[RP] Le Destin est joueur [Terminé]

20 Août 2014

C'était le drame le plus complet dans l'usine désaffecté de la ville, en effet un labo secret du gouvernement s'y trouvait et dedans on bossait sur divers trucs pas cool. Une équipe en particulier bossait sur un autre monde appelait l'Inframonde, ils ont même réussit à ouvrir un portail menant à ce monde. Malheureusement un tas d'entités malveillantes sont arrivés et ont tués tout le personnel présent là-bas. Gilbert Montagné était en route pour le labo dans l'usine, il avait pour tache de refermer le portail, une fois sur place il aura plus d'informations. Il continua donc son chemin à bord de sa jeep made in BSAA qu'il pilotait, en effet dernièrement il arrivait à retrouver la vue, sa canne était fier de lui. Celle ci était sur la siège à coté avec la ceinture attaché.

Canne : Pourquoi le BSAA t'envois là-bas, c'est pas un boulot pour UNIT ? C'est les spécialistes en paranormal.

Gilbert : Ch'ai pas, on verra ça là-bas.

C'était la nuit, à peut près 22H30 du soir. Mais Gilbert avait un mauvais pressentiment. Finalement ils arrivèrent devant l'usine, celle ci était encerclé par l'armée et la police, il y avait aussi quelques ambulances qui évacuer le peu de survivants. Montagné gara son engin au pif et une personne alla le rejoindre pour lui parler.

Mackinley : Gilbert Montagné, je suis le sergent Mackinley, je dirige les soldats que vous voyez là.

Gilbert : Alors quoi de neuf dedans ?

Mackinley : Silence radio, pourtant certains de mes gars, des pompiers et même une équipe de UNIT sont entrés en renforts mais on a perdu le contact avec eux. Les rares survivants sont ceux qui étaient près de la sortie de l'usine.

Gilbert : Donc l'usine en entier est touché ?

Mackinley : Oui, la plupart des ouvriers sont aussi morts, ils faisaient tranquillement leur boulots sans savoir à quoi s'attendre.

Gilbert : C'est donc un peu une mission suicide que vous me demandez là ?

Mackinley : Oh mais vous êtes l'homme de la situation, je sais aussi bien que vous pourquoi.

Canne : De quoi il parle ?

Gilbert : Ouais j'ai un truc à te raconter à propos de l'inframonde, mais je te le dirais plus tard.

Mackinley : En tout cas attendez un peu, l'agent Kennedy est en route pour vous accompagner dans l’usine et le labo.

Gilbert : Pas question...De 1 mieux vaut que je sois seul, car je suis le seul immuniser contre les entités en elle même.

Canne : Comment ça immuniser !?

Gilbert : De 2, je ne m'entends pas très bien avec l'agent Kennedy.

Mackinley : Vous allez devoir faire avec, justement le voila qui arrive.

Gilbert se tourna vers la direction que lui pointé le sergent du doigt, il vit alors Léon arriver vers leur position tranquillement.

Helena appelle Léon en urgence aux laboratoires se trouvant dans les usines désaffectées. Ce dernier arrive rapidement et Helena le brief aussitôt.

Léon : Hum... Je comprends et que veux tu je fasse ?

Helena : Tu vas devoir refermer la faille avec un homme du BSAA nommé Hilbert Montaagné.

Léon : Oh non ! Pas lui ! Tout ce que tu veux mais pas lui !

Helena : Tu n'as pas le choix. C'est l'homme de la situation. D'ailleurs le voilà. Alors fais la paix avec lui et régler cette affaire rapidement.

Léon : Mouais....

Puis il part rejoindre Gilbert.

Léon : Salut...

Léon : Salut...

Gilbert : Ouais....salut.

Mackinley : Vous plaisantiez pas en disant que vos relations étaient tendus

Gilbert : J'ai une tête à plaisanter ?

Canne : Eu...Oui.

Mackinley : En tout cas agent Kennedy, je vous souhaite bonne chance pour protéger Gilbert, si vous échoué, c'est l'apocalypse qui s'abattra dans le coin.

Gilbert regarda Léon qui approuva les paroles du sergent et se tourna vers Gilbert en le dévisageant un peu.

Gilbert : Alors près partenaire ?

Montagné attendit une réponse de Léon.

Gilbert : Ouais....salut.

Mackinley : Vous plaisantiez pas en disant que vos relations étaient tendus

Gilbert : J'ai une tête à plaisanter ?

Canne : Eu...Oui.

Mackinley : En tout cas agent Kennedy, je vous souhaite bonne chance pour protéger Gilbert, si vous échoué, c'est l'apocalypse qui s'abattra dans le coin.

Léon : Ouais, je sais, c'est toujours la même rengaine depuis que je travaille pour le Gouvernement Américain. Sauf que je l'ai déjà vu l'apocalypse, mais un apocalypse avec des armes biologique et je suis toujours vivant.

Il soupire.

Gilbert : Alors prêt partenaire ?

Léon : De tout façon on a pas le choix, Gilbert. Et je pense qu'il va falloir mettre notre différent de côté et qu'on fasse copain-copain durant cette mission. J'espère être de retour chez moi assez rapidement, ma fiancée m'attend. Oh Gilbert, pour prouver ma bonne fois, je t'invite pour fêter mes fiançailles.

Tout en disant cela, Léon vérifie si ses armes son bien chargé. Il fait son inspection pour voir s'il a bien tout et attend la réponse de Gilbert.

Gilbert regarda sa canne puis l'usine avant de regarder son matériel, à savoir son taser et son pistolet.

Gilbert : Tu es vraiment sur de vouloir de moi à tes fiançailles, la dernière fois que j'étais aux fiançailles d'un ami, j'étais le seul à avoir survécu.

Gilbert entra alors en premier dans l'usine avec Léon étant juste derrière lui, le premier couloir qui se présentait à eux était sombre avec des taches de sang sur les murs mais pas de cadavres.

Gilbert : Je devine que plus on avancera, plus on trouvera de cadavres.

Canne : J'espère qu'on arrivera à trouver d'autres survivants.

Gilbert : Les trouver, c'est une chose mais faut encore pouvoir les faire sortir vivant.

Notre soldat prit la première porte face à lui, ils se retrouvèrent dans une pièce où se trouvait un ascenseur qui descendait aux labos, encore une fois pas de cadavres.

Gilbert : Je ne sens pas trop la présence des entités ici, elles doivent surtout être dans les labos. Léon vérifie l'ascenseur pour voir si aucune surprises ne nous y attends.

Gilbert vérifia le reste de la pièce en restant sur le qui vive tandis que Léon faisait le boulot que lui avait demandé notre aveugle.

Gilbert : Je ne sens pas trop la présence des entités ici, elles doivent surtout être dans les labos. Léon vérifie l'ascenseur pour voir si aucune surprises ne nous y attends.

Léon obéit, mais beaucoup de question lui viennent à l'esprit. Il va dans l'ascenseur et trouve un cadavre. Il vérifie s'il est bien mort. Et rien. Il ressort est va voir Gilbert.

Léon : RAS. Il est mort. Y a pas âme qui vive ici...

Ensuite il regarde une nouvelle fois les murs et voit toujours du sang.

Léon : Y a pas âme qui vivent, par contre ce sang doit bien provenir de quelqu'un. Au fait, j'ai plusieurs questions à te poser Gilbert. Pourquoi tu es "l'homme de la situation", comme m'a dit Helena.

Léon : Y a pas âme qui vivent, par contre ce sang doit bien provenir de quelqu'un.

Gilbert : Surement, les blessés qui ont réussit à s'enfuir.

Léon : Au fait, j'ai plusieurs questions à te poser Gilbert. Pourquoi tu es "l'homme de la situation", comme m'a dit Helena.

Gilbert : Je suis immuniser.

Canne : Mais pourquoi t'es immuniser bordel !?

Gilbert : Car je suis né dans l'Inframonde.

Tout le monde se tue suite à cette phrase.

Gilbert : Je vous expliquerez tout une fois qu'on aura finit cette mission.

Gilbert entra à son tour dans l'ascenseur et appuya sur le bouton B4 pour ce rendre à l'étage où avait lieu les expériences sur l'Inframonde. Un silence de mort régna dans l'ascenseur et Gilbert évita de regarder Léon et regarda son flingue qui n'allait pas lui être d’une grande utilité contre les entités en elle même.

Léon regarde la porte et se tient prêt. Il attrape à pleine main son Beretta et attends. La dernière fois qu'il est monté dans un ascenseur, il s'est fait agressé par des zombies et par Helena juste avant. Et après c'est lui qu'on traite de pervers alors que c'est Helena qui a failli le violer. Au final les portes s'ouvrent sur un petit couloir avec les lumières d'urgence qui donne une ambiance glauque.

Léon : C'est bon, la voix est libre pour l'instant.

Il avance vers la porte du fond et juste à côté se trouve un soldat de UNIT. Léon s'approche du soldat.

Léon : Mais que c'est-il passé ici ?

Puis il s' approche de la porte et se retourne vers Gilbert.

Léon : Tu es prêt ?

Le soldat réagit et dit faiblement en guise d'avertissement :

Soldat : N'y aller pas....

Et meurt juste après.

Léon : Super, j'ai horreur quand ça fait ça.

Léon : Super, j'ai horreur quand ça fait ça.

Gilbert se mit alors à tirer sur le cadavre du mec de UNIT, il usa 6 balles, soit la moitié du chargeur.

Gilbert : C'est pour être sur qu'il soit bien mort.

Gilbert se tourna alors vers Léon.

Gilbert : J'avais peur qu'une entité prenne son contrôle, elles peuvent possédés les morts, et très rarement les vivants.

Gilbert entendit alors un bruit venir de derrière la porte, il s'approcha de celle en faisant signe à Léon de rester derrière lui. Il s'apprêta à ouvrir la porte mais il se retourna au dernier moment et cria "BOUH !" à Léon qui sursauta et fit un bond en arrière avant de finir sur le sol. Gilbert Montagné se mit à rigoler avec sa canne, il était vraiment plié de rire.

Léon se redresse furieux : Nom de Dieu ! Gilbert arrête de faire le con et soit sérieux pour une fois !

Puis il se calme.

Léon : J'ai failli de tirer dessus. Bon allons.

Gilbert ouvre la porte qui débouche sur un couloir blanc et plein de sang. Un scientifique mort est allongé par terre et un autre un peu plus loin.

Léon : Ça y est, on trouve enfin des morts.

De l'autre côté du petit couloir, on peut voir que certaines parties du labo son en feu.

Léon : Génial, j'ai pas mon extincteur avec moi.

Léon : Génial, j'ai pas mon extincteur avec moi.

Gilbert : Si j'avais eu une entité relié à moi, je lui aurais demandé de chercher une solution ou de vérifier le souvenir des morts, mais ce n'est pas le cas.

Gilbert regarda aux alentours et commença à trouver l'air frais, très frais.

Gilbert : Je sens leur présences, ils sont là et ils doivent savoir qu'on est là.

Gilbert se tourna vers Léon, le regarda droit dans les yeux et lui posa une main sur l'épaule.

Gilbert : Ne les laisse pas te posséder, je ne voudrais pas avoir à te descendre.

Gilbert enleva sa main et se tourna vers le corps du premier scientifique mort et commença à la fouiller, et trouva une carte magnétique.

Gilbert : Notre ami s'appelait Jeff Browman, il était chercheur ici, je pense que ça carte ne lui sera plus utile.

Notre soldat regarda la carte de bonhomme, il avait souriant et heureux dessus. Il entendit alors du bruit qui le fit lever les yeux, il vit alors l'autre scientifique décédé se tenir devant lui, accroupi et lui dire "Bouh". Gilbert sursauta et se fracassa la tête en arrière, quand il revint à ses esprits, le macchabée était retourner à sa place, comme si il n'avait jamais bougé. Montagné se releva en vitesse et regarda Léon qui s'avançait vers lui, visiblement intrigué.

Gilbert : Tu as vu ça !?

Léon ne semblait pas avoir vu ce qu'avait vu Gilbert, ce dernier soupira et regarda en direction de la porte devant eux menant au reste du labo. Il espérait trouver des survivants des pompiers ou des soldats des deux équipes envoyés ici.

Gilbert : Tu as vu ça !?

Léon : Vu quoi ? Je n'ai rien vu Gilbert. Enfin tout ce que j'ai vu c'est toi qui t'ai fait peur avec l'opbre que les flammes produisent. Voilà ce que j'ai vu.

Il aide Gilbert à se redresser et poursuient leur chemin à travers le labo au proie aux flammes.

Léon : J'essaierai d'éviter qu'ils me possède. Promis. Mais ses choses sont si horrible ?

Léon n'aime pas tout ça, surtout quand il s'agit d'un ennemi qu'on ne peut pas voir. Alors ça, ça peut l'agacer au plus au point. Il trouve cela assez désaventageux.

Léon : J'essaierai d'éviter qu'ils me possède. Promis. Mais ses choses sont si horrible ?

Gilbert : Oui, mais après je ne peu pas t'en dire plus, on risquerait notre peau si je te disais des infos confidentiels.

Gilbert entendit alors du bruit venir d'un des labos, il regarda dedans et vit au fond ce qui semblait être deux personnes vivantes. Il voulut prévenir Léon mais ce dernier avait disparu de son champ de vision, il entra donc dans le labo et alla voir les deux personnes. L'un d'eux était un scientifique apeuré et l'autre un pompier qui tentait de le rassurer.

Gilbert : Des survivants, ça se fait rare dans le coin.

Pompier : Vous voyez, les secours sont là, on peut enfin sortir.

Scientifique : J'étais là depuis le début, je sais ce qu'il s'est passé, ils ne nous laisseront pas nous enfuir.

Gilbert : Je vous conseil de sortir d'ici, je m'occupe de ce mec.

Pompier : OK merci, bonne chance.

Le pompier commença à s'en aller quand soudain une forme noir sortit du mur et entra dans son corps, il fut alors possédé par l'entité. Il commença à bouger le tête dans tous les sens et se retourna pour faire face aux deux autres personnes.

Gilbert : Il y a un problème ?

Le pompier sortit sa hache et attaqua Gibert qui esquiva en sautant sur le coté, mais c'est le scientifique qui se prit le coup en pleine tête et mourut sur le coup. Gilbert se releva et tenta de s'enfuir mas la prote du labo s'était refermé, il n'avait plus d'autres choix, fallait briser les vitres. Mais le pompier retenta les attaques que Montagné esquiva comme un pros, mais donc son adversaire l'empêcher de sortir d'ici, il avait besoin d'aide.

Gilbert : Léon ! Aide moi !

Notre vaillant soldat espérait que Léon allait l'aider, car il ne trouvait plus son gun n'y son taser, par contre il avait trouvé une grenade fumigène sur la table, ce qui n'allait pas trop lui être pratique.

Léon avait apperçut une ombre à l'opposé où se dirigeait Gilbert. Cette ombre avait la taille d'une petite fille. Donc il fut intrigué et tente de poursuivre mais il tombe rapidement sur les entités que lui a parler Gilbert et fait demi tour aussi vite qu'il peut. C'est alors qu'il aperçoit Gilbert attaqué par un pompier qui bouge bizarrement la tête.

Gilbert : Léon ! Aide moi !

Léon : Vos désirs sont des ordres.

Et il tire une unique balle dans la tête du pompier. La balle traverse la vitre et par se loger dans la tête du pompier qui tombe en arrière. Léon pousse ensuite une armoire qui brise la brise et libère ainsi Gilbert.

Léon : Et voilà. Bon poursuivons notre mission et n'allons pas par là, c'est entitéland. Je me suis fait avoir. J'ai cru voir une fillette et je suis tomber sur une horde d'entité.

Léon : Et voilà. Bon poursuivons notre mission et n'allons pas par là, c'est entitéland. Je me suis fait avoir. J'ai cru voir une fillette et je suis tomber sur une horde d'entité.

Gilbert : Ça me déçoit quand même de ne pas avoir put sauver ces deux survivants.

Canne : Pour une fois que tu dis quelque chose de censé.

Gilbert : Et toi ? Pourquoi, tu ne m'as pas aidé ?

Canne : Tu ne l'a pas demandé.

Gilbert : Enfoiré !

Le trio, en comptant la canne, continua son chemin dans les labos, mais quelque chose leur disaient qu'ils n'avaient pas encore fini leur boulots.