[FIC] Endgame [Terminée]
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Kenzie Dodgera
Curie
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Re: [FIC] Endgame [Terminée]
Orbite Terre; Vaisseau Amiral Dalek
SPACEEEEEEEEEE !!!
Je suis dans l‘espace !
Et je respire !
Nique la logique !
La Vaisseau Maman des Baleks est juste devant nous, il ne nous reste plus qu’à trouver le poste de commande et à toquer pour vendre des calendrier.
Ou bien des cookies, j’hésite.
Naviguant grâce à Armand dans son armure, nous faisons le tour du bolide, en ne recevant plus aucun tir, ce qui est bien pour nous.
C’est là que je repaire ce qui m’intéresse le plus.
Une baie vitrée donnant à salle de contrôle du bousin où doit sûrement se trouver leur chef ou je ne sais pas quoi.
Sans un mot, on s’approche silencieusement pour mieux voir.
…
C’est très grand dedans.
Ouais putain, et il y en a plein des ferrailles comme eux là dedans.
La majorité à la couleur habituelle, mais d’autres varient un peu.
J’en vois tout en noir sur le pont, guettant l’extérieur sans nous voir le con.
Il y a aussi ma cible, l’Empereur, bien gros et rouge, qui a le cul vissé sur son trône pour ne pas y bouger tel le monarque qu’il est.
Peu importe les espèces, cette tradition change très peu.
Les pions qui sont autour du Roi ont le dôme noir avec le reste du corps couleur bronze à l’habituel.
Ce doit être sa garde personnelle.
J’ai une idée pour tous les vaincre en un seul jet de dés.
D’ailleurs, ça me rappelle le MJ que Lucy avait avec Mahyar et d’autres.
Dommage que je n’étais pas là à l’époque.
Ça aurait été drôle à faire.
Au moins je vais pouvoir me conforter avec le « Fatality » que je vais faire à ces p’tits êtres venus d’un autre monde.
Je fais signe à mon conducteur de se retourner, ce qui fait que mon corps se trouve désormais dos à la vitre.
Je me lève ensuite, baisse mon froc, sors une allumette de mon cul, l’allume avec la peau d’une de met fesses, puis je me met en position pour le coup décisif.
Je pousse comme j’ai jamais poussé dans le vide spatial.
Un gros pet nauséabond vole vers la flamme, créant un torrent de feu qui se propage jusque sur le verre, le faisant fondre instantanément, avant de continuer jusqu’aux occupants du navire qui explosent sous l’intensité de la chaleur.
Impressionnant à voir.
Mais sacré torticolis.
Je ne savais pas que le feu se propageait aussi bien par ici.
Normalement, il n’aurait dû rien se passer, mais j‘en ai décidé autrement.
Victoire !
Ce fut rapide !
En même temps, je n’allais pas étirer plus longuement ce chapitre pour qu’il fasse des milliers de mots si c’est juste pour n’apporter rien et créer des incohérences.
Attends…
de quoi est ce que je suis ne train de parler ?
Va savoir !
Aaaahhhh….
Je me sens partir.
Pas dans le mauvais sens du terme.
Je sens que mon esprit va revenir chez moi.
Je vais pouvoir à nouveau tripoter les pieds de ma blonde préférée.
Cool...
Ophelia Sarkissian- Admininstrateurs
- Messages : 333
Date d'inscription : 24/05/2015
Re: [FIC] Endgame [Terminée]
Etats Unis; Jersey City; Downtown; Siège Roxxon Armament
Je vous ai manqué ?
Un petit peu au moins ?
Vous avez pu vous imisser dans conscience de nos trois protagonistes pour suivre leur progression qui s'est avérée plutôt ardue, bien qu'au final, ils aient tous compris qu'ils avaient les bonnes cartes glissées dans leurs manches depuis le tout début de la partie.
Je n'avais nullement l'attention de les voir mourir.
Nous y reviendrons.
La première personne à l'avoir compris, c'est Shiho.
Montrant que même si elles sont toutes futées, celle qui l'est le plus, c'est notre biochimiste préférée.
Ensuite est venue Ophelia, après lui avoir filé quelques indices quand même.
Et le bon dernier, il s'agit de Leon, dû au fait qu'il envisage de nombreuses possibilités, ne tranchant qu'au dernier moment.
C'est louable d'une certaine manière, vu qu'il ne saute jamais sur les conclusions, ou du moins essayé de ne pas le faire.
Sa relation avec Gilbert a failli être brisé à plusieurs reprises parce que justement il n'avait pas suivi sa philosophie habituelle.
Ce qui est pardonnable tant on sait que le célèbre chanteur est un cas à part.
Étonnamment, l'ordre dans lequel ils sont sortis de mes créations est l'exact inverse que celui que vous ai cité.
Leon est le premier.
Ophelia va suivre.
J'attends encore Shiho.
Je suis actuellement dans le bureau où je m'étais entretenu avec les vilains désignés par ma personne.
Je suis seul.
Cela ne durera pas.
Déjà les lueurs de la matérialisation d'une personne se produit devant, étincelant de beauté. Elles tourbillonnent en cercle autour de ce corps devenant de plus en plus reconnaissable à mesure que les morceaux du puzzle s'emboîtent.
L'ancien agent de la DSO est toujours aussi beau, avec cheveux soyeux formant une mèche.
Dommage que je ne peux me permettre ce genre de relation.
Une fois le processus de retour accompli, il peut reprendre conscience et rouvrir les yeux sur ce monde qu'il a quitté il y a très peu de temps.
Ne connaissant pas le décor dans lequel nous nous trouvons, il a néanmoins ses réflexes toujours opérationnels puisqu'en me voyant, il cherche à sortir son arme pour me braquer avec.
Avant de très vite se rendre compte qu'il est désarmé, par mes soins pour éviter qu'il ne se fasse mal.
Étant immatériel d'origine, ce faux corps fonctionne à la manière d'un hologramme, ce qui veut dire que tout le traverse.
Je vais toutefois tenter de le rassurer en lui démontrant que son calvaire est fini et qu'il n'à plus rien à craindre, surtout en ce qui me concerne.
Narrateur : Pas besoin de s'alarmer, tu as terminé ton épreuve et je ne vais te faire de mal, et tu devrais le savoir étant donné que tu as percé à jour mon jeu.
Leon : On est jamais trop prudent.
Esquissant un sourire méfiant, et jetant quelques petits regards dans différents coins de la pièce, on sent là son expérience qui parle.
Continuons à calmer ses craintes avec un peu de sympathie.
Narrateur : J'ai cru que j'allais devoir faire comme avec Ophelia, te ressusciter en te révélant beaucoup d'indices pour te venir en aide.
Leon : Elle et Shiho ont aussi subi la même chose ?
Narrateur : D'autres scénarios allant avec leur boss personnel, mais en perdant tout de même leur grand amour.
Leon : Pourquoi tout ce cinéma ?
Narrateur : Je m'ennuyais, et je voulais tester les capacités intellectuelles de trois êtres humains que j'admire beaucoup, afin de découvrir aussi si leur couple est si solide que ce que je pensais.
Leon : Je suppose que les méchants n'étaient pas au courant qu'ils étaient perdant automatiquement.
Narrateur : Il en va de soi.
Leon : Est ce qu'elles ont réussi elles aussi.
Narrateur : Ophelia à battu les Daleks et la voilà qui arrive.
Le même effet de lumières qui tournoient en un rond parfait se produit sous les yeux intrigués de Kennedy qui ne me perd néanmoins pas de vue.
La sublime Madame Hydra se dévoile dans notre visuel, avec ses formes généreuses au niveau de la poitrine qui font tout son charme.
En reprenant ses esprits, elle aussi d'avoir accès à son arsenal pour finir par faire le même douloureux constat.
Finalement, je n'ai même pas besoin de dire quelque chose, ils se mettent à se discuter ensemble.
Ophelia : Toi aussi Leon !?
Leon : Moi aussi.
Ophelia : Après ça fait sens, on était que trois à ne pas avoir été endormi par l'autre là.
Leon : Comment tu as fait pour vaincre ton Boss ?
Ophelia : J'ai fait un pet de flammes sur son vaisseau mère.
Leon : Charmant.
Ophelia : Et toi ?
Leon : J'ai chevauché une amie en tirant sur tout ce qui bouge jusqu'à pouvoir éclater la tête du méchant avec un coup de pied bien placé.
Ophelia : Classe.
Elle se tourne alors vers la fenêtre juste derrière le bureau de l'ancien directeur de la filiale, puissant des yeux.
Il y a quelque chose de bizarre dehors ?
Ophelia : Est ce normal que je vois des Baleks descendre du ciel là ?
Narrateur : Non, cela ne l'est pas.
Je m'approche de la voie donnant à l'extérieur pour vérifier ses dires
Je constate qu'elle a raison.
La force armée de cette espèce genocidaire est en train de se rapprocher du sol de façon menaçante, avec plusieurs de leur guerriers en train de venir en volant, tandis que les autres sont restés dans leurs soucoupes volantes qui inondent le ciel.
Je crois que j'ai raté quelque part.
L'Apocalypse n'est pas censé être aujourd'hui.
Il faut que je remédie à ça, mais comment ?
Peut être qu'ils pourront m'aider ?
Je n'ai pas le choix.
Narrateur : Je vais ramener Shiho. Il faut empêcher l'extinction de l'Espèce Humaine.
Leon : Même l'entité la plus vieille et puissante de l'univers fait des erreurs.
Ophelia : C'est universel.
Narrateur : Poussez vous un peu, que je puisse les matérialiser au centre de la pièce.
Il s s'exécutent, me laissant le terrain libre pour nettoyer mon propre bazar.
En une simple concentration, je parviens à ramener sur notre plan de l'existence les deux scientifiques en pleine discutions absurde, apparaissant de la même façon que les deux autres, à la différence près qu'ils ne tentent pas de m'attaquer.
Au contraire, ils ne semblent pas hostile à ma présence.
Ils auraient de quoi pourtant.
Comment n'ai je pas pu prévoir un tel scénario,?
La disparition de leur commandant allait forcément les faire fouiller sa dernière localisation connue.
New York a déjà bien mangé, ce n'est pas près de se terminer.
D'ailleurs, j'aimerais bien conter d'autres histoires se trouvant dans le reste de cet État, sachant qu'il n'y a pas que New York City dedans.
Au moins on aura eu Jersey City.
Allez, je vais réussir à sauver la Terre.
Shiho : Qu'est ce qui se passe ici ?
Leon : Les Daleks envahissent la Terre.
Ophelia : On dirait un titre de film de série Z des années 50.
Shiho : Le Narrateur ne peut rien faire pour ça ?
Narrateur : Je peux réécrire les événements mais je n'aime pas le faire car il peut y avoir des effets secondaires.
Leon : Je la crois, c'est pareil pour Haruhi.
Ophelia : Le bordel que ça devait faire quand elle les utilisait souvent inconsciemment à l'époque où elle n'était pas au courant.
Narrateur : Vous n'avez pas idée.
Shiho : Le problème est que c'est la première fois qu'on a affaire à cete race de l'espace. On ne connaît aucun de leur point.
Leon : Ophelia, tu les a affronté de ton côté, est ce que tu as vu un point faible ?
Ophelia : Comme j'étais cheatée, j'ai pas fait gaffe. Je sais juste qu'il y a une pieuvre avec des yeux dans leur carcasse de métal qui peut être enlevé pour se faufiler dedans. Par contre, leur péter dessus ne sera probablement pas utile.
Leon : Probablement...
Shiho : Et Ahah t'as une idée ?
Ahah : J'ai même la solution à notre problème si vous voulez que je l'utilise !
Ophelia : Eu oui sinon on va tous crever.
Ahah : Horf, au pire on est tous mort !
Leon : Le pragmatisme au maximum.
Shiho : Nous te demandons ton aide s'il te plaît !
Ahah : Ça marche !
Le dingo sur roulettes sort d’un sac accroché au dos de son support une petite tablette tactile qu’il ouvre avec l’empreinte digital de son indexe. Il commence alors à taper des mots sur le clavier en braille, bien que je n’arrive pas à cerner ce qu’il est en train de faire exactement à ce moment présent.
Espérons que cela finisse par résoudre notre problème.
Il finit après plusieurs secondes par appuyer sur entrée.
Des explosions retentissent.
Ça a marché ?
On dirait bien.
En jetant un œil sur la vue du paysage extérieur, je constate que tous les Daleks, ainsi que leur vaisseaux, ont explosé en mille morceaux.
Je suis content.
Vous allez pouvoir vivre encore un peu.
Je m’en serrai énormément voulu d’avoir causé votre disparition, par ma faute.
A présent, je sais quel choix je dois prendre pour le bien de tous.
Je retourne voir ceux que j’admire pour converser une dernière fois avec eux, et remercier celui sans qui ce sauvetage planétaire n’aurait pas été possible.
Narrateur : Merci Ahah Merde.
Ahah : Y a pas de quoi ! J’me taperai bien une vache morte !
Ophelia : Ce que je me demande… MAIS COMMENT TU SAVAIS CE QU’IL FALLAIT FAIRE POUR LES FAIRE EXPLOSER !!!???
Ahah : Hé bien j’ai réussi à décrypter le réseau mental en commun des Daleks et dedans j’y ai découvert le code pour les faire sauter ! Il fallait taper dans leur langage le mot amour et puis paf ça fait des chocaporcs ! Je suis trop bon, mwi hi hi hi hi !!
Shiho : Tu en a d’autres des solution miracle comme cela ?
Ahah : Bien sûr !
Il fouille à nouveau dans sa hotte à trésor pour y sortir divers objets qui auraient été utiles dans d’autres scénarios.
Ce mec est un Deus Ex Machina ambulant.
Ahah : Il y a le testament secret de Harris Clean qui dit clairement qu’après sa mort, aucune femme n’aura le droit à devenir dirigeante de l’archipel, et rendant ainsi illégitime Samantha et Élise sur le trône !
Shiho : Mieux vaut ne pas le dire à Mike ça.
Ahah : J’ai aussi les noms de toutes les têtes d’Hydra qu’il y avait avant le Quatrième Reich, ce qui vous aurez évité tant de mésaventures bande de tocards à trois quarts !
Ophelia : Hé, mais t’étais de notre côté à l’époque !
Ahah : En fait si je m’étais pas fait buté par l’autre con, je vous aurais trahi comme je l’avais prévu depuis longtemps, cheh !
Ophelia : Fils de pute obèse !
Ahah : J’ai aussi des preuves flagrantes que François Asselineau était Anokata, et qui aurait permis de démanteler instantanément l’Association des Corbeaux.
Shiho : Hmmm…
Ahah : Ah ooooouuuuuiii !! Il y a aussi mon système de fermeture des failles de l’Inframonde que j‘avais créé dans les Années 90 et qui fonctionne toujours !
Leon : Faudra dire ça à tous les habitants de New Raccoon City qui ont péri durant les deux invasions.
Ahah : Ça, c’est le code de désactivation de la puce d’Ailein Bartley que j’avais chipé à Umbrella dans ma jeunesse !
Leon : Encore une intrigue qui aurait été drastiquement raccourci avec son aide.
Ahah : Et la dernière chose que j’ai sur moi, c’est la meilleure d’ailleurs ! Il s’agit de preuves récoltés pour traîner ces crétins de parapluie justement dans la boue, et qui étaient déjà suffisant avant l’Incident du Manoir, sauf que j’ai sur la création de mon ivnention mentionnée plus tôt et j’ai plus penser à les utiliser !
Leon : Je serai sûrement encore flic à Raccoon City si on avait utilisé ça au bon moment.
Ahah : Oh la la, j’en ai encore d’autres chez moi, je vous les montrerai p’t’être un jour !
Shiho : Pourquoi on a jamais demandé son aide plus tôt ?
Ophelia : Parce qu’il est fêlé du bulbe et était décédé pendant un temps.
Shiho : Il faudra penser à plus sollicité l’intervention de scientifiques fous nazis pour sauver le monde ultérieurement.
Leon : J’ai vraiment dû mal à croire que ce type avait tout ça depuis tout ce temps.
Narrateur : Même moi je ne le savais pas.
Ce monde continuera de me surprendre, en bien comme en mal.
Désormais, je dois leur faire mes adieux, bien que cela m‘attriste pas mal.
Narrateur : Encore navré des troubles que j’ai pu vous causer, j’aurais dû m’appliquer à ma règle chérie et ne pas interférer avec le cours des évènements. Vous ne me reverrez plus jamais, il vaut mieux pour le tout le monde.
Shiho : Ne dites pas ça.
Ophelia : Shiho ?
Shiho : On fait tous des conneries, et celle ci en était une bien grosse, mais il faut aller de l’avant en essayant de faire mieux à l’avenir. En plus à, côté de ça, vous n’avez rien fait de vraiment mal. Ce jeu n’était pas fait pour nous nuire mais pour nous renforcer sentimentalement parlant, et il nous a permis de mettre aux ordures deux détritus qui auraient sûrement causé de vrais dégâts bien plus important à l’avenir. Au final, j’irais même jusqu’à dire que vous avez été plus bénéfique que calamiteux.
Je n’y crois pas.
Elle se penche vers en signe de solution, pour me remercier.
Shiho : Merci Narrateur.
Je…
Ne sais pas quoi dire.
C’est la première fois que j’ai une attention comme ça pour ma personne.
C’est… Gentil.
Narrateur : Je vous remercie en retour pour votre pardon, Shiho.
Je m’incline à mon tour.
En guise de se respect pour sa personne.
Leon : Cette fois ci, ça se finit bien, sans un goût amer dans la bouche.
Ophelia : Enfin, on a pas encore vu combien de personnes les Baleks ont eu le temps de descendre afin de finir en pâté pour voiture.
Leon : Il faudra aussi réveiller toute notre équipe.
Ophelia : Avant cela, j’aimerais juste jouer un petit tour à ma Lucy.
Leon : J’hésite à faire pareil avec Haruhi, mais ça risque de se retourner contre moi.
Ophelia : Je lécherai bien quelques pieds moi.
Ahah : Et moi quelques bites !
Ophelia : Chacun son truc.
Tout est bien qui finit.
J’adore les Happy End.
Aiko Kudō- Anciers
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Date d'inscription : 19/05/2019
Re: [FIC] Endgame [Terminée]
15 Juillet 2019
Belgique; Wallonie; Saint-Ghislain
Enfin, de retour dans un monde un poil plus cohérent.
Où tout n’est pas de mon côté, loin de là.
La dureté de la vie.
Son invariabilité.
Retrouver mon mari avoir cette énième séparation prouve de plus en plus que peu importe les ennuis que l’univers nous montra sur le dos, nous finirons toujours par nous réunir, pour être ensemble pour l’éternité.
Belle leçon de vie.
Je dirige une thèse à propos de cette théorie qui démonte pas mal nos amis fatalistes.
Gilbert l’a déjà prouvé à lui seul au dernier Halloween.
Je m’en rappelle toujours.
Pauvre Leon.
Il a morflé cette nuit là.
Si vous ne vous en rappelez pas, c’est par là : https://resident-evil-9.forumactif.org/t524-jdr-papy-leon-tente-de-la-resistance-termine
Assez parlé de ma carrière scientifique, et n’entrons pas dans celle qui concerne le cinéma, en fait arrêtons de parler de moi pour le coup.
Il y a quelqu’un que je mourrais d’envie de revoir une fois ici, afin de savoir si j’avais raison dans ma petite tête auburn.
Il ne s’agit de Gilbert.
Lui est premier c’est clair, mais non je parle d’une autre personne qui entre dans cette catégorie très rare.
Je vous laisse cogiter un peu, vous découvrirez très rapidement la bonne réponse.
Je ne peux rien pour vous si vous ne trouvez pas, pourtant c’est évident.
Ah la la…
Je suis au volant de ma belle Jaguar C-XF noire.
Je roule sur les routes campagnardes du nord-ouest de la Wallonie, arrivant à peine dans une ville que j’ai déjà vu dans ce faux monde créé parle Narrateur.
Je me demande encore pourquoi cet endroit, pour ces personnes.
On va dire que ça coller avec Ahah Merde, mais quand même.Je n’ai pas pu lui demander pour le coup.
Alors je vais vérifier une chose.
Mon GPS me mène jusqu’à une maison ordinaire, ne se démarquant pas des autres compactées tout autour.
Pourtant, elle abrite quelqu’un de ma connaissance.
Enfin, même si ça ne va que dans un sens.
Je me gare à une place libre devant le trottoir du côté où elle se trouve, puis je coupe le contact avec clés avant de les remettre dans ma poche.
Ce serait con que les oublie ici et qu’on me les choure.
Je sors, refermant la portière derrière moi, puis m’approchant de cette petite habitation.
Ce n’est pas le genre d’endroit où j’irai finir mes jours, mais au moins c’est correct et bien entretenu, dû moins à l’extérieur de ce que je peux voir.
Un nom inconnu est écrit sur la sonnette.
En même temps je savais juste qu’elle s’appelait Stéphanie, je n’ai jamais su son nom de famille.
Essayons.
Je ne me suis pas plantée.
Ma piste menait ici.
Bon…
Attendons que quelqu’un vienne ouvrir.
N’essayez pas de me tenir la conversation.
Je ne peux pas vous entendre, cela ne va que dans un sens encore.
N’empêche, l’air est plutôt rafraîchissante dans le coin.
Pas trop pollué.
C’est bien.
Est ce qu’il y a une épicerie dans le coin où je pourrais me chopper une bière plus tard ?
Ah, on m’ouvre.
C’est bien toi.
Le visage de Stéphie se révèle à moi, vêtu assez sobrement, d’abord plutôt fatigué, puis s’émerveillant progressivement en m’apercevant.
Ce pourrait il qu’elle sache à propos de ce qui s’est pas là bas ?
Bizarre, ce n’est pas censé être le cas.
Ah moins qu’il n’y ait autre chose…
Stéphanie : Shiho, toi ici !
Shiho : Oui moi.
Stéphanie : Excuse moi, je suis fan de toi, je regarde tous les films où tu te trouves, et te voir ici devant moi me fait perdre ma respiration.
Shiho : Calme toi, ce serait con de mourir devant son idole.
Stéphanie : Est ce que c’est pour le cadre d’une émission ? Où sont les caméras ?
Shiho : Non, c’est pour autre chose.
Stéphanie : Ah ?
Shiho : Nous allons un peu papoter plus tard nous deux, mais avant ça, suis moi deux secondes,
Stéphanie : Bien sûre, où nous allons ?
Shiho : Sortir le contenu du coffre de ma voiture.
Affublés de ses plus beaux chaussons, elle me suit sans hésite, démontrant en effet qu’elle me fait une confiance aveugle dû à son côté groupie.
Je ne m’attendais pas à ça.
Est ce que le Narrateur ça quand il a choisi elle pour me sauver la vie ?
Ce serait sympa d’imaginer que oui, pour la beauté du sens de la chose.
Nous avançons jusqu’à l’arrière de ma voiture d’une noble marque et j’appuie sur un bouton de la clé que j‘ai dans la main, faisant un bipbip avec les phares arrières qui s’allument brièvement, signifiant que je peux ouvrir le coffre.
Dedans, se trouve le Hollande Belge, ligoté et ballonné comme un mec qu’on va jeter à la flotte, avec la caisse avec.
Heureusement, je ne suis pas une vulgaire mafieuse.
J’ai plus d’humour que ça.
Kei, elle, est est très surprise de découvrir cette tête de con à l’intérieur.
Shiho : On va finir ce qu’on a commencé dans une vie qui n’était pas la notre.
Stéphanie : OK…
Cela fait longtemps que je n’ai pas torturé quelqu’un.
Ce sera moins bizarre que si j’étais un photographe fasciste avec une gueule de prof d’art.
Clara Lille- Anciers
- Messages : 152
Date d'inscription : 04/11/2016
Re: [FIC] Endgame [Terminée]
France; Alsace; Bas Rhin; Bischheim; Appartement Dodgera-Sarkissian
Le confort d’être chez sois, un coussin sous son cul.
C’est magique !
Sans oublier le gros chat, Momo, qui est collé à mes jambes.
C’est un Maine Coon qui bouffe un peu trop, alors déjà que sa race à les poils bien longs, mais si tu rajoutes son poids, sa donne une montgolfière.
Surtout que c’est une poubelle cette chose, à tout bouffer, on l’a même une fois retrouvé coincé dans la poubelle de la cuisine, les pattes en l’air et ne pouvant plus ne sortir.
Il a 5 ans le bestiaux, et on l’a obtenu très peu de temps après avoir emménagé ici.
Comme vous êtes quasiment jamais venu ici, c’est que maintenant que vous le rencontrer.
C’est cool, surtout que je trouve qu’on voit de moins en mois d’animaux en temps normal.
L’autre fois en me promenant, pas un chien en vue.
Alors que quand nous nous sommes logé ici, il y a de nombreux maîtres qui promenaient leur clébard.
Je sais pas ce qui se passe, sûrement une facilité scénaristique.
Enfin, notre soirée à moi et ma copine est déjà entièrement dessinée, hé ouais !
Je suis contente de la retrouver.
Je lui ai tout dit que ce j’ai vécu là bas, et pour effacer mes tourments, elle m’a proposé à plan à trois avec Shiho.
Au final, ça s’est terminé en plan à deux habituel car notre amie en commun s’est rétractée, prétextant avoir quelque chose à faire en Belgique.
D’habitude elle est plus franche que ça quand quelque chose la gêne, et elle invente une excuse aussi bidon.
Après sexe, on s’est couché en programmant une journée matage de films et séries pour aujourd’hui.
Sachant qu’en se moment on fait une Rétrospective Scooby-Doo et qu’on arrive vers la fin, ayant terminé presque tous les films, hormis celui chelou avec Daphne et Velma.
Du côté des séries, il nous reste juste la saison de Be Cool Scooby-Doo à ce mater, si on ne compte pas la nouvelle incarnation nostalgique qui est diffusée en ce moment même.
D’ailleurs, ma petite blondinette est à mes côtés, et notre discutions est en rapport avec la prochain Direct DVD qui va sortir.
Je vous laisse apprécier celle ci.
Ophelia : Tu la sens comment la suite de l’Île aux Zombies ?
Lucy : Pourrie.
Ophelia : Quand tu vois ce qu’ils ont fait avec le film précédent, je te crois sur parole.
Lucy : Même si les 13 Fantômes était une série à chier, je trouve que ça ne fait pas de faire une suite qui était censé pour terminer l’intrigue non terminé pour au final ne rien résoudre, et pire que ça, se foutre littéralement de la gueule du matériaux de base et donc de ses fans avec.
Ophelia : C’est con parce que c’est eux qui sont censés être le principal public visé.
Lucy : Et Véra est vraiment casse burne.
Ophelia : On dirait Conan Edogawa. A tellement réfuter le surnaturel qu’elle en devient débile. Tu n’as pas l’impression qu’elle est la plus intelligente du groupe.
Lucy : Fred la mériterait plus à l’heure actuelle.
Ophelia : En plus, elle n’était pas comme ça dans les premiers films, ainsi que dans les bouses en live action, et même dans la série de base je crois.
Lucy : Ouais, je l’aimais bien avant, avant.
Ophelia : Dans Mystery Inc, ça allait encore.
Lucy : Ouais, cette série était revenue aux fondamentaux de la renaissance de fin 90, malgré que ce fut placé dans un univers parallèle.
Ophelia : Franchement, t’imagines si ils te détruisent toutes œuvres où il y avait du vrai paranormal, on y foutant Velma qui nous dit « Gne suis la Plus INTELLIGENTEU ! Je vais ruiner vos rêves gné ! ».
Lucy : Je brûle les studios de Warner si ils font ça.
Ophelia : C’est la Prod qui fout le sbeul ?
Lucy : De cequej ‘ai entendu dire oui.
Ophelia : Je ne sais pas quel est leur problème avec ça, surtout que les plus gros succès de Scooby-Doo sont centrés sur des Vrais Monstres.
Lucy : En plus, c’est les 50 ans…
Ophelia : En plus ! A ce niveau là, je me demande si ce ne sont pas en fait des lamantins tirant des balles pour chaque décision qui sont aux commandes.
Lucy : J’espère que la nouvelle série qui a commencé à sortir pour l’occasion va rattraper la qualité de l’anniversaire.
Ophelia : Espérons.
Lucy : Alors, on se matte ça ?
Ophelia : D’abord, j’ai quelque chose à te dire, de très important.
J’ai omis volontairement de vous parler d’un truc, pour que vous soyez aussi surpris qu’elle.
Peut être que quelques petits malins auront compris ce que je vais faire.
En effet je l’ai déjà invoqué pendant que j’étais loin d’elle, et je tiens mes paroles, même dans ma tête.
Voilà pourquoi je sors une petite boite de ma poche du jeans et que je la tends à ma belle pour l’ouvrir sous ses yeux de pie ébahit.
Dedans, un anneau avec une mini tronçonneuse gravée dessus étincelle de diamant.
Mon effet produit le résultat escompté.
Lucy : Ophelia, tu vas vraiment… ?
Ophelia : Oui, j’y ai beaucoup réfléchi quand j’étais là bas, et je me suis dit que je voulais rester le restant de mes jours à tes côtés, avec notre fille, et le chat. On ne sait jamais ce qui peut arriver, surtout que je suis déjà morte une fois, et toi tu as failli l’être aussi. Je te demande donc ta main pour vivre l’un des meilleurs moments de ta vie, en ta compagnie. Alors ?
Lucy : Bien sûr que je le veux !
Ophelia : Cool, parce qu’on aura un Mariage Shintō au Sanctuaire Suwa-jinja de Nagasaki comme ut le voulais.
Lucy : Vraiment !? Mais tu ne voulais pas faire un truc plus intime ?
Ophelia : On pourra faire ça avec le Mariage Civil, c’est un beau compris, tu ne trouves pas ?
En réponse, elle me saute dans les bras.
Celui qui morfle c’est Momo, complètement écrasé comme une grenouille.
Je suis content que ça lui plaît.
Reste plus qu’à fixer le grand jour.
Et que quelqu’un se dévoue pour s’occuper de la petite qui pleure dans sa chambre.
Elle a encore du faire un cauchemar, car oui elle est déjà au lit.
Je crois qu’elle va devoir attendre un tout petit peu.
Le temps qu’on savoure se moment comme il se doit.
Désolée Kenzie.
Nous sommes de mauvais parents, tu devras patienter.
Dernière édition par Ophelia Sarkissian le Mar 29 Oct - 20:31, édité 1 fois
Ophelia Sarkissian- Admininstrateurs
- Messages : 333
Date d'inscription : 24/05/2015
Re: [FIC] Endgame [Terminée]
États Unis; Washington; Seattle; Madison Park; Coffee Trump
Il pleut.
Beaucoup.
C’est agréable à voir de là où je suis.
La mélodie entraînant d’un opening de Naruto se fait entendre, accompagnant ce moment.
Je souffle un peu sur le café brûlant que je tiens entre mes mains par le biais d’une tasse en porcelaine, afin de pouvoir le boire sans sans cramer ma gorge et finir à l’hosto juste pour ça.
En face de moi, Dahlia Maire, se grille d’une Camel, malgré l’interdiction de fumer de l’établissement, mais son apparence physique et son regard meurtrier suffit à empêcher les employés d’aller le lui faire remarquer.
Nous ne parlons pas encore, nous profitons d’un temps de considération pour ce qui a déjà été dit, en profitant chacun de notre petit regain de vitalité.
Je lui ai raconté mes mésaventures dans la fausse réalité de la Narratrice, avec sa version d’elle même existant là bas.
J’ai pu sentir toute la complexité de son regard, et en déceler qu’elle est troublée par ce que je viens de lui dévoiler, sachant très bien que je ne suis pas du genre à inventer des histoires comme ça juste pour blaguer.
Les deux Béberts sûrement, pas moi.
Quand elle en a enfin terminer de taffer sa clope, elle écrase mégot dans un cendrier, en relâchant une toute dernière bouffée dans ma direction. Son visage on ne peut plus sérieux trahit une pointe de joie d’être ici en ma compagnie.
Avec les années, j’arrive à cerner ses petits tics révélant ses sentiments.
La nouvelle que je vais lui présenter devrait encore plus l’enjoliver.
Nous pourrons peut être un petit sourire.
Dahlia : Merci de m’avoir dit tout ça, tu n’étais pas obligé.
Leon : Tu étais indirectement concernée, alors ça valait le coup.
Dahlia : Tu aurais pu éviter le passage où tu me chevauchais tel un dragon.
Leon : Il est tellement que ça aurait été une honte de ne pas le citer.
Dahlia : Et pourquoi c’est toi qui me chevauche, et pas l’inverse ?
Leon : Ce n’était pas vraiment toi, c’est pour ça.
Dahlia : Compréhensible.
Leon : On peut cependant rattraper le coup, si tu meurs d’envie de me chevaucher tel un chevalier en armure.
Dahlia : Peut être, je note ça pour plus tard.
Leon : Au fait…
Dahlia : Quoi ?
Leon : Si je t’ai fait venir, c’est pour un petit détail que j’avais promis à ton autre toi, et je vais maintenir ma parole.
Je sors d’une mallette que j’ai emmené avec moi, une fouille de contrat déjà signé par ma main et dont il manque juste l’autre signature pour qu’il soit valide, avec toutes les closes qui l’accompagnent.
Je tends ensuite un stylo fraîchement sorti de ma poche à mon amie pour qu’elle le prenne.
Leon : Ceci est le contrat de travail qui, si tu le signes, te permettra de devenir ma majordome, avec tous les avantages qui vont avec. Au niveau du prix, ce sera très rentable, et moins risqué de mener des contrats risqué aux quatre coins du monde. A toi de voir si ça t’intéresse.
Dahlia : En temps normal j’aurais refusé car j’aime l’action et l’argent que me procure mon boulot de tueuse à gage, mais là c’est toi qui me le propose. On va dire que que les ennuis ont tendance à te tomber dessus et à te suivre jusqu’à chez toi, ce qui voudrait dire que je pourrais utiliser mes talents d’assassinats en temps que majordome pour protéger la propriété.
Leon : Tu es partante ?
Dahlia : En effet.
D’une rapide volée de plume, elle déposa sa marque sur la feuille.
Elle la pousse ensuite vers moi pour que je la reprenne, faisant ensuite ce que j‘attendais d’elle, et il faut dire qu’elle est ravissante quand elle fait.
Ses lèvres tournent un peu vers le haut.
Je vais le lui dire, car la vérité mérite d’être sue.
Leon : Tu es ravissante, avec ton rare sourire.
Dahlia : Tu veux quelque chose de rare ?
Leon : Quoi ?
Dahlia : Un baiser passionnel.
Sans que je m‘y attende, elle me choppe au col et m’avance vers la table pour que je puisse arriver au niveau de ses lèvres qui rentrent en contact avec les miennes.
Quelle récompense.
Elles sont étonnamment douces, et il y a se petit parfum de framboise.
Je met ma main droite derrière sa tête, pour renforcer l’échange.
D’autres seraient envieux d’être à ma place.
Je n’ai pas choisi d’attirer autant les femmes à la base, donc j’essaye d’aider ceux qui n’y arrivent pas quand je le peux.
Attendez…
Elle ne serait pas en train de retirer mes vêtements ?
C’est bien le cas.
Devant tous les clients et employés du Café.
Il est vrai qu’elle partage ce côté en commun avec Haruhi, d’en avoir rien à foutre de se changer ou se déshabiller devant des gens.
Devrais je faire pareil avec elle ?
Vaut mieux pour la suite.
Allons y, sans trop se poser de question.
Profitons du moment.
Avant que la police n’arrive.
Jackie Estacado- Admininstrateurs
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