[RP] Femme au Volant...

Max la menace claque les fesses de la cochonne entravée, se plaisant bien à la tourmenter gratuitement.

Maxime : Je paye la tournée de ceux qui vont nous aider à nous la trimballer jusqu'au pont du corbeau !

Julien : Je vous aide de ce pas !

Ensemble, ils soulèvent la grosse truie par ses quatre membres, puis ils la portent jusqu'à l'extérieur du bar où ils la conduisent ensuite auprès d'un pont après une bonne trotte de marche faite en union, avec les acclamations des commerces devant lesquels ils passaient, chose qui a de quoi réchauffer le cœur.
La promenade chaleureuse les conduit juste devant la flotte où ils attendant le bon moment pour enfin jeter ce poids lourd sur leurs épaules sans qu'elle ne puisse rien y faire pour contrer cette mise à mort, car tous ses jambes et bras sont vraiment très bien ficelés.
On peut dire que Sandrine Rousseau va dormir avec les poissons cette nuit là, et ce meurtre ne sera pas inquiété par la police ou une quelconque justice puisque personne ne pouvait piffer cette imbécile qui n'avait pas une une connerie à ne pas mettre au dessus l'une de l'autre.
Ceci étant fait, chacun des figurants présents pour cette scène retourne au Melt, alors que Julien Chièze regarde une dernière fois par dessus bord pour sa propre satisfaction personnelle avant de rejoindre les autres là bas, laissant Maxime Moulin et Thomas Hilbert causer ensemble.

Maxime : Bon moi je vais juste faire un petit pipi, et ensuite on y retourne.

Il baisse alors sa braguette et se met à uriner dans l'Ill tout en essayant de siffloter un air musical, seulement pour se rappeler qu'il ne sait pas siffler, ce qui ne l'empêchera pas de retenter plusieurs fois vainement, jusqu'à entendre un appel qui lui est destiné, provenant de sa droite.
Hervé Valentine, le père de Holt et Jill longtemps cru mort, s'approche d'eux en ayant un gros accent français qui va bien avec le fait qu'il sache s'exprimer en cette langue étant donné qu'il est originaire de ce beau pays où le coq aime bien se pavaner pour montrer qu'il n'y a pas meilleure contrée où se balader aussi tranquillement.
Sienna Valentine, sa petite fille, a bien grandi depuis la première fois où on l'avait croisé quand elle était encore une pré-adolescente vivant aux Etats Unis où elle a fait ses études, ce qui fait qu'elle maîtrise bien mieux l'anglais que le gros lard à lunettes ici présent, c'est pour dire.
Ce dernier cesse de soulager sa vessie et se tourne vers l'ensemble de son public, n'étant plus que de trois individus afin de servir de médiateur entre eux car c'est normalement la leur première rencontre comme il ne va pas tarder à le souligner, donc je vais me taire un petit peu.

Maxime : Thomas, il ne me semble pas que vous aient étiez déjà présentés, alors voici Hervé Valentine, et sa petite fille, Sienna, qui est membre des Avengers.

Sienna : À Temps plein.

Hervé : Je suis fier de dire qu'elle est ma descendance.

Maxime : Et lui c'est mon ancien rival, TH5 Channel, ou Tom pour les intimes.

Il laisse le temps à son ami de se présenter un peu plus aux nouveaux venus dont on espère rien de grave.

Étonnamment, le jeune homme à l'histoire mystérieuse semble Out Of Character.

TH5 : Bon bah alors, tu me suces la bite, hein ?

Cela surprend son ami de longue date qui a l'impression comme si c'était quelqu'un d'autre qui le contrôlait.

Max tourne son regard vers vous spectateurs, et un peu vers moi aussi au passage, conscient de son être.

Maxime : Hé le Narrateur, si tu faisais correctement ton boulot.

Hervé : Le Narrateur ?

Sienna : Gilbert en parle beaucoup.

Maxime : Bon reprenons avec ta présentation, sans écart cette fois ci.

On peut oublier ce petit aparté narratif en m'appliquant plus à ma tâche, je vous le promet assurément.

TH5, au lieu de faire une longue tirade en guise de présentation, présente sa collection de Funko Pop de Michael Jackson qui sont des éditions rares, et cette joie se transmet à Sienna Valentine comme si c'était Lucy Heartfilia avait pris le contrôle de son corps pour s'émerveiller devant ces poupées.
On peut dire qu'il risque de se faire une amie sur ce coup là si jamais il ne fait pas tout foirer sur la fin.

La jeune femme enjouée sautille sur place en chérissant l'une des poupées qu'elle a pu prendre pour l'occasion.

Sienna : J'adore les Funko Pop !

Maxime : Pas moi, c'est moche.

Sienna : J'adore Michael Jackson !

Hervé : Pas moi, il est moche.

Deux camps se font faces pour le coup là, et on peut dire qu'on s'engage sur une pente très glissante.

TH5 sens prend violemment à Hervé.

TH5 : Ta vu ta tranche toi on dirait Emmanuel Macron qui est passé sous un bus ! Déjà qu'il a une gueule de con de base !

Le fan touché au fond de son cœur exprime sa rage.

Hervé n'a pas peur du gringalet qui est vachement moins menacent qu'une Organisation Noire, ou que Umbrella.

Hervé : Je m'avance peut être en étant un peu égocentrique, mais j'ai une meilleure gueule que MJ !

Sienna : Pardonne mon grand père TH5, il a toujours préféré Prince ou Johnny Hallyday.

Hervé : Le vrai roi était français et c'était Jojo !

Sienna : Non, c'était Michael Jackson à l'international, et en France c'est Gilbert Montagné.

Une tension a lieu entre la fille et son papy, même si celle ci est plutôt amicale, plus qu'une vraie animosité.

TH5 ce tourne vers Sienna.

TH5 :Je t'aime bien toi !

Dit il en la pointant de ses deux index.

Sienna est très réceptive face à l'influence de TH5 sur elle avec qui elle partage des passions similaires.

Sienna : Est ce que t'as eu le privilège de le voir en concert comme moi ?

On sent bien qu'elle pourrait en parler des heures du Roi de la Pop en Funko Pop.

Le maigre personnage dégage un charme et une façon de parler qui charme ses dames, et il peut lui répondre en toute franchise à sa question.

TH5 : Non, mais j'ai pu lui parler en vrai, avant sa vraie mort.

Il peut sentir l'émerveillement scintiller des yeux de la jeune fan qui est contente de s'être fait un nouvel ami qui partage la même passion qu'elle.

Pendant que ça idolâtre MJ avec ferveur, les deux non intéressés causent entre eux.

Hervé : Sinon quoi de neuf, à part ça ?

Maxime : Outre le meurtre de Sandrine Rousseau ?

Hervé : Oui.

Maxime : Normalement, je ne devrais pas le dire, mais il y a JK Rowling qui est censée venir au Melt aujourd'hui.

Hervé : L'auteuse de Harry Potter ?

Maxime : Oui, c'est bien elle, et dans la pure discrétion.

Hervé : Comment ça se fait qu'elle vienne là ?

Maxime : C'est Marco, le proprio du bar, qui l'a connait à priori.

Hervé : Allons la rejoindre si elle est déjà là.

Maxime : Bonne idée.

Ils s'apprêtent à partir sans prêter attention ni à Sienna, ni à Thomas, comme si ils n'existaient plus.

TH5 est le premier à réagir face au manque de respect dont il est victime, lui et Sienna Valentine.

TH5 : Tu as vu les deux là à essayer de nous snober ?

Sienna : C'est vrai, c'est pas gentil papi !

Hervé : C'est juste juste que je suis fan d'Harry Potter donc je veux pouvoir rencontrer son auteuse.

Sienna : Autrice.

Maxime : Auteur.

Hervé : Autiste ?

Pendant qu'ils plaisantent, ils sont loin de se douter que les choses vont prendre une tournure bien plus dramatique.

Les cheveux au vent, une ombre plane sur la ville de Strasbourg en ce mois de Novembre bien frais comme il le faut, scrutant ses habitants, ainsi que les touristes, faire leur vie en bas, pendant qu'elle, elle est tranquille perchée sur un des toits qui borde l'Ill, en ayant une bonne vue sur la mort de Sandrine Rousseau.
L'eau mouvante à cause des mouvements du corps de la grosse conne ondule en rythme avec ce petit air à l'oreille.
Un petit air qui essaye de rappeler à notre figure floue quelque chose d'important...
Mais quoi ?
C'est une bonne question.
En refermant les yeux quelques minutes, des images lui reviennent en mémoire.
Elle revoit de la flotte, aussi mouvementée que celle qu'elle a pu voir ici.
Sauf qu'il ne s'agit pas du même endroit.
C'était un tout autre fleuve, plus célèbre que le Rhin pour certain.
Moins pour d'autres, comme nos chers amies Allemands, ou Alsaciens.
La Seine.
Oui, c'était bel et bien la Seine.
Mais quand est ce qu'elle aurait mis les pieds à Paris ?
Elle ne se souvient pas s'y être rendu.
Pourtant ce souvenir en particulier ne cesse de l'interroger.
Pourquoi est ce qu'elle voit cela maintenant ?
Aussi précisément.
Alors qu'elle s'est dépêchée de se mettre en position pour attaquer sa cible.
Avant que celle ci ne rebouge à nouveau.
Si elle retourne au Melt, c'est perdu pour aujourd'hui.
Quelque chose trouble notre silhouette qui est censée l'éliminer, alors qu'elle en a déjà tuer bien d'autre.
C'est bizarre.
Ce type, elle n'arrive pas à presser la détente.
Il va lui échapper si ça continue ainsi.
Son cœur se serre en le voyant à travers la lunette de l'Hécate.
Pourtant, il est sûr de mourir si elle tire.
Ce fusil est très puissant, et elle a l'habitude de le manier.
En observant cet individu avec ses amies, des images veulent l'assaillir.
Une voix familière qu'elle est censée entendre pour la première fois.
Un nom lui vient à elle.
Le sien.
Sandra Bullot.
Encore une fois, elle clôt ses paupière pour essayer de mieux comprendre ce qui lui arrive.
Elle revoit son visage dans la Seine.
C'était sûrement le même gars.
Comment cela se fait qu'elle revoit des moments avec lui dans sa tête ?
Son supérieur lui aurait caché quelque chose ?
Cela met en branle les plans de Green Umbrella.
Il faut éliminer le créateur des Avengers.
Il est trop dangereux de son vivant.
Même si ce sont Leon Scott Kennedy et Haruhi Suzumiya qui les dirigent actuellement.
La précédente tentative d'assassinat le concernant avait gâché par la présence de ses nombreuses petites amies.
Il est bien entouré en général.
C'est encore le cas aujourd'hui.
Elle se doit de s'en débarrasser.
Or, ses sentiments la ronge au plus profond d'elle.
Elle revoit une scène dans son esprit.
Dans celle ci, elle saute d'un pont pour sauver le gaillard.
Il ne sait pas nager et donc il va couler si personne ne lui vient en aide.
Nageant avec brio, elle parvient à le saisir juste à temps.
Forte comme un homme, elle le ramène sur la terre ferme.
Sachant qu'à l'époque, il était vachement plus maigre que dans le temps présent.
Aidés par quelques parisiens présents qui veulent venir en aide, ils ramènes les deux hors du fleuve.
Ce doux souvenir la fait sourire.
Ce bougre et elle, ils étaient très proche.
Preuve à l'appui qu'elle l'embrasse après s'être assuré sa survie.
Pourquoi est ce que ça s'est effacé de sa mémoire ?
Pour mieux le tuer ?
Sûrement.
Quelle ironie...
D'autres fragments de leur passé en commun lui reviennent.
Comme les songes d'un temps révolu.
Un rêve idyllique dont elle ne veut plus jamais ressortir.
Où même les pires moments nous manque beaucoup car ils n'étaient pas si désagréables que ça.
Du style, ceux partagés avec une certaine blatte qui portait malheur.
Une Sulfura quelque chose, c'était son nom, et elle est morte désormais.
Cela ne pourra pas être échangé.
Quoique elle ne serait pas la première à faire un retour magique provenant de nul part.
Le plus récent de ces morceaux de la mémoire de Sandra remonte au premier trépas de son ancien petit ami.
Oui, c'était bel et bien la même personne qu'elle doit aujourd'hui mettre fin à sa vie.
Ou plutôt l'une de ses vies comme ce n'est pas la première fois qu'il crève.
Mais est ce qu'elle y parviendra ?
Rien n'est moins sûr.
Le doute l'accable.
Est ce qu'elle suivra l'objectif de son maître ?
Ou suivra t-il celui de son cœur ?
Seule la pression de la détente vient finalement percer le son ambiant de la circulation toute proche.
Le pauvre gus visé s'effondre sur le sol.
Est ce que le coup l'a mortellement touché ?
Assez dur à dire au vu de la distance que nous sépare de lui, mais c'est possible.
Reste juste à découvrir si c'est le cas, et si nous devrions dire adieu à un nom très connu parmi vous.
Maxime Moulin.

Alors que tout le monde il était beau, tout le monde il était heureux, un seul coup allait basculer cette histoire de la comédie au drame, voir carrément de la tragédie, on en sait pas encore assez pour s'avancer là dessus, mais une chose était certaine, il faudrait se dépêcher de l'emmener aux urgences pour lui sauver la vie.
Le balle a traversé son thorax à une vitesse vertigineuse, le frappant de plein fouet sans qu'il n'ait eu le temps de se préparer à l'éviter cette attaque, le faisant écarquiller des yeux tout en crachant un peu de sang en même temps alors qu'il chute en arrière pour tomber sur le dos, bien amoché.
Sienna se dépêche d'aller à la rescousse de son ami en arrachant assez rapidement une partie de son pull afin d'avoir de quoi faire un bandage afin de stopper l'écoulement de ce liquide rouge qui se répand partout et risque d'avoir raison du garçon de 27 ans qui lutte pour sa survie, telle une Clementine dans Walking Dead.
Cette fois ci, c'est pas un coup des zombies, mais Hervé est déjà en train de chercher le responsable de cet attentat contre la vie de Maxime Moulin, cherchant dans les hauteurs le signe d'un quelconque tireur d'élite si il s'y trouve encore et ne s'est pas déjà barré, sauf qu'il voit un reflet qui l'aveugle temporairement.

Hervé : Là bas, le tir venait du toit de ce bâtiment là bas !

Sienna : Papy, ne joue pas les héros !

Hervé : Il faut bien que quelqu'un le fasse ! Vous deux, veillez bien sur lui !

Sienna : Peut être que Thomas viendra avec toi !

Les deux regards se tournent vers celui dont on ne saisit pas encore les émotions qu'il a face à cette scène là.
Vous ne le saurez pas tout de suite.

Frederic Downing boit un bon verre de vin dont il ne saurait donné la date, même en misant au pif car ce n'est pas son domaine de prédilection, car c'est plus les virus et vaccins son truc, en étant tout autant frauduleux que Pfizer a pu l'être par le passé avant que Saryna Coleen vienne briser le mur qui les séparer de leurs victimes.
Pour autant, le gars digne de l'idéologie du patriarcat dénoncé par les wokes a réussi à se maintenir au sommet de la chaîne alimentaire en ayant des bons coups de fils et tuyaux pour s'en tirer, alors qu'il est censé être un dangereux criminel recherché par les États Unis, mais pas encore par la France, même si ça pourrait changer à l'avenir.
En effet, les dernières exactions qu'il a commis contre le peuple français pourrait le faire devenir l'ennemi numéro uno de ce pays qui n'est pas l'Italie ou l'Espagne, mais comme il joue les touristes en même de faire ses crimes, goûtant tout ce qui lui passe sous le nez, avec l'exemple de la Pizza La Santa Rosa actuellement déposée dans son assiette.
Durant ce repas assez privé, il repense à la fois où il y a quelques temps de ça, il avait fait démarrer son plan machiavélique pour se débarrasser de Maxime Moulin qui tant qu'il est vivant, est à danger pour l'accomplissement de ses objectifs, et donc ce début avait eu lieu à la Forêt de la Robertsau...



Jadis, il existait un preux chevalier opérant à Strasbourg dont on ne pouvait point se douter de sa franchise.
Héroïque face à toutes les menaces, il n'avait peur de rien, ou presque de rien.
Seule la sorcellerie le faisait se faire au fond de lui, lui qui vivait à l'époque où on cramait les sorcière, et leurs chats.
Pauvres minous.
Les humains se sont bien pris le retour de bâton dans la gueule.
La Peste Noire les a ravagé, à l'époque où vivait notre vaillant soldat, et plus de la moitié de l'Europe est morte.
Même si les tornades de rats pouvant détruire Marseille n'ont jamais existés.
Faut pas se croire dans un jeu vidéo.
Néanmoins, Dieu a été cruel avec lui alors que le pauvre gars n'a jamais trahi sa parole.
Ou peut être que si au final.
Si l'on compte tous les corps qu'il a laissé derrière lui lors la lutte contre les Mongols.
Que celui qui n'a jamais fauté lui jette la première pierre.
Hé !
Je te vois toi avec ton caillou !
Lâche le tout de suite !
Bien...
Notre bougre qui a été malchanceux en cette journée au Moyen Age, voulait être un bon chrétien.
Voilà pourquoi il a dégainé son épée dés qu'il a croisé cette vile vipère avec sa magie démoniaque.
Sauf qu'il n'a pas gagné.
C'est bien ça le problème.
Il a perdu.


Jean Pasmoilpin.
Ce fut le nom de celui qui a connu la trépas ce jour là face à une diabolique créature l'ayant ensorcelé.
Depuis, il est condamné à errer comme l'entité protectrice de la Forêt de la Robertsau.
Une sorte de fantôme qui doit à veiller à ce que cette zone sensible ne parte pas en couille.
Puisqu'il s'avère que celle ci sert de passerelle entre différentes dimensions liées à l'au delà.
Sa tâche consiste ainsi à contrôler et renvoyer chez yeux les revenants et autres entités voulant venir ici.
Dans le monde des vivants.
Et d'éviter que les mortels ne se retrouvent, comme Maxime Moulin ou Thomas Hubert, dans ces mondes.
Les années ont passé depuis qu'il a été forcé de vivre éternellement dans cet enfer qui n'est pas le vrai Enfer.
Des siècles même, c'est pour dire.
Aujourd'hui, il n'a toujours pas manqué à sa tâche.
Cela fait bien des lustres qu'il a abandonné l'idée d'échapper à ce rôle qu'il joue.
Même l'intervention de TH5 pour l'exorciser n'a pas réussi à le sortir de sa situation, alors qu'il avait repris espoir.
Comme quoi, l'intervention d'Antoine, l'un des amies de Pinoulelapin, aura été veine.
Condamné à continuer à errer pour protéger ces bois sacrés, il avait reperdu tout espoir de s'en sortir.
Excepté qu'il y eut une nouvelle rencontre deux ans plus tard qui allait peut être régler le problème de son tourment.
Un homme bien habillé est venu à sa rencontre.
Conscient de son existence, il nettoie ses lunettes avant de les reprendre sur le pif, à leur place.
Avec un accent soooo British, il s'adresse en français avec une certaine aisance, pour une langue non natale.
Reste plus qu'à écouter ce qu'il dit, et voir comment notre ancien fantassin va répondre à ses désirs.

Homme : Esprit de la Forêt, ou plutôt Jean si je puis dire, m'entends tu ?

Jean : Je t'entends, qui que tu sois, malgré que tu sembles bien me connaître. Qui es tu ?

Tel un sombre vilain d'animé japonais, ou le Père Vincent Smith, il redresse ses lunettes d'un seul doigt.
Le tout en ricanant un petit peu, ce qui ne donne pas forcément envie de s'allier à lui, c'est clair.

Frederic : Frederic Downing. Je suis celui qui a pu éviter de faire se cracher le navire en perdition qu'est Green Umbrella contre de multiple icebergs, créés pour la plupart par Natalya Vipèra elle même quand elle était à la barre. Et personne n'a encore pu remettre la main sur moi. Pas même Claire Redfield ou Leon Kennedy.

Jean : Mec, je ne sais même pas de quoi tu me parles là !

Frederic : Être resté ici pendant autant de temps fait que tu es déconnecté des faits qui ont marqué notre monde.

Jean : Arrête de faire de belles phrases, et dis moi juste que je suis à côté de la plaque comme un con !

Frederic : Je n'oserai te parler sur ce ton désobligeant, Jean.

Jean : Tournons pas autour du pot. Tu me veux quoi au juste ?

Le terroriste en liberté regarde autour d'eux pour s'assurer qu'aucun randonneur ne va passer à ce moment là.
Une fois étant sûr qu'il n'y ait pas d'oreilles indiscrètes, il peut détailler ce pourquoi il est là, avec un vicieux sourire.

Frederic : J'ai besoin que tu ramènes quelqu'un à la vie. Pour assassiner Maxime Moulin.

Jean : Maxime Moulin ?

Frederic : Oh, tu le connais ?

Jean : Il déjà venu une fois ici, quand les failles menant aux autres mondes étaient encore instables, mais il est parti avant que quelque chose de mal ne lui arrive. Son ami Thomas en revanche, il est revenu à plusieurs reprises, et malgré qu'il soit un idiot fini, il a réussi à exorciser ce lieu.

Frederic : Dis toi que ce n'est pas à toi que reviendra la tâche de le tuer.

Jean : Pas faux.

Frederic : Alors, tu acceptes de faire ce que je te demande ?

Jean : Oui, si tu veux, mais sache qu'il me faut un corps en assez bon état pour faire ça.

Frederic : Ne t'en fait pas, j'ai des espions qui m'ont permis de créer un corps synthétique pour elle.

Jean : Elle a un nom cette femme que tu souhaites faire revivre pour ton petit meurtre ?

Frederic : Oui, Sandra Bullot.

Jean : Cela fait plaisir de parler un peu à un être ayant un minimum d'intelligence.

Relativement sur les mêmes ondes, ils se séparent pour ce jour là.
Bien qu'une chose soit sûr pour les aider.
C'est qu'ils allaient se revoir.
C'est certain.
En plus, personne ne s'attendrait à ce qu'il fasse appel à un être non vivant pour lui fournir un coup de pouce.
Ceux qui sont sûr sa piste ne sauront rien des visites qu'il a fait, et qu'il fera, jusqu'à ce lieu.
Un maître d'échec.
C'est ce qu'il est est, et jusqu'à son trépas entre les mains de Lucy Dodgera.
Il fera l'erreur de la sous estimer.
Cela lui sera fatal.



Sandra Bullot.
Ou du moins la version synthétique abritant l'âme de celle d'origine.
Vous l'aurez surement compris au cours de ce flash-back ma foi fort passionnant.
Son cœur lui serre très fort, se vengeant de cet acte impardonnable qu'elle a fait.
Contrairement à Glass Heart, elle a outrepasser ces visions d'un passé lointain et si proche en même temps.
Ce qui fait qu'elle a réussi à faire feu sur sa cible comme son maître le voulait.
Sauf qu'elle le regrette déjà, et n'ose même pas se barrer de là où elle est, afin de se rendre en lieu sûr
À la place, elle s'adosse contre la barrière du toit où elle se trouve, posant une question évidente.

Sandra : Qu'ai je fait ?

Quelque chose de mal ma chère comme vous allez pouvoir vous en rendre compte bientôt.
En attendant, on a un nouvel acteur qui va se présenter pour jouer un certain rôle dans cette intrigante histoire.