[FIC] Paris, tu nous ouvres ton cœur ! [Terminé]
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[FIC] Paris, tu nous ouvres ton cœur ! [Terminé]
1 Janvier 2020
France; Paris; 8ème Arrondissement; PavYllon
Assis côte à côte sur des sièges en fourrure de vison devant une sorte de comptoir de luxe, se trouve un couple que l'on ne connaissait pas encore, bien que ses deux composants nous soit déjà connus.
L'une de ces personnes, vous l'aurez deviné en voyant qui a posté ce message, est nul autre que notre bonne vieille Curie dont j'éviterai sauf si nécessaire de vous écrire le nom complet qui long et fatiguant à tout le temps marquer. C'est à celui qui servent les abréviations, la plus grande technique du feignant de la plume dont il faut savoir manier l'aisance pour ne pas que cela ressemble à un très gros SMS envoyé par Kévin, 11 ans.
La charmante synthétique d'avant dernière génération, et la première création humaine de UNIT à ne pas avoir été androïde, a donc décider de claquer le prix d'un salaire de travailleur moyen pour inviter son nouvel amour à un restaurant 5 étoiles au lieu de l'emmener chez Flunch ou de manger chez le coréen d'à côté. Non, il fallait qu'elle témoignage du fait qu'il compte beaucoup pour et elle n'y va pas par quatre chemins, nous montrant qu'au passage ça paye bien d'être chercheuse chez cette ONG militaire, même si pour l'instant il y a un creux dans sa fiche de paie.
A cause des ennuis qu'ils subissent et que vous commencez à connaître.
Son rendez vous amoureux à elle se révèle être Nick Vanders, qu'on ne voit que très rarement, et le fait que New Raccoon City a été peu représenté l'année dernière n'est pas là pour aider, au contraire.
Au moins, l'épicentre des catastrophes de 2015 souffle un peu on va dire.
L'Inspecteur de la Criminelle a pensé à soigner son apparence pour l'occasion en se rasant notamment et en se parfumant aussi après s'être lavé. Déjà qu'en temps normal, il fait moins vieux clochard qu'à l'époque où on l'a connu, justement grâce à l'apparition dans sa vie de cette ravissante créature, humble et courtoise.
Actuellement, en attendant de pouvoir déguster les bons petits plats de cet établissement, les deux amants sont en train de regarder un petit miroir portatif dont l'émotion qui en ressort n'est pas la même suivant sur qui qu'on centre. Pour l'homme, il est synonyme d'un passé mélancolique qu'il veut laisser derrière lui pour pouvoir aller de l'avant, tandis que pour la femme, cela lui représente absolument rien, juste une confusion énorme, attendant le moment où on va lui expliquer ce que c'est censé évoquer.
Je crois justement qu'il est arrivé, alors écoutons ce qui va se dire.
Nick : Je t'ai déjà parlé de ma femme ?
Curie : Brièvement je crois... Ne s'appelait elle pas Mikan ou quelque chose comme cela ?
Nick : Je te l'ai donc déjà évoqué, sans entrer dans les détails.
Curie : Tu m'as juste dit qu'elle était décédée.
Nick : C'est ça, même si son corps n'a jamais été retrouvé.
Curie : Comment sais tu qu'elle n'est plus de ce monde alors Nick ?
Nick : Je le sens au fond de moi qu'elle est partie pour le Paradis et qu'elle m'y attend.
Curie : J'ai dû mal à comprendre cette faculté que tu possèdes mais elle elle m'intrigue beaucoup, tu me fascines.
Nick : Je sais que de parler de son ex lors d'un rendez vous amoureux, c'est une très mauvaise idée, mais j'ai besoin d'en parler avec toi pour être sûr de pouvoir passer à autre chose après. Surtout que tu me rappelles beaucoup elle, avec sa gentille et ta compassion à toute épreuve qui m'ont fait t'aimer.
Curie : Elle me ressemblait ?
Nick : Oui, toujours dévouer à aider les autres, sauf que là où toi c'est avec la science, elle c'était avec le journalisme, à la radio pour être plus précis.
Curie : Quelle radio ?
Nick : Celle principale de New Raccoon City, ZombRadio, et elle en était la première présentatrice, bien avant que ces excentriques de Mike et Brian ne prennent sa place suite à sa "disparition".
Curie : Tu n'apprécies pas trop ces deux présentateurs ?
Nick : Disons que là où Mikan faisait plus dans le vrai journalisme, donc dévoiler la vérité avant tout pour que tout le monde puisse connaître ce qui se passe dans les coulisses de ce monde, eux font plus dans le divertissement.
Curie : Je vois... Est ce que c'est ce désir de vérité qui aura eu raison d'elle ?
Nick : Tout le monde te dira que non, mais moi je sais que oui car elle était sur un gros coup au moment où elle s'est volatilisée.
Curie : Tu sais quelque chose sur ce fameux gros coup ?
Nick : Juste que ça aurait impliqué une puissante organisation secrète répandu à travers le monde mais basée au japon, qui est surnommée "Organisation Noire" par ceux qui la connaissent sans savoir son vrai nom.
Curie : Organisation Noire ? Attends, ce nom me dit quelque chose.
Un serveur leur sert les plats qu'ils ont commandé sans trop se faire remarquer pour le coup.
La douce femme écarquille des yeux quand elle comprend enfin où est ce qu'elle a déjà entendu ce nom.
Curie : L'Association des Corbeaux...
Nick : Je vois que tu avais pensé à regarder les infos en 2016.
Curie : Ils n'existent plus normalement, non ?
Nick : En effet, ils ont pu être démantelé dans une guerre qui aura coûté la vie à de nombreuses personnes.
Celui qui approche de la cinquantaine sort sa boite de Lucky Strike de sa poche pour se prendre une clope.
Une fois dans le bec, il se l'allume avec son briquet personnel qu'il ne lâche jamais.
Nick : J'ai essayé de trouver confirmation que c'étaient qui avaient bien tuer ma Mikan, mais rien.
Il lâche un bon coup de fumée là où il n'y a pas personne.
Nick : Ils ont tellement bien enterré les preuves que les enquêteurs galèrent à faire remonter des victimes à eux, et leur travail continue encore aujourd'hui d'ailleurs, en espérant qu'un jour l'affaire sera close pour elle.
Curie : Nick...
Nick : J'essaye de positiver, même si ce n'est pas facile tous les jours, heureusement que tu es là pour prendre soin de moi.
Il lui adresse un sourire un peu bête tout en étant classe en même temps, malgré certaines dents qui ont pourri avec le temps et où c'est quasiment impossible de masque leur détérioration.
Nicky : Si jamais tu veux me parler aussi de ton ex à toi, n'hésite pas, il n'y a pas de raison que ça n'aille que dans un seul sens. Je ne suis pas un connard égocentrique.
Se rappelant les évènements qui se sont passés au cimetière où Quincy Matox a perdu la vie, seulement quelques mois après avoir pu lui montrer son nouveau corps, ce qui l'avait dévasté à l'époque, mais grâce à Lucy Dodgera qu'elel a rencontré ce jour, elle a pu tenir le coup jusqu'à reconstruire sa vie sentiment à présent.
Curie : Quincy Matox était quelqu'un d'admirable, toujours prêt à se sacrifier si ça permettait de sauver des vies innocentes, et sa détermination était sans faille. C'est ce qui lui a coûté la vie quand il a voulu enquêter sur le tombeau familial du pilote de son équipe, Clint Grey. Ce dernier lui a tendu un piège et à profité pour capturer un détective privé qui s'appelle Nick comme toi et qui est un synthétique robotique différent de moi, ainsi que l'un de ses hommes, Vagino Panivino.
Nick : Quelle histoire... Maintenant je m'en rappelle un peu. Moi et deux amies, Léo et Dwayne, nous avions été appelé sur cette scène de crime après que des témoignages signalant des attaques de zombies là bas nous sont parvenues.
Curie : Je n'ai pas pu te voir car UNIT nous avait emmené pour un interrogatoire.
Nick : Ouais, eux et Blue Umbrella avaient réquisitionné l'endroit, ce qui a pas mal entraver notre enquête comme ils n'étaient pas très coopératifs.
Curie : Nous aurions pu nous rencontrer plus tôt ce jour là si le destin avait été différent.
Nick : Dieu a retardé notre rencontre, c'est dommage.
Curie : Ta croyance t'accompagne toujours.
Nick : Tu sais, je ne suis pas le plus fidèle des protestants.
Curie : Ah bon ?
Nick : Notamment, je pense comme l'Homme a été façonné à l'image de Dieu mais que l'Homme est imparfait, Dieu doit l'être aussi.Je dirais même qu'il n'est pas aussi bienveillant que les autres pensent.
Curie : C'est logique si on analyse les récits dits sacrés.
Nick : Tu as lu l'Ancien et le Nouveau Testament toi ?
Curie : Oui, ainsi que les textes d'autres religions afin de mieux cerner l'humanité et ses croyances.
Nick : Tu es d'accord que Dieu n'était pas tout le temps si juste que ça et même un vilain garnement par moment ?
Curie : C'est une conclusion censée par rapport à ce que j'ai lu.
Nick : Je vais finir en Enfer de toute façon, mais bon, c'est mon choix. Après je n'irais pas jusqu'à dire "Vive Satan !" comme certains.
Curie : Nick, ne dis pas ça...
Nick : Oh tu sais, pour l'instant je suis au paradis, donc je vais en profiter un peu.
Il termine sa cigarette et puis l'écrase dans un cendrier à disposition tout en faisait un déhanché d'yeux qui fait rougir celle qui se révèle plus timide quand il s'agit de sentiments romantiques.
Néanmoins, la tristesse la regagne en pensant à quelque chose, la faisant même trembler de tout son corps, ce qui intrigue pas mal celui qui tient à elle.
Nick : Tant qu'on est à tout se dire, n'hésite pas à me partager ce qui te tracasse.
Curie : J'ai repensé à Quincy quand il s'est transformé en zombie et a essayé de me dévorer vivante. Je crains que le scénario se répète et qu'il t'arrive la même chose.
Nick : Écoute Curie...
Il lui prend ses mains qui sont à peine plus fines que les siennes.
Nick : Je ne peux rien te promettre, surtout dans le monde dans lequel on vit où tout peut se produire, aussi bien qu'une invasion de boîtes de converses intergalactiques que le Jugement Dernier. Mais je te promet de tout faire pour rester à tes côtés le plus longtemps possible et en guise de bonne foi, laisse moi te donner quelque chose.
Il lui pose délicatement dans ses paumes le miroir de sa femme.
Nick : Cela lui a appartenu, cela t'appartient à présent.
La tête au QI élevé est éberlué par tant de tendresse, elle n'en trouve pas des mots, juste des larmes de joie.
Nick : Je t'adore Curie.
Curie : Moi aussi !
Le baiser ultime vient clore une discutions très intéressante entre deux âmes qui ont déjà perdu tragiquement leur anciens amours.
Je suis heureux de les voir ainsi s'épanouir ensemble.
Une très belle scène qui pourrait conclure cette fiction.
Sauf que...
Un mystérieux accordéoniste fait son apparition au beau milieu du couple, jouant de son instrument, tout en ayant un grand sourire, une fine moustache, le béret local et évidemment un regard pervers noté Stive/20.
Autant dire que la suite va être bien moins sérieuse qu'avant, croyez en mon expérience personnelle.
Accordéoniste : L'amour !
Serveur : Oh la la, ah ah !
Le serveur de tout à l'heure et qui s'exprime actuellement, tombe dans les vapes sans qu'on sache pourquoi.
La maire Anne Hidalgo, détesté de tous, sort alors d'un chapeau magique pour présenté la ville qu'elle flingue.
Anne : Voici, ma belle, tout Paris !
Nick : Vous savez que je suis là aussi ?
Anne : Tiens, une jolie fleur, ma mie.
Curie : Je ne suis pas encore grand mère alors je ne comprends pas où vous voulez venir.
Anne : Paris vous transforme ! VIVE LA FRANCE !! ET ENSEMBLE ! Découvrons dont LA JOOOOIIIIEEE DE VIVRE !!
Parisiens : TA GUEULE !!!
Un million de tomates viennent lui exploser la gueule, pendant que nos tourtereaux se regardent sans trop piger ce qui se passe autour d'eux, cette incohérence soudaine.
Il en faut plus pour faire dégager la vieille chouette vissée sur son siège qui les prend par le bras pour danser.
Anne : Paris tu nous ouvres ton cooooeeeuuuuurrrr !!
Ils sortent tous ensemble du resto afin de visiter ces beaux quartiers où même les rats s'amusent.
Anne : Où tout dans Paris est bonhhheeeuuurrr !!
Parisien 1 : Va chier !
Parisien 2 : Connasse !
Parisienne 1 : Je t'encule !
Parisien 4 : Croix de bois croix e fer, on t'emmène en Enfer !
Tous : Voilà tout Paris qui et chante ton départ ! Oh la la ! Oh la la ! Oh la la !
Daniel Beretta, le doubleur de Schwarzy et Lumière entre autre, s'invite à la chanson.
Daniel : Paris, tu nous offres, l'ammmoooouuurr !
Il embrasse Maurice Chevalier qui passait par là, tant qu'à faire.
Le père de la psychanalyse débarque alors pour rejoindre leur acte à ces deux petits pédés.
Sigmund : Même Freud y succombe, un beaaauuu joooouuuuurrr !
Il saute dans la masse, formant un gloubi-boulga immonde.
Dans le ciel, Charles Lindbergh les prend de haut.
Charles : Il y a de l'amour dans l'air.
Sauf qu'il se prend l'écharpe dans l'un des rotors et finit en hachis-parmentier avec un goût différent.
Revenons sur terre où Joséphine Baker promène un nazi tenu en laisse.
Joséphine : Et aux Folies BERGEEEEERESS !!
Tout ce beau monde finit par s'arrêter par le peintre fondateur de l'Impressionnisme.
Claud : Paris met la vie... EN COULEURS !
Curie : Claude Monet, mais vous n'êtes pas mort !?
Claude : Hof ! Comme Elvis et Michael j'ai envie de dire !
Curie : Et qu'est ce que vous avez peint sur votre toile ?
Claude : Regardez donc !
Il fait tournoyer son bijou jusqu'à l'arrête au trentième tour, juste en face de la belle demoiselle, lui montrant ainsi une représentation d'elle en train de manger une banane, dont les traits très bien retranscrits donnent immédiatement envie d'applaudir son auteur.
Avant de pouvoir le faire, Madame Hidalgo refait son apparition, pour continuer à nous briser les noix, plus pour longtemps.
Anne : PARIS TU NOUS OUVRES TON COOOOOEEEEUUURRRR !!!
Tellement pris dans le refrain, elle ne sent pas le bras de la mort s'enfoncer profondément dans son abdomen pour y prendre justement l'organe qu'elle s'amuse à hurler sur tous les toits, lui arrachant de l'endroit où il est censé rester pour l'extirper entièrement du corps.
Curie ouvre grand la bouche en la masquant ensuite avec ses mains alors que Nick regrette de ne pas avoir d'arme sur lui pour intervenir comme il se doit, parce que là, sa plaque ne risque pas de suffire, loin de là.
Le charisme est tellement grand qu'il atteint facilement les 2 mètres au bas mot et la blancheur de ses dents n'a d'égale que son ego, tout aussi puissant que sa force physique lui permettant ainsi en moulinant son bras assez de fois de balancer le cœur de sa victime assez loin pour atteindre le lieu visé, à savoir les pales du Moulin Rogue qui se mettent ensuite à tourner en conséquence.
Maintenant que la chanson est finie, bien plus tôt que prévu, les figures historiques disparaissent comme par magie et le tueur de sang froid que vous aurez reconnu comme étant Fabuleux, le super héros le plus représentatif de la France après Capitaine France, bien que l'un a les intentions plus nobles que l'autre, et malheureusement c'est celui qui est mort.
Le dangereux héros s'adresse alors à la foule l'entourant qui est comme hypnotisé par sa présence.
Fabuleux : Retournez à vos occupations et oubliez ce qui vient de se passe, tout en vous souvenant à quel point votre dirigeant est fabuleux !
Parisiens : Vous êtes fabuleux Fabuleux !
Comme la dernière fois, tout le monde l'acclama avant de se mettre à reprendre leur activité d'avant le spectacle musical sortant de nul part, dont l'incohérence nous rappelle ce qu'il se passe notamment quand un Gilbert ou un perso de Sarah sont dans le coin.
Seuls le couple au centre de cette fiction, positionné sous l'Arc de Triomphe, ne semble pas avoir subi un lavage de cerveau à l'instar de tout Paris, de la même manière que les Silver Dagger avait aussi un peu flairé l'embrouille, bien que trop tard puisqu’ils sont recensés morts et de toute façon le BSAA est en pause forcé jusqu’à nouvel ordre.
La synthétique reste ne retrait, ne sachant pas trop bien quoi faire dans cette situation.
Son copain humain est celui qui pose les deux pieds en avant et s'insurge avec sa voix de fumeur face à celui qui trahit les valeur de la France tout en portant ses couleurs.
Nick : Qui êtes vous ?
Fabuleux : Je suis Fabuleux ! Oh oh oh !
Nick : Ça ne se voit pas...
Curie : Est ce lui Capitaine France ? Je le pensais mort.
Fabuleux : Ne me comparez pas à ce bon à rien qui est mort avec les incompétents qui trainaient avec lui quand cette planète avait besoin le plus d'eux. Non, moi je suis Fabuleux ! C'est mon nom ! Dû moins celu
Nick : Je n'ai jamais entendu parlé de lui ?
Curie : Maintenant cela me revient... J'avais lu un article de journal où il parlait d'un mystérieux super héros français ayant sorti de nul part et s'appelant Fabuleux. Je dois avouer avoir cru initialement à une mauvais blague, j'aurais surement dû prendre ça moins à la légère.
Fabuleux : En tout cas, je suis surpris que ça n'est pas affecté ton copain mon petit tour de passe passe, bien que pour toi Curie, j'en suis moins surpris.
La caméra invisible zoome sur la pauvre âme qui est tout aussi perdu que son petit ami et moi au passage.
Curie : Moi ? Ai je quelque chose en particulier que je ne saurai pas ?
Fabuleux : Ce monde où vous vivez n'est pas vrai...
Nick : Je crois que quelqu'un a trop vu Matrix ici.
Fabuleux : Nous sommes issu de l'imagination de quelques membres d'un Forum nommé Resident Evil 7 dans le Monde Réel et ceci explique tout l'incohérence issu de certains personnages joueurs, soit par l'incompétence de la personne qui la gère, soit par le fait que comme pour Gilbert Montagné, c'est dur de faire quelque chose de sérieux avec quelqu'un comme ça à la base. N'est ce pas ?
Eu... Attendez !
Comment sait il ça !?
J'aime pas comment ça se déroule, ce n'était pas ce qui était prévu...
Continuons à suivre les évènements sans intervenir pour l'instant.
Moulin Rouge
Curie : J'essaye d’assimiler toutes les données mais ça me fait mal à la tête.
Nick : Ne fais pas attention à ce qu'il dit, bien que le fait que la police ne soit pas encore là me pose vraiment problème. Quelque chose cloche ici.
Fabuleux : Bref ! Je n'ai pas plus de temps à perdre alors que je vais te récolter Curie car ton statut de personnage joueur est très important pour forger mon armée et j'aurais besoin dix cartes comme toi afin de former un deck solide.
Nick : Tu ne lui feras rien.
Fabuleux : Je ne t'ai pas causé morpion.
A la vitesse d'un éclair, le méchant fonce sur ce pauvre inspecteur qu'on avait pris plaisir à revoir après tout ce temps, l'explosant en plusieurs morceaux durant sa course, d'une façon qui rappellera une scène de The Boys, et ce côté trop cheaté ne me plaît pas du tout.
La scientifique aguerrie est tétanisé par la peur en voyant ce qu'il reste de son nouvel amour, lui faisant revenir de troublants souvenirs de la dernière fois où la personne la plus proche d'elle est morte sous ses yeux, la frappant ainsi en pleine visage et la faisant tomber sur ses fesses en pleur, marmonnant son nom frénétiquement.
Pauvre Curie...
Tu ne mérites pas ça.
L’enfoiré en collant n'attend pas plus et en profite pour utiliser une étrange machine à son bras, totalement repompée de "Yu-Gi-Oh!" pour faire scintiller d'une blancheur inégalable notre héroïne avant que cette forme d'énergie ne finisse dans l'appareil qu'il porte.
Tout ceci a été fait avec une impunité total, comme si ses actions ne dérangeaient personne.
Fabuleux : Et de six ! Aerafal Kennedy; Aiko Kudō, Regina, Claire Redfield, Clara Lille et Curie !
??? : C'est fabuleux !
Fabuleux : Oui c'est bien moi !
??? : Non triple con ! Oh je veux dire... retourne toi abruti !
Il fait ce que la voix familière lui demander, tout en grinçant un peu de sa mâchoire prédominante.
Face à lui, se révèle être alors non pas un, mais bien deux Maxime Moulin en chair et en os.
Maxime 1 : Allons nous réunir avec ton blaireau de créateur et l'autre zombie afin de procéder au choix de la prochaine cible.
Maxime 2 : C'est sûr qu'en employant ce ton, tu ne va pas du tout fragiliser notre alliance.
Maxime 1 : Ferme ta gueule !
Maxime 2 : Va te faire foutre...
Entre imbus d'eux même, ces trois personnages ont une sérieuse compétition à ce faire.
De mon côté, je vais essayer de réfléchir de mon côté à ce qui s'est passé pendant que j'avais le dos tourné.
Curie- Anciers
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Date d'inscription : 11/10/2017
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