Resident Evil 9
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[FIC] Retraite Anticipée [Terminée]

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Message  Frank Castle Dim 22 Sep - 1:36

24 Décembre 2019

États Unis; New York City; Manhattan; Financial District; Appartement Estacado

Un dîner de gala avait été organisé par Jenny Romano pour récolter des fonds afin d'aider les sans abris de la ville qui sont toujours nombreux et crevant la dalle seul dans le froid hivernal.
Elizabeth DeWitt et Eleanor Lamb y ont énormément contribué, bien qu'elles ne soient pas présentes à cette soirée, étant plus occupées à tenir compagnie aux clochards en ce réveillon de Noël.
De nombreux invités sont ici pour l'occasion, certains étant de "prestige", afin de céder leur argent pour une bonne cause mais surtout pour revoir leurs amies afin d'échanger quelques mots sur les affaires en cours afin de pouvoir trouver des réponses adéquates à celles ci.
Tous se trouvent donc à l'étage de ce building servant de quartier général à la très respecté Famille Franchetti dont leur chef actuel est redouté de tous par les talents qu'il possède et aussi par la réputation qu'il a au sujet de posséder un démon dans con corps. Ceci n'est plus vrai à l'heure actuelle, sauf qu'il n'y a aucune raison de le révéler à ses ennemis.
Sur les coups de 22 heures, nous allons faire le tour de plusieurs personnages qui sont venus à l'événement afin d'en apprendre sur l'actualité épicée, histoire de nous remettre les pendules à l'heure.
Morgan Lansdale, ancien directeur du Federal Bioterrorism Commission, abrégé en FBC, est devenu un puissant trafiquant d'arme après sa sortie de prison. Vieillissant à vue d’œil au fur et à mesure que les années s'écoulent, il garde néanmoins un bon état physique malgré les rides qui s’ajoutent progressivement.
Umdür Yuzdul, son garde du corps personnel qui auparavant bossait pour son rival Ling jusqu'à la tragique mort de ce dernier dans des circonstances inconnues. L'homme d'origine tadjik a perdu sa langue quand il était plus jeune, ce qu'il fait qu'il doit communiquer en langage des signes avec son nouveau boss.
Là ils sont tous les deux rivés sur le téléphone de l'asiatique, finissant d'écouter une douce mélodie nostalgique.

Morgan : C'est donc ça "Les Mystérieuses Cités d'or" ? Neil m'en avait aussi parlé mais je ne connaissais pas. En même, je ne m'intéresse pas particulièrement aux œuvres françaises ou japonaises.

Umdür : Vous ratez quelque chose, c'est dommage.

Morgan : Ne t'en fais pas, je la regarderai un jour, en la téléchargement sur l'un des sites que je suis.

Umdür : Bien.

Morgan : D'ailleurs, en parlant de lui, ça me manque vraiment de ne plus l'avoir à mes côtés ce Neil Fisher.

Umdür : Vous étiez proche.

Morgan : Je le prenais un peu comme un fils, c'est honteux que cette garce d'Alex Wesker l'ait trahi de la sorte.

Umdür : Vous avez déjà fiat des coups de pute comme ça à certains de vos alliés.

Morgan : C'est pas pareil.

Umdür : Elle n'est pas morte actuellement ?

Morgan : Oui et j'espère que ça le restera ainsi, car les Weskers ne restent jamais morts bien longtemps.

Umdür : Ne parlez pas de malheur.

En parlant de choses sombres, quittons le futur pour rejoindre le passé où le chaos a frappé certains de ceux que nous allons découvrir dans quelques instants, d'ailleurs ces dernier sont tous des figures sont déjà apparues précédemment dans New York's War, bien que la quasi-totalité d'entre eux, ils n'étaient pas nommés à l'époque.
Nous avons en premier lieu Jacques Attali, le fameux économiste, écrivain et haut fonctionnaire français qui n'apparait sur tous les plateaux télévision que quand il s'agit d'élire le dirigeant de la république français puis qu'il disparait jusqu'aux prochaines élections trafiquées. En secret, il est le marionnettiste de la Famille qui s'assure de mettre les différents présidents au pouvoir depuis plusieurs décennies déjà, et qu'il a vu ses plans être déjoués durant celles de 2014.
Actuellement, il est en pleine conversation à l'étage accoudé contre la balustrade avec Mohammed ben Salmane Al Saoud, le prince héritier qui maintient d'une main de fer la terreur dans son pays sous la protection de son père le roi. Il ne vaut mieux pas finir dans ses ennemis car vous n'en ressortirez pas en un morceau, comme le confirme le cas du journaliste Jamal Khashoggi.

Jacques : N'empêche, je ne peux qu'imaginer ce qui se serait passé sur mon Macron ne s'était pas lâchement buté durant son investiture.

Mohammed : Il aurait vendu la France, encore plus fort et vite que ses prédécesseurs.

Jacques : Exactement.

Mohammed : Ça n'aurait pas été contre les principes de ton organisation ? De maintenir la stabilité mondiale ou quelque chose du genre ?

Jacques : Pour cela, il nous faudrait être au pouvoir dans toutes les superpuissances mondiales, or avec cette idéologie ultra-capitaliste, ce n'est pas facile.

Mohammed : Attends, là je ne comprends pas c'est quoi le bordel.

Jacques : Ils sont forts ces cons mais ils n'étaient assez confiant dans leur principe, et comme je savais qu'il faut une révolution pour les battre, je n'ai fait que précipiter les choses. Après les Hollandes et Sarkos, plus ceux d'avant, ils n'osaient pas trop faire de pas, contrairement à Macron justement.

Mohammed : Je trouve ton plan inutilement compliqué et un peu con aussi.

Jacques : Avec une révolution, on aurait pu glisser quelqu'un comme leader et le faire monter au pouvoir, or à présent c'est peine perdue.

Mohammed : Pourquoi pas juste faire monter dans les sondages en les manipulant l'un des vos gars ?

Jacques : Ces déconnectés de la réalité soutenus par les Francs Maçons ne laisseront pas passer ça.

Mohammed : Écoute, c'est ton business, moi j'ai le mien.

Jacques : Évite juste d'inviter les jeunes caucasiennes présentes pour un voyage tout frais payé pour l'Arabie, si tu tiens à continuer à invité dans ces soirées.

Mohammed : Ne t'en fais pas, j'ai déjà assez de blanches européennes et américaines assez connes pour venir de l tanière du loup, alors je ne suis pas en manque au point de faire une stupidité de ce genre.

D'ailleurs j'en profite pour dire qu'il est assez marrant de les voir ici quand on se rappelle le fait qu'ils ont sauté sur la première occasion pour s'en prendre au possesseur du Darkness quand Wilson Fisk avait déclaré que ce dernier était une trop grande menace à contenir pour eux. En revanche il y a pire dans le domaine, et c'est le trio qui se trouve ensemble au bar du rez de chaussé tenu par l'un des hommes de main du proprio, à savoir un certain Leo qui n'a pas d'assez bonnes oreilles pour entendre ce qui suivre dans quelques minutes.
Les langues de vipère sont Nolan Manfredi, un gros ponte d'une maffia italienne qui se nomme la Maggia, afin de faire orignal à partir du commun comme ils ont juste pris un mot que j'ai placé plus tôt dans cette phrase et ont juste remplacé les f présents par des g. Il est celui qui est le plus centré sur une vendetta afin de venger la mort de ses confrères italiens, bien que la plupart de leur morts ne sont pas à imputer à la Famille Franchetti mais à d'autres noms tout aussi connu, voir plus, tels que Bill Sykes qui n'est aujourd’hui plus de ce monde malheureusement.
Son meilleur pote qui est justement aussi là s'appelle Tony Gnucci, à la tête du syndicat de crime du même nom et qu'il connaît depuis déjà plus de trente ans, forgeant ainsi une collaboration pour arriver loin à New York City, combattant ceux sur le passage, y compris des gros requins teigneux à la Carmine Millione. Ils n'ont jamais aussi pu piffer les russes comme Faustin ou Petrovic, mais ça c'est une tout autre histoire.
Le vilain petit canard du trio, celui qui est en réalité le plus sympathique et le seul à avoir avoir été contre le coup de pute du maire de la ville contre sa meilleure arme, se nomme Charles Majuri. Le fait le plus notable avec lui, outre le fait qu'il ne soit pas porté sur la vengeance pour un rital, ce sont les nombreuses traces brulures très importantes qui marquent sont visages et qui viennent d'un affrontement entre lui et Dimitri Rascalov qui avait fini dans l'huile d'une friteuse.

Tony : Le plan se déroule comme prévu ?

Nolan : Ouais, Frankie amène ses meilleurs hommes en bateau et ils passeront par Red Hook pour accoster.

Tony : Heureusement que ces ports t'appartiennent maintenant.

Nolan : C'est clair, pas sur que leur ancien propriétaire nous aurait laissé faire ça.

Charles : Qu'est ce que vous traficotez encore vous deux ?

Nolan : Tu connais Frankie Franchetti ?

Charles : Le Cousin de Paulie ? Je le croyais réfugié tout seul sur une île afin de se faire petit jusqu'aux restant de ses jours suite à ce qui s'est passé en 2007.

Nolan : Finalement il a décidé de sortir ses couilles après douze ans de cachette et a recruté d'anciens membres de la Famille Franchetti fidèles à Paulie, les rares survivants avoir réussi à se barrer avant de finir au cimetière comme tous les autres.

Tony : Nous l'aidons à venir ici afin de nous débarrasser de l'autre con.

Nolan : Les rumeurs disent qu'il a perdu son Darkness, ce qui explique le manque de témoignage fiable à ce sujet depuis plus d'un an.

Tony : Des sources nous ont confirmé qu'il se l'ait fait retiré pour une quelconque raison, mais résultat il est vulnérable, et c’est le meilleur moment pour frapper.

Charles : Vous savez que je pourrais vous dénoncer là tout de suite ?

Tony : Si tu fais ça, ce sera un bain de sang.

Nolan : Ce n'est pas ce que tu veux, je me trompe ?

Charles : Je vais prévenir Rosalie, elle alertera les russes de votre plan et empêchera le pire.

Nolan : Fais ce que tu veux, ils ne nous font pas peur.

Tony : Pourquoi pas prévenir le Punisher tant qu'il y est ?

Nolan : Hé ! Ne prononce pas ce nom ici, tu le sais bien.

Tony : Pardon, ça m'était sorti de la tête.

Le plus sympathique des trois se tire pour laisser ses camarades fomenter leur future action.
Entre temps, à l'extérieur, sur la terrasse se trouvent les deux représentants d'un couple divin,  l'une aillant été habite pendant un temps par un ange, et l'autre pendant plus de temps par un démon. Ils n'ont rien à envier à Ailein Bartley et Baptiste Sixte, une demi soeur, un demi frère, une demi céleste, un demi infirnal, les deux aillant en point commun leur père humain.
Des deux duos ne se sont jamais pleinement rencontrés, mais il serait drôle d'avoir un jour une aventure les réunissant pour le meilleur comme pour le pire.
La lune s'est faite belle pour cette soirée là, éclatant de de mille feu ses doux rayons jusqu'aux rétines sensibles, même pas fragilisées, de ceux qui ont qui ont la chance de pouvoir la contempler, elle nous ferait presque oublier tous les ennuis qu'a vécu cette cité du crime en à peine un an. Ses citadins s'en rappellent très très bien, avant tout d'un évènement en particulier qui est surement le plus marqué de cette année passée.

Jenny : Je me souviens où j'étais exactement quand ces... Choses, sont descendues du ciel.

Jackie : Tous les new-yorkais ont gravé ce moment dans leur mémoire, après tout c'est la première fois qu'une telle chose nous est arrivé. Nous avions déjà eu des zombies, deux fois même, des tours qui s'effondrent, un chauffeur islamiste, des statues vivantes, des super vilains, mais ça, ça c'était nouveau.

Jenny : Pauvre Jimmy...

Jackie : Tu n'aurais rien pu faire pour lui.

Jenny : J'en viens à regretter de m'être séparée de l'Angelus.

Jackie : Ce n'était pas une vie d'avoir ces deux entités opposées dans notre corps.

Jenny : Je sais.

Jackie : Depuis les nuages du Paradis, ce bon vieux Grape doit être content d'avoir pu protéger la fiancée de celui qu'il considérait un peu comme son propre fils.

Jenny : C'est vrai qu'il était protecteur envers moi, après t'avoir vu sombrer dans la dépression durant les deux années où j'étais morte.

Jackie : Je ne remercierai jamais assez la Fraternité pour m'avoir permis de te retrouver, bien que ça ait coûté aussi la vie de Tante Sarah.

Jenny : J'aurais aimé être là à son enterrement.

Jackie : N’oublie pas la fusillade qu'il y a eu.

Jenny : C'est vrai, tu m'en avais parlé.

Jackie : Ce n'était facile d’utiliser le Darkness à ce moment là, surtout que mes hommes étaient occupés à protéger sa dépouille pour m'assister dans l'affrontement.

Jenny : En tout cas, tu as oublié de mentionner Johnny qui a aussi été utile pour me ramener à la vie.

Jackie : Sans lui, je n'aurais jamais remarqué l'importance de l'Essence Sombre.

Jenny : Parfois, il ne te manque pas, tu sais qui ?

Jackie : Sur certains points oui, mais globalement, il fait bon que je me sois débarrassé de lui.

Jenny : Merci Lina.

Jackie : Elle a beaucoup changé depuis que les souvenirs lui sont revenues, mais je reste content d'avoir pu la rencontrer, et dés que je peux, j'essaye de lui venir en aide.

Jenny : C'est bien, il faut toujours savoir s'entre aider entre amies.

Jackie : Man ancêtre Anthony doit boire un coup avec Jimmy là haut.

Jenny : J'aurais aimé le rencontrer, ce brave homme.

Leur pensées vont pour les défunts, où qu'ils soient à présent, sans espérer de réponse de leur part, hormis cette brise mélodieuse qui vient caresser le fond de leur oreilles par u rythme de feuillage vibrant jusqu'au plus profond de son être. Cette réflexion métaphysique sur ces deux éléments semblant n'avoir aucun rapport l'un avec l'autre pourrait nous mener loin, un peu trop loin d'ailleurs.
Pour interrompre le bourgeon avant qu'il ne puisse donner une magnifique fleur intellectuelle à se triturer le crane, deux individus s'approchent de ceux chez qui nous nous sommes arrêtés, avec une conversation bien plus trivial à nous sortir. Il s'agit de Vinnie et Vinny Mortarello, le premier étant l’homme de main le plus loyal d'Estacado, un peu son bras droit aussi, et l'autre étant un vieil ami de la famille avec qui il s'entend bien.

Vinny : Les Cinq Familles terminent enfin leur restructuration et ils risquent de bientôt rentrer en scène.

Vinnie : Je n'aime pas certaines choses que j'ai entendu.

Vinny : Pour Frankie ?

Vinnie : Ça aussi, mais surtout le fait que ce n'est plus vraiment un secret que Jackie ait perdu son atout et que donc nous sommes à présent dans une position bien plus vulnérable.

Jackie : Ne vous en faites pas.

Les deux gaillards s'arrêtent près du Boss qui leur affiche son sourire le plus confiant tout en bougeant des mains.

Jackie : Qu’ils viennent, nous avons assez de munitions pour éliminer le triple d'entre eux, et ils sont loin d'être aussi doués que les seules personnes à avoir réussi une fois à percer notre forteresse.

Vinnie : Tu as raison.

Jenny : J'aimerais que tout ça se finisse sur une note moins violente.

Jackie : Ils veulent absolument me tuer donc cette option n'est pas faisable, et tu risques d'être aussi dans le viseur.

Jenny : Pas facile tous les jours d'être en couple avec l'un des Roi de New York.

Essayant de positiver sur cette cible accrochée sur sa tête, la bénévole des grandes causes se penche doucement vers le grand gars aux cheveux noirs à ses côtés pour lui déposer un fin baiser sur ses lèvres, lui exprimant ainsi sa joie d'être toujours à ses côtés depuis tout ce temps. Inséparables, même par les dimensions, ils finiront toujours par se retrouver pour vivre ensemble, éternellement.
Tout ce beau monde réunit remarquent alors deux personnes passant près d'eux et pouvant venir se rajouter.
Ackley Williams, un ancien agent de sécurité ayant bossé pour Bill Sykes et l'un des très rares survivants parmi ses employés armés, qui depuis a été recruté au service de Jackie en ayant déjà pu faire ses preuves, tellement qu'il a été affectée à la protection personnelle de Jenny. Comme quoi un personnage tertiaire d'une fiction dont personne ne se souvient peut évoluer entre deux contes, ce qui rend cette univers d'autant plus cohérent.
Butcher Joyce, le nettoyeur le plus réputé de toute la métropole, dans le sens de débarrasser les cadavres, dont la majeure partie de la pègre locale fait appel à lui quand une soirée curly a très mal tournée, et autant dire que personne ne retrouve jamais rien après son passage. Autant dire que pour la police scientifique, il est leur plus grand fléaux.

Butcher : Est ce que tu sais ce que sont devenus les enfants d'Erza Josse ?

Ackley : Aucune idée, et la cohérence scénaristique préfère les oublier, allez savoir pourquoi.

Butcher : C'est un peu comme la fille de Moira Burton et Albert Wesk...

Vinny : Hé les gars, approchez un peu !

Passons outre leur dialogue qui ruine mon enthousiasme sur la fiabilité de ce monde pour aller droit au but.
Désormais réunis au nombre incroyable de six personnes, ils peuvent former un cercle bien fermé où les paroles vont s'envoler jusqu'à un point qui préoccupe tout le monde ici présent, à savoir la venu d'un individu très connu. Nous l'avons déjà évoque plus tôt, à plusieurs reprises, mais il est grand temps d'y enfoncer pour de bon ce clou plutôt résistant.

Jackie : Tout se passe bien pour contrer Frankie ?

Butcher : Les policiers seront occupés à regarder ailleurs car Gnucci les ont payé beaucoup pour ne pas s'y mêler et ils garderont le périmètre extérieur pendant que la Maggia sera à l'intérieur pour accueillir la bateau où sera Frankie.

Vinnie : Il n'y aura pas d'autres gens à cette heure là de la nuit comme la zone y est restreinte.

Jenny : Je suis contente si aucun innocent n'y perd la vie.

Vinny : Ils ont bien prévu leur coup alors nous aurons de la résistance.

Jackie : J'ai peut être perdu mon invulnérabilité, mais ma puissance est toujours là, et avec vous à mes côtés nous allons pouvoir mettre fin aux dernier alliés de Paulie.

Cette vivacité dans les mots du leader malgré lui font vibrer le désir de mettre fin à tout ça une bonne fois pour toute, en utilisant les armes, chez presque tout le monde. Seule la femme plutôt pacifique reste hermétique à toute participation à ceci, bien qu'elle comprenne le besoin d'utiliser de telles méthodes puisque les autres n'ont pas vraiment fonctionné pour le coup.
Du côté spirituel, elle se rapproche beaucoup des deux grandes absentes de cette soirée qu'elle connait très bien.
Alors que la contre attaque s’annonce pour dans très peu de temps, combien exactement cela est inconnu, une salve sonore du genre destructrice vient ruiner cette formidable monté d’engouement, tel un ballon qui se dégonfle après avoir été crevé par un vil scélérat. Cela enclenche évidemment la panique chez la foule agglutinée autour d'eux, se mettant à fuir vers la source du bruit qui semble être proche de l'ascenseur menant à cet étage et seule véritable sortie pour cette baraque, hormis un saut par dessus les balustrades, ce qui est vivement déconseillé.
Vinnie tente de dégainer son SIG-Sauer P320 mais une main le rabaisse immédiatement.

Jackie : Ne tente rien, je ne veux pas que tu crèves.

Vinnie : Et nos hommes ?

Jackie : Ils sont déjà morts face à lui, mais nous avons encore une chance.

Ackley : Lui ?

Butcher : En effet, il n'y a qu'un seul tireur ennemi.

Vinny : C'est vrai que les sons produits seraient différents si il y avait plus de monde.

Jackie : Je ne connais qu'une seule personne assez folle pour venir seule ici, assez maline pour que ça soit quand il y a le plus de personnes à éliminer, et assez forte pour manier deux fusils à chacune de ses mains tout en restant très précis.

Vinnie : Ne me dis pas que...

Jenny : Le Punisher.

Jackie : C'est bien lui.

Jenny : Tu penses que je peux tenter de le résonner ?

Vinny : Résonner cette machine à tuer, ce sera difficile.

Jackie : Tu peux tenter, il ne te considère pas comme une cible à tuer.

Ackley : Ce n'est pas risqué de faire ça ?

Jenny : Nous en avions déjà discuté après leur précédentes rencontres, et je veux le faire.

Jackie : Je crois en toi pour le convaincre de nous laisser vivant..

Ce beau visage charmeur caché derrière des cheveux longs parvient sans problème à encourager la dame.
D'un coup, un corps est propulsé au balcon où ils se situent, depuis la salle du bar, puis plus aucun bruit n'est entendu, pas même un chat qui tousse. Ceci en est trop pour les quelques personnages sans nom qui sont restés sur place et qui décident de tenter de survivre à une chute vertigineuse, pensant que cela est bien plus probable que de s'en sortir face au monstre qui arrive.
Une ombre meurtrière se dessine devant les yeux attentifs des six survivants qui restent sur leur garde alors que l'un des justiciers les plus connues montre enfin le bout de son nez, et il est loin, très loin d'être le plus tendre de tous. Ses deux New Frontier Armory AR-15 Dedicated 9MM chargées sont là pour le prouver, il est même difficile de savoir comment il a pu faire pour recharger après tout ce qu'il a défourailler. Une chose est sûre, il pourrait en buter cinq là maintenant si une sixième personne problématique ne se mettait pas entre les deux camps.

Jenny : Ne faites pas ça !

Frank : Poussez vous.

Jenny : Écoutez moi, je vous en supplie.

Frank : Vous n'avez rien à voir avec ces ordures, je me suis renseigné sur vous et je connais toutes les actions que vous faites. Je vous ai surveillé et je sais qu'elles sont honnêtes. Maintenant poussez vous avant que je ne vous assomme pour pouvoir en finir avec cet ancien immortel.

Jackie : On dirait que la vérité est arrivé jusqu'à tes oreilles Castle.

Frank : J'ai de bonnes oreilles qui se promènent un peu partout en ville.

Jenny : Si vous nous observez depuis tout ce temps, vous avez dû voir que depuis un an, depuis que le démon qui habitait sur son corps est parti, il a enfin pu diriger cet empire sans soif de sang. Jackie privilégie toujours la discutions avant d'envisager de pire solutions.

Frank : Cela reste toujours le Chef d'une Mafia qui extorque des gens.

Vinnie : On s'est calmé sur ça et on le fait surtout sur des mecs qui le méritent.

Jenny : Grâce à moi, la Famille Franchetti ne fait plus que du contrôle douanier, du vote d’échange, de la vente d'arme, de la contrefaçon, du trafic d'œuvres d'art, du blanchiment d'argent, des jeux d'argents et de la cybercriminalité principalement.

Frank : Je ne suis pas convaincu.

Jackie : Frankie Franchetti débarque dans la nuit à New York par les docks de Brooklyn et ça va être un massacre.

Vinny : Je ne sais pas si c'est prudent de lui dire tout ce que l'on sait et qu'on pourrait se servir à notre avantage.

Jackie : Je n'ai pas envie de faire de chantage, comme si jamais nous venions à disparaître de la surface de ce globe, quelqu'un pourra se débarrasser de ces ordures.

Jenny : Je suis désolée de ne pas avoir réussi à le convaincre de vous épargner.

Jackie : Ne t'en fais pas Jenny, j'espère juste qu'il arrivera à nettoyer cette ville bien mieux que Fisk ait pu faire.

Prêt à la mort, bien plus que ses camarades, il regarde droit dans les yeux l'émissaire de la faucheuse, attendant le moment fatidique où une balle viendra se loger dans son crane. Sauf que le résultat attendu peut encore se faire attendre longtemps puisqu'il n'arrivera jamais, ou du moins, pas avant un futur lointain.

Frank : Ment il à propos de Frankie ?

Jenny : Non c'est vrai, les Gnucci et la Maggia veulent l'aider à éliminer Jackie, et si quelqu'un d'autre le fait pour eux, ils tueront des innocents pour faire passer leur perte de temps.

Frank : Je ne les laisserai pas faire, et pour le moment, je vous laisse en vie.

Jenny : Merci Frank.

Un miracle est survenu en cette soirée de Noël, au bonheur de tous.
La suite promet d'être enrichissante.
Frank Castle
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