Resident Evil 9
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[FIC] Jeu de Rôle [Terminée]

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[FIC] Jeu de Rôle [Terminée] - Page 5 Empty Re: [FIC] Jeu de Rôle [Terminée]

Message  Maxime Moulin Jeu 6 Fév - 11:14

France; Alsace; Bas Rhin; Strasbourg; Petite France

Deux individus identiques au niveau de l'ADN marchent côte à côte sur les rues couvertes de galets sous cette douce chaleur pas trop épuisante pour une fois, alors que leur servantes les suivent de très près pour se tenir à leur disposition au besoin, même si il y en a seulement l'un des deux qui en profite, l'autre préférant s'abstenir volontairement.
On dirait des princes en vacances, ce qui n'est pas vraiment un compliment, même si sur les deux, seul l'un peut être sauvé par rapport à l'autre, mais vous avez surement déjà compris rien qu'au précédent chapitre où ils étaient présents duquel il s'agit.
Pour celles ou ceux qui ont quelques neurones en moins, vous finirez par avoir la réponse tôt ou tard.
Le plus gros profiteur du duo est le plus en avant, s'adressant à son double sans même se retourner.

Maxime 1 : Profite, profite de la vie Petit Maxou !

Maxime 2 : Si c'est pour faire comme toi, non merci.

Maxime 1 : Tu me fais des reproches moraux alors que toi tu as déjà essayé de souiller l'intimité de ses pieds à ce que j'ai entendu dire.

Maxime 2 : Je sais, et je n'en suis pas fier.

Maxime 1 : Je suis sûr qu'un jour tu te jettera toi aussi sur la belle aux bois dormant pour l'embrasser.

Maxime 2 : Enfin là avec toi, on est plutôt dans la version où il la viole et lui laisse une tonne de bambins à son réveil.

Maxime 1 : Comme tu es mauvaise langue, petit con.

Maxime 2 : Laisse moi juste tranquille.

Maxime 1 : Je t'ai sorti du Royaume des Morts et c'est comme ça que tu me remercies ? Tu n'as qu'à y retourner si tu n'es pas content !

Maxime 2 : Si je reste, c'est parce qu'il faut quelqu'un pour te surveiller, voilà tout.

Maxime 1 : Surveiller est un bien grand mot, surtout que pour l'instant pour me mettre des bâtons dans les roues, alors je me demande si ça vaut le coup d'être là pour toi.

Maxime 2 : Ferme ta gueule pour voir ?

Maxime 1 : Nique ta mère aussi tu sais ?

Maxime 2 : Tu ne gagneras pas cette guerre.

Maxime 1 : Oh tu crois !? Pourtant je ne vois pas qui c'est qui pourrait m'arrêter à présent. Les Avengers sont affaiblis suite à leur affrontement contre les dieux dragons et ceux qui ont survécu sont épuisés et se reposent, alors c'est le moment propice pour être le maître de ce monde.

Maxime 2 : Dieux dragons ?

Maxime 1 : Cherche pas à savoir, tu vas t'encombrer ta minuscule cervelle avec le peu d'espace qui en reste.

Maxime 2 : Moi au moins je pense avec autre chose que ma teub.

Maxime 1 : Allez mes garces, défendez moi !

Masumi : Maxime Moulin est le meilleur !

Yami : Tout à fait.

Heather : Je confirme moi aussi.

Sherry : Je ne regrette pas d'être à ses côtés.

Vous remarquerez qu'il y a deux nouvelles venues parmi les esclaves.
Heather Mason qui est habillée de façon gothique, rappelant sur certains points son double maléfique qu'elle a affronté jadis, avec du maquillage blanc sur tout le corps, du rouge à lèvres et eyeliner noirs de la même couleur que ses cheveux qui sont pour le coup au naturel, et bien évidemment des vêtements qui vont avec tout étant ornés de bijoux du même style.
Sherry Birkin est quand a elle déguisée en vahiné, ce qui rend bien mieux que chez Timon, bien qu'avec son teint de peau plutôt blanc, on est bien loin de l'image de la fille des îles à l'apparence un minimum bronzée. Peu importe, elle reste magnifique avec cet accoutrement, tout en conservant l'innocence qu'on lui connaît, le renforçant même avec tous ces colliers à fleur qui enroulent ses différents membres, y compris ses pieds qui galèrent à se déplacer sur cette route esquintée.
Sentant que les arguments que lui et sa clique avancent ne suffiront pas à convaincre l'autre borné de se relâcher un peu, le vil pervers tente de réfléchir à une autre stratégie alors qu'ils montent au niveau des ponts couverts remplis de touristes car la vue y est magnifique, surtout en cette période de l'année.

Maxime 1 : J'ai trop d'estime pour moi même pour me tuer, même si il s'agit de mon double.

Maxime 2 : Dommage...

Maxime 1 : Si te parler ne suffit pas à te persuader de la bonne chose à faire, je pourrais tenter de le chanter.

Maxime 2 : Oh non...

Maxime 1 : Fabuleux, viens ici !

Maxime 2 : Pas ça...

Le super héros pas si super que ça si on devait parler de la noblesse de ses actions, se montre enfin après avoir été tapis dans l'ombre depuis le début de scène sans que je parvienne à correctement localiser sa position exact, ce qui est en embêtant. Je n'arrive pas à le sonder de la même manière que n'importe quel être vivant de cet univers, ce qui doit s'expliquer par le fait que c'est un être d'incohérence, à savoir quelque chose qui ne devait même pas exister en temps normal, mais cette année m'a bien prouvé que nous avons déjà dépassé ce cap depuis peu.
Les Dieux Dragons en sont un exemple flagrant, et je n'aurais que la magie d’altération de réalité présent au sein de Gilbert Montagné suite à sa naissance dans une dimension où il n'aurait jamais dû naître, avec un petit coup de pouce que l'entité de la plus puissante de celle ci, aurait pu créer un tel être.
Barbus...
Sais tu seulement à quoi tu as contribué là avec ton invention ?
Non, tu ne le sais pas....

Maxime 1 : Joue nous une reprise éhontée d'une chanson Disney ! 

Voilà, il ne manquait plus que ça :


Fabuleux : Vous l'avez entendu ? Souriez ! Et 1 et 2 et 3 !

Aidé par la souffle de magie fourni par cet immense séquoia dans le pied, celui qui aurait dû jadis être avorté décide de se la péter encore plus que d'habitude, en défiant les lois établis par les grands de ce monde, afin de montrer à son homologue que c'est lui qui a raison et qu'il a tort.
Le voilà donc qui lui prend la main afin de l'entraîner dans les airs, pour l'emmener faire un tour.

Maxime 2 : Je pense à peine qu'chu'uis qualifié !
Pour mériter tous ces pieds !
Il faut qu'on arrête tout ce cinéma !

Ils se posent au sommet de la tour Hans von Altheimturm où la vue y est magnifique, l'Ill étant droit devant eux.

Maxime 1 : Maxime, mais de quoi tu parles !?

L'envolée de sa main lui montre l'horizon, avec le Barrage Vauban qui est leur prochaine destination.

Maxime 1 : Là encore, elles sont à nous !
Être adoré n'est pas un tabou !
Ce qui nous convient plutôt dans ce cas là !

Ils atterrissent tous les deux devant trois belles filles d’origines coréennes vêtues légèrement vue la température ambiante et le soleil qui tape bien en cette toute fin de printemps, et qui sont loin de se douter sur qui elles viennent tomber, malheureusement pour elle.
Par chance, la voix de la raison décidé de s'exprimer pour éviter un débordement aggravé.

Maxime 2 : Dans cas là, dans ce cas là, c'est lui et moi !
Oh mon Dieu !

Le vilain canard en profite d'abuser des cheat code qui ont monté son charisme à + 100 et qui font que les demoiselles s'écroulent à ses jambes afin de se laisser abuser par lui, alors que si elles étaient dans leur état normal, ça aurait fini avec un coup de taser dans burnes et 48 heures au trou.
Le gentil poussin tente de le dévier de chemin conduisant à sa perte, faisant tout exploser.

Duo : C'est dur d'être un dieu !

Le Bon Maxime se profite à l'étage des Halles, où l'on peut y voir l'étage du dessous du centre commercial.

Maxime 2 : Ne plus à craindre de dev'nir vieux !
Soyez déifié quand vous êtes vraiment une farce !
Soyez un objet de dévotion !
Rien qu'une garce !

Le Mauvais Maxime est de son côté à la Faculté de Cinéma, soumettant de jolies étudiantes chinoises à sa propre volonté sans la leur.

Maxime 1 : Ce n'sont que des affabulations !
Toutes tes blagues et tes mensonges !

Son double le saisit violemment et l'entraine jusque dans la Cathédrale en un éclair.

Maxime 2 : Et qui suis-je pour oser leur faire croire que je suis une idole ?
S'ils disent que je suis un dieu, je jette l'éponge !
De plus, si nous allons trop loin dans notre délire !
Je peux déjà les voir descendre du ciel !

Tout aussi rapidement, les voilà en train de jouer aux Loups-garous de Thiercelieux au sein de l’établissement Meltdown situé à Strasbourg et qui accueille de nombreux gameurs de toute sorte. Maxime 1 est bien entendu le loup garou, qui ne n'en serait pas douté, tandis que Maxime 1 est un simple villageois qui essaye d'éviter de finir dans le ventre de la bête.

Maxime 1 : Alors soyons des dieux, c'est trop cool !

Maxime 2 : Non !

Maxime 1 : Arrête un peu d'être maboule !

Maxime 2 : Je t'emmerde !

Maxime 1 : Tes inquiétudes encrées ne sont qu'artificielles !

L'animal sauvage se jette sur son adversaire et ils sont tous les deux téléportés juste à côté de l'épave du TGV 001 situé à la sortie de Bischheim, la ville natale de ces deux personnages qui n'auraient jamais pensé il y a plusieurs années de ça vivre des aventures aussi extraordinaires car ils n'étaient que des personnes trop ordinaires de leur point de vue, ce qui me rappelle un peu la situation de Kyon et Haruhi Suzumiya.

Maxime 2 : A jamais encrée !
Jamais tu ne ne pourras me convaincre, non, mon ami !

Sans se laisse faire, le courageux bonhomme saute d'un bond vers Autoroute A4 juste en dessous, causant une panique pour les conducteurs qui empruntent cette voie là et qui tentent d'esquiver de leur mieux l'âme suicidaire qui est bientôt rejoint par celui qui n'en a pas fini avec lui.
C'est reparti pour le refrain, en chœur.


Duo : C'est dur d'être un dieu !
Mais s'ils croient qu'vous êtes pieu !
Acceptez/Refusez leurs dons !
Ouais !
Soyez doux !
Voilà notre conseil !

Les voitures finissent tous dans le décor, créant un immense chaos tout autour des deux chanteurs qui s'arrêtent très brièvement dans leur interprétation car l'un d'eux a fait très intention au fait que l'autre a sorti la même chose que lui sur la fin alors que vu son caractère, il est étonnant qu'il est dit ça.

Maxime 2 : C'est un excellent conseil !

Pour une fois, une certaine complicité s'installe entre eux, alors que le taré retourné le compliment par un coup d’œil manquant énormément de subtilité il faut dire. S'en suit alors la suite du couplet, tout en rythme alors qu'ils commencent à déchainer leur puissance individuelle en même temps, en créant une commune et destructrice.

Duo : Sois un symbole de perfection !
Sois une légende, sois un culte !
Prend leurs éloges, prends leur acclamation !
Arrête d'être abjecte !

Le loup garou créé un torrent de flammes qui se projettent à travers les pare-brises des bagnoles droit devant, cramer toute personne à l'intérieur de celles ci. L'immonde bête hurle à la lune qui n'est point l'un tout en commettant son méfait avec une impunité digne des hommes politiques de ce beau pays démocratique.

Maxime 1 : Je pourrais envisager ça !

Des jets d'eau sortent des mains du villageois qui cède à ses plus noirs désirs, projetant quiconque serait sur le trajet à plusieurs mètres de là, certains s'écrasant même sur la voie ferrée avoisine, y compris sur un TGV qui passait par là par manque de peau et ce qui créé une collision infernale.

Maxime 2 : Tu s'rais fou de n'pas apprendre ça !

Des tourbillons viennent à présent pour accompagner les pauvres victimes directement vers les nuages sans parvenir à les faire atteindre le paradis qui ne se trouve pas ici en réalité. La chute n'est que plus dur pour ces pauvre gens qui n'ont rien demandé mais sont juste victimes d'évènements que je ne peux empêcher pour le moment alors qu'ils n'auraient jamais dû avoir lieu.

Maxime 1 : Tu as juste !

La terre tremble, et des pans entiers de celle ci se soulèvent à la manière d’un séisme sauf que pour l'occasion, cela n'a absolument rien de naturel tout ça, et d'immense crevasses créent sur toute la route.

Duo : On pourrait signer pour légaliser le cannabis !
Cannabis !

Je crois qu'ils n'avaient plus trop d’inspiration pour les paroles sur la fin, il faut l'avouer.
Au final, la zone entière autour d'eux est sans dessus dessous, avec le cri d'un bambin qui se fait entendre sans personne pour pouvoir le réconforter, jusqu’au moment où une explosion le fait taire définitivement, imposant un silence plus que troublant en ce lieu inondé du sang d’innocents.
Juste à ce moment là, les deux génocidaires se rendent comptes de ce qu'ils ont fait.
Leur réactions est bien évidemment à l'opposée l'une de l'autre.

Maxime 2 : Qu'est ce que j'ai fait ?

Maxime 1 : Génial !

Maxime 2 : Génial ?

Maxime 1 : Ouais, parce que...

Les phalanges de son partenaire du crime viennent l’interrompre dans son délire meurtrier, l'envoyant valdinguer plusieurs mètres plus loin et le clouant au sol à cause du choc de l'impact. Son regard ne se transforme pas en colère mais plutôt en incompréhension, lui qui pensait enfin avoir pu trouver la relation qu'il cherchait à avoir avec son double depuis tout ce temps, à savoir celui d'un frère comme Stive pouvait l'être pour lui jadis, quoique il n'était pas assez intelligent pour vraiment l'être, et surtout plus trop présent non plus.
Pour la première, nous pouvons sentir de le démon a perdu de ses pouvoirs et n'est plus qu'une brebis apeurée.

Maxime 2 : Tu vois ce que j'ai fait à cause de toi !?

Maxime 1 : C'est fa...

Maxime 2 : TA GUEULE !! J'vais te tuer !

Maxime 1 : Non ar...

Le retour de bâton dans la gueule est violent, frappant plusieurs fois dans les gencives et rendant presque méconnaissable celui qui subit tous ces coups impitoyables qu'il mérite grandement après tout ce qu'il a fait après son tout premier retour d'entre les morts dans l’Univers du Film Haruhi Suzumiya.
Excepté qu'il y a quelqu'un ici qui ne l'entend pas de cette oreille et qui décidé de très vite intervenir pour sauver celui qui est situation de détresse après s'être pris 8 beignes au total. L'homme en colère est ainsi interrompu dans son action par deux mains qui lui chopent le crane et exercent un brisage de nuque, net et propre, qui l'envoient faire un dodo éternel dont il n'aurait jamais dû en ressortir si on avait pas jouer avec les lois de la nature auparavant.
Fabuleux est fier de son geste et exhibe son aura à l'individu qu'il a sauvé de justesse d'un trépas douloureux.
Au loin, deux témoins de la scène munis un uniforme bleu foncé où l'on peut y lire dans le dos "Douane" ainsi que d'un casque de motard pour se protéger la tête, sont en train de réfléchir à la bonne chose à faire le tout en étant assis sur leur motos respectives, une BMW R1200RT et une Yamaha FJR1300 au repos.

Douanier 1 : On est d'accord qu'on intervient pas ?

Douanier 2 : Ouais c'est pas notre boulot de nous occuper de ça.

Douanier 1 : On se tire ?

Douanier 2 : Après toi.

Sans perdre de temps, ils démarrent leur bolides et tentent de se barrer de la scène de crime, or leur fuite est très rapidement stoppée par une météorite qui s’écrase devant eux, les faisant sauter hors de leur siège et s'écraser un peu plus loin en rebondissement sur plusieurs parties de leur corps de façon assez désarticulée.
Aucun témoin ne pourra s'échapper.
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Message  Stive People Dim 16 Fév - 11:05

Tour 4

France; Paris; 8e Arrondissement; Palais de l'Élysée

Je suis seul dans le palais à gérer ce plan de merde qui a toutes les chances de foirer pendant que ma propre création me tient avec un couteau sous la gorge et que les deux moulins à vent s'amusent au gré du vent de leur côté.
Putain, si j'avais su ça à l'avance, je n'aurais pas trahi Gilbert et Shiho.
Je repose mes espoirs sur toi Stive pour me remonter le moral.

Stive : Tu sais comment on appelle une personne de petite taille qui vient du Moyen Orient ?  Un Narabe de Jardin ! 

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Message  Aiko Kudō Dim 16 Fév - 11:06

Le membre 'Stive People' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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Message  Stive People Dim 16 Fév - 11:07

C'est nul !
Tu te fous de ma gueule !?
Tu l'as fait exprès !?
Avoue ! 

Jet de Survie à 60/100


Dernière édition par Stive People le Dim 16 Fév - 11:21, édité 1 fois
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Message  Aiko Kudō Dim 16 Fév - 11:07

Le membre 'Stive People' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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Message  Stive People Dim 16 Fév - 11:24

Je vais me débarrasser de toi puisque tu ne me sers plus à rien !
J'aurais jamais dû m'allier à ces blaireaux ! 
Il est grand temps de rattraper mes conneries !
Seul le couple central de cet univers peut nous sauver à présent.
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Message  Maxime Moulin Dim 16 Fév - 15:22

15 Août 2010

Voie Lactée; Système Solaire; Orbite Jupiter; Barca

De l'eau peut être entendu en train de couler, résonnant ainsi dans les couloirs composant ce petit vaisseau spatial d'une technologie non terrienne et disposant d'un camouflage sophistiqué qui permet de faire de la contrebande en toute impunité.
Le liquide s'écoule en fait dans une baignoire massif faite à partir de minerais issus de Menae, l'un des satellites de Palaven dont est originaire le Turien qui y prend son bain. Barbus Bniac est naît dans la capitale de sa planète, Cipritine, et il a toujours été quelqu'un hors du système, à voler pour vivre plutôt que de se la couler douce avec un job sans risque ou faire de la main d’œuvre ouvrière épuisante.
Son goût pour l'aventure lui vient son idole d'enfance,
Acsia Aleraka, la fameuse tueuse à gage trop classe qui ne se laissait pas marcher sur les pieds et qui était plutôt mignonne en plus avec sa carapace rouge.
Tout ça pour dire que le criminel est connu dans toute la galaxie pour ses méfaits et a de nombreux mandats d'arrêts, de quoi faire vibrer ses écailles du bonheur que tout ce danger lui procure.
L'un de ses rêves est notamment d'être le contrebandier le plus influent de tout l'univers.
Pour se faire, il a de nombreux projets en tête et il prévoit d'ailleurs d'en mettre un en action après avoir fini de se laver. Celui ci le mènera sur Terre où il n'est pas non plus bien vue par ceux qui le connaissent là bas, et il devra donc être extrêmement prudent en agissant.
Il se repasse son film dans son esprit reposé, alors que de fines mains qui ne sont pas les siennes s'occupent de le frotter sur tout son corps avec un savon acheté à Inter, finissant par plonger vers une partie qui procure beaucoup de plaisir quand on la manipule comme il faut.
Qui est donc cette personne aux petits soins du Capitaine de ce véhicule ?
Il s'agit de CACA, des initiales voulant dire Compagnonne Accompagnatrice Continue d'Aventure, l'IA perfectionnée qui a été installée dans ce bolide spatial il y a déjà quelques décennies de ça et qui est actuellement dans un corps artificiel d'une femme noir aux traits africains, possédant de courts cheveux noirs et un très beau sourire qui ravit toujours celui pour qui elle consacre la majeure partie de sa vie.
Quand le maître de bord n'est pas là, il mise toujours toute sa confiance pour qu'elle puisse veiller sur leur maison déplaçable, ce qu'elle fait toujours d'une main attentionnée sans jamais s'ennuyer puisque c'est pour cela qu'elle a été configurée à la base, avant d'y rajouter une dose d'amour programmée. Évidemment, ils ont aussi leur activités de couple assez régulièrement, sachant que le monsieur adore aller à des conventions scientifiques et des rallyes internationaux, alors que la madame est plus attirée par la visite de musées historiques ainsi que par les animaux, donnant des dons de temps à temps à des associations de protections des autres espèces terrestres que l'espèce humaine.
Trêve de rêveries sur ce couple tout aussi original que la majeure partie de ceux de ce Forum de Rôle Play, passons à la suite du scénario car celui ci revient à la charge avec un coup de fils résonnant dans le vaisseau qui se fait entendre, ce qui ne semble surprendre personne à son bord. Barbus montre très clairement qu'il l'attendait, alors que la branleuse professionnelle se concentre en son fort intérieur pour accéder au système installée en elle qui lui permet d’interagir avec celui de leur foyer, permettant ainsi à l'appel d'être décroché.
Une voix possédant un fort accent australien se fait entendre à l’autre bout en s'exprimant en français, il s'agit de Nathan Killborn, un membre de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, ou un mormon pour faire plus simple, qui est l'un des terriens les plus proche de l'aventurier de l'espace et un fidèle compagnon sur qui il peut faire confiance quand il s'agit de dérober des biens sur cette planète bleu.
Vous comprendrez donc que cet échange attendu n'est pas anodin et est en lien avec leurs activités criminelles.

Barbus : Salut Dundee, comment ça roule de ton côté ?

Nathan : Bien, les préparatifs sont organisées.

Barbus : Cool, je sors de mon bain et je te rejoins pour le casse du siècle.

Nathan : Ta femme est avec toi ?

Barbus : Oui

CACA : Oh Barbus, vous me faites toujours beaucoup d'effet en me disant cela.

Nathan : La DARPA ne s'en remettra jamais.

CACA : On sera déjà très loin qu'ils se rendront à peine compte que leur Inconsistainer s'est volatilisé.

Nathan : Les cadavres ne pourront pas leur parler. Allez dépêche toi de sortir de ton bain, qu'on s'amuse !

Barbus : Ouais, je m'dépêche.

La conversation raccroche sur un teasing super efficace, tandis que le joueur de poker retire la bonde pour laisser s’écouler toute l'eau mousseuse à travers les tuyaux, tout en se levant, dévoilant ses parties intimes à celle qui s'occupait de leur entretient depuis tout à l'heure et qui ramène une serviette pour pouvoir le sécher.
Une fois les écailles débarrassées de toute humidité et bien propre, la suite de l'opération peut se dérouler.


Des coups de feux résonnent au sein de la base secrète de la Defense Advanced Research Projects Agency à San Francisco, camouflée quelque part sous le Lac Merced dont l'accès vous est inconnu mais a été découvert par le duo mortel qui est en train d'y faire un massacre afin de n'y laisser aucun témoin vivant de leur passage. Le bilan des victimes s’alourdit de minute en minute, dépassant rapidement la centaine de personnes abattues par tirs de blaster ou de Uzkon UNG-12 des envahisseurs impitoyables qui ne valent pas mieux de ce côté là que le couple Gilbert/Esma à la même époque, qui sont d'ailleurs des amies des deux zigotos.
Barbus n'entend presque rien quand à lui, dû au fait qu'il a mis la musique latino que vous avez pu découvrir juste en haut, afin de camoufler les cris de ses victimes qui ont vite tendance à lui défoncer les oreilles. Vous pourriez croire qu'il est sans cœur au vu de ses actions, sauf que ce serait une erreur de jugement puisqu'il a déjà démontré plus d'une fois en avoir un avec sa fidèle partenaire qui est restée dans leur maisonnette spatiale.
Disons plutôt qu'il accorde difficilement de l'importance à quelqu'un d'autre que lui, mais il en est capable.
En plus de ça, il sait très bien chanter, en voici la preuve.

Barbus :
Ouais, ayy !
Oooh-oooh-ooh !
Oooh-oooh-ooh !
Ramène moi à ma Havane !

Je sais, je suis un petit galopin.
L'extra-terrestre mène la charge sans trop de problème et ils continuent leur nettoyage jusqu'au moment à un embranchement dans un couloir où comme prévu selon leur plan si ingénieux que même le plus bourru des G.I. en aurait aussi l'idée. L'appareil tant convoité se trouve enfermé dans une pièce circulaire à leur gauche sauf que c'est un véritable coffre fort, gardé par un système de sécurité du plus haut point, alors il va falloir faire preuve de rigueur, ou tout péter en priant pour survivre.
Il faudra d'abord en premier lieu passer la grosse porte en forme de barre de bateau qui refusera de bouger si on ne pense pas à la débloquer, et pour se faire, il faut partir sur la droite et aller dire bonjour aux gardes qui attendent morts de peur dans la salle de sécurité qui s'y trouve, en pleurant leur maman qu'on ne vienne pas les chercher ici.
Dieu n'est pas aussi clément.
Leur seule lueur d'espoir saute en plusieurs morceaux à cause d'une grenade, alors que le Han Solo qui n'est pas joué par Harrison Ford déboule avec son pistolet laser à la main, faisant irrémédiablement feu sur l'individu le plus proche qui reçoit un jolie petit trou fumant de rouge dans la poitrine, mourant instantanément. Les deux bougres restant se lancent un jeu de regard en mode "C'est toi qui y va ou moi ?" avant de finalement se rendre à l'évidence, ils ne sortiront pas vivant de cette histoire si ils cherchent les emmerdes, alors autant hisser le drapeau blanc.
C'est le moins tétanisé du duo qui s'exprime, le tout en bafouillant pas mal et en présentant un sourire nerveux.

Garde : Écoutez, il n'y a pas besoin de nous tuer si nous vous ouvrons la porte. Non ?

Barbus : Si.

La décharge envoyé dans son front vient lui prouver qu'il n'y a aucun moyen de négocier, ils sont faits comme des rats, ce qui veut dire qu'il vaut mieux que le survivant restant de tenter le tout pour le tout avec une attaque surprenante qui désarçonnera son adversaire, permettant de l'envoyer au tapis au passage.
Or, le stress peut aussi nous faire faire de grosses conneries, comme pour ce coup présent.
Le seul survivant se lève en furie, armé d'un unique bâton pour espérer gagner la bataille qui s'annonce déjà perdu pour lui, et il tente ainsi de frapper son adversaire qui le contre sans problème en attrapant l'arme contondante d'une main et en tirant trois coups d’énergie mortelle de l'autre, en plein dans le torse du monsieur.
Le corps de l'assaillant s'écroule en arrière, vaincu, et il est possible à présent de vérifier les différents boutons présents sur le panneau de contrôle afin de trouver celui qu'il faut actionner pour débloquer l'autre porte blindée.
Une fois trouvé et pressé, le duo rebrousse chemin pour retourner à l'entrée de la chambre forte où un autre obstacle les attend sous la forme d'une plaque métallique faite d'un mélange d'or et platine dont le seul moyen de s'en débarrasser est de saisir le bon code de le petit appareil juste à côté.
Heureusement, la tête ingénieuse du groupe à correctement fait son boulot au préalable et connaît le numéro gagnant de la semaine.

Barbus : Deux deux trois six.

Nathan : Un classique.

Là grande porte sans poignet ni serrure se met à coulisser vers le haut, révélant que de l'autre côté se trouve un petit couloir sophistiqué apparemment vide, bien que cela ne trompe pas nos experts qui ont déjà vu ça dans de nombreux films à la Mission Impossible.
Avant même d'enfiler des lunettes à vision infrarouge,  il est clair des lasers invisibles à l'oeil humain gardent le passage.
Cette fois ci, c'est le plus agile qui va devoir s'élancer, à savoir le mormon australien qui s'échauffe un peu avant de décoller.

Nathan : Si je réussis à tous les éviter, tu iras faire le tour de nos déserts mortels avec moi.

Barbus : Et si tu touches un laser, on ira plutôt au Parc Astérix.

Se prenant pour Britney Spears, l'humain utilise ses talents d'acrobate que l'on découvre ici pour la première fois, afin de passer au dessous en de dessous des lignes rouges qui pourraient déclencher une alarme qui ne servirait presque à rien il faut dire, ainsi qu'un système défensif bien plus dangereux de l'autre côté de l'ultime porte au bout du couloir.
Ce côté "toxique" n'impressionne guère son vieux pote qui connait très ses talents dans le domaine dont il est étonné qu'il ne s'en serve pas plus dans sa vie de tous les jours.
Tout se passe comme sur des roulettes volantes, jusqu'au dernier rayon qui croise malheureusement le chemin d'un majeur un poil trop long, et alors que les pieds se réceptionnent impeccablement sur le sol, un vacarme résonne soudainement dans tout la base de façon différente que celui meurtrier juste avant.
Un applaudissement vient rejoindre ce boucan alors que lasers deviennent visibles et que le verrou du grand coffre est à présent bloqué et ne peut plus être ouvert pour le moment, dû moins de manière noble.

Barbus : T'étais à "ça" de réussir !

Nathan : Putain !

Barbus : On va bien se marrer sur le Petit Train.

Nathan : Suce ma bite !

Vénère d'avoir perdu ce coup là, il a bien besoin de se déferler sur quelque chose, et il sait déjà quoi, alors sans même chercher à tenter de désactiver le puissant système de sécurité qui vient s'être activé par sa faute, il va au contraire faire en sorte que celui ci vienne jusqu'à lui.
Le turien lui file le mot qu'il faut taper sur le digicode, qui est Dick ou si on le convertit en nombre devient 3435, et c'est ainsi que l’ultime porte se retire de leur trajet afin de permettre au duo au meilleur de leur forme de pénétrer dans cet endroit où se trouve l'objet tant convoité.
Barbus laisse cependant son vieil ami prendre les devants, sachant très bien qu'il veut se faire à lui seul ce qui va arriver sur leur gueule, et il décidé alors de lancer une autre musique dans sa playlist personnelle afin d'agrémenter l'ambiance, tout en interprétant les paroles de celle ci.
Il s'agit d'un vieux morceau que les gens connaissent principalement de son utilisation dans un film d'horreur de 2010.

Barbus :
Sur la pointe des pieds, à travers la fenêtre !
La fenêtre où je serais !
Viens avec moi, sur la pointe des pieds !
Ohhh !!

Plusieurs bruits semblables se produisent au sein de cette immense pièce circulaire, annonçant l'arrivée des défenses de celle. Des tourelles possédant de sacrés gros canons se déploient au plafond en premières, suivi de près par des drones sortant des murs et équipés de mitrailleuses lourdes.
Sans ménagement, plusieurs rafales essayent de décimer l'intrus le plus proche.
Killborn ne se laisse cette fois ci aucune erreur l'atteindre, dû moins le veut-il, esquivant en quelques sauts de cabri bien placés, les laisser gaspiller des munitions avant finalement répliquer en atterrissant pour la quatrième fois. Son feu nourri par lui même touche tous ces êtres métalliques,  faisant pleuvoir les étincelles ainsi que plusieurs morceaux de leur corps, se teminant par le reste de leur froide carcasse.
D'une précision exemplaire, il réussit à en descendre la moitié sans trop de difficulté, se mettant ensuite à suer un peu, ce que remarque son ami resté en arrière.
Craignant une faiblesse de la part de l'australien, l'extraterrestre se prépare à agir au cas un malheur finirait par arriver.
Ce qui est le cas quand le dernier ennemi encore volant est sûr le point d'être fumé, celui parvient au dernier moment à viser correctement et toucher la tête de sa cible, l'envoyant au tapis.
Cet affrontement se termine de cette façon, sur un apparent match nul.
Une crispation mêlée à une profondeur inquiétude marque le visage de l'homme aux écailles grises. Et aux yeux remplis de bleu, la forçant à réagir très vite, se ruant sur son compagnon d'aventure en sentant que ça puait lui et qu'il très certainement mort sur le coup.
Or un miracle s'est produit.
La balle lui a traversé la joue pour ressortir par la gauche.
Pas le temps de souffler néanmoins puisque le bougre peut encore se vider de son sang. Prévoyant, Barbus a ramené de quoi se soigner si jamais l'un d'entre eux venait à être blessé, comme c'est le cas actuellement.
Sans perdre une minute de plus, il applique dans le bon ordre tout son matos, s'en foutant complétement si des renforts venaient à débarquer pour s'en prendre à lui, car la survie de son pote est bien plus importante que la vie de milliers d'innocents qu'il peut abattre froidement en arrivant à fermer l’œil la nuit.
Les plaies sont désinfectées puis recousues avant d'être bandée, ne permettant plus au mormon de pouvoir s'exprimer verbalement, bien qu'il le puisse toujours via des signes militaires avec ses mains.
Soin médecin soupire de soulagement, content que tout ceci n'était plus de peur que de mal, avant d'essayer de dédramatiser le tout avec un petite vanne glissée en mode savonnette.

Barbus : Faut toujours que ça soit au dernier moment que tu te foires. Tu devrais te surnommer "Ailleron Man" à ce niveau là.

Face à cette blague un peu nul mais quand même drôle, Nathan se retient de rire pour éviter d'avoir plus mal qu'il n'a déjà comme ça.

Barbus : Pour te faire plaisir, on ira plutôt au Puy du Fou pour repousser ces saloperies d'anglais et de nordiques.

Le blessé approuve de la tête avant d'être relevé par celui en qui il peut compter, puis il lui fait signe de se concentrer sur l'objet qui explique leur présence ici et dont plus rien ne peut empêcher de le chopper pour se tirer avec, sauf si ils sont trop lents.
L'Inconsistainer est posé sur un petit support central et n'est grand par lui même, mais tel le Criquet Infernal des Men In Black, il peut se révéler très dangereux. Si je vous devais le décrire, ce qui n'est pas facile du fait de son côté extrêmement abstrait, je dirais que c'est plus ou moins un minuscule cube noir clairement façonné par l'homme et non pas par des cénobites, duquel sort une toute petite seringue dont peut se questionner sur l'utilité, tout autant que le contenu de cette boite.
Barbus sait très bien ce à quoi cela va lui servir, sinon il ne serait pas là, vu qu'il est celui qui a eu l'idée ingénieuse de dérober son précieux en mode Gollum.
Face à cet item bien mis en évidence, le hors la loi hésite deux secondes, se rappelant une scène des "Aventuriers de l'Arche Perdue" avant de finalement se dire qu'il y ait peu de chance qu'il se fasse poursuivre par une grosse boule pas contente, prenant donc son objet de convoitise pour le mettre dans son inventaire.
Il ne reste plus qu'une chose à faire et c'est Nathan qui est déjà prêt pour ça puisqu'il est retourné à l'entrée de la chambre forte pour vérifier que le chemin qu'ils ont traversé est toujours dégagé, ce qui est le cas.
Les deux retournent sur leur pas afin de s’éclipser avant l'arrivée de forces spéciales qui auraient pu les mettre en déroute assez facilement d'une seule main et en se curant le nez de l'autre. Quittant ce labo où ils ont passé un temps conséquent à arpenter ses couloirs, ils retournent à leur vaisseau non sans laisser un petit cadeau derrière eux afin de ne pas être des salauds, même si les américains vont perdre au change.
Quoi de mieux pour brouiller les pistes qu'une petite épidémie créant des morts-vivants ?

29 Août 2010

France; Nord-Pas-de-Calais; Roubaix; Planque Barbus

San Francisco a enfin été libéré de l'infection virale qui la ravageait depuis environs deux semaines, ayant commencé avec quelques cas isolés d'attaques de cannibales, pour finir avec des quartiers complets envahis d'humains avides de la chair de leur semblables. Cette attentat bioterroriste attribué officiellement à la défunte organisation criminelle Il Veltro a été grandement étouffé afin qu'on ne puisse pas se rendre compte de l'implication du gouvernement américain dans le fait d'avoir laissé la maladie se répandre, juste le temsp de chercher le voleur qui s'est barré avec leur invention, et aussi pour démanteler la base du DARPA présente dans la région.
Résultat, les médias ne parlent que très peu de l'évènement, et là Fox News ne l'a abordé pendant même pas une minute chrono, préférant en consacrer dix pour se concentrer sur une chose bien plus importante, à savoir du Grand Prix de Belgique de Formule 1.
Autant dire qu'il ne sera guère d'apprendre que dans les jours et même mois qui viennent de violentes manifestations auront lieu dans la ville de la côte ouest américaine afin d’exiger des explications qu'ils n'auront jamais, mais en guise de compensation le Président Obama quittera ses fonctions sans pour autant subir de peine plus lourde que ça à postériori.
Pour l'instant restons à la date où nous nous trouvons et de l'autre côté de l’Atlantique dans le pays du bon vin où une canne vivante clique de son pommeau sur la télécommande sur la table basse afin de checker toutes les chaines d'information pour espérer y trouver une petite trace du chaos à la Romero que vous connaissez à présent.
Rien.
Pas un mot là dessus.
Ce n'est guère étonnant en y réfléchissant, pour cela frustre celle qui avait une personnalité différente de celle que l'on connait aujourd'hui sous un autre nom.

Esmaraldine : Putain, le journalisme est mort ! Hormis sucer l'état, ils ne savent plus rien faire d'autre !

Remontée, elle s'agite beaucoup sur le fauteuil où elle se trouve, sous le regard de Barbus qui est en train de s'enfiler plusieurs bières sans avoir une once de regret pour ce désastre qu'il a causé, car lui en ressort vainqueur et hormis Nathan qui a été amoché lors du raid, aucun de ses proches n'a été blessé par sa tactique puisqu'il n'a aucune connaissance vivant dans cette ville de Californie.
Le bruit du ventilo au plafond qui fait mien de rafraichir l'air est la seule chose qui est entendue après que Esma ait décidé d’éteindre la télé, en ayant marre de ce manque d'information, laissant passer les minutes avant que le bandit vivant ici ne s'exprime pour meubler un peu ce silence.

Barbus : J'adore quand un plan se déroule sans accroc.

Esmaraldine : T'étais obligé d'en venir à ça pour couvrir tes traces ?

Barbus : Tu peux parler. Tu te rappelles ce que vous avez fait toi et Gilbert pour m'évader de la Base de Turteron l'année dernière.

Esmaraldine : C'est pas faux.

Barbus : Et puis, c'est facile de sacrifier des gens quand ils sont loin du cœur.

Esmaraldine : Tant que tu ne fais rien à moi ou Gil, tout ira bien entre nous.

Barbus : C'est un pote en or. Jamais je ne lui ferai de mal.

Ne sachant pas vraiment si elle peut lui faire confiance, mais bon si l'autre non voyant à deux balles croit aveuglement en lui et son expérience, alors laissons lui le bénéfice du doute. Elle s'enfonce à peu plus dans ce cuir de qualité où elle est assise, tout en prenant elle aussi une canette qui traine juste à côté d'elle pour se servir, sans que l'on sache somment elle fait exactement pour boire puisqu'elle n'a aucune bouche sous forme là qui est sa seule forme au moment du passé où nous nous trouvons.
Nous ne sommes pas à un incohérence près, et puis ta gueule c'est magique.
D'ailleurs tant que l'on évoque le maillon manquant de cette chaîne, celui ci décide enfin de repointer le bout de son nez dans cet espèce de salon où ses amies se trouve, après avoir passé un quart d'heure au moins sur des WC plutôt chics où la fourrure de vison est très douce pour retirer la matière fécale accrochée entre les poils des fesses.
Fin prêt pour qu'on s'amuse avec son corps, il se met à poil en même pas une seconde, ce qui l’impression personne, dégoutant au contraire son vieux pote qu'il connait déjà depuis trois décennies et qui détournent le regard en soupirant sur son conteneur à liquide alcoolisé.

Barbus : Je t'ai dit que j'avais juste besoin de te planter la seringue dans le bras, alors pas besoin de te déshabiller.

Gilbert : Ah non ça c'est juste parce qu'il fait chaud à faire crever Giscard par ici !

Esmaraldine : Je ne suis même pas étonnée.

Barbus : Viens par là, qu'on ne perde pas de temps.

Gilbert : Tu attends de la visite ?

Barbus : Disons que je ne sais pas combien de temps la couverture de cette planque restera actif, et si ça se trouve, elle a déjà sauté alors autant se manier le train.

Esmaraldine : Tu penses que les américains vont chercher à récupérer leur matos et te supprimer au passage ?

Barbus : Limite je préfère que ça soit eux que les types en noirs avec bérets rouges qui me foutent dans une de leurs prisons qui n'existent pas.

Esmaraldine : Façon CIA.

Barbus : Exactement.

Comme il l'a si bien souligné, il ne faut pas laisser trop le chat dormir, sinon il ne risque plus de se réveiller, et c'est pour cela que l'ingénieux alien se diriger sans plus attendre vers une table de travail dans un coin de la pièce où se trouve Inconsistainer fièrement posé à patienter depuis un moment pour qu'on se serve enfin de lui.
Quelques minutes plus tard, celui ci est connecté au corps du français d'un certain âge et c'est là que la magie opère si l'on peut dire, avec un vrombissement inaudible au départ qui finit par clairement se faire attendre avec les aiguilles qui défilent, alors que le cube quand à lui se met à trembler puis à léviter au dessus de la main écailleuse qui le tenait, montrant qu'elle ne sert plus à rien pour l'instant.
Esma se lève de sa place détente afin de se jeter un œil plus proche à tout ça, en veillant à ce que ce truc ne soit pas dangereux pour elle et le chanteur vengeur qu'elle accompagne depuis six ans déjà.
Le réceptacle se met à vibrer et gigoter de plus en plus fort, avant de laisser dépasser de ses contours une lumière intense qui parait surnaturelle. Celle ci éblouie deux des trois personnes ici présentes, tandis que la troisième a perdu son visage jovial habituel pour un plus sérieux où sentant et voyant d'une certaine manière ce qui est en train de se passer, il se demande ce qui va en sortir de cette boite créé par un savant fou inconnu.
Cet homme est un génie qui a réussi à accompli une prouesse, mais il ne le saura surement jamais, ne recevant pas non plus un Prix Nobel pour ça.
C'est con.
Le contenant finit enfin par s'ouvrir, formant une croix avec toutes ses faces, puis révélant après que le sceptre de couleur se soit calmé une forme étrange qui remue dans les air avant de finalement se poser entre les bras de son géniteur qui ouvre à moitié sa bouche, surpris de cette conclusion inattendu.
Lui qui est pourtant accoutumé aux choses sortant de l'ordinaire qui viennent ponctuer sa vie déjantée.
Jamais il n'aurait cru qu'il serait la Nouvelle Vierge Marie en enfantant tout seul d'un petit garçon, ou plutôt devrais je dire d'un fœtus informe qui braille tel un bébé ordinaire, rappelant la démo PT de Silent Hills.

[FIC] Jeu de Rôle [Terminée] - Page 5 340?cb=20150924001143

Son instinct maternel à Gilbert fait qu'il est plus tolérant vis à vis de cette chose immonde, ne voulant pas se fier aux apparences, alors que si il savait déjà ce qu'il en deviendrait par la suite, il le jetterait dans la poubelle la plus proche avant d'y foutre le feu en laissant les flammes scintiller sur ses lunettes, le tout avec le sourire le plus malsain qu'il puisse faire.
À la fois excité d'avoir réussi le fruit de tant de moyens déplorés pour réussir cet accomplissement contre nature mais aussi dégoutté par la gueule que ça a pris, Barbus fête ça en buvant un nouveau coup qui est peut être celui de trop, tandis que la création vaudou qui vole à ses côtés est vraiment dubitatif quand à ce que ce machin là peut être, et elle est celle qui a le plus envie de faire ce que j'ai mentionné au paragraphe précédent.

Esmaraldine : Il faut s'en débarrasser !

Gilbert : Oh mais non, il est jolie en plus !

Esmaraldine : T'as craqué ou quoi !? Cette merde va nous attirer des soucis !

Gilbert : Quels soucis !?

Des soucies dans le genre de grenades fumigènes M18 qui viennent traverser les fenêtres du salon où ils sont, répandant d'une fumée jaune qui recouvre toute la pièce, les prenant par surprise. Immédiatement après ça, les portes de la baraque sautent et très vite le trio se retrouve encerclé par plusieurs militaires armées jusqu'aux dents qui appartiennent au 75e régiment des Rangers de United States Army, à savoir des gars qui ne sont pas là pour rigoler et dont il sera ultra dur à s'en défaire dans un combat traditionnel.
Au niveau de l'équipement, leurs armes sont des SIG MPX, une M4 avec M26 MASS attachés en dessous, des FN SCAR Mk 17 Mod 0 et des M110K1 SASS. Pour ce qui est des pistolets situés dans leur holsters à la ceinture, nous avons des Glock Mk 28 & Mk 29, ainsi que un Heckler & Koch Mark 23 pour l'homme au pompe mitrailleuse que de part ses galons se montre être le Captain de cette compagnie des forces spéciales venu s'en prendre à nos protagonistes.
Inconnu à ces derniers, plusieurs tireurs d'élites sont postés sur les toits voisins en ayant en ligne de mire leur cibles, possédant des Remington Mk 21 PSR pour la quasi-totalité d'entre un, sauf un sniper qui est équipé d'un Barrett M107 spécialement là pour nos ami à la peau dure.
Faits comme des rats, aucun des "gentils" ne peut agir sans finir cribler de balles, et même la canne connue pour son efficacité hors du commun pour trancher des tête sait que là c'est chaud face à des types comme ça, et que même si elle peut en éliminer quelques uns, elle finira par être stoppée au cours de son massacre par quelques balles placées.
Autant de pas jouer à cette mer de cactus, au risque de faire sévèrement piquer, et écoutons ce que leur chef a à dire car puisque personne n'est encore mort, c'est qu'ils ont besoin d'eux vivants.

Captain : Les mains dans le dos et suivez nous !

Gilbert : J'aime pas qu'on me donne des ordres !

Barbus : On a pas trop le choix pour l'instant.

Soldat : Qu'est ce que... ?

Interloqués par la participation d'un autre ranger à la conversation, les quatre personnages avec un tant soit peu d'importance tournent leur attention sur lui et voient alors un spectacle tant macabre que déroutant se produire.
Le gaillard, suivi par tous ses camarades excepté leur leader, ont leur langues qui commencent à faire n'importe quoi, sortant de leur bouche sans pouvoir la raisonner, avant de s'allonger d'un façon qui est humainement pas possible. L'organe charnu modifie alors sa forme afin de ressembler au bout d'une lance rose avec une pointe efficace qui se retournent alors vers son propriétaire pour le regard tel un serpent aux aguets face à une potentielle victime apeurée, imaginant déjà le pire, et c'est en effet se qui va se produire.
D'un coup, au même moments, elle foncent la tête la première vers l’œil droit de ceux qui ne peuvent rien faire, jusqu'à atteindre leur cerveaux, les tuant tous sur le coup. Une dizaine de corps tombent lourdement à terre, sous le choc tant de celui qui les commande que des gars à l'extérieur qui ont vu ça à travers leur lunettes de visée.
Ces tireurs, motivés par l'effroi de voir leur collègues finirent ainsi, ouvrent le feu sans attendre d'ordre de leur officier, sans savoir que ça signe aussi leur arrêt de mort puisque les balles finissent par retourner à l'envoyeur, manipulée par une force inconnue, les éliminant tous sans exception.
Le Capitaine est paralysée par l'horreur qui le submerge, et il tremble comme une feuille, ce qui est surprenant dû au fait qu'il en a déjà vu des vertes et des pas mûres, mais çà c'est une première pour lui. Motivé par l'instinct, son premier reflex dés qu'il parvient à nouveau à bouger, c'est de fuir loin de ce chaos, sans se retourner.
C'est une victoires pour notre trio qui ne la savoure pas vraiment, ne sachant pas ce qui vient de se passer sous leur yeux impuissants.

Esmaraldine : C'était quoi ce bordel ?

Gilbert : C'est pas moi pour une fois.

Un rire provient du bébé dans les bras du membre du BSAA, leur faisant prendre conscience qu'il a peut être à voir avec cette défense hors du commun pour repousser les envahisseurs. La tête pensante qu'est Bniac se doute bien que c'est ça, sachant que cette machine qu'il a volé aux américains sert a récolté de pouvoir de manipuler la réalité, et visiblement cela vient d'être confirmée qu'elle peut d'ailleurs créer un être à partir de ça.
Voilà comment Fabuleux, l'Entité Incohérente, est né.

17 Juin 2020

France; Île-de-France; Paris; 8e Arrondissement; Palais de l'Élysée

Bougon, Barbus se rend sans perdre de temps au laboratoire qu'il avait fait construire sous le siège de la République Française avec l'accord du Président lui même, en utilisant son propre pognon sans se servir dans les poches du peuple pour le faire, car les magouilles de politicard c'est pour lui.
Sachant que l'autre trio de débiles est à Strasbourg pour le reste de la journée, il veut en profiter pour saboter ce projet qui était le sien mais est devenu le leur, accompagné de plusieurs membres du GSPR comprenant Thierry et Patrick qui sont les plus proches du chef de l'État.
Autant dire qu'ils ont été surpris de découvrir ce qui se passait près d'eux dans leur dos sans se rendre compte, et surtout qu'ils avaient gobé sous sourciller les excuses bidons pour justifier les absences du couple présidentiel au cours des dernières semaines. Certains voudraient bien poser leur démission, si le pays n'allait déjà aussi mal depuis la guerre face aux Dieux Dragons, avec les Banques Allemandes et les Islamistes qui eux ne font pas trop déstabiliser par cette fin des mondes qui a été évitée et veulent bien niquer cette Terre ci.
La France n'est plus que l'ombre d'elle même, or si le futur se déroule à peu près comme dans celui de Kenzie parallèle, elle retrouvera sa grandeur d'antan.
Ensemble, l'ancien antagoniste de l'histoire que vous suivez et cette garde rapprochée arrivent dans la salle principale du lieu de recherche que vous avez déjà vu où Gilbert est entreposé dans une cuve en attendant qu'une chevalière en armure le libère de cette prison de verre.
Au cas où il y aurait l'un de ses anciens partenaires du mal qui serait là alors qu'ils ne doit pas être là, le Premier Ministre entre en premier, en étant extrêmement vigilant malgré sa nervosité.
Quelle n'est donc pas sa surprise de sentir, à peine entré dans la pièce, une ombre se faufile dans son dos à une vitesse le dépassant même en pleine forme, sans lui permettre de contrer alors qu'il s'était préparé à cette éventualité. Ce qui le dissuade par la suite de tenter quelque chose, c'est la désagréable sensation des dents d'un scie à dos toucher la peau fragile de sa gorge qui est justement l'un des endroits les plus vulnérables de son espèce.
L'identité de ce ninja attaquant ne reste pas un mystère bien longtemps, avec sa voix mélangeant drôlement le doux, l'agressive et le froid.

Shiho : Libère Gilbert, traître.

Patrick : Lâche le Shiho !

Un minuscule cri de désarrois retentit à l'oreille de l'individu pris en otage qui soupire alors en sachant que la présence des autres gugusses va lui la vie, ce qui n'aurait surement pas été le cas autrement, mais on ne peut pas vraiment lui en vouloir en même temps.

Thierry : Il s'est racheté de lui même pour vous libérer alors laissez le faire ce qu'il doit faire, et après si on doit le fumer, on ira le fusiller dans la cour intérieure !

Shiho : D'accord.

Sans hésiter, elle relâche sa proie qui ne sait si elle doit vraiment être rassurée après les paroles de l'autre mec.

Shiho : Sors le de là.

Barbus : Ouais, je me dépêche.

Il s'avance puis jette un bref regard derrière lui afin de vérifier quel visage affiche la petite chose aux cheveux auburn, et c'est celui des très mauvais jours, comme pouvait avoir face aux hommes en noir. En dépit du fait que celui ci soit impassible et plus glacial qu'un glaçon, ses yeux trahissent une profonde méprise pour celui qui était l'ami de son mari et qui a mis ses ambitions par dessus la confiance de ses proches.
Il faut dire qu'il ne l'a pas de guetté de cœur, sauf que ça elle s'en fiche pas mal.
Chose qu'il sait très bien, connaissant le caractère du Professeur Miyano après environs quinze ans à se connaître, et il prévoit déjà d'être puni pour ses crimes quand tout cela sera fini car sa foi scientifique l'a mené a faire de grosses conneries, y compris tromper son entourage et s'allier à de gros débiles qui n'ont fait que saboter ses projets.
Si il avait préféré mettre dans la confidence Gilbert et Shiho, peut être que ça se serait passé autrement, mais avec Fabuleux rien est sûr.
De lourdes mains se mettent à taper sur un clavier pour entrer différentes instructions afin que l'rodi contrôlant la cuve sache bien ce qu'il doit faire puisque ces machines ont besoin qu'on soit très précis. En parallèle à ça, les agents tout autour se promènent en observant les loufoqueries décorant le lieu et lui donnant une atmosphère rappelant un peu les complexes secrets d'Umbrella par le passé, en plus petit.
Isolés de ces touristes bien habillés, les deux scientifiques peuvent discuter entre eux, avec un ton hostile pour celle qui a le Prix Nobel de Chimie.

Shiho : Pourquoi tu as fait machine arrière ?

Barbus : J'ai tout foiré en faisant une alliance qui s'est retournée contre moi et en faisant confiance en ma création, alors que visiblement il n'avait d’intérêt que pour lui.

Shiho : On ne récolte que ce que l'on sème.

Barbus : On aurait dû suivre ton conseil de l'époque. Tu avais raison.

Shiho : Une phrase que j'ai trop tendance à entendre, et qui me met trop en avant.

Barbus : Tu ferais une magnifique reine.

Shiho : Ferme là.

Barbus : Pensez y quand même.

Au bout du compte, le mega récipient se vide de son liquide, alors que les câbles le maintenant dans un sommeil artificiel se débranchent, permettant au beau au bois dormant d'émerger de ce long repos qu'il avait point demandé.
Quelques gardes du corps l'aident à sortir de là, sous le regard de la chimiste, émerveillée de voir de compagnon romantique aller bien et elle en verse même une larme, car c'est vraiment meilleur que le bonheur que de le retrouver à chaque fois après qu'une force étrangère ait tenté de les séparer.
Dès que le vieux retrouve à peu près ses forces, il s'en va prendre dans ses bras sa jeunette qu'il kiffe tant. Les deux s'échangent des mots célébrant ce moment rien qu'à eux, bien que ceux qui les entourent peuvent l'entendre.

Gilbert : Désolé...

Shiho : Pour quoi ?

Gilbert : Pour avoir insisté à l'idée de garder Fabuleux comme c'était notre enfant, alors qu'il ne méritait pas d'avoir Akemi comme soeur.

Barbus : Tu as tort Gil.

Le traître s'avance vers eux, chagriné, en se grattant l'arrière du crâne.

Barbus : C'est moi qui ait tout orchestré depuis le début, en volant l'Inconsistainer au DARPA afin de créer un être par l'énergie d'altération   de réalité émanant de toi. Je me suis servi de toi comme un outi tout du long.

Gilbert : Pourquoi ? 

Barbus : Aucune idée... Par la suite je voulais régner sur l'univers tout entier au niveau du trafic de marchandise, mais ça c'était seulement après qu'il y ait eu l'idée de te piquer la place qui ait venu sur le tapis.

Shiho : Sympa comme ami.

Barbus : J'dirais que je voulais juste être le roi du monde si l'on peut dire. Et Fabuleux était le moyen d'y parvenir en théorie.

Shiho : En pratique, c'est lui qui risque de le devenir si on ne l'empêche pas.

Barbus : Je suis nul.

Gilbert : Dis pas ça. Tout le monde fait des erreurs, parfois égoïstes, mais si tu t'en veux, tu mérites alors une seconde chance.

Shiho : Plutôt une 999ème chance dans son cas à lui.

Toujours méfiante envers lui, elle mettra énormément de temps à lui pardonner ce coup de pute, voir même que cela ne sera jamais, car la confiance est quelque chose qui se perd plus facilement qu'elle se gagne chez elle. Son mari le sait très bien et ne lui en veut pas, surtout que si ce n'était pas un vieux copain qu'il côtoie avec amusement depuis plusieurs décennies, il aurait sûrement mal digérer ce fait là aussi.
Cependant les émotions doivent être mises rapidement de côté puisque la menace peut toujours revenir d'un moment à un autre, et il va falloir se pencher sérieusement à une contre attaque qui marquera ce jour à jamais dans l'Histoire.


Dernière édition par Maxime Moulin le Sam 30 Mai - 16:49, édité 38 fois
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[FIC] Jeu de Rôle [Terminée] - Page 5 Empty Re: [FIC] Jeu de Rôle [Terminée]

Message  Noémie Josse Sam 23 Mai - 23:12

???; ???; ???

La noirceur de l'obscurité de l’éternel au-de-là des athéistes est un lieu qu'a déjà pu expérimenté deux fois par le passé ce cher Maxime Moulin, avant de revenir une première fois dans un univers qui n'était pas le sien où il n'a eu aucune pitié à tout saccager, et une seconde fois sous forme d'esprit incorporel jusqu'à ce que Fabuleux lui permette de ravoir un enveloppe charnelle avec laquelle se déplacer.
Chose qui fut ensuite faite aussi pour son homologue de l’univers des courts métrages.



Tout ça pour crever à nouveau, ce qui n'est décidément pas de chances pour ces petits français à lunettes.
Néanmoins, il y a quelque chose de différent cette fois dans ces ténèbres où le jour ne vient jamais, c'est que notre antagoniste peut sentir son corps bouger, comme il n'était pas vraiment mort, ce qui est très étrange car pour l'instant il n'arrive pas du tout à ouvrir les yeux.
Peut être que les nombreux coups de poings en pleine gueules auront eux raison de ceux ci, qui sait ?
Non, c'est autre chose.
Une voix très familière résonne, une qu'il n'a plus entendu depuis de nombreuses années, ayant ainsi perdu tout espoir d'être bercé à nouveau par sa tendre dure mélodie qui frappe gentiment ses tympans avec sa gravité teintée d’aigüe. Comme une vieille camionneuse et une princesse Disney avaient fusionné à une seule entité, celle ci possédant de longs cheveux noirs et de grands pieds aux orteils aussi forts en longueur.

??? : Tu ne peux pas savoir comment tu m'as déçu Maximou.

Une paire de globes oculaires sortent alors de leur torpeur, ayant réagit à cette cloche qui signifie qu'ils doivent se réveiller, et ce qu'ils peuvent immédiatement constater c'est ce plafond reconnaissable sur des millions comme c'est celui avec lequel ils avaient l'habitude de commencer leur matinée depuis tout petit.
Maxime ne peut pas croire qu'il soit rentré chez lui, dans cet appartement perdu dans la communauté urbaine de Strasbourg jusqu'à rejoindre l'Eurométropole à l'aube de l'année où tout a changé dans le monde sur tout ce qui concerne la présence extra-terrestre et j'en passe.
Sa chambre est telle qu'il l'a laissé jadis, alors qu'elle devrait être totalement différente étant donné que Silver Shroud l'a squatté pour y installer un bureau provisoire le temps de s'occuper de l'affaire concernant le mystérieux décès des parents de Lucy Dodgera dont je vous invite à suivre l'enquête ici.
D'autant plus qu'une étrange aura se dégage de cet endroit, comme si il était piégé dans une autre dimension que celle où les humains se trouvent habituellement, un peu comme un rêve mais pas vraiment pareil car plus vrai que ce qu'il ressent, on ne peut pas faire.
Le soleil orange travers les filins qui servent de rideau, reflétant sa lumière dans les iris bleus-verts d'une femme plus âgée que lui qui se tient là sans même lui adresser un regard, alors que pourtant auparavant ils se partageaient énormément de contacts, comprenant quelques uns qui n'ont pas été signé dans les conventions de Genève.
Le garçon retrouvant sa timidité d'antan, se relève difficilement avant de sortir enfin un prénom de sa bouche.

Maxime : Sandra...

Sandra : Tu es hypocrite.

Un intense dégout vient se tourner vers lui pour le marquer d'émotions qu'on ne l'avait pas vu ressentir depuis qu'il s'amuse à jouer à Dieu sans avoir le charisme qu'il faut pour, contrairement à un Jeremy Verdier, Naru ou même Lelouch Lamperouge.

Sandra : Je ne pouvais pas saquer Sulfura Westher, mais je crois qu'elle avait raison sur toi sur plusieurs points. Un peu comme Leon, Baptiste et tant d'autres parmi tes précieux Avengers !

La dame se lève d'une façon menaçante, ce qui fait reculer le gaillard face à elle qui retombe sur le lit où il était posé juste avant.

Sandra : Si précieux que tu les as trahi par la lâcheté et continué à déshonorer les promesses que tu avais faite en les créant, salissant aussi l'amour que tu portais pour ton idole Gilbert Montagné dont tu exploites les pouvoirs et la femme comme un connard !

Impossible de placer une réponse alors qu'elle s'avance vers lui en serrant des poings.

Sandra : Tu voulais faire croire à tout le monde que la chasser à l'Holt partait d'une bonne intention car après tout il n'était pas ce qu'il semblait vraiment être, mais j'imagine que c'était plutôt car il te ressemblait trop sur certains points, et tu n'assumais pas cette idée !

Ils ne sont plus qu'à un mètre de distance l'un de l'autre.

Sandra : Tu m'étonnes que tu finissais toujours seul, sans amies, quand je vois comment tu as traité ceux étaient vraiment les tiens !

Le souffle chaud du volcan en éruption est en train d'étouffer la cible dos au mur.

Sandra : Ce qui me fout le plus la haine, c'est que je suis morte pour toi, alors que tu ne le méritais pas !

Maxime : Désolé...

Sandra : Tu diras ça aux autres qui ont été détruit par tes actions alors qu'ils t'aimaient ! Jill par exemple.

Toutes ces phrases ont pour conséquence de faire craquer le pseudo insensible, se mettant à chialer tel un enfant de huit ans, avec la morve et la même façon de baragouiner sans qu'on puisse rien en tirer de concret. Autant dire que cela ne fait ni chaud ni froid à celle qui a partagé sa virginité avec cette immonde ordure de son vivant, et qui aimerait pouvoir l'étriper là maintenant si elle le pouvait.

Sandra : Pleurer ne te sauvera pas de ce qui t'attendra quand tu reprendras conscience.

Maxime : Je ne suis qu'une merde !!

Sandra : Ça on le savait.

Cette inondable peine qui submerge le gamin inconscient de la portée de ses actes jusqu'à présent, se rend compte qu'en voulant se venger des autres qui ne l'ont jamais apprécié, il est devenu le monstre qu'ils voyaient en lui, faisant d'une chimère une réalité.
Le plus dur, c'est que sous le coup de cette folie des grandeurs, il est allé à l'encontre de ses propres idéaux d'avant sans possibilité de le résonner jusqu'à revoit le fantôme de l'être cher. Ce complexe de Dieu à la Sephiroth est bien différent du Syndrome d'Hinamizawa, bien que l'on aurait aimé que ce génocidaire s'arracher la gorge par lui même pour ensuite ne plus revenir, au lieu de commettre cette annihilation sans remord qu'il a pu commettre.
Méprisable, on a dû mal à se sentir désolé pour lui, même dans l'état déplorable où il se trouve.
Sur un ton ferme, son ex lui donne un ordre clair et net.

Sandra : Rattrape tes conneries ! Peut être que quelqu'un pourra par la suite te pardonner, mais ce quelqu'un ne sera pas moi.

Maxime : Je le ferai.

La tête baissée, il n'ose même pas regarder l'un de ses deux seuls amours réciproques s'en aller sans jamais revenir, disparaissant sans laisser de trace et emportant cette illusion avec elle.
Retour à un monde bien trop sombre pour le commun des mortels.

[FIC] Jeu de Rôle [Terminée] - Page 5 Tenor

Ce qui ramène doucement, telle une berceuse, notre méchant honteux à la conscience du monde qui l'entoure, c'est le bruit d'aspiration régulier d'une machine lui servant à respirer dans son état plus que lamentable.
Faut dire que son double n'a pas chômé avant de crever.
Faible comme jamais il ne l'a été, il n'arrive même pas à bouger ne serait ce qu'un seul de ses doigts de la main, ni même un orteil. Rien qu'ouvrir ses paupières pour lui est aussi dur que de soulever une porte blindée à main nue sans aucune protection ou aide quelconque.
La première chose qu'il voit en ouvrant les yeux est un plafond presque aussi familier que celui de son rêve, sauf qu'au lieu d'être celui de sa propre chambre, cette fois ci il s'agit de la chambre des parents, encore absents comme à leur habitude, bien que cette fois ci ils ont peut être eu un coup de pouce du destin.
De l'équipement médicale y a été aménagé à la dernière minute, comme par magie, afin de pouvoir traiter des blessures qu'il a subi de la part des phalanges de l'autre homme tout aussi en colère qu'un Jacques Cheminade a qui on aurait volé son goûté.
Son infirmière improvisée personnelle est une brune à gros sein, pas du tout son genre mais plus celui d'un détective privé démodé, qui est manipulée à l’insu de plein grès, tel Virenque, par une force au dessus d'elle qui a eu le droit à sa genèse lors du chapitre précédent.
Fabuleux exhibe ses muscles seyants au miroir qui ne peut résister à cette image qu'il est honoré de projeté, tout ne évitant de craquer sous ce splendide sourire que ce brave gaillard ne perd jamais, même dans les pires moments.
Inconscient du fait que l'ancien locataire de cet appartement ait repris ses esprits, il continue à s'admirer lui même encore un moment avant qu'une voix féminine se nommant Lily le ramène à la réalité.

Lily : Il est réveillé !

Fabuleux : Oh merci ma chère !

Ce charme l'envoie aux anges, sans qu'elle sache qu'elle aide un être plus cruel que ceux qu'affrontent habituellement son employeur, actuellement en mission ailleurs.
Ce vilain géant rappelant beaucoup Captain Qwark, se met au chevet de cet outil mal en point dont il prévoit encore une certaine utilité, ce qui explique pourquoi il ne l'a pas laissé crever. Chose qui peut encore changer à fortiori d'ailleurs.
D'une subtilité déconcertante, il fait signe à la dame à ses services d'aller voir ailleurs si ils y sont, afin d'avoir une conversation privée où ce serait gênant si quelques oreilles indiscrètes venaient à entendre son contenu sans permission de l'autorité suprême.
Une fois seul à seul, avec l'un des deux hommes en position de supériorité flagrante, ce dernier pose une main sur l'épaule de plus faible qui fait se son mieux pour ne pas reperdre conscience, puisque la fatigue se fait beaucoup ressentir dans tout son corps.
Afin de commencer de manière enjolivée, autant le faire avec une petite touche d'humour.
Voilà pourquoi le super héros français se retrouve brièvement avec une voix de gamine tout en rendant son visage aussi mignon qu'un chaton abandonné sur une aire d'autoroute.

Fabuleux : Nipaaahhh !

Ne pouvant lever un sourcil, Maxime préfère soupirer face à ces blagues d'un goût qui ne le faisait déjà pas rire de base, mais qui en plus l'exaspèrent au plus au point maintenant qu'il s'est rendu compte à quel niveau il était tombé de l'échelle de la médiocrité. Déjà qu'il avait dû mal à se voir dans un miroir depuis qu'il était tout petit, ne se trouvant pas reluisant à la manière d'une Tomoko Kuroki, alors si on rajoute ses tares qui sont bien plus présentes jamais après les monstruosités qu'il a commis, autant dire que le poids de celles ci risquent de l'écraser au point d'y rendre l'âme.
Sa réponse est amère.

Maxime : À quoi ça sert tout ce qu'on fait ?

Fabuleux : À être les meilleurs !

Maxime : Vraiment ?

Fabuleux : Tu ne me crois pas ?

Maxime : Je crois plutôt que c'est Barbus qui s'était rendu compte avant nous qu'on était en train de faire de la merde, et que même si on avait pas saboté ses plans, on aurait eu un méchant retour de bâton dans la gueule.

Fabuleux : Je crois que Monsieur le Gothique devient trop pessimiste, au point qu'il aura les cheveux aussi noirs que Stive si ça continue ainsi.

Maxime : Si même ces putains de Dieux Dragons n'ont pas réussi à détruire ce monde, c'est qu'une entité plus forte qu'eux finira toujours à punir les vilains petits canards que nous som... Aille !

Une pression est en train de lui détruire l'épaule gauche, alors qu'un sourire semblant rassurant lui est adressé.

Fabuleux : Ne dis pas ça.

Maxime : Tu te rendras compte que j'ai raison car je suis principalement celui qui a fauté, en devenant tout ce que je ne voulais pas devenir, et mon autre moi essayait de me ramener à la raison.

Quelques larmes finissent par couler sur le visage du fautif.

Maxime : Cette idée de deck aussi était du grand n'importe quoi.
Curie, la Carte Synthétique.
Clara Lille, la Carte Hackeur.
Claire Redfield, la Carte Humaniste.
Frank Castle, la Carte Tank.
Regina, la Carte Soldat.
Lina Inverse, la Carte Sorcière.
Aiko Kudō, la Carte Tentatrice.
Stive People, la Carte Bouffon.
Aerafal Kennedy, la Carte Espion.
Mike Tetra, la Carte Dirigeant.
Je me suis juste un petit kif en croyant être le roi du monde, alors que je ne suis qu'une grosse merde.

Fabuleux : On le sait.

Cette réponse cash et honnête déconcerte de mal en point qui ne s'y attendait vraiment pas.

Maxime : Comment ?

Fabuleux : Si je t'aide, c'est parce que tu fais diversion en te mettant trop en avant et comme ça je peux magouiller sans qu'on m'emmerde. Si tu ne veux plus participe à notre équipe, tu peux partir, j'en ai rien à faire.

La pression est maximale, brisant l'os qui la subit et cessant ainsi toute douleur à son possesseur.

Fabuleux : Tant que tu ne te mets pas sur mon chemin.

Il ne lâche pas la joie qu'il arbore tout le temps, ce qui au-de-là du flippant.
Sans échappatoire, l’Œdipe du pauvre ne peut pas faire grand chose, car vexer son ancien associé serait signer son arrêt de mort, et ce n'est pas en crevant qu'il pourra racheter ses faute. Pas de possibilité de gagner face à l'être fait d'incohérence qui plus est, surtout quand on galère déjà à éviter de piquer du nez.

Maxime : Fais ce que tu veux.

Fabuleux : Observe la victoire qui sera bien tôt mienne ! Ah ah !

Maxime : Si tu le dis...

Fabuleux : Mon mérite sera d'autant plus grand que le plan qui m'y aura mené était naze.

Maxime : Tu as fait exprès de suivre mon plan débile sans broncher ?

Fabuleux : Évidemment ! Celui de Barbus était très efficace mais pas assez gratifiant. Alors que le tiens, personne n'y aurait misé un centime pour dire qu'il pourrait fonctionner. Hé bien grâce à moi, ce sera le cas !

Maxime : Génial...

Fabuleux : Que je m'aime !

Lily : Fabuleux !

Fabuleux : Oui !?

Lily : On parle de vous à la TV !

Fabuleux : Oooohhh !!??

Tant amusé qu'étonné, il se précipite au salon où outre trois chats en train de pioncer, se trouve la secrétaire du linceul argenté qui a allumé la téloche en y mettant BFM TV, ou Brotherhood For Montagné, chaîne réputée pour avoir une vision à elle du monde dans lequel vous vivez.
Leur idole, ce bon vieux Gilbert, se tient devant son pupitre de président de la république, dans la cour de l’Élysée, entouré par les gardes républicains, le tout avec une colère sur le visage digne du gitan faisant une vidéo YouTube afin de provoquer un rival.
C'est d'ailleurs un peu ce qu'il est en train de faire, à plus grande échelle.

Gilbert : T'as entendu Fabuleux !? Je te provoque en duel d'incohérence à mort, et t'as pas intérêt à te défiler espèce de grosse baltringue avec des muscles en mousse ! Viens manger tes morts ! Je t'attends !

Le message est clair.
Un égo est frappé par cs propos, ce qui est remarqué par Lily qui n'ose pas dire quelque chose, alors que son esprit se rend compte de la menace que représente celui qu'elle croyait être un modèle à suivre.
Préparez vous pour un combat comme vous en avez jamais vu auparavant.

France; Île-de-France; Boulogne-Billancourt; Siège CNews

Suite à la mort de Kelly et Zemmour, "Face à l'Info" à été arrêtée pour être remplacer par une nouvelle émission dans le même style que la précédente sauf que celle ci se nomme "Cocoricommunication" qui est présenté par ce bon vieux Jean-Marie Bigard qui a fêté il y a peu ses 66 ans.
Quatre participants sont là.
La stars.
L'économiste.
L'historien.
Et l'étranger.
Soit, pour ceux présents aujourd'hui sur le plateau.
Michel Onfray.
Trouble Fait.
Marc Menant.
Et Dolph Lundgren.
L'édition du jour débute juste après le discours enflammé du chef de l’État, donc nul doute qu'ils risquent d'en parler, même si il y aura d'autres sujets de conversations qui vont être dévoilé dans un sommaire faire par l'humoriste vulgaire tout en prenant un bon verre de rouge cul sec afin de se déshydrater un petit coup.

Jean-Marie : Salut les amies ! Aujourd'hui on va comme toujours et toujours, se marrer bordel de merde !

Les Autres : Ouais !

Jean-Marie : Trouble Fait nous expliquera pourquoi l'idée d'Elon Musk d'envoyer les migrants sur Mars grâce à Space X va relancer l'économie mondiale comme jamais vu dans les prochaines années.

Trouble Fait : Je ferai aussi prochainement une vidéo sur ma chaîne qui sera plus détaillée.

Jean-Marie : Puis Dolph Lundgren abordera le cas de Manuel Valls et de Ségolène Royale qui ont prévu de se présenter au prochaines élections qui auront lieu à l'archipel de Golden Machin Truc, en se disant meilleur que les incompétents en place.

Dolph : Personne n'est dupe, et c'est pour cela que Mike Tetra cartonne là bas.

Jean-Marie : Ensuite ce bon vieux Marc nous parlera plus en profondeur d'un héros qui a marqué l'histoire pendant des siècles, à savoir Naru le Dieu Dragon, en nous sauvant il y a six mois de ça.

Marc : Sans oublier qu'une statue de lui a été érigée il y a peu à Central Park !

Jean-Marie : Et Michel terminera avec sa rubrique sur Slayers, "Le Meilleur Roman Japonais", et nous expliquera pourquoi.

Michel  : D'ailleurs, un fan français a traduit le premier tome et celui ci est disponible ici.

Jean-Marie : Mais d'abord, on va revenir ensemble sur le discours de ce sacré déconneur de Gilbert qui nous étonne toujours !

Les Autres : Ouais !

Des effets spéciaux viennent appuyer l'émission qui se lance vraiment, pendant que Florian Philippot apporte du café fait par lui même afin de maintenir éveillé cette bande de joyeux lurons, avant de s'éclipser pour ne pas être dans le champ quand ça reprend.

Jean-Marie : Bon alors les potes, vous ne pensez quoi de cette invitation à un duel qu'à fait notre copain ?

Dolph : Que comme toujours, il doit avoir plusieurs coups d'avances, caché par sa bonne humeur habituel, pour être sûr de triompher de son adversaire.

Marc : Cela s'annonce déjà comme un grand combat comme on n'en fait plus de nos jours malheureusement !

Trouble Fait : Vous le savez que je suis sceptique vis à vis de Montagné que j'apprécie pas personnellement, mais en même temps je suis encore plus méfiant de Fabuleux.

Michel : J'en ai parlé dans mon dernier bouquin au passage.

Jean-Marie : Fêtons çce futur affrontement comme il se doit en reprenant un p'tit verre !

Tous se servent dans les bouteilles de ce picoleur professionnel, alors qu'une chanson bien de chez vous se lance pour aller avec cette ambiance alcoolisée, clôturant ainsi un chapitre de cette histoire qui respire déjà plus la joie de vivre que d'autres que j'ai pu vous conter récemment.
Attendez voir la suite, ce sera encore pire.


Dernière édition par Noémie Josse le Dim 31 Mai - 1:06, édité 1 fois
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[FIC] Jeu de Rôle [Terminée] - Page 5 Empty Re: [FIC] Jeu de Rôle [Terminée]

Message  Maxime Moulin Dim 31 Mai - 0:53

Île-de-France; Paris; 8e Arrondissement; Palais de l'Élysée

De nombreuses caméras de différentes chaînes télévisées, tant françaises qu'étrangères, sont venus couvrir l'événement qui vole un peu la vedette au reste de l'actualité puisque le président d'une des plus grandes puissances mondiales va défier un puissant super héros dans leur domaine de prédilection en commun, à savoir la manipulation de la réalité ultime, façon Haruhi Suzumiya.
Dommage que celle ci son en vacance dans sa ville natale avec son fiancé et son mari, car elle rate quelque chose. Bien que le Japon fait parti des pays à filmer la rencontre, donc peut être qu'elle le verra à travers le petit écran.
Qui sait ?
Gilbert s'échauffe tout seul, dans cette grande cour au milieu du palais présidentiel où où la sécurité a été renforcé pour l'occasion, avec le RAID, le GIGN et le COS qui soutiennent ainsi les forces déjà naturellement en présence dans ce lieu ultra protégé où même une mouche n'est pas censé passer les défenses sans fournir une bonne raison quand à la raison de sa venue.
Sans qu'il n'y fasse vraiment attention, concentré sur son exercice physique, la tension est à son comble tout autour de lui, et les spectateurs retiennent leur souffle en attendant que un script se déclenche pour continuer à faire progresser cette histoire qui s'approche mine de rien de sa propre fin.
Le voici qui se montre enfin, sous la forme d'une étoile filante dans le ciel qui s'arrête d'un coup juste en dessous d'un nuage, au dessus de l'ancien hôtel particulier parisien. Continuant à une vitesse folle, il descend de là en même pas deux secondes, se retrouvant au sol, à quelques mètres devant le chanteur d'un autre temps, le tout sans avoir fait le moindre bruit, hormis agiter l'air environnante.
Autant dire qu'il y a pas mal de membres de forces spéciales qui se chient dessus, face à cet ennemi dépassant ce qu'ils ont combattu jusqu'alors, puisque même les sous fifres des Dieux Dragons n'étaient pas aussi balaise. En fait, il se rapproche un peu de la puissance de ceux ci d'une certaine manière, bien que si Naru m'entendait dire ça, il objecterait surement et peut être à raison.
Ne lâchant pour rien au monde son perturbant sourire, Fabuleux croise ses bras bras musclés, en lançant un regard global à un peu près tous les gens présents pour leur foutre les boules, avant de se focus sur son adversaire final.
Quand il remportera cette victoire, plus rien ne pourra le vaincre, il en est sûr.
Moi je ne le serai pas autant, car déjà même si l'homme dont il a été conçu est l'un de ceux qui peut lui fournir une forte opposition, il n'est pas le seul. Je pense sans me planter qu'Haruhi, Sasaki ou Naru pourraient le mettre au tapis en lui faisant ravaler son arrogance, et même sans eux, il ne faut pas oublier que j'aurais réussi à interférer avec leur plan si Barbus ne m'avait pas précédé.
Néanmoins, je ne pense qu'on aura besoin d’intervenir, pour la simple et bonne raison que non voyant a déjà gagné la partie sans que l'autre joueur, ironiquement plus aveugle que lui, ne rend pas compte avec sa fierté au dessus de tout ce qui existe dans ce monde.
Un échange a lieu entre les deux éléments majeurs de chapitre, précédent la bataille à venir.

Fabuleux : L'heure est venue des retrouvailles entre un père et son fils !

Gilbert : Je n'ai qu'un enfant et elle se nomme Akemi !

Fabuleux : Tu rejettes ton petit garçon chéri !?

Gilbert : Est ce encore possible d'avorter !?

Un rire sincère provient du super héros qui reconnait à son géniteur son sens de l'humour tout particulier qui le fait personnellement bien marrer, et qui lui manquera quand il lui aura réglé son compte.

Fabuleux : Tu es prêt pour ce moment qui marquera l'Histoire à tout jamais !?

Gill craque des doigts en riant à son tour.

Gilbert : Ouais, et toi !?

Fabuleux embrasse l'un de ses biceps pour montrer encore une fois la confiance démesuré qu'il a en lui même.

Fabuleux : Bien sûr !

Un claquement de doigt résonne à des kilomètres.

Gilbert : Alors musique !

Sortant de nul part, un orchestre symphonique se met à jouer tandis que le tri ode chanteuses seiyūs japonaises TrySail interprètent leur titre "Original" en faisant bien porter leur voix pour que tout Paris puisse les entendre, et pour facilité l'écoute dans ce duel magique.
Le premier à lancer une attaque est Monsieur Montagné en fonçant tête baissé vers son rival, transformant au passage ses pieds en ressort avant de bondir sur lui pour tenter de le frapper avec ses bras rocher, seulement pour être stoppé par une vitre blindée sans causer aucune fissure.
En réponse, l'antagoniste tape dans cette plaque résistance pour la renvoyer sur l'attaquant qui est propulsé jusqu'à une cuve d'acide, remplie de requins assoiffés de sangs et de piranhas supers vénères. Par chance notre héros se rattrape à temps à l'un des rebords et tel Rayman saute immédiatement hors de ce danger qui essaye de lui croquer ses petits fesses si tendre.
La prochaine menace se dressant sur sa route est cette immense moissonneuse batteuse qui se dirige droit sur lui, avec des dents acérées, sans qu'il n'ait de moyen de l'esquiver par un côté ou de tuer le pilote puisque telle Christine, il n'y en a pas.
Seul son imagination peut le sauver, et ce ce qui se passe quand il se retrouve à bord du Titanic en se prenant pour le Capitaine Edward Smith, restant à la barre de son navire jusqu'au bout. L'iceberg est heurté de plein fouet et pulvérisé sans ménagement, permettant au gros paquebot de continuer sur la voie terrestre à la manière d'un cheat code de GTA.

[FIC] Jeu de Rôle [Terminée] - Page 5 22874fd4021b3bcb509d8f5b31a55a8d

Les filets du bateau prennent sans le vouloir un rascasse indésirable qui s'y accroche et monte à bord sans permission pour aller piquer le conducteur sur plusieurs parties du corps. Les métaphores se mélangent à la réalité, ne permettant plus trop de savoir où se situent vraiment les deux personnages majeurs dans tout ça, rendant la lisibilité ardue tant pour vous que pour les autres spectateurs.
Gilbert, à bord du Char Leclerc essaye de faire couler le Charles de Gaulle où tout l'équipage a été exterminé par Fabuleux en claquement de doigts, afin d'entrainer ce dernier avec dans sa chute jusque dans les abysses où il n'en ressortira jamais, espérons le.
Plusieurs Rafales en modes drones se mettent à décoller pour essayer de pilonner le tank, sans vraiment de succès, car ça ne vaut pas un Mirage. Quand l'un des aéronefs est assez proche de lui, le président se jette en hauteur sur lui pour prendre la place laissée libre et y reprendre le contrôler grâce à ses pouvoirs qui submergent sur ce coup son enfant déshérité vers qui il se dirige ensuite, alors que ce dernier est en train de siroter tranquillement un diabolo fraise, posé sur un transat à Tahiti où nous sommes transporté sans préavis.
Ce lieu magique est ruiné par cette confrontation, alors que les plages vidées de ses touristes de Papeete, se retrouvent souillées par un avion qui se crache dans le sable pour essayer d'emporter le super héros avec lui, alors que le casse cou qui était à son bord est à présent en train de se poser sur un quai avoisinant grâce à un parachute de secours.
Il ne faut pas crier victoire trop vite.
Le ponton de bois se met à trembler, avec les planches qui sautent les unes après les autres à cause d'une force sous l'eau, se dirigeant droit vers cette proie qui ne veut pas finir dans la gueule du requin.
Sauvé par Monsieur Propre muni de la magie d'Ajax qui pulvérise l'océan tout entier pour y faire sortir le dangereux grand bleu blanc rouge à travers le sol de bois. Le méchant en profite pour attraper le gentil dans cet élan et ils foncent ensemble au Nord-Est, direction la commune de Mahina où leur vol croise dans sa trajectoire le Phare de la Pointe Vénus qui se fissure à l'endroit même de l'impact pour ensuite voir sa grande partie supérieure tomber puis se déverser sur les plages de la Baie de Matavai, malgré les rambardes de sécurité.
Cette attaque choc est un coup dur pour Gilbert qui est plutôt affaibli car il a utilisé une bonne portion de sa force incohérente pour éviter de périr, mais il ne lui reste plus beaucoup de ressource et il aurait bien besoin de repos pour réapprovisionner tout ça.
Autant dire que c'est Fabuleux qui se marre bien de cette situation qui tourne en sa faveur.

Fabuleux : Déjà essoufflé le vieux !?

Gilbert : Je peux faire ça toute la journée !

Grimaçant fortement en piquant cette réplique au héros au bouclier américain, le synthétique à la fois jeune et vieux en même temps essaye de ne pas perdre son ardeur face ce gros con égocentrique qui même si il peut lui ressembler, est quand même bien plus machiavélique que lui.

Fabuleux : En vérité, si tu veux qu'on arrête de combat, je suis prêt à t'accorder la vie sauve !

Gilbert : Vraiment ?

Fabuleux : Tu es le premier à vraiment m’opposer une résistant, là où même cet autre sorcier censé être l'un des meilleurs en ce monde ne m'a tenu tête que pendant quelques secondes !

Gilbert : J'apprécie tes louanges mais je préfère crever de tes mains que de vivre à tes pieds !

Fabuleux : Si tu le dis !

Flash, le voilà au niveau de son ennemi, le soulevant par le col sans qu'il ne puisse rien faire.

Fabuleux : Organisons ton enterrement si tu veux bien !?

Tel un gaulois sous potion magique, le super héros fait tournoyer cette vulgaire poupée de chiffon au dessus de sa tête avant de la balancer vers un bâtiment qu'il avait repéré dans les airs, plus loin sur cette route derrière eux. Gill, impuissant, ferme les yeux en esquissant un sourire confiant, alors que pourtant tout semble montrer qu'il a perdu le combat et rien que la descente qui va suivre peut le faire basculer dans cette dimension qu'il a déjà connu où Suzanne et Zarick doivent être en train de l'attendre.
Or, il manque un détail très important, sans quoi il ne voudrait s'y rendre pour rien d'autre au monde.
En dessous de lui, l'attend le Temple Protestant de Getsemane, qu'on pourrait aussi appeler l’Église Barbie tellement cela déborde de rose et aussi supposer que son pasteur puisse être un poney pédé. Les bancs bien rangés amortissent cette chute qui aurait dû lui être mortelle, mais qui en l’occurrence lui a juste brisée une jambe à la manière de sa femme il y a six mois de ça, sauf que là c'est celle opposée qui est gravement touchée, sans trop pisser le sang en revanche.
Aucun effort n'est fait de son côté pour se relever, attendant probablement paisiblement la mort sans perdre sa bonne humeur, alors que le vilain cheaté se pose calmement près de lui dans le but de se vanter et d'en finir une bonne fois pour toute.

Fabuleux : J'ai gagné !

Sa fierté sera se qui le perdra, dans approximativement une seconde.
Un éclat de lumière est réfléchit sur un objet en mouvement au niveau du trou dans le plafond, et l'instant d'après une coupure nette se produit de l'arrière jusqu’au devant du cou de celui qui n'était pas si fabuleux que ça, puisque ne penser qu'à sa gueule en manipulant les autres l'aura envoyé sous la guillotine tels bon nombres de vils gredins avant lui, si l'on peut déformer l'Histoire pour en faire quelque chose d'aussi manichéen.

Gilbert : Non, J'AI gagné !

Une boule ronde roule jusqu'aux pieds du roi victorieux qui rouvre les yeux en sachant à qui il la doit.
Avant même de l’apercevoir, sa voix semblable à celle de Megumi Hayashibara est très reconnaissable,surtout avec son ton très sarcastique.

Shiho : Toujours aussi doué pour faire le mariole. Vous auriez dû vous marier au lieu de vous défoncer la gueule.

Enfin la tête auburn tant attendue est enfin là, montrant un visage plus inquiète que ses paroles, et elle ne met que très peu de temps avant de s'agenouiller sur son mari afin de vérifier si il n'est pas trop cassé et de faire pression sur la blessure qu'il a subi avec un morceau de sa jupe qu'elle a arraché, comme elle n'a pas vraiment pu emmerde du matériel médical dans le précipitation et dû à la forme qu'elle a adopté pour venir ici.
Une ambiance tout aussi vibrante que lors du combat, tout en étant plus doux, est présent dans l'atmosphère grâce à "Sangatsu no Phantasia" qui joue en fond sonore, sans que le groupe soit physiquement présent cette fois ci.

Shiho : Je suis contente que ce soit fini.

Gilbert : On prendra une semaine de repos bien mérité en rentrant. Tu voudras aller en vacance.

Shiho : J'irai bien à Hokkaido me rafraichir un peu.

Gilbert : On risque de paumer ta chatte dans la neige à cause de son pelage tout blanc.

Shiho : Et notre fille aussi au passage si elle essaye de la chercher. C'est le risque à prendre.

Gilbert : Tu m'aides à sortir d'ici.

Sa belle approuve d'un hochement de la tête suivi d'un tendre baiser sur ses lèvres, avant de réunir toutes ses forces pour soulever ce vétéran avant de le conduire vers le voile blanc qui marque la délimitation de cette zone, en l'épaulant avec sa force physique qui n'est pas visible extérieurement.

Gilbert : Tu frimeras à ma place devant Naru.

Shiho : J'essayerai de te défendre quand lui et les autres te sermonneront au sujet de ton faux fils.

Gilbert : Il faudra que je sorte mes bouchons de nuit pour les oreilles.

Shiho : Pas sûr que ça une bonne idée pour améliorer leur humeur.

Gilbert : Plaisanter là dessus, ça ne passe pas, on est d'accord ?

Shiho : On est d'accord.

Gilbert : Tu me proposes quoi ?

Shiho : Déjà nous nous excuserons tous les trois, Barbus compris, pour nos conneries, ce sera un bon début.

Gilbert : Effectivement.

Shiho : Ensuite...

Ce couple mythique sort donc donc par la grande porte, disparaissant à travers cette illumination suI nous empêche de voir de l'autre côté, et laissant un cadavre inoffensif derrière eux qui sera ramassé par les services secrets français par la suite afin de veiller à ce qu'il ne finisse entre de mauvaises mains.
Encore une fois, l'amour a triomphé si l'on peut dire.


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Message  Noémie Josse Dim 31 Mai - 16:26

18 Juin 2020

France; Alsace; Bas Rhin; Strasbourg; Centre Ville

Lors des coups de midi, les cloches de la magnifique Cathédrale dominant les cieux de la flèche, visible depuis les Vosges, se mettent à sonner, marquant ce jour nouveau de la toute puissance de ses vibrations. Aucun oiseau, même ces cons de pigeons, n’osent rester en place en les entendant résonner jusqu'au plus profond de leur corps si fragile comparé à l'âge de cet édifice qui a traversé l'épreuve des siècles en très bon état.
Un chœur entrainant nous plonge dans ses rues anciennes que même Sherlock Holmes a visité dans l'une de ses nombreuses vies, où les habitants font leur train train quotidien malgré une chaleur étouffante à deux jours de l'Été. Grâce à cet air musical qui s'invite par leur orifices auditifs, l'envie de chanter finit par prendre chez certains.
Notamment chez chez cette vieille femme en haillon qui tient un stand de Bretzels.

Vendeuse 1 : Saint Strasbourg est joviale !

Sa jeune fille à ses côtés, rapporte des produits frais pour les mettre bien en évidence, afin d'attirer le consommateur.

Vendeuse 2 : Saint Strasbourg est chaude !

Curie débarque alors, vêtue d'un short et de tongs, pour acheter de quoi manger tout en souffrant énormément de ce temps trop brûlant pour elle.

Curie : Mes sous-vêtements sont humides en restant ici durant toute la semaine !

Une foule de touristes chinoises s'amasse devant le Palais Rohan pour apporter leur pierre à l’édifice.

Touristes : Oh, depuis la canicule nos corps sont si rouges !

Les riverains viennent s'ajouter à cette plaindre globale, pour essayer de passer outre ces douleurs de la saison.

Tous : Merci bon Dieu pour les ragots qui nous font passer la journée ! HEY !!

Les voix répandant leur échos ensemble, questionnant à propos des rumeurs du jour.

Tous : Avez-vous entendu !? Il y a une rumeur à Saint Strasbourg ! Avez-vous entendu !? Ce qu'on dit dans la rue !?

Un albanais un peu louche pointe le bout de son clope en refilant des infos obtenu en se salissant les mains.

Albanais : Bien que Fabuleux n'ait pas survécu, Maxime Moulin pourrait être toujours vivant !

Niveau discrétion, la foule fait fort en gueulant très fort juste à côté du type qui ne veut pas trop se faire remarquer.

Tous : CE MAXIME MOULIIIIIIINNNNN !!!

Ce boucan attire l'attention de Frank Castle qui craque alors ses doigts en menaçant du crane sur son tee-shirt la malfrat qui de son côté se chie dessus.

Albanais : Mais pitié, ne le répétez pas !

Le gaillard se tire de là avant de se faire fumer, sous le regard d'un Mike Tetra en train de manger un mannele aux pépites au chocolat, lui arrachant la tête à pleine dent au passage.
Le futur dirigeant de l'archipel de Preosimitier se précipite à son tour loin de cet endroit, dans la direction opposé, sauf que pour le coup, on ne sait pas sa motivation à lui, et cela n'empêche pas ceux qu'il croise de continuer à s'exprimer en chantant.

Tous : C'est une rumeur, une légende, un mystèèèèèère !!

Mike emprunte une ruelle à sa droite afin d'avoir un raccourci pour sa destination.

Tous : Quelque chose que l'on chuchote dans une ruelle, ou à travers une fissure !

Au dessus du Parking Gutenberg, l'attroupement est tout autant euphorique.

Tous : C'est une rumeur, qui fait partie de notre histooooooiiiiire !!

Clara Lille, qui passe aussi part là comme par hasard, lit à voix haute les infos qu'elle a pu obtenir en checkant les news sur les réseaux sociaux.

Clara : On dit que votre cher gouvernement offrira une forte sommes... !

Ceux qui l'entourent complètent sa phrase en la coupant comme les malpolies qu'ils sont.

Tous : A celui qui leur rendra ce connaaaaaarrrrrd !!

Une pause dans cette œuvre musicale survient quand à la sortie de son raccourci, Michael Clean une once sur la gueule qui fait juste un peu voler ses vêtements et ses cheveux. Il s'agit en réalité d'un Asher Dist balancé par Lina Inverse qui voulait le surprendre, et par chance notre homme n'est pas un mort vivant car dans le cas contraire, il aurait été vaporisé par ce sortilège.
Indemne, il n'est point vexé par cette vilaine farce de celle qu'il aime et les deux sont content de se retrouver, comme cela peut assez rapidement s'entendre.

Lina : Mike !

Mike : Orangine !

La rouquine chope le prince timide par l'épaule et l'entraine dans les grandes rues pour trouver un coin priver où discuter à l'abri des oreilles curieuses.
Les marchands des grandes arcades essayent de les appâter comme ils le peuvent au passage.

Vendeur 1 : Un euro pour ce couteau ! C'est de Chérif, je l'jure !

Vendeur 2 : Pyjamas du Général Leclerc ! Allez y, achetez la paire !

Vendeur 3 : J'ai eu ça au Meltdown ! Cela sent vraiment mauvais !

Dit il en tenant un rat crevé par le bout de la queue, ce qui intrigue suffisamment la chef d'équipe pour qu'elle se précipite pour l'acheter avant de passer devant cette occasion en or de paraître bizarre auprès de la population locale.

Lina : Ça pourrait valoir une fortune, si ça appartient à lui !

Le duo remarquable se précipite sur l'un des bords de la Place Kléber où ils se réfugient au sein de la Halle aux Chaussures pour se planque au rayon croc où ils sont sûrs de n'être dérangé par personne, car aucune personne ayant un minimum de goût ne se pointe précisément ici.

Mike : Lina, j'ai réussi à obtenir l'information que Maxime Moulin se trouverait chez ses parents.

Lina : Même Auguste Dupin n'aurait pas pensé à celle là.

Mike : Qui ?

Lina : Ne perdons pas de temps ! Si Silver met la main dessus avant nous, on pourra dire adieu à notre récompense, et plutôt crever que de perdre face à ce plouc démodé !

Aussi fière que d'habitude, l'avide voleuse de bandits retourne à l'accueil du magasin avant de se tourner vers son compagnon qui était en train de la suivre.

Lina : c'est une rumeur ! La légende ! Le mystère !

Ensemble ils ressortent de cette boutique afin de faire face à la place bondée de danseurs improvisés.

Lina : C'est ce Maxime Moulin qui nous aidera à gagner !

Elle pointe du doigt l'un des deux hommes qu'elle aime vraiment sur cette entière planète.

Lina : Toi et moi Lina, nous resterons, dans l'Histoire !

Mike est surpris par sa bien aimée qui l'agrippe sauvagement pour danser assez maladroitement avec lui.

Lina : On chope ce crétin à lunettes et on lui en colle une !

Cette ronde s'arrête sur la brutale sorcière qui tape du poing dans sa main.

Lina : On le ligote et l'emmène à Pariiiis !!

Des billets plein les yeux peuvent être vu avec un peu d'imagination.

Lina : Imagine la récompense que ce cher Gilbert va payer !

Elle enroule son bras droit autour du cou de son partenaire qui est envoûté par ses paroles.

Lina : Qui d'autre peut mener ça à bien que toi et moi ?

Ils s'avancent jusqu'au centre de la scène en participant tous les deux cette fois ci.

Lina : On sera riche !

Mike : On sera riche !

Lina : On sera loin !

Mike : On sera loin !

Lina + Mike : Et Saint Strasbourg aura de quoi jaser sans fin !

Tels des enfants ils sautent dans un point d'eau, éclaboussant quelques jeunes posés juste à côté.
La foule autour d'eux décide d'entonner à nouveau le refrain, mais en chuchotant.

Tous : Avez-vous entendu !? Il y a une rumeur à Saint Strasbourg ! Avez-vous entendu !? Ce qu'on dit dans la rue !?

Le duo parvient jusqu'à l'arrêt Homme de Fer où un tram est sur le point de partir, le tout en évitant les gens qui gueulent "Hey !" comme des cons avant de reprendre des propos plus développés à voix haute.

Tous : Avez-vous entendu !? Il y a une rumeur à Saint Strasbourg ! Avez-vous entendu !? Vous deux, qu'en pensez vous !?

Lina et Mike, ciblés par la parodie musicale, parviennent à s'accrocher à l'arrière du transport en commun, resquillant ainsi comme deux malfaiteurs.

Tous:  Un fascinant mystère !

Lina : Le Plus Gros Con de l'Histoooooooooiiiiiiiire !!!

Tous : CE MAXIME MOOOOOUUUULLIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNN !!! VIVANT OU MORT !!??

Aerafal Kennedy qui tranquillement assis sur l'un des bords extérieurs du risque qui surplombe la place, en train de manger un sandwich, ce qui ne l'empêche pas de conclure la chanson avec la bouche pleine.

Aerafal : Qui sait ?

Un pigeon lui rentre alors dedans, ayant été attiré par la nourriture et étant un peu débile, ce qui fait que le fils de Leon chute de son perchoir et vient s'écraser contre la Statue qui donne son nom à cet endroit, amortissant sa chute mais détruisant un monument que beaucoup de visiteurs ne remarquent même pas en passant par là.
Par chance, ce n'était qu'une copie et l'original se trouve au Musée Historique de Strasbourg.


Ainsi se termine la dernière mésaventure en date des Avengers.
Noémie Josse
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Arrivants
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