles bleues ?
Leon : Sorcière.
Celles qui ne prêtent pas attention à la scène, ce sont Kenzie et Akemi installées à la table, près deux mères respectives, et qui jouent à Ni oui ni onche onche. Ils ne savent plus quoi inventer comme jeu de nos jours, c'est plutôt navrant.
Ophelia qui observe tout ça depuis tout à l'heure en alternant les sujets à regarder, tout en se disant qu'elle a quand même un entourage de gros malades, ce qui lui plaît pas mal.
Elle se reconcentre sur ceux avec qui a débuté une conversation, comprenant Lucy, Johann, Danielle et bien évidemment ce bon vieux Armand qui ramène toute l'attention sur lui même.
Il reprend une histoire horrifique qu'il avait commencé à compter et dont l'effet fait rire sa petite fille et fout la frousse à l'actrice américaine.
Armand : Et là ! J'étais en train de changer la roue arrière de ma voiture sur le bas côté de la route alors que le brouillard se levait tout autour de moi...
Danielle : J'ai peur...
Armand : Après avoir serré la dernière vis, j'entends une voix souffler sur mon oreille droit. Très féminine et fantomatique, elle me glisse alors "Tu seras à moi, pour toujours".
Danielle : Oh mon dieu...
Johann : Elle n'est pas vrai cette histoire.
Lucy : Je connais déjà la chute.
Armand : Je me retourne soudainement et vois une jeune femme blonde, d'un teint livide, vêtue d'une longue robe de mariée blanche trainant jusqu'à plusieurs mètres derrière elle. Cette dernière penche son visage vers le mien avec un profond sourire débordant de ténèbres, afin de me susurrer bien dans le creux de l'oreille ces mots....
Le vieil homme allumer une torche au dessous de son cou pour illuminer un peu sa tête, ce qui marcherait mieux si toutes les lumières de la pièce n'étaient pas déjà allumées.
Armand : "Je n'ai rien en dessous de ma robe."
Il s'approche très rapidement de celle qui a le plus peur de son histoire afin de coller ses yeux aux siens.
Armand : Elle chope violemment ma tête pour la faire tomber à ses pieds, puis elle me traine jusqu'en dessous de ses vêtements, et c'est là que le drame m'arrive au plus profond de l'iris de mes yeux. Elle n'avait pas de culottes... C'est la Nuit où j'ai croisé la Mariée Sans Culotte.
Danielle : Vous avez eu de la chance de survivre.
Lucy : C'est surtout que son histoire est inventée de toute pièce.
Armand : Tu aurais pu attendre un peu avoir de tout dévoiler.
Lucy : Désolée papy.
Johann : De quoi s'est il inspiré pour la faire ?
Lucy : Du Secret des Balls et de moi pour l'apparence de la Mariée Sans Culotte.
Danielle : Ah d'accord....
Ophelia : Toujours aussi doué pour raconter ce genre d'histoire Armand.
Armand : Oh merci c'est gentil.
Johann : Je crois qu'il est temps de lever un verre en votre honneur.
Lucy : Ouais allez, tout le monde venez ici pour faire Tching Tching !
Ophelia : Et pas Tché Tché.
Danielle : Je préfère la mort.
Les différents invités se réunissent tous autour des deux élues du coeur avec leur verres aux contenus tout aussi variés que vide si l'on prend celui d'Ange.
Ils trinquent ensemble en célébrant l'évènement.
Tous : Aux mariées !
Ils boivent cul sec leur boissons, ou fait semblant pour une certaine personne, alors qu'une tête s'écarte un peu pour faire une petite chose, profitant de l'attention générale sur elles.
Une mélodie au piano débute pendant plusieurs seconde avant que la guitare n'empêche et que la voix la plus douce et mignonne de la salle ne s'envole jusqu'à notre ouï.
Lucy : Depuis queeeee... J'ai créé cet enfer en essayant de garder toute chose en un parfait équilibre ! Ces engrenageeeeees... Ne veulent plus se stopper !
Elle débute par un échauffement avec la danse de la loutre ivre morte.
Lucy : S'amusant à moité un dieu nous emmena dans un monde ressemblant à un plateau de jeu
no no no game no life alors nous nous sommes débarrasser du tiède sentiment de paix que nous avions
pour tailler les marches de la GLOIREEE !!
Elle se relève majestueusement ne déployant ses bras.
Lucy : Dans nos yeux se reflétait le destin d'une victoire absolue. Tout se déroule, comme prévu nous changerons tout avec espace vide intaaaaaaaact !
Elle prend sa belle dans ses bras et finit par l'entrainer dans son envolée.
Lucy : Nooouuuus sommes des dissideeeents, noooouuuus n'avons pas besoin de sauveur ! Peu importe, combien sont déloyaux les conflits ! Tout ce que nous pouvons faire c'est gagNooootre stratégie, et notre talent, nous rendent imbattables ! Ne croyant qu'en nous-mêêêêêêêmes ! Il est temps de s'amuser avec ces nouvelles, viiiiiiiiiiiiiiiiies !!
Se prêtant au jeu, sa compagne enchaîne avec la dernière partie du morceau.
Ophelia : Noooouuuus sommes des dissidents, les plus forts, des joueurs dissidents !! Un espace vide peut devenir ce qu'il veeeeeeeuuuuut ! Et ne nous croyons qu'en, nous-mêêêêêêêêêêêêêmes !!!
La chanson se termine sur un baiser du couple, suivi d'applaudissement pour leur performance orale.
Les langues se lient, alors que des sifflements encourageant de Stive viennent accompagner le tout.
Les minutent s'écoulent dans la joie et la bonne humeur, avant les premières personnes de sortent, à savoir la belle asiatique et sa fille pour coucher cette dernière car il est déjà 21 heures 20 et pour qu'elle soit en forme, il faut un peu de repos. Elles sont suivies de près par les icônes du soir qui doivent aussi envoyer au lit leur petite chose aux cheveux carmins. Les suiveur s'arrêtent en voyant les suivis bloquer le couloir parce que la petite se questionne à propos de ce qu'elle a pu entendre du papotage entre sa mère et son parrain.
Sauriez vous deviner de quoi il s'agit ?
Pas de la drague bizarroïde du charmeur qui ne s'en souvient même pas.
Plutôt qu'une question qui est toujours sujet à débat, dont la réponse n'est pas universel contrairement à ce que les différents camps peuvent dire.
Akemi : Fille être garçon ?
Shiho : Je n'aurais jamais cru devoir t'expliquer la transsexualité
Akemi : Maman ?
Shiho : Mère Nature est imparfaite, donc parfois elle créée des femmes qui ne sont pas faites pour être femmes, et des hommes pas faits pour être hommes. Ces personnes vont essayer plus tard de se rapprocher de plus en plus du sexe qu'ils auraient dû recevoir, sans jamais pouvoir y parvenir à 100 % biologiquement parlant. Au niveau du social, des vilains messieurs ne s'en tiennent qu'au fait biologique et s'en prennent à ces personnes sans comprendre que ce n'est pas leur faire si Mère Nature s''est plantée.
Akemi : Mère Nature plantée ?
Shiho : Ouais, et c'est pas la première fois, elle a bien conçu une espèce qui lui fout des bâtons dans les roues et détruire toutes ses créations au passage. Nous.
Sa petite fille approuve de la tête les dires de sa parente sans pouvoir faire une réflexion là dessus en raison de jeune âge. Suite à cette mise au clair, elles s'en vont à deux jusqu'à l'escalier le plus proche pour monter jusqu'à la chambre où le pays des sommeils attend paisiblement celle qui a du sable sur les yeux.
Le trio qui était silencieux jusqu'alors sans les lâcher des yeux, se met à s'exprimer entre eux.
Lucy : Moi je peux coucher avec des transgenre sans problème car mon cerveau les considèrent comme femme jusqu'à ce que une anomalie vienne se mettre sur le chemin, ce qui n'est pas souvent le cas.
Ophelia : Moi ça me trouble car je veux coucher soit avec une femme, soit un garçon, pas un mélange des deux.
Kenzie : Je peux aller dormir ?
Lucy : Bien sûr ma choupinette, ne trainons pas.
Les drôles de filles font leur avancée dans cette maison campagnarde jusqu'à atteindre l'étage à leur rythme posé afin de veiller à ce que la petite chose fatiguée ne s'écroule pas sur les marches.
Leur lieu de repos est la deuxième chambre en partant de l'escalier et il a la particularité d'être le seul à lit double, mais n'a pas de couchoir pour la gamine qui devra dormir avec ses parents, pas le genre de truc à la déranger, au contraire.
Elles stoppent leur marche juste devant la bonne porte, alors qu'Ophelia se tourne vers Lucy pour lui dire quelque chose tout en baillant la grotte grande ouverte.
Ophelia : Je crois que je vais aussi me pieuter, j'ai un coup de barre.
Lucy : Ne t'en fais pas, je vais veiller sur nos amies.
Ophelia : Tu peux redescendre alors, je m'occupe de tout ici.
Lucy : Dommage, j'aurais voulu servir à quelque chose.
Ophelia : Tu nous as accompagnée ici, c'est déjà beaucoup donc je vais te filer une récompense.
La vipère glisse jusqu'à l'oreille de chatte heureuse pour lui susurrer de doux mots qui lui font tellement plaisir qu'elle en mouille sa culotte, intriguant un peu celle qui est trop jeune pour comprendre le cul mais qui finira par apprendre tout ça à 8 ans avant de le pratiquer des années encore plus tard.
Ophelia : Je trouve toujours les bons mots pour te faire de l'effet.
Lucy : Il n'y a que toi pour mêler aussi bien l'amour que la mort !
Ophelia : Allez file, et vole de tes propres ailes mon ange !
Elles se font un court baiser de bonne nuit puis la femme aux cheveux verts entre dans leur pièce attitré avec sa fille, alors que sa future femme reste dans le couloir, retournant sûrement au salon rejoindre les autres. De toute façon elles se retrouveront ultérieurement quand la majorité des personnages présents seront retournés à leur hôtel pour se préparer pour le lendemain où tout se passera.
Ophie tient la main du fruit interdit dont elle espère que le meilleur pour sa vie future et l'emmène jusqu'au lit, en fermant derrière, alors que du bruit se fait un peu entendre à leur droite. Il doit très très certainement s'agir de Shiho et Akemi comme il s'agit de leur chambre.
Celle est de Leon est tout à droite, et celle d'Armand tout à gauche.
Ils n'y sont pas encore pour le moment, donc le calme enduit ces recoins en question.
La bonne mère faisant office de figure paternelle, étant parfois un peu rustre et sec, aide le bambin à se déshabiller, révéler évidemment un corps loin d'être en maturité et ne pouvant révéler exactement à quoi elle ressemblera dans 10 ans. Elle l'aide ensuite à enfiler son pyjama Scooby-Doo qui déclenche un cri d'auto-défense en cas de présence paranormale, et ses chaussettes Winnie l'ourson qui collent comme du miel bien qu'il n'est pas clair si il s'en s'agit réellement. La certitude est que c'est gluant.
Ceci fait, le second tour de virage de fringue a lieu, pour l'adulte cette fois ci.
Dépassant la montre en tournant sur soi même, à la manière d'un Sims, la voilà désormais complètement nu comme n'importe quel animal avec ce qu'elle portait ayant complètement disparu. C'est ça la magie du jeu vidéo, et quand on la transpose en vrai, ça fait des ravages.
Les deux marmottes se couchent ensemble, la plus grande sur l'oreiller sur la gauche du point de vue de l'entrée, et la petite marmotte pose ses deux minuscules oreilles sur celui spécialement sorti de la buanderie bien au milieu, pour être collée entre ses deux mamans chéries.
Seule la petite lampe sur une table de chevets leur tient encore compagnie avant le dodo.
Avant ça, il manque l'histoire qui va avec.
Ophelia : Kenzie, que veux tu ce soir ? Une histoire ou une comptine de mon pays natal ?
Kenzie : Une comptine !
Ophelia : Tu as été sage donc tu le mérites.
Kenzie : Oui !
Se raclant la gorge pour être sur de pouvoir bien prononcer sa langue de naissance qu'elle ne pratique plus vraiment
Par la suite, elle s'exprime cette langue inconnue à la petite, elle pourrait s'exprime en Orc que se serait pareil.
Bien évidemment, Ophelie n'est pas connue, elle récite d'abord cette chanson culturelle en version originale avant de passer à la traduction.
Celle ci vient juste après.
Ophelia : Hop, hop, soldat ! Nous montons ensemble sur le cheval…… s'assied sur la queue. Elle tombe dans la boue, Plouf !
Kenzie : Bravo maman !
Ophelia : En temps normal si on joue le jeu, tu es censée être sur mes genou alors que je les remue, et à la fin je les ouvre en grand pour te lâcher.
Kenzie : Ooooohhhh !!
Ophelia : Allez soldat, on dort, car demain on se lève à l'aurore !
Kenzie : Oui Maman !
Un doux réconfort de la part de la très belle femme se dépose sur le front de l'autre bonne bouille.
Le peu d'éclairage les entourant s'en va juste après.
La noirceur de la nuit se répand, ne laissant que la constellation donnant une micro visibilité.
Les esprits en profitent pour se rendre au pays des songes.
Laissant la rivière s'écouler jusqu'à quelques fleuves avant de se retrouver face à une cascade.
Cette menace n'arrive qu'aux alentours de 23 heures, alertant les occupants du cours d'eau.
Lucy : OPHELIAAAAAAAAAA !!!
Cette puissant rocher perforant l'eau réveille en sursaut la pauvre Ophelia qui tourne la tête dans les sens après avoir clairement entendu la voix de sa douce l'appeler à l'aide. Son premier réflexe est de taper partout sur le meuble à sa droite jusqu'à tirer tirer sur le cordon allumant la lumière à tel point qu'elle le casse net tout en réussissant son but.
Sa vision dégagée, elle regarde inquiète vers la gauche et voit Kenzie sur le point de pleurer pour une raison inconnu, déclenchant sans raison le système de protection de son armure.
Pyjama : SHAGGY HEEEEEEEEELP !!!
Voyant que sa fille est à l’abri et va bien, la grande dirigeante saute hors du lit en jetant la couverture hors de son corps, pieds devant pour atterrir de l'autre côté du matelas, juste en face d'une fenêtre fermé où la réponse l'y attend. En effet, elle y aperçoit à quelques mètres de la de la propriété privée, une sorte de golem boueux géant humanoïde de 4 mètres de haut en train de se rendre dans la forêt en posant des pas lourds sur le sol résonnant un peu jusqu'à notre héroïne, avec de faibles secousses. Pas de quoi la réveiller en revanche.
Par contre ce qui a marché, c'est l'action courageuse de la blonde collé dans l'épaule droite de la créature et qui n'arrive point à s'en dépêtrer.
Apercevant cela, la hongroise frappe les carreaux d'un mélange de colère et de peur.
Ophelia : LUCYYYYYY !!!
Ne ovulant pas perdre son amour, pour toute la grâce de Yahvé.
Serrant les dents tel un requin, elle recule de trois pas, puis fonce, le bras protégeant sa tête, contre cet obstacle vitré afin de le traverser avec brio devant le regard larmoyant de leur enfant.
Couverte d'éclat, elle prend quelques secondes pour analyser le pavé d'herbe l'attendant en bas et se prépare à amortir sa chute quand une ombre rouge passe au dessus d'elle et l’agrippe soudainement
Sans savoir ce que c'est au premier abord, c'est seulement en lever son visage qu'elle découvre avec stupeur une sorte de démon squelettique aux ailes déployés et yeux rougeoyant qui est en train dans la traîner en l'air tout autour du périmètre sans la lâcher.
Sauf que ce n'est pas ça qui va l'arrêter, même si cette vision d'horreur la fait flipper au plus haut point.
Comme quand la Fin du Monde avait été frôlé le Nouvel An 2017.
Avec bravoure, elle se tort le cou jusqu'à pouvoir mordre l'une des mains de l'être maléfique qu'y pousse alors un cri féminin de douleur, sans pouvoir maintenir celle qu'il tient à cause de son acte. Résultat, alors qu'ils se redirigeaient vers la maisonnette, Vipère se retrouver à être projeté droit comme un piquet vers l'une des fenêtres menant au salon, et là...
Un bruit de fracas et d'immenses douleurs sur tout le corps.
Elle est toujours en vie, mais a perdu connaissance.
C'est une défaite pour cette icône de la politique.
Dernière édition par Ophelia Sarkissian le Mar 27 Aoû - 12:52, édité 7 fois
Ophelia Sarkissian- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 2 : La Disparition
Impossible de se relever pour l'instant.
Son esprit en revanche s'émerge d'une très courte ellipse.
Seuls sons audibles, une voix provenant d'une télévision allumée.
Il s'agit sans hésiter d'un Président de BFM TV qui soutient aveuglement le Gouvernement Français, lui même étant derrière les Gilets Jaunes, ainsi que leur nouveaux venus depuis peu. A cause de la situation actuelle qui est merdique pour toutes les espèces intelligentes non humaines vivant sur Terre, ces derniers ont commencé à manifester afin de réclamer un retour à la situation d'avant l'intervention de nombreux pays membres de l'ONU pour qu'ils puissent retrouver une vie décente.
Résumons ça en "Monde de Merde" comme le dirait George Abitbol.
Le crane du solide bout de femme lui faire plutôt mal, comme dans un lendemain de cuite, sauf pour le coup elle était sobre comme la Vierge Marie. Essayant de luter pour ouvrir les paupières, ses bras intérieurs forces du mieux qu'ils peuvent, mais cela reste scellé pour l'instant.
A son grand damne.
Alors les infos infos s'enchaînent, une autre voix plus encrée dans la réalité et reconnaissable entre cents milles bataillons se fait entendre pour aider Blanche Neige à revenir à la vie si l'on peut dire.
Shiho : C'est quoi ça ? Y a une p'tite merde en bas.
En fin de compte, la sagesse se fait moins ressentir venant d'elle que d'habitude, mais quelqu'un vient se rattraper en vérifiant le pouls. La conclusion devrait être évidente sur son sort, et la concernée attend que celle ci déboule sur un tapis de fleurs.
Leon : Elle est morte.
Même semi inconsciente, Ophelia arrive à froncer les sourcils.
Grimaçant profondément, elle se relève d'un coup, les yeux ouverts, presque comme un vampire sortant de son cercueil. Son agacement est tel qu'elle ne mâche pas ses mots à leur encontre, les coincant dans un puissant chewing-gum que même Chuck Norris aurait dû mal à les déloger.
Ophelia : Vous vous foutez de ma gueule !?
Shiho : Je t'avais dit que la prendre pour une conne la reveillerait plus vite.
Leon : En effet, c'est le cas de le dire.
Ophelia : Depuis combien de temps je suis par terre ! ?
Armand : Une demi heure à peu près.
Ce n'est que maintenant qu'elle se rend compte de la présence de son grand-père spirituel qui est visiblement très inquiet. Les autres le sont aussi mais le cachent sous le trait de l'humour.
Celle au tempérament normalement calme ne l'est pas trop quand il s'agit de Lucy qui est en danger.
Néanmoins elle inspire et expire quelques bouffées d'air pour faire rebaisser sa tension afin de laisser parler sa tête plutôt que ses poings.
Ophelia : Vous étiez où quand elle s'est faite enlever ?
Armand : Je me promenais dans les bois avec Leon en discutant de la Der des Der, en parlant de toi notamment, quand nous avons entendu des cris.
Leon : Nous sommes arriver malheureusement trop tard et nous avons trouvé Shiho qui enquêtait déjà sur les lieux.
Shiho : J'étais dans ma chambre quand le boucan à retenti, puis on t'a vu te faire battre par le démon volant. Le temps que je descende pour sortir, il n'y avait plus personne dehors.
Ophelia : C'était quoi ce bordel ? Un Golem Boueux et un Démon Squelettique qui enlèvent ma promise.
Armand : C'est la Mariée Sans Culote qui se venge de moi en me privant de ma petite fille le jour de son propre mariage.
Shiho : Vous pensez que c'étaient de vrais monstres cette fois ?
Leon : Il ne faut pas enlever la possibilité que ce soient justes des salopards qui avaient l'une des mariées dans le colimateur qui nous jouent un tour.
Ophelia : Je vais fouiller là où ils sont partis pour voir si je trouve des indices.
Armand : Tu ne veux pas être accompagnée ?
Ophelia : Non c'est bon.
Armand : Sois prudente alors.
Voulant braver l'inconnu sous protection, la tête de l'hydre s'aventure dans la pénombre devant cette attention emplie d'inquiétude au sujet de la disparue et de celle qui risque le même sort en jouant en solo.
Dehors, la brise est toujours là alors que la constellation au dessus d'elle permet toujours de voir à plus de 2 mètres devant soi sans quoi la progression serait vraiment ardue.
Sonnée mais pas vaincue, Ophie fait quelques pas devant pour essayer de faire taire cette vision qui tourne. Après quelques secondes, son état s'améliore et elle commence à bouger avec une certaine stabilité dans ses mouvements.
Juste au moment où elle trouve la trace du passage du géant de boue.
Au fond à gauche, des arbres ont été déracinés, de quoi enragés les défenseurs de la nature, pour être coucher sur le terrain, permettant à la grosse créature de passer par là car autrement il lui aurait été impossible de faire ça. Si on est logique, il suffit juste de suivre la piste de végétaux morts jusqu'à retrouver le grand kidnappeur.
Sans hésiter, notre héroïne y fonce à la hâte, tout en prenant le temps une fois engagé dans ce sentier de vérifier qu'aucun piège n'a été déposé en cours de route pour veiller à ce que personne ne les suive. Pour l'instant ce n'est pas le cas, et tant mieux, elle n'a pas envie de perdre du temps inutile avec ça, celui ci étant précieux pour parvenir à sauver sa folle princesse.
A peine quelques minutes passent quand une impasse se dresse devant nous.
Plus rien.
Face à elle, les bois sont intactes et dorment paisiblement pour restaurer leur force vitale qui leur permet ensuite de faire respirer la planète convenablement. Tant de labeur sans récompense mérité, ceci est noble de leur part et il faudrait ne jamais l'oublier, jamais.
En tout cas, Vipère se retrouve au point mort, perplexe, et sa première idée est de jeter un œil au sol.
La trainée de boue laissé par le colosse s’arrête là, laissant une grosse marre fraiche dans laquelle se trouvent une paire des pieds assez fermes qui devront être lavés plus tard. Or, il y a nettement d'autres empreintes que celles appartenant à cette femme imposante qui y ont été laissés, plus précisément ceux ci ont plus grosses pointures et sont rectangulaires comme ceux d'un robot de passage, ce qui est très peu courant dans la région il faut le souligner.
Notre Velma auto-improvisé vient de trouver un indice qui rebrousse étonnamment chemin.
Pour simplifier mon travail, au lieu de penser, elle s'exprime à voix basse quand elle réfléchit.
Ophelia : Il y avait une machine dans le golem, donc je dirais que ce ne sont pas de vrais monstres. Mais pourquoi est ce que il a fait demi tour ?
Pour chercher une réponse à sa question, elle rebrousse chemin jusqu'à découvrir un autre détail intéressant.
Quelques mètres mètres en arrière, d'un coups les pas mécaniques bifurquent soudainement sur la gauche comme si il avait eu un problème, avant de s'enfoncer au cœur de la forêt, toujours en direction de la Propriété Dodgera, pour ne plus laisser de traces derrière soit, enfin à priori.
Ophelia : Ça ne peut pas être moi qui l'ait surpris, vu à l'allure où il avançait j'étais encore dans les vapes à ce moment là. Non, je dirais plus que le petit malin qui contrôlait le robot s'est rendu compte de sa bêtise de laisser des preuves de leur machination et il s'est vite retiré pour ne pas faire tout capoter.
Cela semble logique, par contre cela soulève un autre point bien plus dérangeant.
Ophelia : Il se rendait à nouveau à leur point de départ, hhhmmm... Y aurait il un loup dans la bergerie ?
Cette déduction ne lui plaît pas du tout, du tout du tout.
Cela voudrait dire qu'il y ait au moins l'une des personnes présentes à la fête qui fait parti de ce coup monté pour permettre notamment à lui et ses associés de planquer leur attirail quelque par chez Armand. Possiblement l'une des personnes les plus proches de son entourage, ce qui gèle son cœur à - 180 degrés.
L'amertume la consomme et elle fait complètement marche arrière, d'un pas nu pressé.
Son retour se fait sentir quand elle claque la porte d'entrée en l'ouvrant, faisant vibrer jusqu'au salon où se trouvent toujours les trois autres qui sentent qu'il y a quelque chose de mauvais dans l'air. Leur instinct surnaturel ne les trompe pas quand un mauvais visage déboule dans la pièce avant de fermer juste derrière en prononçant ses premiers mots guère sympathiques.
Ophelia : Armand, file moi la clé de cette porte, c'est un ordre !
Armand : Attends deux secondes...
Ophelia : Maintenant !!
Armand : OK OK OK !!
Apeuré, le vieil homme lui donne ce qu'elle a demandé puis recule à sa place d'origine.
Leon : Qu'est ce qui se passe pour que tu sois autant remontée ?
Ophelia : L'un des invités de la fête est une enflure qui participé à l’enlèvement de ma Lucy.
Leon : Tu es sûre de toi ?
Ophelia : Sûre et certaine, et vous êtes tous et toutes sur la liste des suspects.
Armand : Même moi ?
Ophelia : Ouais, et d’ailleurs va appeler les autres qu'ils reviennent vite ici pour que je vous enferme tous pour un interrogatoire.
Alors qu'elle dicte toutes ses directives, Ophie remarque a remarqué qu'avant Shiho a réagi bizarrement quand elle fait mention de sa conclusion, démontrant qu'elle doit savoir quelque chose. En un quart de secondes, là voilà collée contre la femme synthétique aux cheveux auburn avec ses narines qui expirent de la fumée.
Ophelia : Tu sais quelque chose.
Shiho : Non.
Ophelia : Menteuse.
Shiho : Tu as une preuve que je mens ?
Ophelia : Tes réactions, tu as beau avoir l'un des meilleurs masques de la planète sur le visage, je peux parvenir à le lire de temps en temps, et là je tu couvres quelqu'un.
Shiho : Tu n'as cas faire venir la police et je ferai venir mon avocat.
Ophelia : Non non non, je m'occupe de tout.
Shiho : Si tu veux faire ton Gin, essaye, je n’ai pas peur.
Ophelia : Si tu as peur, et tu me le montreras quand je t'aurais injecté ma substance spéciale, et puis j'en profiterai pour commencer ma collection de pieds empaillés avec les tiens qui sont succulents.
Shiho : Ce ne sont que des par...
A une vitesse impressionnant même la chimiste qui est douée dans ce domaine, la hongroise endort avec une prise dans le cou la japonaise métissée pour au moins une heure, laissant le temps de lui planté une seringue contenant d'un des différents produits dans sa trousse personnelle.
La prince charmant de la pièce tente d'intervenir mais les réflexes de son ennemie temporaire lui font s'arrêter.
Ophelia : Ne tente rien.
Leon : Ne lui fais rien de mal.
Ophelia : Si elle continue à jouer à la conne, je lui injecterai ma "Terreur d'Hadès" qui rend impossible à l'individu touché de contenir sa peur et qui le fait donc paniquer. Mais pour l'instant je vais juste lui injecter un Sérum de Vérité de ma concoction.
Leon : N'abuse pas d'elle.
Ophelia : Je ne m'appelle pas Killgrave, je torture, mais si j'abuse pas sexuellement de personnes, hormis de leur pieds.
Armand : C'est bon, ils arrivent !
Ophelia : Bien... Personne ne sortira d'ici avant la fin de l'enquête.
Les mauvais côtés de cette femme forte ressortent quand son plus beau jour est en train de devenir le pire.
Prions pour que ça ne parte pas plus en couille.
Kenzie Dodgera- Anciers
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Localisation : Dans ton cul. ^^
Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 3 : Réunion des Suspects
31 Octobre 2019
La nuit risque encore d'être longue surtout pour les douze personnes présentes dans cette maison de campagne, alors qua la Justice Autoproclamée les a tous rappelé ici pour appliquer sa sentence après avoir aussi exercer un interrogatoire musclé par piqué des bannetons. Le but de Judge Dredd étant de retrouver la treizième personne disparue, si possible vivante, car sinon elle risque de faire un sacré carnage dans les rangs de ses amies qui ne risquent de ne plus le rester longtemps.
Les nerfs sont gonflés sur le visage de la femme qui devait se marier aujourd'hui, mais où les chance que cela se fasse diminuent à chaque minute qui passe. Sa tension est incroyablement haute et sa voix s'élève pour un rien, sans même forcément sans rendre compte.
En même temps, nous ne pouvons que comprendre son état quand on sait ce qui lui arrive en ce moment même.
Là elle va faire passer toutes autres personnes qui était loin ce soir afin d'avoir leur témoignages et de voir qui est le ou les traître(s) parmi eux. Elle a encore dû à croire que l'un d'entre eux ait pu faire ça, et espère que c'est dû à un chantage, parce que sinon la méfiance risque d'impacter tous les autres, déjà qu'elle est bien installé à l'heure actuelle.
Essayant de calmer afin de rester concentrer et de ne rater aucun indice durant al session d'interrogatoire, elle a pris quelques calmants appartenant au vieux vétéran qui habite ici. Une fois à nouveau sereine dans son propre corps, elle peut alors débuter l’interrogatoire, sous le générique de Nicky Larson qui est là pour déstabiliser ceux qui défileront devant elle.
Le premier est Leon S. Kennedy car il faut commencer par ceux dont elle a déjà quelques bribes afin de pouvoir tout mettre au complet de garder ça dans un coin pour regrouper avec ce qui viendra. Évidemment, elle note dans sa mémoire eidétique les sons qu'il produit afin d'éviter de perdre du temps à écrire sur un cahier ou sa tablette.
Le chevalier sans armure garde son calme habituel malgré la situation et est même capable de blaguer, même si cela sert surtout à enfoncer son adversaire. Pour le coup, il essayera d'éviter de l'utiliser afin de ne pas enfoncer son amie qui est dans une situation de merde.
Ophelia : Décris moi tout ce que tu te rappelles de 21 Heures à 23 Heures ?
Leon : Pour cette tranche horaire précise ?
Ophelia : Afin de reprendre un peu avant de moment où je vous ai quitté des yeux, jusqu'à l'enlèvement.
Leon : Je vois, astucieux.
Ophelia : N'oublie aucun détail.
Leon : Je me rappelle avoir discuté avec Shiho a propos de ma première rencontre avec Lucy.
Ophelia : Ah oui, les couilles bleus.
Leon : Ensuite, il y a eu le toast entre nous tous, et juste après ça je me suis rendu au bar avec Raven et Stive où Armand nous a servi. J'ai commandé une simple bière pour ne pas trop abuser sur l'alcool.
Ophelia : C'est compréhensible.
Leon : Je leur ai raconte mon aventure en Amérique du Sud en 2002 où j'ai confronté avec Krauser le Cartel de Javier, et c'est là que ma situation amoureuse s'est mise sur le devant de la scène. Je regrette un peu ma vie de célibataire où je multipliais les coups d'un soir, car au moins je n'avais pas la pression d'essayer de m'installer quelque part avec mon couple seulement pour avoir toujours des épines qui se rajoutent à mes pieds.
Ophelia : C'est si tendu que ça avec Haruhi en ce moment ?
Leon : Oui, elle n'ose pas choisir entre Kyon et moi, et j'essaye de respecter sa décision, bien que cette situation à quatre, j'ai dû mal à m'y faire. J'essaye de suivre les conseils de Shiho à ce sujet, et d'ailleurs ça me fait pensé à ce qui a suivi.
Ophelia : Quoi ?
Leon : Peu après je suis sorti prendre un peu l'air et je l'ai croisé redescendant de l'étage, je lui ai donc proposé de m'accompagner pour aussi profiter des étoiles. Elle accepté et nous nous sommes rendu en haut du champ l'ouest de cette maison. Je mis toutes les cartes sur la table à propos de mes problèmes et que je suis au bout du rouleau, alors que pourtant m'a vie n'a techniquement pas été autant au top qu'avant Raccoon City.
Ophelia : Elle t'a répondu quoi ?
Leon : Je peux te citer mot pour mot car je l'ai mémorisé dans son intégralité. "Profite de l'amour tant que tu le peux avant qu'on ne vienne te le prendre, même si ça veut dire devoir le partager avec quelqu'un d'autre". Cette phrase a touché quelque chose en moi, et je me sens bien plus motivé à faire des efforts, en espérant que ça ne retombera pas aussi vite que c'est venu.
Ophelia : J'espère que vous arriverez à faire survivre votre couple.
Leon : Merci.
Ophelia : En tout cas, je ne peux que comprendre que Shiho ait dit ça, elle qui avait perdu toute sa famille, même si celle ci a pu revenir l'année dernière.
Leon : Le retour de Kyon va aussi dans ce sens.
Ophelia : Et après ça, vous avez fait quoi ?
Leon : Elle est partie chercher à boire mais n'est jamais revenue, alors un quart d'heure plus tard, je suis allé voir si il n'y avait aucun souci de son côté. J'ai alors croisé Ange et Armand qui sortaient de la salle de collection, et je suis parti avec lui dans la forêt pour une petit promenade de santé alors que Ange rentrait à l'hôtel.
Ophelia : C'est tout ?
Leon : Oui, je n'ai rien à ajouter votre honneur.
Ophelia : Tu peux dire à Shiho de venir prendre ta place.
Le roi se lève trône de céramique pour sortir sans tirer la royale chasse, sortant de la salle de bain assombri pour l'occasion, afin d'avertir la prochaine personne sur la liste que c'était à son tour d'y faire un tour. La belle chimiste vêtue de magnifiques sous vêtements pointe le bout de son nez sans avoir pris la peine de se rhabiller après tout ce temps passé.
En veillant à ce qu'il n'y ait pas trop de saleté sur le couvercle, elle y pose ses délicates fesses, orientant son regard déplaisant et stoïque vers la vipère cracheuse de venin. Le duel globulaire se lance et il est loin d'être sûr quel paris sera gagné car nous avons affaire à deux fortes personnalités, bien que pour moi la chimiste est la gagnante haut la main.
Shiho : Je vais essaye d'être moins désagréable qu’auparavant.
Ophelia : Bien... Et moi moins énervée.
Une boule de foin roule entre les deux, sortant de nul part pour y disparaître comme par magie.
Aucune de fait attention à ce virevoltant, préférant ne pas se lâche d'un décimètre d'iris.
Ophelia : Parle.
Shiho : Tu as vu la majeure partie des choses que j'ai faite durant cette soirée, y compris bavarder avec Leon ou faire coucher ma fille.
Ophelia : Hors ça, quoi d'autre ?
Shiho : Rien, je me suis couchée avec elle.
Ophelia : Tu crois qu'elle tiendra le même discours si je l'interroge ?
Shiho : Je ne peux pas te dire la vérité, j'ai promis à une personne de tenir le secret, et je tiens mes promesses même si ça me fait chier de devoir mentir et m'embrouiller avec toi. Je peux juste te jurer sur le Coran, ou plutôt sur mon couple pour être sérieuse que je n'ai rien à voir avec cette histoire et que je n'ai pas bougé du premier étage.
Ophelia : Merci bien, tu vois que c'est plus sympa quand on se dit des vérités même si elles sont aussi floues que celles d'une Ada Wong.
Approuvant de la tête, la scientifique se lève en avance et débute sa marche hors de la salle d'interrogatoire.
Ophelia : Le prochain, c'est Armand.
Le voilà qui arrive en attendant son nom après que la porte se soit ouverte, et il s'asseoir convenablement à sa place, gardant une mine plutôt inquiète sur son visage. Ah moins qu'il en soit un grand acteur, il à l'air sincère, mais une pointe de doute sommeille toujours au creux de l’œil de l'enquêtrice.
Armand : Eu... Par où commencer ?
Ophelia : Tu peux sauter ton histoire d'horreur car j'y étais aux premières loge et partir sur après le toast.
Armand : Alors... Qu'est ce que j'ai fait déjà ?
Ophelia : Si tu es innocent, rappelle toi pour le bien de ta petit fille.
Armand : Tu as raison ! Je m'en souviens maintenant ! J'ai servi les boisons aux trois beaux garçons qui étaient au bar et puis après je me suis dirigé vers la réserve pour voir ce qu'il me restait en stocke, c'est alors que la jolie blonde qui n'est pas de mon sang est venu pour me voir pour me demander de lui montrer ma grosse collection de vieux uniformes et de vieilles bagnoles.
Ophelia : Alors tu...
Armand : Ah non !
Ophelia : Eu...
Armand : Entre le moment où je suis parti pour les breuvages et celui où elle m'a interpellé, on a sonné à la porte d'entrée.
Ophelia : Des visiteurs ?
Armand : Oui, un basané avec un nom du style Slim...
Ophelia : Attends deux secondes, est ce que c'est bien ce que je pense !?
Armand : Pense ?
Ophelia : Est ce que le gars s'appelait en réalité Slimane-Baptiste Berhoun ?
Armand : Oui pourquoi ?
Ophelia : C'est acteur dont Lucy est très fan et qui la fait beaucoup rire.
Armand : Ah oui maintenant que tu le dis, ça me revient !
Ophelia : Qu'est ce qu'il foutait là ?
Armand : Shiho l'a invité ici justement pour faire plaisir à ma lulu d'amour et elle étaiy avec lui au pas de la porte.
Ophelia : Bizarre...
Armand : Hein ?
Ophelia : Non rien, tu peux reprendre.
Armand : Donc ça étant fait, je repasse à après quand je suis partie avec la belle suissesse jusqu'à ma tanière et que je lui ai présenté ma panoplie meilleure que Panini. Elle était vachement impressionnée te j'avais envie de la draguer comme quand j'avais même pas vingt ans et que je sauvé les donzelles des méchants nazis.
Ophelia : Tu es incorrigible.
Armand: Une fois ceci fini, on est sorti et je suis tombé sur Leon qui cherchait Shiho, encore elle, alors je lui ai proposé d'aller papoter un peu dans les bois seul à seul tout en disant au revoir à l'ange qui était avec moi. Puis ensuite j'ai surtout étalé mes plus belles rencontres de l'époque, y compris toi.
Ophelia : Oh mon dieu... Je ne veux pas revivre ces images.
Armand : C'est tout pour moi !
Ophelia : Merci de ta coopération.
L'inquiétude s’échappant du vieux en stress se ressentait dans ses propos, et encore plus dans la phrase suivante.
Armand : Retrouve là, je t'en conjure.
Ophelia : Je ferai plus que mon possible pour le ramener, vivante.
Esquissant un petit sourire content de cette déclaration solennelle avant se tirer de là.
Celui qui vient après lui est Johann, l'un des pus détendus face à cette situation parce qu'il n'avait aucune affinité avec la disparue, bien qu'il comprenne ce que ressent sa disciple. Il fera donc tout ce qui est en son pouvoir pour l'aider dans le cadre de l'affaire.
Johann : Que veux tu savoir ?
Ophelia : Après le toast, qu'as tu fait ?
Johann : Le fondu creusois est mal passé pour moi et j'ai dû rester aux toilettes pendant vingts minutes, ce qui a inquiété plusieurs personne.
Ophelia : La chiasse, quelle classe.
Johann : Je n'ai donc pas grand chose à te raconter puisqu'après ça, je suis parti en même temps que Baptiste pour rentrer à l'hôtel, bien que j'ai été contrôlé par la Gendarmerie après avoir été flashé à une vitesse folle. J'aurais voulu t'être plus utile Ophie, désolé.
Ophelia : Pas de souci, ce n'est pas ta faute.
Johann : Je fais venir qui ensuite ?
Ophelia : Danie.
L'homme au crane rouge s'en va en saluant poliment son égal d'un mouvement de la tête, sortant des toilettes.
Une actrice connue pour avoir participé à deux sagas de films d'horreur débarque alors pour rejoindre celle qu'elle avait sauvé jadis de la torpeur artificiel. Depuis, elles ont noué une relation particulière, d'amour profond non consommé qui est assez étonnant surtout quand l'on connait le caractère d'une des deux, mais après il faut savoir que l'autre est hétéro, ce qui doit jouer aussi.
Les premiers mots de la douce pétale de fleur ne surprennent guère la dure abeille pourtant émue par ça.
Danielle : Je suis navré que ton mariage parte en sucette comme cela, je vais t'aider du mieux que je peux pour retrouver Lucy bien que je n'ai pas une aussi bonne mémoire que toi.
Ophelia : Merci Danielle.
Versant une petite larme, l’interrogatrice tente néanmoins de retrouver son visage froid d'avant.
Ophelia : Qu'as tu fait après le toast entre nous tous ?
Danielle : Je suis allée rejoindre le PDG d'Armacham qui s'appelle... Eu....
Ophelia : Baptiste.
Danielle : Baptiste oui c'est ça, qui était seul devant la télévision et nous avons beaucoup discuté, d'un peu de tout, et de rien pendant une demi heure environs. Il s'est d'ailleurs intéressé sur le film auquel je suis à la une en ce moment, qui mêle les univers de Friday the 13th, Halloween, Scream et A Nightmare on Elm Street.
Ophelia : Ah oui, Shiho m'en avait parlé vu que c'est elle qui le réalise.
Danielle : J'espère qu'il sera bien, on le regardera ensemble ?
Ophelia : Je l'espère, je l'espère...
Danielle : Quand Baptiste est parti pour rentrer chez lui en même temps que ton mentor, il ce bel homme habillé tout en noir qui est venu me draguer ?
Ophelia : Raven ?
Danielle : Oui.
Ophelia : Je ne le connais que très peu donc, c'est Lucy qui l'a fait venir, donc autant autant dire qu’il est haut dans ma liste de suspects, mais après c'est rarement les mecs les plus évidents les coupables si on en croit les romans policiers.
Danielle : Ce n'est pas lui le traître.
Ophelia : Il a un alibi ?
Danielle : Moi.
Ophelia : Ah... Je pense voir où tout cela va nous mener.
Danielle : Nous sommes allé avoir un petit moment d’intimité entre nous deux dans la réserve, puis quand nous avions fini ce que nous avions à y faire, nous sommes partis pour rejoindre son dirigeable garé non loin de là.
Ophelia : C'est à lui le Zeppelin qu'on peut voir dans le ciel à travers les nuages ?
Danielle : Oui.
Ophelia : Bah putain, il se fait plaise le type !
Danielle : En tout cas, je n'ai rien vu qui puisse t'aider à identifier celui qui a aidé à faire du mal à ta fiancée. Désolée.
Ophelia : Ne t'en fais pas, tu m'as quand même utile.
Les deux s'échangent une paire de sourire, réconfortant un peu l'ambiance qui règne en ce lieu confus.
Vient ensuite Baptiste, toujours bien habillé, et qui s’asseoit convenablement à sa place pour y réciter son témoignage automatiquement sans attendre qu'on lui donne l'ordre de le faire, ne perdant ainsi pas de temps pour pouvoir faire avancer l'enquête.
Baptiste : Je suis resté tout le temps devant la télévision, hormis pour votre allocution. Dans un premier temps en la charmante compagnie de Raven, et puis celle tout aussi aimable de Danielle. Cette dernière s'est notamment intéressé sur ce qu'il y avait dans de neuf au sein de mon travail, et nous eûmes aussi une petite conversation au sujet de la technologie créée par Ange avec la concernée.
Ophelia : Ah bon ?
Baptiste : Oui en effet, nous étions considérablement curieux vis à vis de celle ci, que cela soit sa célébrissime méthode de médecine révolutionnaire, ou encore son armure prodigieuse qu'elle n'avait malheureusement pas sur elle durant cette soirée. Il est fort dommage d'ailleurs, j'aurais voulu savoir par quel système elle parvenait à voler avec les ailes mécaniques qui s'y trouvent.
Ophelia : Tu auras tout le temps de lui demander le temps que je finisse de tous vous passer en revu.
Baptiste : Ne voyant point Johann revenir de cette pièce sacrée, je me suis inquiété et je suis allé à sa rencontre une fois qu'il en est sorti. Il m'a révélé être fort malade et j'ai ainsi décidé de l'accompagner jusqu'en dehors, tout en saluant tout le monde, avant de partir à peu près en même temps que lui à bord de ma Ferrari.
Ophelia : Tu es rentrée à l'hôtel juste après ?
Baptiste : C'est bien le cas.
Ophelia : D'accord, j'en ai fini avec toi, tu me faire venir Stive.
Baptiste : Bon courage pour tenir le coup et réussir à trouver qui est le scélérat parmi nous.
Le gros beauf raciste et fan de catch vient donc prendre la place de l'homme bien plus sophistiqué que lui et se marre un peu en voyant que la conversation censée être sérieuse aura lieu aux chiottes. Autant dire que sur tous, il est celui qui semble le moins impacté par la situation, malgré le fait qu'il est censé être ami avec le couple principal de cette fiction depuis déjà deux ans environs, étant aussi leur voisin.
Non là vraiment on a l'impression qu'il est complètement à côté de la plaque, comme d'habitude.
Stive : Ça va, la forme ?
Ophelia : Tu es conscient que Lucy s'est fait enlevé ?
Stive : Rhof, elle reviendra, à moins qu’elle n'achète des clopes par la même occasion.
Ophelia : T'es con.
Stive : J'apprécie le compliment !
Ophelia : Bon... Qu'est ce que tu... ?
Stive : Du Pepsi !
Ophelia : Hein ?
Stive : J'ai passé toute la soirée à boire du Pepsi et à écouter mes voisins de table quand j'en avais, enfin je faisais genre car je ne comprenais rien à ce qu'ils disaient, ils employaient trop de mots compliqués.
Ophelia : Je sens que je ne vais avancer à rien avec toi.
Stive : Content de pouvoir aider ! En tout cas, au bout d'un moment, comme il n'y avait plus personne dans le salon, j'ai décidé de partir, mais je sais pas quelle heure il était.
Ophelia : Rien d'autre à me dire ?
Stive : Si, la vidéo tue la stars de radio.
Ophelia : Quoi ?
Tout à coup, d'un bref mouvement de la main, l'idiot du village sort son portable de poche avant droite du pantalon et appuie sur un bouton qui lance une vieille chanson dont le message est passé de mode depuis longtemps. Il est fier de lui en la faisan l'écoutant, bougeant al tête en rythme avec la mélodie.
Quelques secondes plus tard, il se fait éjecter de la salle de bain par un coup de pied au cul bien placé.
C'est le signal pour Raven de passer car il veut en finir rapidement avec ça pour dormir ensuite, sinon il annulera sa présence possible mariage plus tard ce jour ci. Tranquillement, les mains dans les poches, il pose sa robe se sorcier sur la cuvette pour ensuite ne pas perdre de temps que certains autres.
Raven : J'ai discuté avec Baptiste, écouté votre horrible prestation, puis je suis allé boire un coup de vodka avec Stive et Leon en conseillant ce dernier ma façon de vivre avant d'aller courtiser ton amie Danielle pour finir tout ça dans mon zeppelin. J'ai fini, je peux retourner avec les autres ?
Ophelia : Oui...
A la même vitesse que son entrée, il s'en va, nous laissant avec la plus courte séance jusqu'à présent.
La suissesse est la dernière des adultes à passer, étant déjà plus stressée que les derniers participants, et manquant de se viander en loupant l'endroit l'endroit où s'asseoir, se rattrapant à temps pour corriger la trajectoire de ses fesses.
Une voix peu sûre d'elle pose alors un petite question assez innocente.
Ange : Je dois commencer où ?
Ophelia : Après le toast, comme ça on ne perd pas de temps.
Ange : Hé bien... Je n'ai pas fait grand chose, restant un peu dans mon coin, et vérifiant que l'homme qui était dans les toilettes depuis un moment aille bien. Ensuite pour me divertir un peu, je suis allée voir Armand alors qu'il se tenait dans le couloir d'entrée, pour qu'il me montre sa collection personnelle des différentes guerres. Malgré le fait que je partisane de la paix, je m'intéresse beaucoup aux aspects les moins négatifs de celles ci.
Ophelia : Pourquoi pas.
Ange : Je n'ai rien de plus à dire ensuite, malheureusement, car c'est tout ce que nous avons fait de finalement ressortir et croisé Leon à la sortie. Ils sont ensuite partis ensemble dans la forêt pendant que de mon côté je rentrais à l'hôtel pour pouvoir me reposer un peu avant le grand jour.
Ophelia : Tu vas pouvoir y aller et m'envoyer ma fille en premier.
Ange : Compris.
Saluant nerveusement de la tête, elle part assez rapidement pour laisser ensuite entre l'une des deux petites têtes aux cheveux rouges qui devraient dormir vu l'heure mais qui doivent rester éveillé dans un état mental oscillant entre le sommeil et le réveil.
Celle qui avait trois ans se pose devant sa mère en baillant un grand coup au passage.
Ophelia : Alors ma choupinette, tu n'aurais rien vu de particulier que maman n'aurait pas vu ?
Kenzie : Je n'ai rien vu.
Ophelia : D'accord, c'était juste pour m'en assurer. Tu peux y aller et faire venir ta copine Akemi car je voudrais m'entretenir aussi avec elle, seule à seule.
Kenzie : OK.
Fatiguée à l'extrême, la petit boule rouge saute des WC pour trainer ses pieds jusqu'en dehors de la salle.
Au tour donc de la fille de Shiho de venir apporter sa pierre à l’édifice, étant la dernière à passer.
Ophelia : Akemi ?
Akemi : Oui ?
Ophelia : Est ce que maman était avec toi toute la nuit ?
Akemi : Non maman partir.
Ophelia : Quand ?
Akemi : Après moi couchée.
Ophelia : Tu peux y aller, je te retiens pas plus longtemps. Merci.
L'autre petite boule rouge remercie de la tête en bavant un peu, puis quitte à son tour cet endroit assombri.
Tout le monde avait raconté ce qu'il a fait entre 21H00 et 23H00, ou dû moins aurait soit disant fait durant cette période là.
Des incohérences se trouvent déjà entre ces différents récits et notre Miss Marple les a repéré, ce qui lui fait se poser de nouvelles interrogations.
Est ce que vous aussi vous les avez trouvé ?
Dernière édition par Lina Inverse le Sam 14 Sep - 14:45, édité 1 fois
Lina Inverse- Anciers
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Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 4 : L'Invité de Trop
L'interrogatoire et la liste des suspect restant pas mal conséquente, il est grand temps d'y faire un peu de nettoyage en passant en revu leur différents témoignages et alibis, afin de faire un point sur ça. Une fois que c'est terminé, Ophelia retourne au salon où ils sont tous enfermés à clé par ses soins afin de leur étaler sa prestance sous différents jeux de lumière qui feraient passer un certain Shinichi Kudō pour un escroc en nœud pap.
D'ailleurs quelques sonorités assez prononcées se font entendre au même allure que ses pas tranchant dont il vaut mieux ne pas croiser leur chemin. En vérité, la connerie de Stive de tout à l'heure lui a donné cette idée de mettre un peu de musique pour faire peur au coupable, grâce à l'enceinte bluetooth portative qu'elle a sur elle.
Sa marche s'arrête au niveau de la porte donnant sur le couloir, actuellement verrouillée.
D'un petit tour de clé, elle la débloque pour l'ouvre en grand avant de se tourner vers tout le monde sans exception.
Ophelia : Dans peu de temps, je vais énoncé qui j'innocente parmi vous et les raisons qui vont avec, mais avant cela je tiens à vous dévoiler qui me trouble dans tout ce que vous m'avez dit.
Ses lèvres paraissent d'un coup bien plus agacées qu’auparavant.
Ophelia : Personne n'a vu Lucy après que nous soyons parti en haut.
Ce fait établi trouble une partie du public qui se regarde alors avec une pointe de doute dans le regard, car en y réfléchissant, il est vrai qu'aucun ne se rappelle l'avoir vu après le toast. Ne leur laissant pas lui répondre, elle enchaîne rapidement afin de pouvoir faire un tri dans ce gros tas.
Ophelia : Allez c'est parti pour réduire votre nombre.
Shiho : Rassurant.
Ophelia : Tu ne fais pas partie de ceux qui s'en iront.
Shiho : Je m'en doutais.
Ophelia : Danielle et Raven, une certaine Akako m'a envoyé les images du système de sécurité de l'engin volant où vous étiez, vous n'avez donc rien à voir avec cette histoire.
Raven : Je vais pouvoir enfin dormir.
Danielle : Ophelia, je peux rester si il le faut.
Ophelia : Je préfère que tu sois à l'abri là bas, plutôt qu'ici.
Danielle : Je comprends.
Raven : Allons y.
Les deux individus qui veulent profiter à fond de ce coup d'un soir s'en vont, d'un pas pressé pour l'un d'entre eux, et en jetant des regards en arrière l'autre.
Ophelia : Johann, tu as été flashé à trois cent kilomètre heure sur une nationale et arrêté par la gendarmerie locale qui t'as amené dans leur caserne. Tu n'y es ressorti qu'après ce qui s'est passé ici, donc tu peux retourner te coucher.
Johann : Merci Ophelia.
Il la salue du regard et quitte à son tour cette demeure illuminée en cette nuit troublante.
Ophelia : Et pour finir, Baptiste, les employés de l'hôtel se souviennent avoir conversé avec toi au moment du crime. Bonne nuit.
Baptiste : Bonne nuit.
Le demi démon part faire un sommeil du diable alors que la puissante femme reste fièrement en plein centre de la seule voie de sortie possible pour les autres, si on ne compte pas les fenêtres dont l'une d'entre elles étant déjà cassée rappelez vous.
Ophelia : Alors, c'est parti vous souligner deux grosse choses troublantes que j'ai découvert en écoutant vos dires.
Elle prend une pause pour bien les cerner, alors que les regards les plus attentifs remarqueront les deux gamines en train de dormir dans un coin, étant tombées de fatigue après avoir été debout trop longtemps. Pour le moment, autant les laisse là pour ne pas trop les accabler avec tous ces problèmes.
Ophelia : La première est la présence avérée d'un invité supplémentaire durant al fête, et il s'agit de l'acteur française Slimane-Baptiste Berhoun.
Shiho : Bon au moins je n'aurais plus besoin de le couvrir.
Ophelia : Slim, plus besoin de te cacher ! Viens là avant que je ne fouilles cette baraque de fond en comble pour te déloger !
Slim : J'arrive !
Le concerné par ces paroles déboule en trombe dans cette pièce sous l’étonnement globale de la majorité qui n'était même pas au courant qu'il avait été là durant les évènements de cette nuit. Essoufflé après ce petit effort, il reprend un peu d'air sur ses poumons en ayant les mains contre les genoux et tente de parler normalement aux gens qui sont désormais face à lui alors que l'inspectrice se pousse du trajet.
Slim : J'étais planqué dans la buanderie ! Mais comme... Tu as trouvé... Plus besoin d'être caché !
Leon : J'espère ne pas être le seul à me demander ce qu'il fait là.
Shiho : Patience, il risque de le dire.
Ophelia : Je peux essayer de le deviner, mais il vaut mieux que ça sorte de ta bouche, et vite, car ma patience n'est pas au top de sa forme à l'heure actuelle.
Tentant de reprendre pied correctement, le basané se met à rire pour tenter vainement de désamorcer la tension inondant ce lieu.
Slim : Alors vous allez rire...
La haine meurtrière adressé à lui lui fait instantanément comprendre qu'il doit être plus sérieux en détaillant la raison de sa présence dans le coin.
Slim : Bon, n'y allons pas par quatre chemin, je suis venu pour Shiho.
Leon : Tu as des fans célèbres.
Shiho : Je sais.
Slim : J'admire sa beauté tant intérieur qu'extérieur, ainsi que CV aussi chargé que le compte en banque de Balkany, comprenant notamment le fait qu'elle soit Reine de Preosimiter à titre honorifique et Première Dame de France.
Armand : T'es sérieux !?
Shiho : Je devrais avoir honte de cumuler les mandats, mais visiblement je suis devenu trop politique pour que ça me touche.
Slim : J'ai appris qu’elle serait ici et je me suis donc introduit à la fête afin de pouvoir passer un moment intime avec elle.
Shiho : On a baiser.
Slim : Oui, on peut aussi formuler ça comme ça.
Shiho : Après ça, nous nous sommes reposé dans le lit d'Armand...
Armand : Chouette !
Leon : Heureusement que c'était pas mien.
Shiho : Et c'est que quand Lucy s'est fait enlevée que nous avons été réveillée par le rafut que ça fait.
Slim : Je ne vais pas le cacher, c'est de ma faute si on a pas pu t'apporter de l'aide.
Shiho : Je n'ai pas pu intervenir en me transformant en canne épée comme j'étais trop occupée à voir avec lui ce qu'on devait faire à son sujet.
Slim : Pardon pour ça. Sans moi, Lucy aurait très certainement pu être sauvée à temps.
Ophelia : Pas besoin de vous excuser, vous ne pouviez pas savoir.
Armand : Tu crois ce qu'ils disent !?
Ophelia : C'est possible qu'ils mentent, mais la seconde chose qui me trouble vient à leur accorder une véracité.
Ange : Quelle est cette seconde chose ?
Stive : Ma bite !
Opehlia : D'abord, je veux m'assurer d'une chose. Shiho ?
Shiho : Oui ?
Ophelia : Quand as tu fait la rencontre de Slim ?
Shiho : A l'étage après avoir couchée Akemi et être sortie le chambre. J'étais perdue dans mes pensées à propos du fait que je risque bientôt d'obtenir le titre de Professeur.
Leon : Où veux tu en venir avec ça ?
Ophelia : C'est très simple....
Prenant une petite pause afin s'instaurer un suspense de fou avec ces pièces du puzzle qui s'enchainent.
Ophelia : Il n'y avait pas une Shiho Miyano durant cette fête, mais bien deux !
Le vieillard du groupe crache son dentier suite à ce twist qui clôture ce chapitre.
Aiko Kudō- Anciers
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Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 5 : Deux Shiho Miyano
Une musique tendue accompagnée de flutes se répand dans l’atmosphère qui n'est déjà pas aux beau fixe alors que les mots provenant des lèvres de la femme sûre d'elle sonnaient comme invraisemblables aux oreilles de certains, bien que d'autres se disaient que elles avaient vu plus délirant que ça.
Ce qui va suivre sera surtout constitué de dialogue donc ceux qui sont venus ici pour avoir beaucoup de narration descriptive, vous êtes surement déçu et vous allez continuer à l'être jusqu'au chapitre final. Désolé, vous n'avez qu'à aller voir celle ci plutôt :
Continuons avec ce qui est la première réaction face à ces paroles improbables venant de celle qui a lu du Conan Doyle et du Agatha Christie.
Ange : Il ne peut pas y avoir deux Shiho Miyano.
Leon : J'ai déjà eu affaire à une fausse Claire Redfield qui avait réussi à parfaitement me berner jusqu'au moment où elle a fait exprès de se relâcher pour que je puisse griller qu'elle n'était qui elle était censée être. Attends... Ne me dis pas que...
Ophelia : Si, tu t'es encore fait avoir.
Leon : La troisième fois sera la bonne, je dois m'entrainer.
Shiho : Tu expliquer ce que mon double a fait pendant que moi j'étais en haut, m'occupant de Slim ?
Ophelia : Bien sûr. C'est Armand qui a ouvert sans le savoir la porte à ton double qui était justement accompagné de Slim.
Slim : Je ne vois pas ce que tu veux dire.
Armand : Mais si tu t'en rappelles pas !? Shiho t'avais fait fait venir ici comme cadeau de mariage à ma lulu chérie !
Shiho : Je n'ai rien fait de la sorte donc je suppose que c'était mon double à ce moment là.
Armand : Attends quoi !? Quel double !?
Stive : Aucune idée, ils parlent en un langage extra-terrestre depuis tout à l'heure !
Ange : Cela s'appelle le Français.
Stive : Beurk !
Ophelia : Je suppose qu'ensuite ton double Shiho a accompagné Slim en haut pour te rencontrer toi, puis est immédiatement redescendu afin que tu ne puisses pas la voir car la prochaine fois qu'on en entend parlé, c'est dans le témoignage de Leon.
Leon : Ton double m'a donné de précieux conseils, que tu saches.
Shiho : OK cool.
Ophelia : La dernière fois qu'on en entend parlé, c'est quand elle te quitte pour aller chercher une boisson qu'elle ne ramènera jamais.
Armand : Belle tournure de phrase !
Ophelia : La seule personne qui pourra nous renseigner plus à son sujet est Slimane ici présent.
Slim : Eu...
Celui pointé du doigt recule d'instinct pour tenter de se préserver lui même de ce qui pourrait advenir si il garde la bouche cousue alors qu'en face le bourreau n'est pas d’une patience exemplaire. Même un beau sourire ne pourra pas le sauver sur ce coup là, et tenter une fuite serait le pas de trop.
Slim : Écoute, je...
??? : Laisse, je vais prendre le relais.
Cette voix féminine et toute douce provient d'une jeune adulte se dévoilant aux différents yeux de la salle et qui est étonnamment l'une des plus grandes personne, si ce n'est peut être la plus grande, avec ses 1m81 qui dépassent d'un poil la taille des mariées, donnant un sacré torticolis à la vraie chimiste en robe de soirée. Son visage est angélique et personne ne pourrait l'imaginer faire des trucs tordus, hormis de gros psychopathes, et seule une personne fait le rapprochement entre cette mignonne petite bouille et celle qui dort à poing fermé non loin de là.
Ophelia : Kenzie...
Les larmes découlent de cette phrase prononcé avec tant de panache malgré sa faible prononciation, laissant la dure détective se ramollir en nougat en l'espace d'un centième de seconde. L'émotion est elle qu'elle en oublie tout le reste, seulement pour ce concentrer que la version adulte de la chose qui est sortie de son ventre il y a trois ans de ça et qui issu d'un évènement indésirable.
Vipère se précipite sur sa fille et la prend de tout force dans ses bras, manquant de la craquer telle une biscotte.
Ophelia : Lucy m'avait parlé de toi et de votre rencontre au cimetière ! Que je suis contente de te voir !
Kenzie : Maman... tu me fait mal...
Ophelia : Oh pardon !
La mère desserre ses bras afin de permettre à sa progéniture de respirer un peu, bien qu'ayant le dos en compote.
Shiho : Leon je suis désolé de te dire ça, mais tu as de le merde dans les yeux, car il y a une grande différence de taille entre nous deux.
Leon : Je devrais arrêter l'alcool, même une bière c'est trop.
Stive : Pepsi !
Ange : Comment peut elle être sa fille ?
Slim : Elle vient du futur.
Armand : Tout s'explique !
Ce n'est qu'à cet instant là que Madame Hydra remarque la tenue similaire à celle de Shiho que la voyageuse temporelle porte sur elle, ainsi que le masque en latex hyper bien foutu qu'elle a dans la main et qui rappelle ceux qu'utilisaient Vermouth jadis.
Reculant de quelques pas, Ophelia devient méfiante tout en étant confuse pour le coup.
Ophelia : Est ce que tu...
Kenzie : Non, pour rien au monde je ferai du mal à Maman Lucy.
Ophelia : Alors pourquoi ce déguisement ?
Kenzie : Je voulais juste pouvoir assister à votre mariage à toutes les deux en me mêlant à la foule, c'est tout.
Le petit sourire qu'elle fait suffit à convaincre la juge impartial de la véracité de ses propos.
Reste juste à détaille du début jusqu'à la fin, ses actions afin de voir si il y aurait des indices dedans.
Ophelia : Tu peux me raconte tout ce que tu as vécu durant ton infiltration dans la fête ?
Kenzie : Si ça peut aider à la retrouver, je le peux.
Slim : Moi je vais aller me poser un peu, sur cette chaise là bas.
Kenzie : J'ai rencontré Slim sur Twitter et ensemble nous voulions absolument être présent à cette fête, alors nous avons imaginé ce plan impliquant de prendre l'apparence de Shiho afin de pouvoir nous y introduire. J'aurais fini par la mettre dans la confidence afin de pouvoir être aussi au mariage en lui même de tout façon.
Shiho : C'est sûr que sinon ça aurait été problématique.
Kenzie : Je dois t'avouer que m'entrainer à t'imite n'a pas été tache facile, mais je pense m'être bien débrouillée au final.
Shiho : C'est clair, même le plus doué des agents secrets est tombé dans le panneau.
La canne magique lance un petit regard espiègle en direction de l'ancien membre de la DSO qui rit jaune.
Kenzie : D'ailleurs, je veux juste glisser un aparté.
Ophelia : Sur quoi ?
Kenzie : Sur ce que j'ai fait après laissé Slimane m'attendre juste en dehors de la grange où nous étions planqué jusqu'à un peu plus de 21 heures.
Slim : Ah oui ça...
Armand : Je n'aime pas les gens qui squattent ma grange.
Kenzie : Je regardais ceci.
Elle sort d'une de son soutien gorge une vieille photo en papier qui a un peu jauni après plus d'une décennie passée isolée dans son coin avant d'être prises pour un voyage à travers l'espace et le temps. Sur celle, nous pouvons voir le corps semblant se reposer de Lucy Dodgera dans sa fameuse tenue de pom-pom girl provenant de l'u nde ses jeux favoris, Lollipop Chainsaw, alors qu'elle se trouve dans ce qui semble être un cercueil sur le point de partir une incinération complète.
Cette image se grave dans la pupille d'Ophelia, incapable de bouger en sachant ce que ça veut dire.
Kenzie : Elle est morte quand j'avais quatre ans, tuée par ceux qui ont tué ses parents.
Ophelia : Non...
Kenzie : Je lui en ai parlé quand nous nous étions rencontré, et j'en ai profité pour l'avertir du danger qui allait peser sur vous si vous décidez de vous lancer dans cette quête pour explorer son passé.
Ophelia : Lucy...
Kenzie : Désolée... C'est juste la vérité.
Ange : Je me sens mal pour elles...
La méfiance et la tension avaient laissé place à un déchirement au niveau du corps, frappant la futur mariée en plein cœur, stoppant pendant un court instant son souffle pourtant si précieux. Cette douleur amère se répand ainsi tel un poison dans chacune de ses veines, l'empêchant d'agir suite à cette révélation.
Impuissante, elle tombe à genou, l'eau s'écoulant de ses deux fontaines jusqu'à ses genoux.
Le cri qu'elle pousse ensuite vient perforer les orifices sonores alors que sa peine se répand au sein de leur âmes.
Ophelia : LUCY !!!
Rien, rien ne semble la ramener, pas même cette expression de l'amour sincère résonnant à des kilomètres aux alentours.
La seule réponse provient de celle qui a dévoilé le tragique destin qui se préparait pour elles.
Kenzie : Il y a pourtant un problème.
Elle set ait quelques secondes, se tenant les poitrine en étant préoccupée par quelque chose.
Kenzie : Elle n'est pas censé mourir aujourd'hui puisque vous n'avez même pas encore commencé la recherche qui causera sa perte, et puis l'année de sa mort est 2020.
Inconsolable, la femme en larmes ne peut répondre à cette interrogation soulevé, alors quelqu'un d'autre tente de le faire à sa place.
Shiho : Il doit y avoir anguille sous roche.
Leon : Est ce que tu as vu Lucy de ton côté ? Ici, personne ne l'a croisé après qu'elle soit parti accompagner Ophelia et ta version miniature pour aller se coucher.
Kenzie : Oui je l'ai croisé.
Ange : Vraiment !?
Kenzie : C'était quand j'étais parti cherché des boissons après m'être confessée à Leon sur le plaisir que j'avais d'être présente à ce mariage.
Armand : Où ça !?
Kenzie : Devant la salle de collection où elle en sortait, et je l'ai directement révélée mon identité afin que nous puissions discuter en privée et elle m'a proposé de le faire dans la cuisine. Elle semblait un peu gênée une fois là bas mais je lui ai exprimé ma joie et même fait un câlin pour réchauffer un peu son cœur. Ensuite j'ai dû partir vu qu'elle n'était pas trop en forme...
D'un coup, arrêtant l'ange dans sa déclaration, la hongroise d'origine se lève et se tourne vers la sortie, un air sombre sur son visage comme dans un animé où il y a même les cheveux qui empêchent de visualiser directement les yeux. Ceci voulait dire qu'elle était très en colère, encore plus qu'avant, sans que l'on sache exactement si c'était dû à la Disparition de Lucy, au fait d'apprendre sa mort prochaine ou un détail du discours de Kenzie, voir même les trois réunis.
Une chose est sûre, il ne vaut mieux pas aller contre ce qu'elle allait dire, si on tenait à sa vie.
Ophelia : Je vais vérifier la grange. Kenzie, reste là et surveille les.
Kenzie : D'accord maman...
Cet ordre donné, elle va approfondir son raisonnement en lançant une petite recherche qui se révélera utile.
Lina Inverse- Anciers
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Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 6 : Cachés dans la Grange
Une musique lugubre à l'orgue et à la guitare se répand dans le domaine des Dodgera, et plus précisément dans la grange.
Cet ancien lieu de repos pour les chevaux n'était que l'ombre de lui même, laissant l'empreinte de ceux ci errer entre les différents enclos, hennissant d'outre tombe, faisant retentit ses galops au loin, et surtout laissant les portes grincer alors que pourtant elles ne bougent pas dans d'un millimètre.
C'est dans cet ambiante perturbante que se glisse la long corps ondulant d'un serpent femelle à la recherche d'indices et qui sent qu'elle va en trouver ici, sans le moindre doute. Fouillant chaque recoin de foin, elle essaye de trouver la marquer, la preuve d'un déplacement d'objet indiquant une potentielle cachette.
Au fond à l'est du lieu presque abandonné, juste devant la sortie se situant de ce côté là et menant vers la forêt, se trouve un endroit où la paille est moindre, laissant exposer le bois du sol où la poignet du trappe peut y être saisie à pleine main et soulevé avec juste suffisamment de force concentrée dans cette action.
Un fracas se fait entendre quand elle vient frappée sa sœur juste à côté, laissant la discrétion pour les tapettes qui n'osent pas un combat frontal. Surtout que dans cette caverne d'Ali Baba et les 40 Loosers se trouve de nombreux trésors très intéressent, dont certains détonent complètement du reste, comme si il avait été mis là ultérieurement.
Vipère jette un œil attentif à tout ce qu'elle sous la main, afin de ne rater aucun détail, absolument aucun.
Une tenue motorisée faite d'un métal inconnu prend la majeure partie de la place par son volume équivalent une fois déployé à celui d'un être humain, et il possède des sortes d'aimants tout autour du corps, dont l'utilité peut être devinée si vous avez un minimum de jugeote. Une forte odeur pétillante en émane, et en y approchant le nez, on peut sentir que cela vient d'une boisson, il n'y a pas de doute là dessus.
Un costume de démon squelettique dont les ailes sont particulièrement raplapla, un peu comme si on y avait enlevé une chose en particulier. Un long fils est découvert à l'intérieur, au niveau de la tête, et celui ci est clairement un cheveu long et blond.
Un troisième déguisement à la Scooby-Doo est aussi caché dans ce trou, à savoir celui d'une mariée avec la robe déchirée et du maquillage ayant coulé sur celle ci das la hâte de retirer le vêtement. Ceci rappelle un peu l'histoire de la Mariée Sans Culotte racontée par Armand plus tôt dans la soirée.
Il y a aussi une drôle de photo nous sortant complètement de la pénombre glauque de l'endroit.
Derrière tous ces indices, nous avons de vieux magazines Playboy qui trainent là depuis un temps que les jeunes de moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, et qui n'ont pas l'air d’avoir été retouchés depuis au vu de la quantité de poussière qui s'est accumulé sur eux. Je vous laisse supposer sur la personne dont appartenance leur revient, et qui est logique quand on sait à qui appartient cet endroit.
Au moins, il n'y avait plus aucun doute à présent sur le fait que ces monstres étaient juste des faux.
Il ne reste plus qu'à attribuer chacun d'entre eux à une personne en particulier.
N'ayant plus rien à faire ici, la mariée avec culotte range tout ça à sa place parce qu'elle a autre chose à faire que de se les trimballer pour l'instant, et puis elle refermer la plaque en bois sur eux en un mouvement aussi sec et bruyant que l'ouverture. Ceci fait, il n'y a plus rien à d'autre à faire pour elle ici, la suite l'attend du côtés des témoins/suspects toujours cloitrés dans la maison principal.
Ses méninges ont fonctionné et à présent, quelques nouvelles questions doivent être posées.
Elle est à deux doigts de résoudre cette enquête, il lui manque juste la dernière preuve.
Aiko Kudō- Anciers
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Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 7 : Mariée Sans Culotte
La dernière ligne droite est dessinée droit vers Ophelia Sarkissian qui va résoudre cette enquête, sans sans tenter de dissimuler tout la colère, la peur et al tristesse qui se cumulent dans son corps déjà bien chargé. Sous un thème musical lui aussi chargé, elle a besoin de faire repasser deux personnes en privé dans la salle de bain afin d'avoir quelques réponses bien méritées aux nouvelles interrogations que soulèvent les hypothèses ayant émergées dans la grange, ainsi qu'un peu avant aussi.
La première personne à se présente devant, dans ce cadre plus isolé, c'est Leon qui se demande bien pourquoi est ce qu'on a choisi lui en particulier. Il imaginait plusieurs chose, comprenant LA question qui allait lui être posé et qu'il saura répondre, enfin l'espère t-il.
Ophelia : As tu quelqu'un trainer près de la grange ?
Leon : Je ne sais pas, il faut que je réfléchisse.
Ophelia : Je te le demande à toi comme tu es la seule personne de censée à avoir trainée assez de temps dehors pour avoir remarqué quelque chose à ce niveau là, surtout qu'en retournant vers la maison, la grange était dans ton champ de vision.
Leon : Je me rappelle d'un truc.
Ophelia : Quoi ?
Leon : Juste avant qu'Armand ne m'interpelle, j'ai remarqué Stive qui entrait justement dans la grange tant qu'on en parle, mais je n'y avais plus repensé ensuite avec tout ce qui est enchainé.
Ophelia : Merci, tu peux y aller et demander à Armand de venir.
Leon : J'espère que tu vas pouvoir dénoncer celui qui a saboté notre nuit.
Le quarantenaire fatigué par tout ce merdier sort de cette pièce en contenant un bâillement.
Le proprio des lieux arrive peu de temps après pour passer le détecteur de mensonge incarné.
Ophelia : Armand ?
Armand : Présent !
Ophelia : Est ce que tu n'aurais pas vu une Mariée Sans Culotte dans le coin par hasard ?
Armand : Com...com....com... Comment tu sais ça toi !?
Ophelia : Un pressentiment.
Armand : C'est vrai... C'était pendant que je présentais mes voitures à la belle Ange. J'ai entendu un bruit venant de la pièce où j'ai entreposé mes vieux uniformes, et en y allant je l'ai croisé, la Mariée Sans Culotte... Elle m'a pointé du doigt et m'a dit ceci "Je maudit ce mariage, et c'est ta petite fille qui en payera les conséquences". Par peur, je me suis enfui pour rejoindre la dame que j'avais laissé derrière moi, afin de raccourcir notre visite et de partir de là, en lui cachant ce qui s'était passé parce qu'elle m'aurait pris pour un fou.
Ophelia : Voilà pourquoi tu ne nous as rien à dit à nous aussi.
Armand : Quand nous sommes ressorti, la mariée avait disparu, et il y avait juste Leon.
Ophelia : D'accord, comme je le pensais.
Armand : Je m'en veux d’avoir été un lâche, j'aurais dû faire quelque chose et de tenter de sauver ma p'tite lulu.
Ophelia : Tu n'aurais rien pu faire, mais ne t'en fait pas je vais te la retrouver.
Armand : Tu sais où ils l'ont emmené ?
Ophelia : Oui, maintenant va rejoindre les autres car le moment des explications va avoir lieu.
Content de pouvoir d'enfin pouvoir savoir où se trouve celle qu'il porte fort dans son corps, le vieillard sèche les quelques larmes qui ont coulé sur son visage attristé où un sourire tente de se reformer alors qu'il se lève pour retourner au salon où le prochain chapitre se déroulera.
L'enquêtrice prépare alors vite fait sa mise en scène avant d'y aller, sans hésiter une seule seconde.
Lina Inverse- Anciers
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Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 8 : Vous êtes les Coupables !
Les rifts de guitares s'enchainent dans la poche de la détective improvisée alors que conclusion n'attendre pas minuit à 14 heures mais sera bien présente à l'heure voulue pour nous montrer toute l'étendue de sa richesse. Les six suspects de l'affaire encore en lice sont debout, les jambes un peu épuisés par la longue attente, alors que les deux petites filles continuent de sommeiller dans leur coin comme deux loirs hibernant dans leur tanière, roulés en boule.
La mariée retenant la rage qui sommeil dans ses poumons s'avance à pas lourds devant eux, prenant le temps de vérifier chacun de leur expressions, les analysant ainsi avec un regard loin d'être jovial. Allons donc voir si nous pouvons égaler son sens de l'observation faciale.
Leon Kennedy garde son petit côté sérieux si charmant, bien que la fatigue peut parfois se faire ressentir en lui.
Shiho Miyano a une meilleure Poker Face que Lady Gaga, ne nous permettant pas d'y lire son jeu de cartes.
Armand Dodgera cache ses inquiétudes par son sourire de demeuré gaffeur qu'on lui connait habituellement.
Stive People lui fait tout aussi bien l'abruti, or nous avons déjà vu ce que son double d’un autre monde fut capable de faire.
Angela Ziegler qui elle a l'un des visages les plus honnêtes, en étant clairement dérangé par les évènements.
Slimane-Baptiste Berhoun ne sait pas trop où se placer, et préfère donc faire profile bas jusqu'à que ça se termine.
Ophelia Sarkissian va rejoindre, avec sa démarche oppressante, sa fille version futuriste, Kenzie Dodgera, qui attendait toujours juste à côté de la sortie menant au couloir afin de veiller à ce que personne ne s'enfuit par là. En arrivant à ses côtés, elle se retourne soudainement en pointant des doigts deux personnes dans la pièce.
Au cas où il y aurait des aveugles parmi le groupe, elle gueule leur nom juste après une phrase d'accroche.
Ophelia : Vous êtes les coupables ! Ange et Stive !
L'attention générale se concentre sur les deux pointés de l'index qui pour l'une est choquée d'être désignée par cette accusation, bien qu'elle ne la réfute pas, préférant baisser du regard en serrant plus fortement le col de son pull avec sa main d'une blancheur certaine. L'autre, lui, en rigole franchement avant d'être le seul sur les deux à tenter de se défendre, sans savoir qu'il se fera casser comme un œuf malpoli.
Stive : Et quelles sont les preuves ?
Ophelia : Commençons par toi alors.
Stive : Je veux bien.
Ophelia : Déjà, inutile de préciser, tu étais surement la personne dans lot ayant eu l'alibi le plus faible, étant resté au salon même après le départ de tout le monde, personne ne t'a vu quitter la domaine et ainsi tu aurais pu tout aussi bien te planquer ensuite dans la grange ne attendant que tes compagnons se libèrent pour te rejoindre.
Stive : Ce ne sont que des suppositions, ah ah ah !
Ophelia : Oh mais pourtant, quelqu'un t'a aperçu entrer dans cette grange.
D'un coup, au moment de déclarer ce fait, l'attitude confiante de l’homme aux cheveux noirs se ramollit.
Stive : Eu... Hein !?
Ophelia : Tu aurais dû plus surveiller tes arrières car Leon a pu t'y voir entrer juste avant qu'Armand l'interpelle en compagnie d'Ange.
Stive : Merde... Mais ! Mais ce n'est pas une preuve suffisante !
Ophelia : J'ai aussi trouver là bas les tenues des différents monstres ayant participé à l'enlèvement, et l'exosquelette sentait une odeur qui te recouvre encore en ce moment même, celui du Pepsi.
Stive : Oh... Mais... mais....
Ophelia : Et mon dernier joker, c'est celui là.
Elle sort sa carte piège, à savoir la photo avec le gros noir qui s'apprête à croque, tout content, dans son burger.
La réaction ne se fait pas attendre.
Stive : Bamboula Kijuju !
Ophelia : Perdu !
Stive : Oh le con ! Fallait que je fasse tout foirer !
Ophelia : Et je n'ai pas fini car maintenant je vais énoncer les preuves désignant la médecin hors pair.
L'accusée, si gentille et si bienveillante, n'ose pas regarder l'accusatrice dans les yeux, prouvant que l'accusation contre elle fondée. Restant silencieuse, elle n'essaye ni de contrer l'argumentaire du camp d'en face, ou même juste d'essayer de se justifier, à la place elle écouter les preuves qu'on lui balance à la gueule.
Ophelia : Je sais que c'était toi le déguisement du Démon Squelettique. Déjà le truc qui m'avait perturbé quand il m'avait soulevé dans les airs et que je l'avais mordu à la main, il avait poussé un cri étonnamment féminin et humain, ce fut le tien et je peux le prouver sans souci.
Elle s'approche alors que la jolie blonde pour lui prendre la bonne main où se trouve un gant en laine qu'elle portait déjà avant le drame où elle est fautive. Ce fut la bonne excuse pour que personne ne remarque la marque de dents se trouvant dessous, alors que si elle n'avait avait pas porté avant, elle se serait fait cramée plus tôt que prévu.
Ceci impressionne même les plus douer dans le domaine de la réflexion et donc de l'enquête.
Leon : Bien trouvé.
Ophelia : Pourtant je viens seulement de commencer.
Slim : Je trouve que ça se la pète beaucoup.
Ophelia : J'ai compris que l'espace manquant au niveau du déguisement servait à y placer les ailes mécaniques de ton armure personnelle, tu étais la seule à pouvoir y mettre un système de ce genre puisque tu l'as inventé.
Slim : J'aurais dû rester Chroniqueur à Zombradio.
Ophelia : Si je fouille dans les environs, je suppose que je trouvais réussir à les retrouver.
Shiho : Elle existe toujours cette station de radio ?
Ophelia : En plus, l'un des tes cheveux se trouvait dans le costume, et avec un test d'ADN, on remontera jusqu'à toi.
Kenzie : Dans mon présent, elle était toujours actif.
Ophelia : Voilà, j'en ai fini avec vous deux.
Shiho : C'est vrai que le raisonnement se tient.
Il n'y avait plus aucun doute sur le fait que le Golem était Stive et que le Démon était Ange.
Ces derniers, pris entre les mailles du filet, ne peuvent que confesse leur participation à l'enlèvement.
Ange : Je le savais que ça ne passerait pas, je ne supporte pas mentir allégrement à des personnes que j'apprécie.
Stive : Pourtant ça avait bien commencé, comme quand t'es revenu me rappeler le plan et quej 'ai couvert ça en faisant croire qu'on parler du sexe d'Erza.
Slim : C'est une femme, ses seins étaient authentiques.
Ange : Tu as pourtant réussi à prendre du retard, et résultat Leon t'a vu entrer dans la grange.
Stive : Je sais, j'étais tellement absorbé par le Pepsi que ça m'avait échappé de mémoire.
Shiho : Il y a deux problèmes qui se posent. Déjà Ophelia, tu avais souligné que Stive avait plusieurs compagnons, et puis on a toujours pas retrouvé Lucy.
Ophelia : Normal, parce que la troisième coupable est....
Sentant quelle réponse allait venir, la synthétique chimiste peut déjà se montrer surprise du dénouement de l'histoire.
Ophelia : Lucy Dodgera !
Les plus à la détente sont désormais sur le cul de ce dernier gros twist qui est surement le plus puissant.
Ailein Bartley- Anciers
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Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 9 : Lucy Dodgera
Les violons de la mort se jouent en ce moment même après la révélation ultime de cette fiction, alors qu'à peine quelques secondes après celle ci, des pas se mettent à résonner dans le couloir adjacent, se rapprochant du salon pour finalement apparaître sur son palier, choquant les plus sensibles de toutes les personnes se trouvant là.
Parmi elles, nous avons Kenzie Dodgera qui recule de plusieurs pas, la bouche entre ouverte, complètement confuse sur ce qui est en train de se passer devant elle. En effet, elle peut y voir sa seconde maman se tenir droit sur ses bottines, une culpabilité profonde entouré d'une nappe de remords, alors que ses couettes tombent vers le bas. On dirait presque un enfant sur le point de se faire gronder par ses parents pour avoir fait une bêtise.
Le retour de Lucy Dodgera est sidérant, et personne ne sait bien comment réagir face à cette drôle de nouvelle.
La mien renfrognée d'Ophelia Sarkissian devient un peu plus douce, tout en laissant s'échapper une pointe de déception, et surtout une amère tristesse que sa conclusion soit juste. Pourtant, elle sert les poings, car il en son devoir d'aller tout expliquer à ses camarades perdus dans l'incompréhension la plus totale, hormis pour Leon et Shiho qui arrivent à deviner certaines choses.
Ophelia : Mes doutes à ton sujet ont émergé quand notre fille a souligné le fait qu'elle t’ait rencontré à l'extérieur de la salle de collection où se trouvaient Ange et Armand qui pourtant ne t'ont pas vu. Et ils sont devenus une certitude quand j'ai fouillé la cachette dans la grange...
Armand : Mes magazines pornos !
Ophelia : Où se trouvaient trois déguisements, le dernier étant celui de la Mariée Sans Culotte que je n'ai pourtant jamais vu cette nuit là. En ayant trouvé qui étaient derrière les deux autres costumes, il ne pouvait y avoir qu'une personne derrière celui là, quelqu'un qui est assez fan de la série "Le Secret des Balls" pour le souligner à son grand père quand celui ci invente une histoire à dormir debout en repompant dans cette série au passage.
Armand : C'est juste de l'inspiration, mais bon...
Ophelia : Une personne que justement personne, hormis Kenzie, n'a vu depuis que je suis allée me coucher, et qui avait donc tout le temps libre pour se déguiser et aller foutre les jetons à son papy. Parce que cette personne à trop vu Detective Conan ou d'autres œuvres dans le genre, avec le faux fantôme qui met en garde au moins un des survivants du drame qui va survenir.
Armand : Attends Lulu, c'était toi la Mariée Sans Culotte !?
Ophelia : Voilà pourquoi j'ai interrogé Armand, pour en avoir la preuve.
Kenzie : Maintenant ça me revient, je crois t'avoir vu porter une tenue entre les mains quand je t'ai croisé.
Ophelia : Elle venait d'enlever son déguisement, et la gêne qu'elle avait venait du fait qu'elle craignait que tu ne remarques justement le costume dans ses bras.
Kenzie : Maman Lucy, mais pourquoi ?
Ophelia : Je pense que la raison vient de ce que tu nous as dit tout à l'heure.
Shiho : J'ai compris.
Ophelia : Je vais te laisser t'exprimer Lulu.
Hésitante, la sociopathe à couettes ne sait pas vraiment par où commencer pour exprimer ce qu'elle ressent avec de simples mots, sachant qu'une peine douloureuse la chagrine de tout son cœur. Ses pensées arrivent finalement à sortir de sa bouche par un simple mot percutant de plein fouet l'organe vital au centre du corps de sa copine.
Lucy : Désolée...
Son regard se baisse à ses pieds, laissant des larmes s’écouler dessus alors que les pleurs se mélangent à la parole.
Lucy : Au moment où tu m'as fait ta demande de mariage je me suis rappelée de ce que Kenzie m'avait dit et là... et là... et là... et là.... J'ai pas pu ! Je... je ne voulais pas te perdre, comme.... comme j'ai perdu mes parents ou Sangoku !
Ophelia : Lucy...
Lucy : Sachant que je n'arriverai jamais à te résonner pour... pour ne pas enquêter sur eux, je... je voulais m'éloigner de toi sans rompre directement ! Je ne voulais pas mourir devant toi ! Je ne veux pas mourir devant toi ! Je ne veux pas te faire de la peine !
Ophelia : LUCY !!
Les yeux affolés se révèlent, alors que de la morve s'écoule de son petit nez fin, et de la bave de sa bouche si douce, permettant à la pauvre femme de découvrir sa petite amie dans le même état qu'elle. Les sanglots des deux êtres unis pour la vie se rejoignent, montrant à quel point elles sont proche l'une de l'autre.
Leur premier réflexe en se voyant ainsi est de se prendre dans les bras, partageant alors un moment rien qu'à elles.
Lucy : Pardonne moi !
Ophelia : Je te pardonne !
Lucy : Je suis une idiote !
Ophelia : Tu n'es pas une idiote !
Lucy : Si, tellement que c'est Ange qui a tout créé, je n'ai fait qu'imaginer le plan !
Ophelia : Rien que l'imaginer montre que tu es forte !
Lucy : Je t'ai fait du mal alors que mon but était justement de ne pas t'en faire !
Ophelia : Tu ne m'a pas fait du mal !
Lucy : On se marie, je ne veux plus te quitter !
Ophelia : Moi non plus !
Les deux âmes sœurs restent fusionnées pendant un temps, le temps qu'il faut pour expier les fautes de l'une d'entre elles. Elles en ressortiront plus puissantes encore, presque invincibles.
L'un des plus beaux couple de ce forum vient de prouver encore une fois que rien ne peut les séparer.
Chose que Shiho, de là où elle se trouve, a déjà compris depuis fort longtemps pour sa propre situation.
Personne n'ose les interrompre, malgré l’exténuation qu'ils peuvent ressentir en ce moment même.
Kenzie est émue par ces retrouvailles et ne peut résister bien longtemps avant d'aller rejoindre leur grand câlin.
Tout est bien qui se finit bien, le meilleur restant à venir.
Aiko Kudō- Anciers
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Date d'inscription : 19/05/2019
Re: [FIC] Le Secret des Couilles [Terminée]
Épisode 10 : Heureux Dénouement
France; Île-de-France; Hauts-de-Seine; Levallois-Perret; Mairie
La longue nuit éprouvante est enfin terminée, laissant sa place à un tout nouveau jour.
L'union de mesdames Ophelia et Lucy Dodgera-Sarkissian se fait dans ce chef lieu de la Mafia Balkany, où l'argent paie le silence des gens, où l'or coule à foison pour les plus riches, où on peut semer au fisc sans même avoir à se fouler et où évidemment les peines de prisons n'existent pas.
Un thème épique vient les rejoindre dans cette salle où la buste de Marianne veille à que tout se passe bien, les protégeant avec son pouvoir purement Républicain. Les invités sont passés de onze à treize en y rajoutant les deux derniers venus, faisant un nombre un peu plus gros mais pas encore trop dérangeant pour celle qui voulait de l'intimité au cours de cette première étape.
Isabelle Balkany est chargée de de faire toute la partie officielle de leur mariage, avec tout les paperasse à remplir et les signatures qui vont avec. Bien évidemment, elle est assez malade en ce moment pour ne pas aller rejoindre son mari en prison, mais pas assez pour passer sur tous les journaux TV, faire les marchés, jouer dans un film de propagande pour la libération de Patrick, et bien évidemment s'occuper de cet évènement important.
La blondinette toute enjouée est celle qui a choisi ce lieu précis pour être tranquille comme le souhaitait sa compagne, car après tout elle a rendu quelques services depuis un an déjà à ce couple si puissant qu'ils leur devaient bien ça, en plus leur première collaboration était assez épique.
Pour l'occasion, les deux mariées se tiennent les mains, juste devant madame la Maire Temporaire.
La cosplayeuse de Jessica Nigri est vêtue d'une magnifique robe bleu aigue-marine rappelant beaucoup le fond marin où les dauphins nagent avant de sautiller à la surface, lui rappelant ainsi un temps lointain où elle passait ses vacances sur le bord de mer en compagnie de ses défunts parents. Cela fait parti de ses bons souvenirs en leur compagnie qu'elle se rappelle, avant que leur voiture ne déraille volontairement, bien que personne ne sait qui a fait le coup,et il est clair que ce n'est pas le Soldat de l'Hiver cette fois ci.
La tête de l'hydre toujours incoupée est vêtue d'une tout autant éblouissante robe vert jade dont la pierre gemme du même nom sert à orner celle ci telle des paillettes, replongeant l'orpheline à son enfance où elle n'a que très peu de souvenir de sa vraie famille, et où c'est plutôt les nombreux persécutions de l'époque qui lui reviennent en tête, y compris le jour où les Nazis ont envahi son pays dont elle se souvient très bien. Un détail que seule la personne la plus proche de son cœur ne connait, c'est que si elle a été séparé jadis de son propre sang, c'est parce que l'antisémitisme avait eu raison d'eux avant même la venue d'Hitler, et qu'elle était la seule survivante.
Ses deux femmes n'ayant que peu connu l'amour parental à cause du haine excessive se sont bien trouvées.
Le moment où nous allons nous attarder est celui le plus intéressante puisqu'il s'agit du moment de confession.
Ophelia : Avant de te rencontrer, ma vie était en roue libre, tellement que j'en avais oublié l'essence même de ce que mon maître m'avait appris et je dirigeais Hydra comme une patate.
Johann : J'avoue !
Ophelia : Le jour où mes yeux ont croisé les tiens, symbolise bien le bordel ambiant qui frappait cette année de merde qu'a été 2015, avec mon organisation en roue libre, Green Umbrella qui fait n'importe quoi, les Avengers qui tentent de sauver les meubles, et la cohérence de l'univers qui prend des vacances.
Lucy : Que de souvenirs.
Ophelia : Il devient quoi Yves depuis ?
Lucy : Alors là...
Ophelia : Ah... Les clones d'anciens soldats d'Umbrella qu'on a défoncé.
Lucy : Et puis Leon qui a eu les couilles bleues depuis.
Leon : Sorcière !
Ophelia : J'ai bien bien eu cette pute de Natalya.
Lucy : Ouais.
Ophelia : Depuis cette journée inoubliable, tu illumines toutes celles qui ont suivi, et j'en t'en remercie, car avec toi je ne m’ennuie jamais, tu es ma partenaire pour la vie. Comme Bonnie et Clyde, on adore troller tout le monde, bien que nous ayons de sérieux challengers sur notre chemin. Pas vrai Shiho !?
Shiho : Ouais ouais.
Ophelia : En plus, je kiffe tes petits pieds et je ne voudrais jamais m'en priver.
Lucy : Tu les conserveras dans du formol à ma mort.
Ophelia : Voilà pourquoi j'ai choisi de t'épouser ma petite chatte adorée.
Toute l'honnêteté de l'Humanité s'était retrouvé dans ces paroles enrobées de miel, qui ne pourront plus se détacher de nous à présent que nous les avons écouté. Cette sincérité qui s'en est écoulé ne peut y être rediscuté, et elle a directement touché son but, à savoir les émotions de sa promise qui se déchainent en elle, alors que le plus beau jour de leur vie leur tend ses bras pour ensuite les serrer dans une étreinte chaude comme la braise.
Une chanson bien plus occidentale s'élance en même temps que Lulu.
Lucy : Je te considère aussi comme ma partenaire, ma partenaire rien qu'à moi.
Armand : Allez Lulu, déchire tout !
Lucy : Avant toi, je n'avais pas vraiment de but dans la vie hormis tuer des gens juste pour m'amuser à en tuer.
Isabelle : Personne ne vous jugera ici sur ça.
Lucy : A présent, je veux juste passer le restant de mes jours à tes côtés, en essayant d'apporter quelque chose à ce monde, car si je dois tuer des gens, autant que ça ait vraiment une utilité. Mon boulot a trouvé d'autant plus de sens grâce à toi.
Kenzie Futur : Bien dit Maman Lucy !
Lucy : Merci Ophilie pouvoir tenter de calmer mes pulsions sans pour autant les faire taire ou me juger comme si j'étais un monstre.
Ophelia : Tu n'es pas un monstre.
Lucy : Voilà pourquoi je serai toujours à tes côtés pour te faire plaisir tout autant que tu me fais plaisir, notamment avec mes pieds que que tu adores.
Kenzie Présent : Bien dit Maman Lucy !
Leur amour réciproque étant clarifié, la suite peut avoir lieu.
Les anneaux, le baiser et un envole pour la meilleure partie.
Japon; Kyūshū; Nagasaki; Sanctuaire Suwa-jinja
Ce lieu sacré du Shintoïsme est illuminé en cette fin de journée où le soleil est parti se coucher, laissant les centaines de lanternes illuminés cette nuit qui va terminer cette union entre deux sociopathes sur pattes, alors que plus de monde est au rendez vous pour l'occasion. Que ça soit d'autres de leur amies, des habitants du coin ou des touristes, tout le monde est autorisé à venir voir cet évènement qui n'aura lieu qu'une seule fois.
Le Kannushi, maître de ses lieux et qui officie cette unions, y était contre au départ car il ne fait que des couples hétérosexuels à la base, mais un pain dans la gueule l'a vite fait changer d'avis sur la chose. Il sera donc assisté de plusieurs Mikos afin de rendre ce moment le plus magique possible.
Une mélodie à corde vient accompagner ce qui suit.
Les deux mariées arrivent ensemble à même temps dans le temple, se tenant par le bars et se déchaussant juste avant de monter les marches menant à l’intérieur où leur proches et les petits curieux s'y trouvent. A l'extérieur, nous avons aussi quelques journalistes japonais et étrangers qui viennent immortaliser ce instant car il faut dire que nos deux héroïnes ont une certaine popularité à internationale, avec une petite fanbase assez conséquente.
Elles portent toutes les deux le même kimono blanc, symbole de virginité et d’obéissance à un mari qui n'est pas là pour l'occasion puisque nous avons que des femmes. Les conviés à cette cérémonie religieuse sont assis à des tables prédisposés des côtés droit et gauche de la pièce, alors que notre couple se met quand à lui à une table entre les deux deux plus au fond, la personne responsable de ce lieu de culte étant assis à genou de l'autre côté de l'autre coté de l'objet de bois, faisant face à celles qui vont se marier devant les divinités.
Passons sur le rite de purification, les salutations et diverses prières faites aux esprits car c'est ce sont des morceaux du processus qui n'intéressent que très peu Ophelia, bien que Lucy elle soit dans l'amusement le plus total, tellement qu'elle a dû mal à le cacher et à éviter de sautiller sur place. J'aborderai donc ce qui est le plus important pour le personnage que l'on suit, et si vous voulez avoir le point de vue sur la situation de sa comparse, autant aller demander à un autre narrateur de le faire.
Je ne vise personne en particulier.
Une fois tout ceci passé, vient l'une des étapes les plus importantes puisque les deux époux échangent les coupes nuptiales sakazuki de miki, un type de saké que l'on sert pour cette occasion. N'étant pas forcément un spécialiste pour vous décrire tout ça, je vais laisser mon ami Wikipédia le faire mieux que Moi.
La première coupe de saké représente le passé et remercie les parents et les ancêtres. La deuxième représente le présent et symbolise l'amour et la fidélité entre les mariés. Enfin, la troisième représente le futur et symbolise l'engagement du couple à la construction d'un foyer heureux. De nos jours, la cérémonie au sanctuaire est généralement précédée ou suivie d'une séance photo et d'une réception en présence d'invités.
Suivant ce principe, Ophelia boit la première qu'on coupe qu'on ressert ensuite, et c'est Lucy qui boit juste après dans le même récipient. On passe dés lors à la seconde coupe où l'on inverse, c'est Lucy qui commence, on ressert, puis Ophelia termine. Pour la troisième fois, c'est la même chose que au début. On appelle cette méthode le "sankon no gi".
On peut aussi procéder autrement avec le "san-san-ku-do", mais ne compliquons pas les choses.
La femme aux cheveux verts encaisse bien mieux l'alcool qu'elle boit ingurgiter que la petite blonde qui se relâche un peu plus il faut se l'avouer. Cela peut se voir sur son visage qui prend de plus la forme d'un chat, avec le sourire qui va avec, un peu comme dans un animé. Son grand père sait de quoi il en retourne et il préfère s’éclipser en douce pour aller cherche un véhicule de sortie pour plus tard.
Pour le moment, continuons comme si de rien était, avec notamment la lecture des serments de mariage.
Ophelia : Hé mais c'est du japonais, comment je vais faire pour lire !?
Shiho : Essaye de me le mont...
Lucy : Ah le le !?
Leon : Qu'est ce qu'elle fout !?
En effet, le folle bourrée était en train de tabasser à mort le prêtre à coup de coupe sans laisser les servantes pouvoir lui venir en aide, et réussissant même à trancher le cou d'une d'entre elle avec son arme improvisée. Ceci affole évidemment le public qui ne l'a connait pas mais excite ses fans invétérés, alors que ses meurtre sont retransmis en direct à la télévision.
Allez savoir comment elle se tirer de ses chefs d'accusations cette fois ci.
Lucy : Il n' y a qu'une seule vérité !
Ophelia : Bon tant qu'on y est... Allez le groupe, jouez !
Elle fait signe aux quatre musiciens, positionnés dans un coin depuis tout à l'heure en attendant la séquence de la performance musical, de jouer leur morceau. Il s'avère que c'est le très célèbre groupe de rock/metal Kiss qui a été invité pour l'occasion, avec notamment leur chef Paul Stanley qui réagit au quart de tour, poils sur le torse, en penchant sa tête vers Gene Simmons, à la langue bien pendue, afin de savoir quelque chose.
Paul : Qu'est ce qu'on fout là déjà ?
Gene : Aucune idée, mais on est payé alors autant jouer.
D'accord sur ça, ils lancent à leur guitares électriques pour interpréter l'une de leur chansons les plus connus, à savoir I Was Made For Lovin' You, gardant le panache de la jeunesse dans leur performance. Autour d'eux le sang coule et les boyaux volent, or eux ne sont pas touchés par cette malédiction, peut être parce que le démon chat adore leur style, notamment au niveau des tenues.
Au total, quinze personnes périront durant ce mariage sanglant dont tout le monde se souviendra sur des années.
La police ne mettra jamais la main sur l'auteur de ce massacre, malgré les preuves évidentes.
Kenzie Dodgera- Anciers
- Messages : 240
Date d'inscription : 28/04/2019
Localisation : Dans ton cul. ^^
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