[RP] Enter The Matrix [Terminé]

je ne répondis pas et je secoua ma tête , car j avais crue voire de natalya une ennemi

-saryna : j ai crue voir quelqu un mais c est impossible nous somme les seul prisionne de se jeu

mes poing se serre et je soupira pour tente de me calmer , et je leur dis qu il était tent de se trouver des arme si ont vouler sortir vivant de se cauchemar

et je m approcha de leon avec mon regard sérieux

-saryna : faisons la pays d acore

je le regard et je lui tendis ma main , je fini par lui sourie

Sarah semble avoir vu l'ancienne chef de Green Umbrella, décédée, qui ne devrait donc pas être là, même si on prend en compte le fait que le jeu se situé avant son décès, mais à cet époque là elle n'était pas encore connue, hormis un peu chez Umbrella, c'est tout.

Saryna : J'ai cru voir quelqu'un mais c'est impossible, nous sommes les seuls prisonniers de ce jeu.

Leon : Tu en sais beaucoup de chose ou alors tu tires des conclusions hâtives, car il peut très bien y avoir d'autres prisonniers ici, voir même des PNJ vu qu'il y en a dans le jeu tels que Sherry ou Marvin...

En prononçant ce mot, à cet endroit précis, il ne peut s'empêcher de lancer un petit regard vers la porte menant à son lieu de trépas où il a dû faire une chose qu'il s'est résolu à faire et qui le hante depuis cette nuit du 29 au 30 Octobre 1998, son premier jour en ville.
Autant dire qu'une profonde morosité le touche profondément, l’obligeant à inspirer et expirer plusieurs fois pour faire passer cette crise d'angoisse.
Une fois le mal passé, il peut à nouveau se recentrer sur les choses plus importantes, et notamment sur Saryna qui elle aussi a réussi à se calmer, et lui tend la main de façon amicale pour changer.

Saryna : Faisons la paix d'accord ?

Leon : Je n'avais pas prévu qu'on parte en duel comme ça à la base.

Il accepte cette trêve en serrant sa pince comme se doit.

Leon : Cela me rappelle ma première rencontre avec Ada dans le parking en dessous, sauf que c'était moi qui faisait la gueule et elle qui s'amusait à me remballer.

Une fois cette nouvelle bribe de son passé exposé, il se tourne enfin vers les deux autres personnes avec eux qu'il ne faut pas oublier.

Leon : Je crois qu'avant de continuer, il faut rapidement se présenter. Je suis Leon Kennedy, et j'ai connu cet endroit si l'on peut dire, même si les développeurs de ce jeu ont beaucoup altérée la ville telle qu'elle était à cette époque là. J'essayerai de vous guider du mieux que je peux afin de vous ramener chez vous en sécurité.

Il se penche ensuite légèrement vers la femme à ses côtés pour lui chuchoter quelque chose.

Leon : Saryna, à ton tour.

En effet, il ne faut pas oublier que seul lui la connait à priori ici.

je regarda leon et je sourie puis je regarda les deux personne qui était avec nous

-saryna : quand a moi je me nome saryna coleen agent des STARS

puis j attendis que nos deux personne se présente eux aussi , quand je revie cette silhouette repasse puis s arrête et nous regarde de la ou elle se trouve . je me remis a secouer ma tête , je regarde l étage tendis que je voie encore silhouette qui repart .

je secoue une nouvelle fois ma tête

Le tour de table continue.

Saryna : Quand a moi je me nomme Saryna Coleen, agent des STARS.

Miku : STARS ?

Budō : Koko wa tokubetsuna keisatsu yunittodesu.

Miku : Arigatō.

Passons à la dame qui vient de poser la question.

MIku : Mon nom est Miku Hinasaki. Je suis assistante pour photographe et membre de la TerraSave.

Pour finir, c'est au sauveur de tout à l'heure de se présenter.

Budō : Budō Yami. Je travaille pour le BSAA en tant que SOU pour la branche d'Extrême Orient.

Conclusion, ils ont tous un point commun entre eux, et c'est celui qui y a pensé en premier qui le souligne.

Leon : On a tous à voir avec la lutte contre le bioterrorisme.Moi la DSO. Saryna les STARS, Miku TerraSave, et Budō le BSAA. Ce n'est pas un hasard.

Quelles seront les réactions face à ce constat ?

leon avais raison on était ici par hassar , mais pour sa ressemble plus a un cauchemar ou du surnaturelle bon je me fait peu-êtres des idée

-saryna : tu a raison leon on est pas ici par hassar

je le regard puis je regarde les deux autre qui eux nous regarde , plein de question me travers l espris mais aucune réponse me viens .

-saryna : je me demande se qui c est passe pour qu ont fait catapulte ou aspirais par se jeu , et pourquoi je porte ma tenu des STARS chose que je ne porte pas d habitude

Miku observe l'appareil photo qu'elle a sur elle en réfléchissant un peu sur ce la raison de leur présence ici.

Je devrais être habitué à tout ça, pourtant ça me surprend toujours.
C'est normal d'un côté.
A chaque fois c'est un minimum différent.
D'abord le Manoir Himuro où ceux qui s'y retrouvent piégés finissent par remonter dans le temps jusqu'à mourir par les cordes qui apparaissent sur chacun de leur membres y compris le cou, causée par Kirie suite à la Calamité qui avait frappé cet endroit.
Je les sens encore sur ma peau, même maintenant que j'ai exorcisé ce fléau.
Ensuite c'était le Sanctuaire Kuze dans le mondes des rêves où se trouvaient les victimes de la malédiction du tatouage et qui devaient désespérément trouver un moyen de s'y enfuir avant que la tatouage ne soit complet sinon on disparaissait dans le notre réalité pour ne plus être qu'une nouvelle âme perdue dans ce lieu mystique.
Si Rei n'avait pas été là, j'aurais disparu en voulant à tout prix chercher mon frère là dedans.
Pour finir il y a eu ce qui s'est passé au Mont Hikami où les fantômes s'y trouvant poussaient ceux qui s'y trouvaient à s'y suicider, avec notamment un esprit ne particulier qui se détachait du lot, celui de Ose Kurosawa, victime du rituel qui l'a fait devenir un pilier sacrificiel.
L'eau censée rester pure est devenue noire, et bon nombre ne personnes ont pu voir le soleil sombre.
Miu, merci de m'avoir sauvé de tout ça.
Si seulement tu avais pu connaître ton père.
Mafuyu...
Est ce que encore une fois une porte menant vers le Yomi est au cœur de tout ça ?
Non...
C'est vraiment différent cette fois ci.
Je ne crois pas qu'il soit question d'un quelconque sacrifice ou même d'une voie d'accès vers l'autre monde.

Budō : Miku, vous pensez pouvoir nous éclairer ?

Cette question intrigue la concernée qui visiblement étonnée qui la lui pose.

Budō : Ce n'est pas vous la célèbre folkloriste aux multiples facettes qui est revenue du royaume des morts ?

Miku : Je ne pense pas que je suis aussi connu.

Budō : Pour ceux qui s'intéressent à ces sujets, si.

Miku : Je... C'est la première fois que je vis une situation comme ça. Désolée. Mais peut être que ça peut être utile.

Elle met en avant son appareil exorcisant qu'elle tient désormais entre ses mains.

je continuai a réfléchir et a trouver des réponse mais voila toujours rien me viens . quand une voie sorti je ne ses ou raisonna , j avais l impression de l avoir déjà entendus mais ou je m en souviens plus . ( natalia )

je regarde leon qui lui me regarde avais t il lui aussi entendu cette voie car même les autre nous regarde et regarde par tout , et voila que je revis une nouvelle fois cette silhouette a l étage elle nous regarde bon cette silhouette était entrain de nous narguer ma parole ,

et me revoila a secouer la tête mais elle était encore la , puis je vie la jeune fille tendre son appareille photo devant elle

Juste quand on parle de mauvais esprits, voilà qu'il y en a un qui fait résonner son rire emblématique dans la tête de tout le monde dans le hall, ce qui a de quoi donner un mal de crane.


Seul une seule personne arrive à mettre un nom sur ce timbre de voix nasillarde.
Pas de suspense là dessus puisque celui ci vous a déjà été en partie révélé avec une faute d'orthographe.

Leon : Natalya Vipèra. Même morte, elle fait chier son monde.

Budō : Là haut.

Celui qui a l'air d'avoir entendu parlé de tous ceux présents ici, pointe du doigt comme un malpolie la figure située sur la balcon du premier étage, qui une fois qu'on est sûr de l’avoir vu ,se met à ricaner de plus belle, bien qu'elle même ne soit pas plutôt jolie contrairement à ce qu'elle veut nous faire croire avec son fameux "charme" qui n'attire que les hommes célibataires de plus de 40 ans qui n'ont plus aucune chance de vivre l'amour dans leur vie.
Frappé par un réflexe hors du commun, Miku saisit l’opportunité pour viser la madame avec son arme, puis une fois celle ci bien cadrée, elle appuie sur la gâchette et prend une photo.
Un petit flot d'énergie peut être vu s'échapper de la concerné, mais celui ci est vraiment infime, au grand désarrois de celle qui tient l'engin.
En vérifiant ses munitions, elle comprend ce qui cloche.

Miku : Tekisetsuna eiga ga arimasen !

Natalya : Tu croyais sincèrement que j'allais te laisser venir ici avec tes pellicules les plus efficaces contre moi !? Tss ! Sois heureuse que j'ai laissé ton joujou sur toi, j'aurais pu te faire venir bredouille comme ces deux là !

Son rire se fait encore plus sentir, et devient vraiment lassant à la longue.

terrain de jeu elle appelle sa un terrain de jeu ma parole elle se fout de notre gueul en plus , alors c était donc elle la responsable de se cauchemar

mes poing se referme encore plus mon regard deviens un peut plus froid ,

-saryna : montrons a cette pouf de phantome que ses nous les plus fort et qu ont se laissera pas en ferme dans se maudit jeu qui autre qu un véritable cauchemar

je vie leon et les deux autre me regarde pour se que j avais dis , quand a ce phantome il disparu , mon regard et du mais sérieux ,

-saryna : ils serrai tend de trouver des arme maintenant

Il n'en fallu pas plus pour faire sorti à nouveau la Rambo de ses gonds.

Saryna : Montrons à cette pouffe de fantôme que c'est nous les plus forts et qu'on se laissera pas enfermé dans ce maudit jeu qui n'est autre qu'un véritable cauchemar !

Cette montée d’adrénaline et cet encouragement à l'équipe ne porte pas vraiment ses fruits, car aucun des trois autres ne la suit dans l'enthousiasme, bien qu'ils soient d'accord avec elle.
Ceci fait bien marrer la meuf sur son piédestal qui dit une dernière chose avant de partir.

Natalya : Vous avez un autre point commun, mais je suis sûr que vous ne trouverez jamais lequel !

Fière de sa méchanceté, la vilaine femme disparaît en s'évaporant comme l'esprit presque démoniaque qu'elle est.

Saryna : Il se temps de trouver des armes maintenant.

Leon : À ce sujet...

L'homme qu'elle n'aime pas trop sort le HK VP70 du holster qu'il porte sur son uniforme de la RPD, car évidemment lui aussi à sa vieille tenue qui date d'il y a longtemps, parce que ce n'est pas drôle sinon, afin de lui donner cet outil dont elle saura très bien s'en servir.

Leon : Il faut croire que avec moi, elle a filé un petit traitement de faveur, mais je peux me débrouiller sans, alors autant que quelqu'un puisse s'en servir.

Voyons voir si Saryna acceptera ce cadeau.

je regarde l arme mais je ne fit rien , et je me détourna en soupirant et je parti vers les bureau cette fois . la seul chose que j avais sur moi c était mon couteau de survie type couteau de chasse ,

je monta l escalier lier et je disparut derrière une porte qui elle se referme doucement derrière moi il faut dire que je la tenez pour qu elle ne face pas de bruit ont ne c est jamais . j avais laisse les autre en bas , puis j attrapa mon couteau que je mis devant moi en mode attaque

et me voila avancer doucement sans bruit a la recherche d arme

La porte claque, avec Leon qui reste un petit tend le la cross tendue vers plus personne ne fait, comme celle à qui il a fait cette sympathique proposition s'est tirée comme une malpolie puisque visiblement on a jamais dû lui apprendre à vivre en société dans sa famille, un peu comme la canadienne qu'était Sulfura pour qui c'était pareil.
Ce manque de courtoisie ne le surprend plus à ce niveau là

Leon : Toujours la même.

Miku : Ah...

Budō : Ce ne sera pas facile de survivre avec quelqu'un comme ça, qui prend des initiative toute seule sans attendre l'avis du groupe.

Leon : Elle veut bosser en solo, c'est son choix. Nous nous allons travailler en équipe de notre côté.

La vétéran de Raccoon City se tourne vers eux pour retenter sa proposition.

Leon : Qui de vous deux la veut ?

Miku : Je ne sais pas avoir... En tenir une. Et j'ai déjà ma "Camera Obscura".

Budō : Je peux la prendre si vous voulez.

Leon : D'accord, mais je te préviens, la détente n'est pas facile à maîtriser, il faut une forte pression pour ouvrir le feu.

Budō : Merci du conseil.

L'échange s'étant fait, je ne peux que vous convier à regarder cette vidéo là si vous voulez en savoir plus sur le pistolet en question :


Avant de poursuivre avec eux, voyons voir ce qui sep asse du côté de Rambonette.

j était parti car ont passe plus notre temps a parler qu a réagir , et de plus si j avais pas pris l arme c est que je préfère de loin un bon vieux 9 mm car cette arme était ont peut dire plus simple a se servire que l arme que leon nous avais présente .

je continuai ma recherche a fouille chaque , coin et bureau chaque tiroire a la recheche d arme certes je trouve des munition , voila que j entends marcher derrière et je peut vous dire que c était un zombie mais bien les pas d un homme

avais t il une autre personne ici avec nous

Cherchant une arme dans la bibliothèque du commissariat, qui sont deux mots dont ça fait bizarre de voir ensemble, elle se retrouve assez bredouille car à part balancer des bouquins aux éventuels zombies qui viendraient pointer le bout de leur nez, il n'y pas grand chose à faire.
D'ailleurs, on peut noter que depuis qu'ils sont là, il n'y a pas la moindre trace d'un de ces monstres dans les environs.
Ni même d'un PNJ comme Marvin.
Ce serait même plutôt tranquille, si celle qui avait l’ouïe fine n'avait pas entendu les pas d'un homme zombie derrière elle qui a spawné de nul part et qui en train de s'avancer vers elle les bras ballants avec ses vêtements d'officier de la police municipale de cette métropole.
Pendant ce temps dans la salle adjacente, le trio s'est entretenu sur la façon de faire pour chercher de quoi s’équiper convenablement et un moyen de se tirer de là, et l'idée de Léon est d'essayer de suivre le cheminement du jeu de base. c'est à dire de partir de la station où ils sont pour aller jusqu'au laboratoire secret d'Umbrella, en passant par les égouts, car c'est comme ça qu'il faut normalement faire pour voir le bout de cet aventure.
Tous sont d'accord avec l'expert, mais il reste une dernière chose à mettre au point.

Leon : Le seul moyen de les vaincre, c'est un tir à la tête. Enfin dans ce jeu, ce serait plutôt DES tirs à la tête.

Budō : Je reconnais que leur cerveau est très résistant dans ce jeu.

Leon : On fait donc comme o na dit. Je mène la marche. Miku tu restes derrière moi. Et Budō tu couvres nos arrières.

Tous approuvent de la tête et le duo est donc parti pour fouiller l'Aile Est en partant du rez-de-chaussé où il passe sous un rideau métallique à moitié ouvert.

mais a bien tendre l oreille certes sa ressemble a des pas d homme , mais un hic viens me percuter j attrapa mon couteau et je me retourna d un coup et je fonça sur le bouffeur de chair qui se pris le couteau en plein tête et je le fit valse d un coup de pied retourne

-saryna : PUTAIN DE MERDE SOYEZ MAUDIT FILS DE PUTE DE BOUFFEUR DE CHAIR ONT NE PEUT PAS ETRES TRANQUILLE

je repris mon couteau en mode attaque , et me revoila parti de l en droit ou je me trouve pour un notre secteur sur le chemin je décida d aller fouille l aille est en espèrent de trouver des arme . mais sur mon chemin je revis le Phantom de cette natalya qui me regarde puis elle disparut ,

et je repris mon chemin quand je me stop net quelque en moi me disait va pas plus loin il y a un piège