[FIC] Saryna reviens ! [Terminée]

En dessous de la couette, comme autrefois, ça se meut entre deux personnes qui étaient déjà là à l'époque et qui sont toujours à l'idée de baiser comme des bêtes, c'est pour dire la forme qu'ils ont, et pour ceux qui ne les ont pas reconnu, je vais les présenter.
Leon Kennedy est le super agent secret pas super discret qui est à la retraite, ou enfin presque, puisqu'il est toujours à la tête des Avengers, tels que Maxime Moulin et Baptiste Sixte avant lui, et il a toujours été la roue de secours de ce carrosse quand il en avait besoin.
Haruhi Suzumiya est sa coéquipière pour cette tâche demandant beaucoup de trail, et on peut dire que la figure dominante de la Brigade SOS est prédominante, ayant appris au cours des dernières années à moins penser pour sa gueule, pour se consacrer à celle des autres, chose qui ne s'est pas fait sans douleur.
Une fois le sexe fini, chacun d'entre eux se posent de leur côté du grand lit qu'ils se partagent à quatre en temps normal, et justement, il est peut être temps de se demander ce qu'il advient les deux autres individus faisant partie de ce quatuor de couple qu'il fait plaisir à voir.

Haruhi : Kyon et Ada manquent quelque chose.

Leon : Dommage qu'ils soient malades.

Le male dominant se met sur le dos, les bras croisés derrière sa tête, pour contempler cette étrange tâche sir le plafond d'un air songeur, sans qu'on ne sache exactement ce qui lui passe dans son esprit guilleret, alors qu'il ponctue ceci d'un agréable soupire.
Sa femme est couché sur le côté droit, pour lui faire face en étant évidemment pas couverte d'un quelconque couverture car ce serait mal la connaître que de dire qu'elle est pudique, elle qui était capable de se foutre à poil devant les élèves de son lycée afin de changer de vêtements pour aller au sport.
Les deux s'aiment profondément, et cela se ressent.
Même lorsque que l'un d'entre eux dérape, comme ci dessous.

Leon : N'empêche... Je me demande ce que devient Saryna.

Haruhi : Sans déconner !? Tu penses à elle maintenant !?

Leon : Désolé, c'est quelque chose que j'avais dans la tête avant qu'on ait fait l'amour.

Haruhi : Tu t'enfonces en disant clairement que t'avais cette garce là dedans quand on baisait.

Leon : Les paroles sont contre moi pour le coup. J'espère juste que tu ne bouderas pas.

Haruhi : Non, c'est bon. C'est bien parce que c'est toi, car si ça avait Kyon, il aurait subi un sale quart d'heure.

Leon : La prochaine fois, je pèserai mes mots.

Haruhi : Et sinon, c'est pourquoi que tu penses à cette salope ?

Leon : Parce que c'est une amie, et que je m'inquiète pour elle.

Haruhi : Je ne sais pas comment tu fais pour rester en relation avec elle, tellement elle est chiante.

Leon : Pas plus que Gilbert.

Haruhi : Mouais... Gill s'est quand même amélioré avec les années.

Leon : Comme Saryna.

Haruhi : Toujours aussi conne qu'avant, tu n'arriveras pas à me convaincre du contraire.

Leon : Enfin bon, que ça soit elle ou Gilbert, j'ai appris à avoir ce monde plus gris que noir ou blancs.

Haruhi : Si tu le dis.

Leon : Notre société a créé des Oussama ben Laden, Morpheus D. Duvall, Glenn Arias ou encore Dylan Blake.

Haruhi : Deux fois par le gouvernement américain, et les deux autres par Umbrella Coporation.

Leon : J'aurais aimé pouvoir en convaincre certains de cesser leur sombres manigances.

Haruhi : Je suis sûr que tu y arriveras un jour.

Leon : Merci.

Haruhi : Bon, je prête à repasser à l'action.

Leon : Bonne idée.

Haruhi : Juste, arrête de penser à Saryna durant l'acte.

Leon : Je te promet que tes désirs seront tes ordres.

Haruhi : Tant mieux.


Toutefois, avant de pouvoir refaire des galipettes, le portable de Leon, se trouvant sur la table de chevet de son côté du lit, se met à sonner, avec cet hymne français qui relie tous ceux qui se font harceler par les wokistes pour être né de la mauvaise couleur de peau selon eux, les racistes qui se le cachent.
Un peu dérangé par cette sonnerie, le vaillant héros regarde qui c'est qui peut bien appeler à cette heure si tôt de la matinée, et il se trouve qu'il s'agit de ce bon vieux Albert Wesker qu'on a pas vu ou senti depuis un moment, lui et ses crottes qu'il aime balancer tel un chimpanzé sur tous ceux qu'il déteste.

Leon : Allô Albert ?

Albert : Leon, ma Kikouille préférée ! Cela fait longtemps que t'es pas aller dire bonjour à ce bon vieux Bébert !

Leon : J'aimerai bien qu'on se voit plus, mais tu n'es presque plus chez les vengeurs, et moi j'ai d'autre préoccupation.

Dit il en lançant un regard que son ami ne peut pas voir en direction de sa belle dulcinée, avec une certaine complicité qui peut rappeler la relation qu'il a aussi avec Ada, qui sont les deux femmes les plus importantes pour sa vie, en terme d'amour pur.
Il y a aussi au moins trois noms qui lui viennent en tête quand il s'agit de ces petits protégés, à savoir Aerafal Kennedy, Sherry Birkin, et Sienna Valentine, qui ont bien évidemment une place toute trouvée dans son cœur non corrompu par la noirceur du monde dans lequel il vit.
Bien que pour lui, il serait plutôt gris.
Revenons à la conversation avec le président des Etats Unis.

Albert : Quoi de neuf à la baraque ?

Leon : Pas grand chose. J'étais en train de demander ce qu'il advenait de Saryna Coleen.

Albert : La folle démone mercenaire agent des S.T.A.R.S ?

Leon : Tu aurais une idée là dessus ?

Albert : Désolé mais ça fait deux ans que je ne l'ai pas vu, alors je ne peux pas t'aider mon pote.

Le caméléon se mord un peu les lèvres, devant sa partenaire qui est un peu saoulé qu'on parle autant de celle qui leur à causé bon nombre de soucis par la passé, ayant même cramé une fois le manoir dans lequel ils se situent ,et c'est grâce au pouvoir de la déesse japonaise que ça avait pu être réparé.
Dommage que Chris Redfield ne soit pas là, car lui avait des sentiments amoureux à une époque pour Saryna Coleen qui n'ont mené à rien, et c'est Jill Valentine qui en est ressortie gagnante au final, et ce n'est donc pas aller plus loin, ce qui est dommage, même si ce n'est le seul blaireau à s'être fait avoir par elle dans ce domaine.
Arrêtons un peu de parler d'elle pour le moment, et reconcentrons nous sur la discutions téléphonique.
Étant donné que les deux amis ont plus à discuter que de parler de celle qui est aux abonnées absentes.

Leon : Toi et ta femme, ça se passe bien ?

Albert : Plutôt bien oui.

Leon : Des projets à venir ?

Albert : Oui, je vais lancer le tournois officiel de lancer de caca, et il y a plein de de participants déjà.

Leon : Je ne savais pas qu'il y avait autant de scatophiles aux US.

Albert : Ah si tu savais.

Leon : Je sens déjà l'odeur d'ici.

Albert : Sinon, j'ai une question de mon côté.

Leon : Vas y, dis là.

Albert : Haruhi a enfin eu des enfants avec Kyon, ou bien c'est mort comme un cachalot échoué sur une plage ?

Agacée par cette question qu'elle a pu entendre grâce au mode haut parleur, Haruhi chipe le portable de son mari sans lui avoir demandé au préalable, faisant preuve d'un égocentrisme qu'on a l'habitude avec elle, bien qu'elle a quand même évolué vers le bon sens en une décennie.
Avant que Léon ou Naru aient eu leur part d'influence quand au caractère de la dame, c'est Kyon qui a eu un poids à jouer là dedans, étant donné qu'il est celui qu'elle connait depuis le plus longtemps, on peut le remercier pour ça, lui qui ne pourra pas faire son apparition dans cette fiction.
En attendant restons au centre du monde.
C'est à dire sur la belle brunette.

Haruhi : Tu le sauras quand tu passeras chez nous à l'occasion.

Albert : Ça marche !

Haruhi : Autre chose à dire ?

Albert : Si...


Albert : Tout le monde, il pue. Il sent la charogne.

Haruhi : Ça va trancher chéri !

Sans attendre que Wesker lui réponde, elle lui raccroche au nez avant de garder pour elle le portable, en attendant, ce qui n'est pas forcément du goût de l'américain parfois sexiste, mais ce dernier décide de jouer le jeu de son ami, comme vous allez pouvoir le voir.
De quoi ne pas passer pour celle qui sait tout faire, même au pieu.

Leon : Il n'y a que le Grand Babu, qui sent l'eau de Cologne.

Haruhi : Tu ne vas pas commencer toi aussi !

Là dessus, nous allons les laisser s'amuser à leur façon, alors que la femme ne trouve pas vraiment ça drôle, et nous allons voir chez d'autres personnes, qui comme le beau gosse que l'on quitte, cherche à tout prix à retrouver Saryna Coleen eux aussi.
Reste à voir si leurs intentions seront bonnes.
Nous le verrons au prochain épisode.
Voilà voilà...

Sur le pont principal d'un important navire censé être marchant, de nombreux soldats bossant pour l'organisation terroriste russe, nommée Léviathan en référence à la dite créature mythologique, se promènent dessus en s'amusant comme ils le peuvent en écoutant de la bonne zic pour eux.
Deux importantes figure de ce groupe souvent opposé aux Avengers se trouvent à bord du paquebot, discutant entre eux d'une personne que Léon voudrait retrouver, à savoir Saryna Coleen, dont on en tend beaucoup parler sans le revoir pour l'instant.
Le Général Magadan, à la tête de ce dangereux groupuscule, l'a déjà rencontré la fois où il l'avait aidé, elle et les autres super héros, à lutter contre des ennemies qui souhaitaient la fin du monde, ce qui n'est pas dans l'ordre des choses pour eux qui tiennent plutôt à la contrôler.
Gouverner quand ta planète n'existe plus, c'est un ratage complet.
Même eux l'ont compris.
Lui et le Colonel Ouramov, ici présent à ses côtés, ont été impressionner par leurs premières interactions avec la brunette qui jouait le rôle d'oracle dans ce scénario là, mais aussi de force d'attaque, car on peut dire que la bougresse sait se défendre quand il le faut, elle et ses nombreuses vies.
C'est sur ça qu'on va atterrir devant leur discutions à propos de cet être formidable.
Selon eux.

Ouramov : Nous n'avons toujours pas pu géolocaliser Saryna Coleen mon général.

Magadan : Où peut elle bien être !?

Ouramov : Les dernières informations à son sujet datent de ses représailles à l'encontre de UNIT, il y a deux ans de ça.

Magadan : Fais chier !

Ouramov : Puis je émettre une réflexion à ce propos.

Magadan : Dis toujours.

Ouramov : Ne serait elle pas tout simplement en Enfer, étant donné qu'elle était devenue un démon dans ce que l'on savait à l'époque.

Magadan : Si tel est le cas, nous irons la chercher là bas et l'amener ici, de gré ou de force.

Ouramov : Encore faut il savoir comment le faire.

Magadan : Je sais !

Ouramov : Comment ça ?

Magadan : Allons voir du côté des Avengers.

Ouramov : Je ne crois pas que ça soit une bonne idée.

Magadan : Si il y a bien des personnes qui peuvent savoir comment le faire sur cette planète, c'est bien eux.

Ouramov : Il y a UNIT aussi qui peuvent y avoir accès.

Magadan : Pour plus de réussite, j'enverrai des troupes chez les deux pour glaner des informations.

Ouramov : Je superviserai ces opérations si vous le souhaitez.

Magadan : Je te laisserai les clés entre tes mains pour ça.

Ouramov : À vos ordres mon Général !

Magadan : Rompez !

Le moins gradé des deux fait un salut militaire à celui qui est le plus haut avant qu'ils ne séparent pour l'instant, bien qu'ils n'iront pas bien loin tant que le croiseur sur lequel ils sont n'aura pas quitté la mer pour rejoindre la terre ferme où ils pourront passer à l'action.
Autant dire que les Avengers et UNIT seront surpris quand ils verront des russes s'en prendre à eux sans que ça ait un quelconque rapport avec l'Ukraine, même si on pourrait se demander si ils seront si hostile que ça, sachant qu'ils cherchent la même personne, mais pas pour la même utilité, et c'est ça le problème.
Nous reviendrons vers eux un peu plus tard car nous aurons de quoi en dire.
Gardez votre mal en patience.

Aux alentours de Boston, ville qui était jadis sous le joug du Mystérieux Étranger qui a été ébranlé par un certain Holt Valentine et sa clique, réside une autre figure incontournable du coin, à savoir Silver Shroud dont vous avez vraisemblablement entendu parlé, mais dans le cas contraire, je vais vous le présenter.
Ce détective privé hors norme en a inspiré tant d'autres qui sont devenus des amies pour certains comme Nick Valentine qui s'occupe souvent des cas ayant lieu aux Etats Unis quand le boss est trop occupé à faire des galipettes plutôt que son boulot, plus proche d'un Ryō Saeba que du Sherlock Holmes.
Pour lui servir d'assistante, s'occupant du Japon, ou des cas de proches amies quand il n'a pas le temps pour le faire, il y a Masumi Sera la seule survivante de la descendance de la famille Akai/Sera, qui est en "couple" avec un gros blaireau qui se nomme Maxime Moulin et qui a un véritable harem à ses pieds.
Reste plus que Lily, la bonne secrétaire blonde du gros pervers dont on développe, et elle est le cliché de celle qui glisse aux pieds de son maître, bien qu'on suppose qu'elle le fait exprès, étant donné que ça finit toujours par copuler sous le bureau, comme ce qu'il est en train de faire au moment d'arriver, devant un regard externe dubitatif.

Masumi : Toi et Lily, c'est du sérieux depuis le début ou pas ?

Silver : Comment elle aurait eu le job sinon ?

Masumi : Je vois.

Lily : Tu peux venir si tu veux.

Masumi : Je passe mon tour.

Lily + Silver : Dommage.


Cette drôle de sonnerie de téléphone, pour celle qui n'est techniquement pas française, se met à faire parler d'elle depuis la poche avant gauche de son jeans où elle s'empresse de vérifier de qui il s'agit, en ayant marre des numéros qui appellent sans cesse pour te vendre de la merde à prix cher.
Cela la soulage de découvrir qu'il s'agit de Leon Scott Kennedy qui est derrière ça, et elle se dépêche de toucher le bas de l'écran pour le monter en haut afin de décrocher, ce qui va lui permettre de parler avec lui dans une humeur qui respire le bonheur comme vous pouvez l'entendre sortir de ses poumons via l'air de sa bouche.

Masumi : Kikou Leon !

Leon : Salut Masumi.

Masumi : Cela fait un mois qu'on s'est plus parlé !

Leon : En effet, désolé.

Masumi : T'as pas à t'excuser, c'est pas grave.

Leon : Tu vas bien on dirait.

Masumi : Cela s'entend à ce point là !?

Leon : Oui, très bien même.

Masumi : C'est juste que j'ai eu les dernières nouvelles concernant certaines personnes de l'affaire du mois dernier.

Leon : L'affaire de la séquestration d'un jeune japonais dans les sous sols du QG britannique du BSAA.

Masumi : Chris a tenu à ce que cette affaire s'ébruite, pour affirmer son opposition aux magouilles du BSAA.

Leon : C'est d'ailleurs Chris qui m'avait tenu informer de cette affaire avant que toi tu me le dises l'autre fois.

Masumi : Vous êtes deux valeureux combattants du bien contre le mal, donc ça ne m'étonne pas.

Leon : Sans Claire, je ne l'aurais jamais connu.

Masumi : C'était comment votre première interaction ?

Leon : C'est quand Claire était coincée sur Rockfort Island, une île appartenant à Umbrella.

Masumi : Je vois le genre de coin qui fait relativiser Guantanamo

Leon : Elle voulait que j'envoie sa position à Chris, et c'est ce que j'ai fait grâce à ma place dans les services secrets américains, même si je venais seulement de rejoindre ceux ci.

Masumi : Quel héros.

Leon : Et donc les nouvelles dont tu parlais sont... ?

Masumi : Hina et Gérard s'entendent bien avec Josué, et il n'a tué personne d'autre depuis qu'il vit avec eux sous une certaine surveillance, mais loin d'être équivalente à ce qu'il a vécu là bas.

Leon : Cela fait plaisir à entendre.

Masumi : Et toi ? Tu avais quelque chose à me demander pour cet appel, ou rien ?

Leon : Effectivement, j'aurais bien besoin de toi pour une nouvelle affaire. Si ça ne te dérange pas.

Masumi : Je suis toujours partante pour une enquête, ne t'en fais pas.

Leon : J'aurais besoin que tu retrouves la trace de Saryna Coleen, disparue il y a presque deux ans.

Masumi : Ça marche pour moi.

Leon : Je suis content de trouver quelqu'un qui s'inquiète un peu pour elle, pour accepter ma demande.

Masumi : J'ai failli crever pour la protéger, alors ça créé des liens.

Leon : Wesker lui aussi l'apprécie bien, quoiqu'il en dise.

Masumi : L'autre fois que des recherches ont été fait pour la retrouver, il en était le commanditaire.

Leon : Il ne m'en avait jamais parlé.

Masumi : Normal, tu étais malade à en crever à ce moment là.

Leon : Tu en sais des choses.

Masumi : C'est mon métier qui veut ça.

Leon : Même si elle n'était pas détective privée, tu me rappelles un peu Tsuruya Kudō.

Masumi : Ses parents sont quand même d'un plus haut niveau que les miens, ou bien mes frères décédés.

Leon : Des Littlefinger en puissance.

Masumi : Moi je pensais plutôt au gros chauve qui meurt dans la dernière saison.

Leon : L'une des pires fin de série que j'ai pu voir dans ma longue vie.

Masumi : Je te fais pas dire. Bran Stark en roi, alors que c'est la Corneille à Trois Yeux.

Leon : Daenerys qui brule des innocents, elle qui a toujours été du côté du peuple. Enfin bon...

Masumi : Je te recontacterai dés que j'aurai du neuf sur Saryna.

Leon : Bien, merci Masumi.

Cela raccroche enfin, après cette petite discutions pouvant être ennuyante pour ceux qui n'ont pas les références, mais ne vous en faites, vous comprendrez totalement ce que va voir dans la suite de cette intrigue qui n'est pas dans votre réalité, mais qui se trouve dans un monde que vous appréciez.
Chacun va partir de son côté pour mener à bien leur recherches concernant de la personne qui peut se vanter d'avoir marqué autant de gens, même si Gilbert Montagné la bat sur ça, alors que tout de même elle le suit pas loin derrière, bien qu'elle ne semble pas encore prête à le dépasser.
Je suis impatient d'en savoir plus, autant que vous.
On se retrouve très vite pour la suite.

Depuis cette grande étendue, nous pouvons apercevoir la magnifique capitale européenne et même internationale qui resplendie de vue, tandis à l'opposé on pouvait aussi contempler les frontière italienne et française que se dévoile à la Suisse, un pays toujours resté neutre, mais qui a su quand même tirer son épingle du jeu.
Lina Inverse, la Major-Générale de l'United Nations Intelligence Taskforce, dont on peut voir le quartier général depuis là où on est, se trouve sur un petit bateau de pêche avec sa petite canne avec laquelle elle a attaché l'une de ses cheveux roux pour servir de ligne, tandis qu'un asticot est utilisé en appât.
À ses cotés nous retrouvons Masumi Sera qui a dû en faire du voyage pour aller des States jusqu'au pays du fromage de toutes sortes, bien qu'il soit à égalité avec une de ses contrées voisine, et ça change d'être toujours dans les mêmes endroits à revoir encore et encore, même si maintenant que j'y pense, on a déjà beaucoup vu ce lieu.
Si ces deux femmes se sont retrouvées à ce moment là que l'Histoire, ce n'est pas juste pour essayer de choper son repas du midi, mais égaler pour parler de choses sérieuses, ce que ne semble pas comprendre la jolie rouquine ayant aussi peu de sein que son interlocutrices, deux planches à pain, car là le dialogue part loin, voyez par vous même.

Lina : C'est donc pour cela que je trouve que Mike fait un aussi bon président que Gilbert ou Albert.

Masumi : Je crois que nous nous éparpillons, et que nous sommes loin de la raison de ma venue ici.

Lina : Vous êtes venu m'accompagner dans cette barque pour quoi déjà ?

Masumi : Pour découvrir ce qui est arrivée à Saryna Coleen après le premier octobre de deux mille vingt deux.

Line : Je sais.

Masumi : Vous allez me le dire ?

Lina : Nope.

Masumi : J'ai une proposition à vous faire pour délier votre langue.

Lina : Je vous écoute.

Masumi : Vous aurez un repas gratuit au Café Poirot, et un chèque de 500 000 euros.

Lina : Bien... Vous savez comment acheter ma parole !

Masumi : C'est donc oui ?

Lina : C'est exacte.

Masumi : Enfin !

Lina : Attendez... C'est quoi ça là bas ?

Masumi : De quoi ?

À travers les nuages, plusieurs escadrons aériens font leur apparition, juste au dessus du QG de UNIT, manœuvrant avec justesse en suivant une route prédéfini qui montre qu'ils ne sont pas des moins que rien sachant rien faire, voulant impressionner ceux au dessus d'eux sans y parvenir.
Grâce au blason qui marquent leurs appareils, ils appartiennent à Léviathan, un groupuscule voulant dominer le monde tel leurs antagonistes de toujours, Hydra, les premiers suivant la voie de Marx, ou plutôt de Staline vu leur niveau, alors que les seconds sont affiliés aux nazis, notamment celui que l'on surnomme Crâne Rouge puisque qu'il a un crâne rouge visible.
Vu depuis le bord du lac, les avions survole un premier coup, juste pour faire les repérages de cette étendue aquatique, et surtout du building mentionné plus tôt.
Quand ils reviennent à contresens, la haut gradée comprendre de suite de quoi il en retourne.

Lina : Mets toi à couvert !

Masumi : D'accord !

Finit les vouvoiement, on passe au choses sérieuses.
Masumi écoute l'ordre ferme de Lina, se mettant à plein ventre dans l'embarcation alors que les premiers missiles viennent tout bombarder, faisant remuer l'eau dans tous les sens, alors que leurs passagères essayent d'y tenir le plus longtemps possible, mais avant la prochaine salve, l'intelligente rousse propose quelque chose.

Lina : Accroche toi bien à moi !

C'est alors que la sorcière dévoile à la pro de Jeet Kune Do ses pouvoirs magique.

Lina : Lévitation !

Soudainement, tandis que la femme brune serre l'autre planche à pain par la taille et ne la lâche pas alors qu'elles commencent à s'envoler sous les regards étonnés des pilotes des chasseurs russophones, ce qui leur permet d'avoir de l'effet surprise sur ceux ceux qui devraient en avoir aussi.
Une incantation se fait alors devant les regards médusés des ennemis aux héroïnes

Lina :

Une intense boule de lumière sphérique se tenant dans la main de l'invocatrice, réussit à éblouir le camp opposé où les différents aéronefs se crachent dans le décor, ou bien contre eux même, donnant un avantage sérieux à UNIT qui décide de sortir l'artillerie lourde eux aussi.
Leurs Pelicans derniers cris apparaissent dans le ciel entièrement bleuté, sortant du bâtiment principalement ciblé parmi la sauce ultime des soviétiques, et comme des cas d'invasions extraterrestre ont pu prouver par le passé, cette société paramilitaire sait se débrouiller quand ils le veulent, mais je vais quand même les clasher.
Il faut dire qu'ils n'avaient pas trop brillés l'année dernière, quand en début 2024 des pillards de l'espace étaient venus, alors que l'ONG avait un matos moins futuriste, ou encore en fin de cette même année quand les Cybermen avaient tenté de convertir les membres d'extrême droite à leur rang et c'est un trio de blaireaux qui les ont vaincu.
Donc si la situation est presque sûre de terminer par une victoire de leur côté, c'est grâce à Lina et personne d'autre, ce qui explique pourquoi son organisation lui fait autant confiance pour les protéger de tous leurs adversaires qui sont nombreux à travers l'univers tout entier.
N'oubliant point le poids mort sur elle, la jolie rouquine la regarde avec un sourire tout aussi gracieux qu'elle même.

Lina : Impressionnant, n'est ce pas ?

La brune a dû mal à croire qu'elle soit dans les airs, accrochée à l'héroïne du jour à qui elle doit la vie.

Masumi : Oui, merci.

Tandis qu'il pleuve des carcasses d'avions tout autour d'elles, elles reste encore pour profiter de la vue dont le petit copain de Masumi serait horrifié si il était là, étant donné qu'il a le vertige, mais il faudra qu'elle le lui raconte, étant sûre te certaine que cette histoire va lui plaire.
Nous reviendrons vers elles sûrement, mais pas tout de suite, car ailleurs, un massacre a aussi lieu.

Sirotant le café noire, chaud, dans une tasse bouillante que notre héros du jour tient correctement pour ne pas se bruler avec, ce qui serait con de sa part, surtout qu'il a fait preuve de courtoisie auprès de la serveuse qu'il le lui a tendu avant de partir s'occuper des autres clients, puisque pour le coup il n'est pas seul.
Leon Scott Kennedy regarde depuis son siège à côté de la fenêtre, les passants faire leurs besoins, et ce ne veut pas dire qu'ils font caca, car se serait immature de croire en ce sens de la phrase, bien que je me doute que quelqu'un comme Albert Wesker aurait l'esprit mal tourné sur ce sujet là.
Dehors, une femme, la vingtaine, pesse devant la vitre avec son voile islamique et est dévisagé par les autres personnes qui sont là aussi, étant donné que ça fait un grand débat que de quoi faire avec l'Islam, même si la France par exemple, a décidé lutter contre cette secte un peu trop puissante, avec un matos de fou pour réussir leur objectif.
Revenons à l'intérieur où l'ancien agent de la Division of Security Operations sent sa poche vibrer, suivi d'une mélodie coréenne, signifiant que quelqu'un l'appelle, et en le sortant pour voir qui c'est, il voit le nom d'Ophelia Sarkissian apparaître, ce qui lui fait agréablement plaisir puisque ça fait un moment qu'il n'avait pas eu de nouvelles d'elle.

Leon : Salut Ophelia, ça fait longtemps.

Ophelia : Leon, t'es où là ?

Leon : Je suis dans un café tranquille, sans trop de monde. Pourquoi ça ?

Ophelia : Une taupe à nous Hydra chez Léviathan nous a indiqué que Magadan, leur chef, cherche la trace de Saryna Coleen.

Leon : Ils veulent donc la même chose que moi.

Ophelia : Sauf qu'ils ont prévu, parmi leurs pistes de recherches, de s'en prendre à toi pour récolter des informations. Tu dois te tirer d'ici, avant que...

Tout à coup, la porte de l'établissement se fait atomiser depuis l'extérieur, avant que des hommes en blanc avec le visage caché se montre, façon Stormtroopers, en étant quand même un peu plus talentueux qu'eux, puisque on se rappelle tous de celui qui cognait son casque contre la porte.
Leur cible reste calme, toujours assis sur siège, alors qu'autour de lui, ça s'affole chez les civils.

Leon : Trop tard Ophelia.

Le colonel Ouramov fait alors son apparition, provenant de derrière ses sbires, en restant droit sur ses bottes, en étant non armé pour essayer de montrer, contrairement à ses unités, qu'il vient en paix, contrairement à ce qu'on pourrait croire en voyant sa gueule de communiste.
Il prend une chaise, face à l'homme en blouson en cuir qui les intéresse, pour s'y poser et discuter calmement.

Leon : Je n'ai pas envie de perdre la vie de tant d'innocent durant mon repos, comme lors du cas de Glenn Arias.

Ouramov : Moi non plus, je veux éviter un bain de sang.

Les deux hommes ont l'air d'être sur la même longueur d'onde sur ce sujet là, bien que ça n'empêche pas quelques messe basses entre deux serveuses qui sont visiblement apeurées par la présence de tous ces soldats lourdement armés qui font fortes impression.
Sans attendre plus longtemps, le beau brun blond coupe l'appel, empêchant Ophelia d'écouter le reste qui vient.

Ouramov : Votre amie vous a dévoilé la raison de notre venue.

Leon : Vous voulez me soutirer des informations concernant Saryna Coleen.

Ouramov : Bien... Alors ?

Leon : Cela fait deux ans qu'elle a disparue de la circulation. Je m'inquiète beaucoup pour elle, et je voudrais la retrouver aussi.

Ouramov : Vous n'avez pas la moindre idée de la zone où elle pourrait se trouver.

Leon : Peut être en Enfer si elle est toujours démoniaque.

Ouramov : Ce n'est pas un endroit où s'est facile d'y entrer ou sortir, mais je pense qu'avec vous à nos côtés, on pourrait peut être la retrouver.

Leon : Vous voulez en faire quoi de Saryna ?

Ouramov : Nous servir d'elle pour conquérir le monde.

Leon : Rien que ça.

Ouramov : Vous avez déjà bien aidé Hydra sur ça.

Leon : On les a beaucoup combattu aussi.

Ouramov : Voulez vous aider ou bien laisser passer votre chance de lui remettre la main dessus ?

Leon : J'ai connu pire comme alliance.

Ouramov : Comme la fois où nous nous étions entre aider à protéger la planète d'un cataclysme.

Leon : Saryna était encore une fois le centre de l'attention.

Ouramov : Cette femme était, et le restera toujours, notre élu.

Leon : C'est du fanatisme à ce niveau là.

Ouramov : Vous savez de quoi vous parlez.

Leon : J'en ai fait tomber des gourous en tout genre.

Ouramov : Je vous donne ma parole que rien de mal sera fait à vos amies si vous nous aidez.

Leon : Une menace ?

Ouramov : Vous le prenez comme vous le voulez.

Leon : J'accepte votre offre, mais à la moindre entourloupe, je cesserai de vous aider.

Ouramov :  Merci.

Leon : On y va alors.

Le russe se lève ne premier, laissant l'américain le suivre de très prêt, tandis que le reste de la troupe suit leur supérieur hiérarchique, laissant les différentes personnes dans le café pousser un "ouf" de soulagement, avec certains qui appellent déjà la police au cas où ils reviendriant.
Avant de monter dans un véhicule désignée, notre Leon regarde le numéro de Saryna où il n'y plus de nouvelles.

Leon : Les femmes...

Pas de message de sa part depuis sa mort, quand elle n'était pas encore revenu des Enfers sous forme démoniaque, voulant à tout prix détruire UNIT, et se venger de la marmotte humanoïde du nom de S'appelait qui lui par contre n'est pas trop dérangé par le fait den e pas savoir où elle peut bien se trouve, même si ça lui éviterait le pire.
C'est ainsi que tout le convoi s'en va, aussi rapidement qu'ils étaient venus.
Reste plus qu'à savoir ce que cette équipe de choc va donner.
Après tout, ça a marché Hydra, alors pourquoi pas avec Léviathan.

Autrefois, le sous sol de cet humble demeure avait accueilli un certain TH5 qui avait pu s'échapper de sa captivité en usant de malices, convainquant ses geôliers de le relâcher, alors que les chef des vengeurs, Maxime Moulin, n'avait clairement pas voulu cette chose.
Aujourd'hui, Leon Scott Kennedy a fait venir quelqu'un de très important dans le but de retrouver la septi... la démone répondant au doux nom de Saryna Coleen, et qui pour une fois ne ressemble pas à Lara Croft, ce qui est un progrès contrairement aux autres forums de rôle précédant.
Haruhi Suzumiya est présente bien malgré elle car elle est la copropriétaire de cette habitation, sans oublier le fait qu'elle est mariée à l'homme qui possède officiellement cette habitation, ce qui explique pourquoi elle n'a pas dégager les méchants russes de chez elle, en s'en foutant complet de Saryna pour son cas.
Le Colonel Ouramov est bien évidemment de la partie alors que personne ne le connaissait parmi la pléthore de personnages ici présents que je n'ai pas fini de vous décrire, ce qui en fait un individu qu'aucun n'aimerait connaître alors qu'il n'est pas foncièrement méchant, voir pas plus qu'Ophelia Sarkissian.
Jackie Estacado est sorti de sa retraite forcée par le Punisher, mais pas pour faire des trucs de mafieux qui lui ont coûté très cher quand il était encore membre de cette pègre new-yorkaise où c'est Wilson Fisk qui dirige le bousin en étant maire de cette ville, après tous les malheurs qu'elle a subi.
Jenny Romano a suivi son mari car si il doit revenir sur le devant de la scène, elle aussi, car tous les deux ont vécu d'énormes épreuves tous les deux, que ça soit par la possession par le Darkness pour le premier et celle de l'Angelus pour la seconde, mais ça c'est une autre histoire.
Baptiste Sixte est content de pouvoir revisiter le manoir dont il n'avait pas mis les pieds depuis sa reconstruction, et il sort pour une fois de son rôle de PDG d'une des plus grosses firmes d'armements et de mercenariats au monde qui arrive à ne pas chuter en bourse, contrairement à Ubisoft, alors que les deux ont des casseroles au cul.
Naomi McFinn s'efface derrière son conjoint, étant plus tôt du genre timide, bien qu'elle ait pris le courage de ses deux mains afin de ne pas être laissé de côté comme ça peut être parfois dans leur couple, alors qu'elle est plus qu'heureuse d'être à ses côtés comme elle le peut.
Ensemble, ils sont là, c'est pour ouvrir un portail menant vers l'enfer, comme ce qu'avait pu faire de demi démon jadis avec sa sœur Ailein Bartley, plus leur père biologique, et pour se faire, il faut avoir deux artefacts qui permettent également suivi comment elle est utilisée.
L'italien d'origine avait l'Œil de Polyphème, et le grand patron les Ailes du Purgatoire, voilà qui explique la présence de tous ces personnages qui toutefois n'iront pas forcément tous dans les limbes étant donné qu'il est plus facile à s'organiser en groupe réduit, comme le dit à chaque fois Mister Kennedy.

Haruhi : Je suis partante pour y aller !

Leon : Je croyais que ça te déranger le fait d'essayer de retrouver Saryne Coleen.

Haruhi : Tu oublies la raison même de l'existence de la Brigade SOS, et des Avengers aussi.

Baptiste : Enquêter sur le paranormal et défendre la Terre des menaces qui en découlent.

Haruhi : Parfaitement.

Baptiste : Voilà en partie pourquoi j'ai laissé pour siège à la tête des Avengers.

Naomi : Je croyais que c'était à cause de Saryna Coleen elle même que tu as jeté l'éponge.

Baptiste : Aussi.

Haruhi : Je vais pouvoir rencontrer Satan en personne !

Leon : Mais tu l'as déjà rencontré une fois.

Haruhi : Oui, mais pas chez lui, en Enfer.

Leon : Je ne sais pas si c'est vraiment une bonne idée.

Haruhi : Tu veux juste en profiter pour être en tête à tête avec Saryna, ta maitresse.

Leon : Mon cœur t'appartient déjà à toi, ainsi qu'à Ada.

Haruhi : C'est décidé, je fais parti de la team.

Leon : Si c'est ce que tu veux.

Jenny : Il fut rapide à persuader.

Ouramov : Qui d'autre vient ?

Jackie : Je préfère rester en retrait.

Baptiste : Pareil aussi pour moi.

Haruhi : Il n'y en a pas beaucoup qui veulent retrouver ta bien aimée.

Leon : Pas besoin d'être jalouse, ce n'est qu'une amie.

Haruhi : Pour une amie, elle s'est montrer hostile avec toi énormément de fois, sans oublier sa relation avec Chris.

Leon : J'avoue que comme Gilbert, elle peut se comporter en gamine, mais malgré ça, je resterai à ses côtés.

Haruhi : Si tu le dis.

Ouramov : Juste nous trois, cela me va.

Haruhi : Parfait, allons y !

Les deux objets sacrés sont alors mis ensemble, et tout à coup deux portails s'ouvrent sous leurs yeux ébahis, pour ceux qui n'avait pas encore vécu ça, avec le premier étant blanc, et l'autre noir, dont on peut aisément prédire lequel mène au paradis, et lequel débouche dans les Enfers.
Haruhi et Leon se mettent derrière le russe qui emprunte sans plus tarder cette voie vers une autre dimension existant dans cet univers, puis avant de le suivre, ils se prennent la main en amoureux, avant de se lancer un regard joyeux et compréhensif, puis ils hochent de la tête en même temps.
D'un pas, ils traversent ce pont les menant vers des profondeurs rarement empruntés pas des humains vivants.
Reste plus qu'à voir si ils sont sur la bonne piste.

Les flammes éternelles brûlent ardemment de leur couleur orangées vives dans les niveaux supérieurs de cette dimension infernale, sous les cris des âmes en peine qui ne cessent jamais tandis que leur cousines, bleutés, se trouvent dans les paliers plus bas où la froideur est réservée aux pires des individus, mais on n'explorera pas cet endroit, contrairement à Kratos.
Le Big Boss a été monté expressément via ascenseur flamboyant jusqu'au bureau d’accueil où se trouvent notre trio de personnage, composé d'un Leon Kennedy curieux, d'un Ouramov impassible et d'une Haruhi Suzumiya collée en bavant contre le vitre donnant sur une vue imprenable sur le terres flamboyantes de cette dimension ardente.
Cette pièce ressemble étonnamment à une simple réception humaine ordinaire, avec juste quelques détails qui te montrent que ce n'est pas le cas comme une horloge en forme de crane qui indique toujours 16H59, des pics sur le canapé de repos, des magazines très très chauds, ou encore des doigts de fées en guise de biscuit apéritif disponible dans un bol.
Lucifer n'en a que faire des humains, diront certains, mais derrière sa carapace dure se cache quelqu'un qui tient à la paix entre les siens et les terrien, ainsi que les anges, bien qu'il n'arrive pas à empêcher certains de ses pions d'aller au caque, comme une certaine Saryna Coleen, et ça tombe bien qu'on parle d'elle parce que...

Ouramov : Où est Saryna Coleen ?

Un petit rire s'émet du côté du saint patron du royaume des damnés, alors qu'il reste courtois avec eux.

Lucifer : Pas même un petit bonjour pour démarrer la conversation avec politesse.

Une furie japonaise écarte le russe de son chemin pour faire face, émerveillée de tout ce qu'elle voit ici.

Haruhi : Est ce que je peux rester ici, juste pendant quelques journées, juste le temps de visiter le coin !

Lucifer : Ce ne sera pas possible malheureusement.

Haruhi : Mais pourquoi !?

Lucifer : Il est interdit aux humains d'être ici.

Haruhi : Pfff, même pas drôle !

Lucifer : Vous pourrez remercier Monsieur Flagadou Atcheum, le père d'Ailein Bartley et Baptiste Sixte, de s'être tapé une de mes employée, Abrahel, avant d'aller se faire un ange, ce qui fait qu'il est aussi interdit de visiter le paradis, et les règles vont rester jusqu'à l'éternité.

Haruhi : Je suis une déesse donc je vois pas en quoi ça dérange.

Lucifer : Vos deux amis sont humains.

Haruhi : Ils pourront repartir sans moi si c'est juste ça le problème.

Leon : Tu vas nous abandonner juste pour être à l'aise en Enfer.

Haruhi : Cela me permettra d'oublier que tu penses à ton "amie" avant moi. C'est tout.

Leon : Tu ne lâches jamais l'affaire.

Le voilà qui se marre bien de voir sa femme lui tirer la langue avant de partir visiter les locaux, laissant ses deux compagnons s'occuper de l'affaire Saryna Coleen, passant devant de maître des lieux qui semble un poil mécontent, mais il laisse pisser pour le coup car elle lui a fourni un alibi en bêton.
On repart alors dans très sérieux avec le soviet qui fait son tourne disque, à se répéter comme vous allez voir.

Ouramov : Où est Saryna Coleen ?

Lucifer : Dites moi, vous n'avez que ce nom à la bouche.

Leon : Notre piste nous a mené tout droit chez vous, car la dernière fois qu'on la vu, elle était devenue une démone.

Lucifer : Une piètre démone si je suis franc avec vous.

Leon : Vous avez dû beaucoup la sermonner.

Lucifer : Pas qu'un peu.

Leon : Elle vous est rester fidèle malgré tout.

Lucifer : Un bon chien chien avec moi.

Ouramov : Est ce que vous savez où elle est ?

Lucifer : Je suis au regret de vous dire que je n'en ai aucune idée.

Leon : Ne me dites pas que vous aussi ignorez ce qu'il est advenu d'elle depuis deux ans comme nous.

Lucifer : Vous savez viser juste.

Ouramov : On perd notre temps ici.

Lucifer : Et moi, j'ai des affaires à réglé, donc je vous laisse retourner chez vous sans causer plus de vagues.

Leon : Merci quand même pour avoir tenté de nous aider.

Lucifer : Pas de quoi.

Extrêmement déçu, la Colonel rebrousse chemin, la queue basse, suivi de près par l'ancien agent américain qui jette juste un dernier regard en arrière, dans cet endroit où il ne risque plus de mettre les pieds dans sa vie, si jamais rien ne change au niveau de la législation.
Peut être qu'avec le temps, ils seront moins hostile envers l'humanité dont ils n'ont que faire en théorie.
Ce seraient sans doute sous estimer les rares actions de Dieu et Lucifer dans notre monde.
Même si là, l'un d'eux n'a pas été utile.
Cela va rentrer bredouille, avec une personne en moins.
Est ce qu'on aura de belles surprises ou pas ?

Le Colonel Ouramov revient bredouille de ce passage en Enfer, et cela lui laisse profondément inquiet pour son cul, si toute cette opération se révèle être un pur échec, alors son supérieur, Magadan, aura sa peau, où il ne reste plus qu'à prier pour sa survie.
Le Leon le suit de près, aussi déçu que lui, bien que sa vie ne soit point menacée , mais il aurait aimé savoir ce qu'il était advenu de sa précieuse amie qu'il a côtoyé pendant près de dix ans, si on compte les deux dernières années où il ne l'a pas vu, ni même échangé par un quelconque moyen.
Saryna Coleen occupe une place au sommet de ce château de carte dont on essaye de l'extirper afin d'être à nouveau avec nous, car même si il y a eu des moments où elle s'est révélée énervante, il faut souligner que c'était le cas pour Gilbert Montagné et Albert Wesker aussi.
Par contre, avec leur retour, nos deux revenants à la Sliders s'attendaient à avoir un public pour les accueillir, sauf que que nenni puisqu'il n'y a plus les quatre personnes qu'ils avaient laissé en arrière en partant, ce qui est plus que louche pour les deux cerveaux intelligents qui sont là.

Ouramov : Où sont passés vos amies ?

Leon : Je ne sais pas.

??? : Vous vous êtes fait attendre.

Des bruits de petites bottines se fait entendre sur l'escalier en pierre qui amène deux figures qu'on connait bien et dont on croyait le pire depuis la dernière fois qu'on les a laissé ensemble à Genève en Suisse lors d'une attaque ciblée de Léviathan sur le quartier général mondial de UNIT.
Vous aurez reconnu Lina Inverse à la voix, et qui est en tête de file avec toujours son côté égocentrique où faut qu'on soit attendri par son côté mignon alors qu'elle vous fait les poches, ce que son entourage ne manque pas de lui souligner, même ses deux conjoints, Gourry et Mike.
Masumi Sera est sur ses talons, laissant son acolyte de cette mission qui lui a été refilé et sans qui, elle n'aurait jamais eu le fin mot de l'histoire, chose qu'elle meurt d'envie de révéler à son ami amerloque, si l'autre ne la devance pas trop à ce sujet là.
Les deux femmes finissent par faire face aux deux hommes qui sont pour le coup ignares car la situation a été peu folichonne, bien que ça n'est pas leur faute, surtout qu'il avait une piste prometteuse, mais arrêtons de tourner autour du pot auquel un bourgeon fait son apparition.

Lina : On a une surprise pour vous.

Elle laisse une troisième personne, toujours une femme descendre les marches pour être visible de tous.
Le beau brun n'en croit pas ses yeux, se les frottant afin de s'en assurer, et en regardant le russe qui lui reste impassible comme toujours, alors que cette nouvelle risque de plaire à son Général, alors que tout semblait perdu depuis le début de cette aventure.

Masumi : Case closed !

Leon : Saryna...

Celle dont on craignait le pire, est désormais présente devant les deus de personnages, avec l'un d'eux ayant du mal à ravaler leur salive, surtout Leon, Ouramov étant froid même si il a eu un petit rictus, au moment de reconnaître Saryna Coleen.
Seulement, la suite ce sera pour une autre fois.
Désolé les enfants.
Je vous promet que ça sera épique.