[FIC] Raccoon City 2025 [Terminé]

Léon : Frank, qu'est ce qu'elle a ?

Franklin : Malheureusement je ne sais pas, il faudrait demander à Julie, elle est médecin...Oh mon dieu, Julie comment ai je put t'oublier !

Léa se mit à sourire en voyant le faux Franklin retrouver des souvenirs.

Franklin : Et mes 3 enfants, Simon, Chloé et Bertrand, comment ai je put les oublier ?

Léa : C'est bien vous arrivez à vous souvenir de votre famille.

Franklin : Oui mais pour ce qui est de mon nom, c'est le trou noir.

Léa : Ne vous en faites pas. L’idéal serait de trouver une photo de vous, ils ont dut en conserver une dans le coin, il faut juste chercher...

Yann : Non !!!

Tout le monde se tourna vers Yann, étonné même Sarah qui n'entendait rien.

Yann : On a déjà perdu trop de monde, en plus on a retrouvé sa femme, et pour couronner le tout, elle n'est pas dans sa meilleur forme. Alors moi dans mon devoir de capitaine du BSAA, je vais vous faire sortir de là.

Léa : Hé bien ce sera sans moi, allez viens Franklin.

Léa partit dans une direction avec Franklin. Yann se tourna vers Léon et Sarah.

Yann : Vous n'allez quand même pas les suivre ? Il faut sortir de là.

Yann attendit la réponse de Léon.

Après de nombreuses minutes, Léa & Léon virent enfin la sortie de la ville. Ils se retrouvèrent sur une vieille route de campagne peu fréquenté. Le monstre quand à lui était assez loin d'eux mais il continuait à les suivre. C'est alors que les chasseurs décidèrent de ce moment propice pour faire feu sur l'arme biologique. Ça fit boom, et la plaine anglaise s'embrasa sous les coups des avions. Léa fit alors signe à Léon de s'arrête sur la bas coté. Ils sortirent alors du véhicule et regardèrent les cratère causés par les missiles, ils ne virent plus aucune traces du monstre. La Royal Air Force quand à elle s'en alla en pensant avoir bien fait le boulot.

Léa : Léon, tu crois qu'il est vraiment mort ? Parce que c'est toujours quand on pense qu'ils sont morts qu'ils reviennent nous faire chier une dernière fois.

Léa attendit une réponse de Léon.

Léon : Capitaine, vous devez sauter. Nous n'avons pas le choix. On va devoir jouer à saute mouton pour aller à la porte.

Burt : En même temps, j'ai pas trop le choix.

Burt rejoignit son camarades en sautant sur l'autre container.

Burt : Au faites, tu es mon nouveau second à partir de maintenant Léon.

Léon et Burt jouèrent donc à saute mouton en évitant les attaques du tyrant et aussi de tomber entre les crocs des zombies juste en bas. Finalement arrivé au dernier caisson, ils firent un dernier élançait et se retrouvèrent juste devant la porte qu'ils franchirent et barricadèrent juste derrière eux. Burt regarda où ils étaient, c'était un petit local avec quelque rangées contenant diverse choses. Il se tourna vers Léon tout en entendant les râles des zombies derrières la porte.

Burt : Tu penses que les autres agents ont survécus ? Parce que j'en ai vue aucun durant notre fuite et je n'ai entendu aucun coup de feu.

Burt voulait voir ce qu'en pensait Léon.

Léa et son petit ami arrivèrent enfin devant le chalet où ils allaient séjourner durant la semaine. Rei quitta sa jeep, le couple sorti eux aussi de leur véhicule pour le rejoindre à l'entré de la battisse.

Rei : Ce chalet fut construit en 1918 durant l'Ère Taishō, justement l'empereur Taishō Tennō y séjourna durant la semaine de son inauguration et lui donna son nom.

Léa : Le chalet Taishō, en gros ?

Rei : Hai (Oui)

Matthew : Je l'aime bien, je trouve qu'il y a une atmosphère charmante qui en dégage.

Léa vit alors une voiture de police (Toyota Crown) arriver et se garer devant le chalet. Un policier en sortit, mais sa dégaine et son look montrait qu'il n'était pas un simple flic, ce devait être le chef de la police de l'île. Il alla voir le prometteur et il baissa ses lunettes noirs avant de prendre la parole.

Chef : Masaru Toyotomi anata o mite tazune. Anata desupatchi, Anata wa sore ga kanjade wanai shitte iru. (Masaru Toyotomi demande à te voir. Dépêche toi, tu sais bien qu'il n'est pas patient)

Rei : OK, bon je suis désolé mais je ne pourrais pas vous faire la visite. Mon numéro est sur la table du salon, appelez moi si il y a un problème. Je vous rendrais surement visite demain. Sayōnara (Au revoir).

Le chef et Rei retournèrent à leur véhicules respectifs et quittèrent le jeune couple, Matthew regarda leur maison provisoire en souriant tandis que sa femme ne semblait pas bien dans son assiette.

Léa : Sympa l’accueil, je me demande ce que le flic lui voulait.

Matthew : Léa, c'est toujours une manie pour toi de te mêler de la vie des gens. Mais bon tu ne serais ma Léa sans ça.

Matthew fit des chatouilles à Léa qui d'habitudes étaient très chatouilleuse et donc se marrait comme tout, mais là rien, elle resta pale.

Matthew : Léa, qu'est ce qu'il y a ? Tu ne te sens pas bien ?

Matthew lui toucha le front, elle était brûlante de fièvre.

Matthew : Tu es malade ? Pourquoi tu n'as rien dit, viens avec moi, mieux vaut que tu aille dormir.

Léa se laissa emporté par Matthew dans la maison, il mit un peu de temps mais réussit finalement à trouver la chambre à coucher et il déposa Léa dans le lit avant de lui déposer un baiser sur le front.

Matthew : Bon, je te dis bonne nuit, et repose toi bien, moi je vais prendre l'air un peu, à plus.

Ils s'échangèrent un baiser puis il partit en éteignant la lumière derrière lui, ce fut une rude journée.

Léa ouvrit enfin les yeux, c'était le matin, elle tourna la tête et vit sur le réveil qu'il était 11H37. Elle se sentait beaucoup mieux, la fièvre semblait êtres passé, elle vit alors un morceau de papier à coté du réveil avec quelque de marqué dessus. Elle le prit pour le lire :

Ma puce, je suis partis acheté de la nourriture avec Raymond et Suzuki, je rentrerais aux alentours de 13 heures, j'ai fais ton petit déjeuné, il t'attends sur la table du salon, de la part de ton Matthew adoré

Léa se mit à rougir et sourire en aillant lut la lettre, elle aimait beaucoup beaucoup Matthew et elle s'était enfin remit du deuil de son ex petit ami décédé. Elle espérait seulement que Matthew ne s'attirerait pas d'ennuis en restant avec elle et ne finirait pas dans un sort similaire. Finalement elle se leva du lit, toujours avec les habits de la veille et se dirigea vers le salon du se trouvait un petit déjeuner à la sauce japonaise, elle devinait que Matthew n'avait pas put le cuisiner et que c'était surement son ami qui l'avait rapporté mais ça lui faisait quand même plaisir. C'est alors qu'on toqua à la porte, elle alla voir qui c'était et tomba sur Rei qui avait un visage épanouissant et semblait de bonne humeur.

Rei : Avez vous passez une agréable nuit ?

Léa : Oui, on peut dire que j'ai rattrapé mes heures de sommeils perdues.

Rei : Bien, je voulais voir si tout allait bien et aussi faire une petit vérification de la maison. Alors faites comme chez vous et ne vous préoccupez pas de moi.

Léa laissa le promoteur entré, ce dernier regarda un peu partout dans le salon puis se dirigea vers la chambre tandis que Léa resta au salon et s'installa sur la canapé en face de son déjeuné appétissant. Mais d'abord elle prit son portable et fit un selfie avant de le partagé sur Facebook, elle reçut rapidement un like de Léon Kennedy qui posta un commentaire qui intrigua Léa :


Soudain ce fut le noir total, Léa semblait s'être prit un coup sur la tête. Elle se sentit alors se faire porter autre part mais elle ne pouvait malheureusement rien faire.

Au commissariat de détroit, Axel Foley s’inquiétait, il se trouvait dans le hall d'entré entrain d'essayer d'appeler son équipe posté sur l'île en vain. Il perdit patience et alla voir la policière qui s'occupait de l’accueil.

Axel : Bon, Maria, je vais voir ce que George et les autres fabriquent car ça commence à m’inquiéter..

Maria : Je suis sur que tu te fais des soucies pour rien.

Axel : Peut être mais pour moi, ça ne dit rien de bon, à plus tard.

Foley enfila sa veste et alla au parking à l'entré pour prendre sa voiture, il prit alors à droit sur la route et continua son chemin jusqu'au complexe d'Ultor. Malheureusement il rata de peu, George qui venait du coté gauche de la route avec sa voiture, Eve de son coté se trouvait juste à coté de George dans la voiture. Il se gara sur le parking et alla dans le hall avec la jeune femme à ses cotés. Maria fut surprit de le voir arrivé et prit la parole en première.

Maria : Hé bien George, Axel te cherchait, il se demandait où tu étais. Et où sont les autres, et qui est cette femme que tu as rapporté avec toi ?

Un sourire de sadique s'afficha sur le visage de Eve.
Entre temps, dans les couloirs du complexe, le trio s'arrivait pas à retrouver le chemin de la sortie mais arrivait à une intersection, Burt vit une ombre passait dans un des couloirs devant eux.

Burt : Hé vous avez vue ce que j'ai vu ?

George : Ce sont les créatures d'Eve, ils veulent nous empêcher de partir.

Soudain de silhouettes vinrent des 4 couloirs les entourant, l'autre George reprit la parole.

George : Il va falloir combattre.

Burt : OK, qu'ils viennent un peu nous voir.

Une première créature fonça sur Agrid qui lui explosa la tronche avec son fusil, d'autres s'en suivirent mais ils étaient très nombreux, c'était ça le problème.

Ce fut le carnage au sein de la Maison Blanche, Crunnigan s'était réfugié avec l'équipe Echo et le Vice Président dans la salle de presse. Il essaya de communiquer avec l'extérieur mais Umbrella avait brouillé les communications. Au même moment Tim Fudz avait assisté au meurtre du Président et des espions de l'Hydra par Zyona Carlya. Mais cette dernière ne savait pas qu'elle avait enfaîte tué un leurre. Il se barra donc avec le vrais président jusqu'au bunker souterrain sans se faire repérer. Une fois dans cet endroit, il verrouilla la porte derrière lui tandis que William prit la parole.

William : Umbrella est entrain de tout détruire, il faut empêcher ça !

Tim : C'est déjà trop tard, Umbrella est entrain de gagner, je ne vois pas ce qui pourrait les anéantir.

Au même moment les forces de la Scopriana dirigé par le Général Scrub entraient dans la ville à moitié détruite, ils avaient sur le passage tué quelques membres d'une des équipes de STARS envoyé pour protéger les frontières de la zone infecté. Le Général était fier de voir que leur missions marchés bien mais il se demandait bien ce qu'il se passait au sein de la ville car ils ne savaient pas qu'Umbrella était dans le coin, mais pas grave, le faites que la ville était déjà bien saccagé leur facilité la tache.
Et du coté de Darrick, ce dernier était toujours menotté et ballonné dans la cave de Baboule, c'est alors qu'il vit un scientifique de la Scopriana venir de la faille, ce dernier fut surprit de voir son boss dans cet état et il le libéra.

Darrick : Je jure devant Dieu que ce Léon S Kennedy va me le payer très Chère.

Darrick prépara un plan pour se venger diaboliquement de Léon.

Burt avait décidé de prendre un petit peu l'air, enfin c'était ce qu'il avait dit à son équipe. En vrais, il était partit rejoindre Agrid Crunnigan sur un colline qui surplombait New Raccoon City dans les Montagnes Arklay mais en dehors de le forêt du même nom. Il s'y était rendu avec sa vieille voiture et vit en arrivant, Agrid qui était déjà là entrain de fumé une cigarette. Ce dernier remarqua l'arrivé de son ami et finit sa cigarette avant de l'écraser.

Agrid : Salut Burt, comment ça va ?

Burt : Ouais ça peu aller, alors tout se passe mieux à Détroit ?

Agrid : Oui, la ville est entrain de renaître, c'est ce qu'on peu dire. Ça faisait bizarre une aussi grande ville qui perd la quasi totalité de sa population en à peine quelques heures.

Burt : Pire qu'à Raccoon City.

Agrid : Ouais. Bon je t'ai fais venir pour te confirmer ce que tu pensais, l'Hydra a bien infiltré le BSAA Nord Américain, et ce depuis un bail. Et ce que tu te douté était vrais, Tim Fudz en fait partit, et il a un assez beau grade au sein de l'organisation.

Burt : Génial, mon patron est une ordure fasciste, quoi d'autres ?

Agrid : Aucun membres de ton équipe est corrompu donc si tu as l'occase de les briefer un jour en secret, tu peu le faire mais bon tu dois être sur qu'ils ne le diront à personne d'autres.

Burt : OK cool, j'étais un peu distant ces derniers temps car je ne savais pas à qui faire confiance mais tu viens de me rassurer.

Agrid : De rien, si je peu te faire plaisir.

Burt regarda l'horizon, d'un air heureux et il se grailla un cigare, mais il ne se doutait pas que sous ses pieds se préparait une invasion de la Terre.

Léon : Merde ! Je l'avais bien dit. Pourquoi personne ne m'écoute ?

Léa : Moi je t'écoute, mais bon il faudrait trouver un moyen de le détruire.

Léon continua de conduire et le monstre arriva à les suivre on se sait comment puisqu'il ressemblait maintenant à un gros tas de chair, ils avaient bien besoin d'aide. C'est alors qu'une voix se fit entendre par la radio de Léon.

Burt (R) : Léon tu me reçoit ?

Léa : Léon est un peu occupé, je vais parler à sa place, moi c'est Léa Moulin.

Burt (R) : Hé bien on est entrain de se diriger vers votre position mais il faudrait que vous vous arrêtiez quelque part sinon on arrivera jamais à vous atteindre à l'allure où vous allez.

Léa : OK, terminer.

Léa se tourna vers Léon.

Léa : Hé bien tu sais ce qu'il reste à faire Léon.

Léa attendit que Léon gare dans sa voiture dans un endroit où ils ne seraient plus trop embêter par le monstre.

Léon : Au fait, vous aviez dit quoi tout à l'heure avec les râles des zombies, j'ai peur de n'avoir pas très bien compris ce que vous avez dit. J'ai juste entendu : "Au faites, tu es mon..." Et après plus rien.

Burt : Tu es mon nouveau second, Susan est morte ainsi que Alan, le Tyrant les a eu tous les deux, heureusement que Umbrella était là pour sauver Britney et Peter, oui je sais c'est ironique.

Un long silence pesa sur la pièce, c'est alors que Burt trouva une batterie en état de marche. Il la prit et la rangea dans sa sacoche.

Burt : Bon la batterie c'est bon, maintenant faut faire demi tour, c'est tout autre chose. Est ce que tu vois une autre sortie Léon ?

Burt attendit une réponse de Léon.

Toute l'équipe était dans l'hélico, ils avaient réussit à passer les journalistes. Susuky était prête de son coté, elle avait installer son fusil sniper sur le rebord de l'hélico et attendait sa cible. Burt de son coté reçut un nouveau message radio de Léa Moulin.

Léa (R) : On arrive vers la ville, donc vers vous, préparez vous à descendre le G.

Burt : OK. Vous me rappelez votre père.

Léa (R) : C'est marrant mais tout le monde me dit ça. Merci quand même Burt Wilson.

Burt : Je vois que vous me connaissez.

Léa (R) : J'ai fais un bouquin où vous apparaissez donc bon...

Susuky : Hé les filles arrêtez un peu de papoter, le monstre arrive donc regardez le spectacle.

Susuky avait chargé son arme de munitions explosives, elle regarda le monstre arriver et fit feu, le spectacle pouvait commencer.

Burt était entrain d'être emmené vers une destination inconnu par Joe et ses soldats, il engagea alors la converse avec son ami d'antan.

Burt : Joe, pourquoi es tu devenu membre d'Umbrella ? Tu méritais bien mieux que ça.

Joe : Comme si je l'avais voulu.

Burt : Raconte moi ce qui s'est passé.

Joe : Tu dois déjà savoir une chose, Umbrella prépare un sombre projet, la destruction du monde en commençant par les Etats Unis, ils ont prévues de lancer une immense attaque avec tous leurs J'avos sur la Maison Blanche le 1er Avril 2050 au petit matin. Puis si ce plan ne marche pas, ils passeront au Plan B, le 23 Septembre de la même année. Ils vont lancer leur clones.

Burt : Umbrella se met en clonage ?

Joe : Oh ça fait une vingtaine d'années qu'ils font des clones mais c'est que dernièrement que ça vraiment abouti, et ils ont de quoi faire une armée entière de clone sous leur contrôle le plus complet possible.

Burt : Ils t'ont clonés, c'est ça ?

Joe : Je suis content que tu l'ai comprit aussi rapidement. En réalité je n'ai pas survécu à l'accident, mais Umbrella m'ont choisit parmi leur sujets de test pour leur premiers clones. Ils étaient tout content de voir ce que pouvait apporter le clonage après la "Zyona carlya" que Albert Wesker avait créé. Malheureusement ils n'ont pas pu avori le contrôle sur notre esprit donc...


Joe était assit à une table entrain de regarder un ordinateur où il pouvait voir sa famille, un des agents d'Umbrella ferma l'ordinateur et prit la parole.

Agent : On les surveille et on te surveille, si tu tente de nous trahir, ils mourront, c'est clair ?

Joe : Oui.

Agent : Bien maintenant, tu bosse pour nous, au péril de ta vie et...de leur vie...


Burt : Je suis désoler, je ne savais pas. J'essayerais de faire tout pour d'ai...

Joe se tourna et chopa violemment Burt par le col.

Joe : NON !!! Ne tente rien ! Je ne veux pas les perdre ! Ils sont tout pour moi !

Il relâcha son ami et reprit la route en séchant ses larmes.

Jock regarda le spectacle qui s'offrait devant lui, le jardin était remplie de cadavres d'alliées et d'ennemies, les arbres étaient en feux, des explosions provenaient du bâtiment à lui même.

Jock : Je vais essayer de trouver un coin où atterrir.

Il tenta de se posait dans un coin dégagé, mais un J'avo d'Umbrella le remarqua, le problème c'est qu'il était armé d'un lance roquette. Jock le vit au dernier moment et tenta de s'éloigner mais trop tard. Le j'avo tira sur l'hélico et toucha la queue de l'appareil avec l'explosion. L’hélicoptère tournoya dans tous les sens avant de se cracher en plein dans le bureau ovale. Tout le monde était inconscient sauf Jock, ce dernier se détacha et alla à l'arrière de l'appareil. Il prit alors son Px4 et sortit de l'appareil en prenant soin d'éviter les hélices qui tournoyaient encore un petit peu mais lentement. Il regarda dans les environs mais ne vit personne au premier abord, il entendit alors du bruit derrière lui et se retourna pour tomber nez à nez avec Zyona Carlya.

Jock : Oh merde !

Elle lui planta alors sa main dans la poitrine et lui arracha le cœur avant de le sortir de son organisme, elle le jeta ensuite par terre et l'écrasa violemment. Jock put voir son sourire sadique avant de rendre l’âme.

Léa rouvrit finalement les yeux tout en se les frottant car elle avait de la poussière sur les yeux, elle regarda aux alentours, elle était dans une sombre cave avec une odeur horrible qui pesait dans l'air. Ses habits étaient sales et elle n'avait plus son Desert Eagle porte bonheur sur elle, elle était donc sans défense. Elle se mit assise et entendit alors une nuée de mouche volait autour d'un point près d'elle, elle s'y approcha et fit un bond en arrière quand elle vit le cadavre décomposé et en morceau d'une jeune femme.

Oh bordel de merde, ça va être moi la prochaine !

Elle entendit alors quelqu'un marchait au dessus d’elle et de la poussière tomber, elle vit ensuite une trappe s’ouvrir sur le plafond et quelqu'un faire descendre une échelle. Cette même personne descendit dans la cave et se tourna vers Léa avec un sourire qui reflétait ses sombres pensées. Cet homme, c'était Rei, le promoteur japonais.

Rei : Alors, on a bien dormi ?

Léa : C'est toujours ma vaine de tomber sur des psychos en puissance.

Rei : Oh, ne dis pas ça.

Léa : Est ce que je vais finir comme la précédente ?

Rei : Non, enfin tant que tu reste sage et que tu réponds à mes désirs.

Rei s'approcha de Léa qui se recroquevilla, il lui toucha les jambes puis commença à se déshabiller. Elle ferma les yeux et tenta de penser à quelque chose de positive. Elle le sentit la foutre sur le sol et commencer à la pénétrer en criant des mots japonais. Elle espéra que le viol s'arrête rapidement.

Je comprends maintenant ce que Leonnya a ressenti à l'époque

Finalement l'acte sexuel se termina et les deux se rhabillèrent.

Rei : Bon ce soir je t'apporte à manger et on recommencer demain, à plus.

Rei s'en alla et Léa reste seule dans son coin, encore traumatisée par ce qui venait de lui arriver.

Cela faisait 1 semaine que Léa subissait le même sort chaque jour, elle désespérait et essayait de réfléchir à un plan, elle eut alors une idée horrible dans la tête. Elle arracha un os au corps sans vie de la précédente et elle le cassa en deux pour avoir un bout avec une pointe et elle le garda de coté pour le moment venu. Il était temps de rompre ce cycle interminable. Rei vint finalement comme à son habitude et s'approcha de Léa qui était recroqueviller, avant de se foutre à poil. Mais au moment de la poser sur le sol, celle ci sortit l'os pointu et poignarda Rei dans le torse, ce dernier fut très surprit et versa des larmes.

Rei : Moi qui pensait que tu n'étais pas comme....les autres...

Rei tomba en arrière, visiblement décédé, toujours avec l'os enfoncé dans le torse. Léa se leva en vitesse et monta l'échelle pour finir dans le salon de la maison de Rei. Elle fouilla le coin et trouva finalement son Desert Eagle, chargeur plein, sur la table du salon. Elle regarda ensuite par le fenêtre, elle était malheureusement toujours dans cette foutue forêt mais les nuages étaient étrangement rouges. Soudain elle vit Rei, toujours vivant, venir de la cuisine, une hache dans la main.

Rei : Shinu ! Bitchi ! (Crève ! Salope !)

Léa se mit à s’enfuir à toute jambe et prit la première porte qui lui vint, c'était heureusement la porte d'entré. Elle se retrouva dehors avec ses vêtements en lambeaux et déchirés, il n'y avait pas âme qui vive dans le coin, elle cria à l'aide, aucune réponse. Elle se tourna alors vers Rei qui sortit de la maison et le braqua avec son magnum.

Léa : Crève connard.

Elle lui tira 5 balles dans le torse, il tomba au sol raide mort, mais elle s'approcha et lui vida le reste du chargeur dans le corps pour être sur qu'il soit mort. Elle pouvait enfin respirait et elle hurla de joie tellement elle était heureuse que ce cauchemar soit enfin finir, ce qui effraya au passage les corbeaux aux alentours. Il commença alors à pleuvoir, mais la pluie était rouge comme du sang mais Léa goutta, ce n'était pas du sang mais vraiment de l'eau rouge.

C'est quoi encore ces conneries ?

L'eau rouge soigna ses plaies, ce qui lui fit un bien fous. Ces yeux se rivèrent vers le cadavre qui se mit à se bouger et a se relevait, il prit une teinte bleu et ses yeux étaient devenues blancs. Rei reprit sa hache et ricana avant de prendre la parole avec une voix déformé.

Rei : Watashi wa anata o korosanakereba naranai ! (Je dois te tuer !)

Léa prit ses jambes à son cou et s'en alla en courant dans la forêt tandis qu'elle était éclairé par la lumière rouge des nuages. Son poursuivant ne la lâcha point et elle espéra trouver de l'aide.