[FIC] Raccoon City 2025 [Terminé]

L'équipe Echo écouta le dialogue entre Léon et Alexander Becker jusqu'au bout, ce dernier leur demanda de les suivre, il commença à s'avança quand il se retourna pour regarder l'équipe qui n'avançait pas.

Burt : Léon, Susan, Brice, Peter, Britney et Alan, suivez monsieur Becker jusqu'à son équipe et essayez de récolter l plus d'infos sur ce qui leur est arrivé. Samantha, Julius, Troy et Susuky, vous venez à moi, nous retournons à la surface pour appeler un hélico pour évacuer l'équipe Bravo du STARS.

L'équipe se divisa donc en deux, Burt et son groupe repartir en arrière pour retourner dehors. Sur le chemin, Burt exprima ses inquiétudes aux autres.

Burt : Bizarre, je ne pense pas que ce soit à cause des zombies ou des chauve souris que l'équipe Bravo se soit retrouver coincer ici. Il doit y avoir autre chose, de plus dangereux.

Susuky : Pas très rassurant tout ça.

Samantha : Je suis déjà en manque d'action.

Le groupe retourna à la surface, il virent alors les corps des 2 flics de tout à l'heure, disperser en morceaux tout autour et la voiture de police complétement amochée et renversée. Il y a avait eut un combat il y a peu, entre le moment où l'équipe Echo est entré puis sorti.

Troy : Effectivement vous aviez peut être vue juste capitaine.

Burt entendit alors des pas lourds s'approcher d'eux. Il vit ensuite une créature humanoïde affreuse sortir d'un coin de ruelle et commencer à s'approcher d'eux, elle était vêtu d'un manteau noir et elle mesurait plus de 2 mètres. Burt reconnu ce type de créature, c'était un Némésis.

Némésis : B.S.A.A. !

Burt : Je crois que nous allons avoir besoin de renforts, et vite.

L'équipe Echo se retrouva confronter à un adversaire de taille.

Léa regarda autour d'elle, plus aucun bruit, le vaisseau sembla avoir atterri, le Docteur s'approcha d'elle en souriant et la prit par la main.

Docteur : Nous y sommes, venez.

Le Doc accompagna Léa à l'extérieur du Tardis, Léa remarqua alors qu'il n'était plus au même endroit et pas le même jour. Ils se trouvaient à Strasbourg, la place Kleber, le jour du marché, le jour de la mort de Maxime Moulin. Ils avaient atterri devant la grande statue qui arborait la place. Le marché était bondé de monde et on pouvait s'y perdre facilement.

Léa : Incroyable, nous avons vraiment voyagé dans le temps.

Docteur : Hum, évitez de le crié sur tout les toits, les gens se sont pas obligés de savoir que nous venons du futur.

Léa : Bon maintenant, on fait quoi ?

Docteur : On attend, on attend le moment fatidique et vous vous intervenez en ouvrant le feu et en faisant ce que vous avez vue dans votre passé. Moi je n'était pas là donc je ne sais pas exactement comment cela s'est passé.

Léa et le Docteur patientèrent un petit peu. Soudain du raffut se fit entendre et une foule se rassembla dans un coin. Léa alla voir ce qui se passer toujours suivit par le doc. Elle entendit alors une voix qu'elle reconnu tout de suite.

Sarah : Il s'est passé quoi !? Je ne comprends rien, nous avons reculé dans le temps ?

Léa savait que c'était le bon moment, elle s'approcha de la scène et vit Sarah tenir l'envoyé d'Ultor dans ses mains. Elle braqua alors son arme sur cette dernière, en faisant bien attention à bien viser, et fit feu. Sarah fut touché à l'épaule et la foule se dispersa en criant et en courant, c'était la panique total. Léa essaya de rester bien concentrer sur sa prochaine cible, en évitant de toucher un passant innocent. Elle avait son père dans la ligne de mire, elle détourna alors le visage en pleurant et fit à nouveau feu. Elle regarda alors son père à nouveau et le vit sourire en voyant qui lui avait tiré dessus, elle partagea son sourire et rangea son arme. Léa regarda alors son double du passé qui l'a regardé et elles se croisèrent le regard. Léa repartit alors en direction du Tardis avec son ami coté d'elle qui était fier qu'elle ait réussit à réussir cette douloureuse épreuve. Ils entrèrent dans le vaisseau sans un mot, Léa partit s'assoir dans un coin et le docteur remit en route sa machine tout en criant quelques mots célèbres.

Docteur : Allons y Geronimo !

Le moteur se remit en route et ils quittèrent cette triste journée.

Le docteur avait ramené Léa à sa maison paumé dans les Vosges, il faisait maintenant complétement nuit, et la lune brillait de mille feu avec sa lueur jaune. Il était maintenant temps de faire les adieux.

Docteur : Bon ce fut un plaisir de vous rencontrer, Léa, le destin nous amènera peut être à de nouvelles rencontres, en attendant je vous souhaite de mener une belle vie et surtout de rester pas seule, allez voir ce qui reste de votre famille et faites la paix avec vos démons. Au revoir, chère Léa.

Léa : Au revoir, Docteur.

Le docteur rentra dans son Tardis qui se volatilisa sous les yeux de Léa peu de temps après. Elle était à la fois soulagé et aussi un peu triste que sa rencontre avec le Docteur fut si courte. Elle retourna à l'intérieur de la maison et alla chercher son téléphone. Elle regarda ses appels en absence, elle en avait 24 de sa mère, en effet elle ne l'avait plus vue n'y parlé depuis l'incident de Strasbourg. Prit de remord, Léa constatant qu'il y avait du réseau, téléphona à sa mère. Finalement celle ci décrocha.

Axelle (Téléphone) : Allo ?

Léa : Maman, c'est moi Léa.

Axelle (T) : Ma puce, enfin, ça fait quelque semaines que je tente de te joindre mais tu étais introuvable.

Léa : Je suis tellement désoler m'man, j'étais si triste, que j'ai coupé tout contact avec toi, pardonne moi.

Axelle (T) : Calme moi toi ma chérie, qu'est ce qui t'arrive ? Je ne t'ai jamais connu comme ça.

Léa : Désoler, c'est sur le coup de l'émotion, je vais bien.

Axelle (T) : Tu sais quoi ? Rejoins moi à la cathédrale de Strasbourg, une fois là bas, nous parlerons de tout ça, d'accord Léa ?

Léa : D'accord maman, à plus tard.

Axelle raccrocha et Léa se prépara alors pour se rendre à Strasbourg qui était quand même assez loin, Léa espérait que sa mère l'attendrait malgré le temps qu'elle risqué de mettre pour venir.

Burt avait écouté la réponse de Stive, il le regarda alors d'un air pesant avec la musique qui passait derrière, c'était Bohemian Rhapsody de Queen.

Burt : La réponde E ? Le suicide ? C'est votre dernier mot ?

Zlatan : Oui c'est mon dernier mot.

Burt : Merci Zlatan, a votre tour Wesker. En effet c'est la mauvaise réponse ! Bravo vous gagnez 36 000 000 000 000 000 000 coupons de cantines ! Prochaine question à la passe maintenant !

Le ton de l'ambiance du ton revint glauque (Oui, c'est n'importe quoi, en même temps comme tout ce RP ^^).

Burt : Quel est mon numéro de téléphone ?

-Réponse A : 478 897 147 0147

-Réponse D : 478 897 147 0147

-Réponse C : 478 897 147 0147

-Réponse B : 478 897 147 0147

Burt attendit la réponse de Wesker.

Burt se cacha derrière la voiture renverser pour se mettre à l'abri et élaborer une stratégie tandis que les autres s'occupaient du Némésis. Il reçut alors un appel radio de la part de Léon.

Léon (R) : Capitain, ici Léon, c'est Umbrella qui a fait le coup. Ils ont enlevé les trois seules femmes de l’équipe Bravo des S.T.A.R.S, le Capitaine Jewel Blake, l'Adjudant Amanda Morton et le soldat Eden Cohen. Il y a aussi des blessés, j'en compte quatre sur sept personnes présentes.

Burt : Bien reçut, nous on a de sérieux problèmes de notre coté, nous sommes tombé sur un Némésis, une créature très dangereuse, nous allons essayé de tenir le coup. En attendant essayez de découvrir où Umbrella a emmené les 3 femmes et pourquoi ils les ont enlevé. Nous nous recontacteront plus tard. Terminé.

Burt rangea son appareil et il observa ses soldats se débrouiller du mieux qu'ils pouvaient pour esquiver les coups du Némésis.

Burt : Bon ça pourrait être pire, il pourrait avoir un lance roquette ou une sulfateuse sur lui.

Burt sortit alors de sa cachette et visa avec précision l'arme destructrice d'Umbrella, il lui tira alors plusieurs fois dans la tête mais ça ne semblait presque rien lui faire. Némésis réussit alors à coller une mentale bien sentit à Troy qui fut brièvement distrait par quelque chose, le coup lui fit décrocher la mâchoire et l'envoya dans le décor. Il était bien évidemment KO suite à ce coup. Burt ne savait pas combien de temps ils allaient tenir.

Wesker : Moi je dirais la réponse ABCD parce que pinou et holt m'on sit quil etait perver et que trarer le perver etait le leader est quil avait la tenue de hunk.

Burt regarda Wesker dans le violet des yeux et se rasa la moustache pour moustache qui était le plus fort dans cette salle. Au final Burt fit des claquettes avant de faire un triple salto arrière assit, pour annoncer la réponse.

Burt : Et c'est..........Mon Big Mac dans un frigo !

Une trappe s'ouvrit sous le siège de Wesker qui tomba dans le 7ème enfer.

Burt arriva à son tour dans le 7ème cercle pour parler à Wesker.

Burt : Mon fils, prend cette arme et part tuer les infidèles comme au bon vieux temps.

Burt tendit une fourchette à Wesker qui l'a prit.

Burt : Maintenant suis ton instinct et n'oublie pas le pain quand tu reviendras.

Burt laissa Wesker partir pour exécuter sa longue et douloureuse mission.

Léa était dans sa voiture, elle avait allumé son autoradio et mit une station de radio pour écouter les divers infos du moments. Elles dut prendre des détours pour arriver à la cathédrale car plusieurs routes étaient en travaux suite aux dégâts causer lors de l’incident de Strasbourg il y a peu de temps. Finalement elle réussit à l'atteindre et elle se gara devant l'immense bâtiment religieux. Léa se dépêcha d'entrer dans la battisse, il se faisait tard donc il n'y avait personne, sauf Axelle Moulin qui attendait au milieu de la grande salle. Léa se rappela alors des différentes aventures qu'elle avait lut dans le journal de son père et qui concernaient ce dernier. Il avait affronté Umbrella ici et avait faillit perdre un ami, Albator Twis. Son père avait même faillit perdre la vie contre ce Albator que Léa n'eut jamais la chance de rencontrer, ça avait l'air d'un type bien d'après ce qu'avait marqué Maxime. Léa sortit de ses pensées et alla voir sa mère avant de prendre dans ses bras cette dernière qui était surprise de cette réaction.

Axelle : Léa calme toi, on dirait que tu viens de voir un revenant.

Léa : Désoler m'man, je suis tellement contente de te voir.

Axelle : Allons, mon sucre d'orge, tant fait pas. Plus rien ne nous séparera....Enfin je l'espère.

Léa relâcha alors sa mère et posa un regard inquiet sur cette dernière.

Léa : Comment ça ? Qu'est ce qui pourrait nous séparer ?

Axelle : Hé bien.....Fuis Léa ! C'est un piège !

Soudain un faisceau énergique bleu fut tirer en direction de Axelle, ça semblait être du plasma électrique, qui mourut sur le coup, laissant transparaitre son squelette pendant 2 secondes. Léa rattrapa le corps de sa défunte mère et versa alors plusieurs larmes sur elle. Plusieurs créatures sortirent de la pénombres pour s'approcher de Léa. C'était des Daleks, une race extraterrestre mutante cyborg. Ces derniers s'approchèrent de Léa qui était furieuse envers eux.

Léa : Pourquoi !? Pourquoi vous l'avez tué !?

Dalek 1 : Cette humaine primitif ne nous était plus d'aucune utilité maintenant que vous êtes là.

Léa : Que me voulez vous !?

Dalek 2 : Nous savons que vous avez rencontré le Docteur, notre ennemi juré, et maintenant vous allez l’amener à nous.

Léa : Mais comment !?

Dalek 1 : Patientez !

Léa resta alors là, tenant le cadavre de sa mère tandis que les Daleks surveiller de près leur otage, en attendant l'arriver du Doctor à qui, ils avaient envoyé un message.

Léa était toujours attristé d'assisté au meurtre de sa mère de la part des aliens. Ces derniers étaient toujours entrain de la surveiller en attendant l'arriver du Docteur. Soudain al porte d’entrée s’ouvrit et deux hommes entrèrent dans la cathédrale. C'était le Docteur accompagné d'un évêque.

Évêque : Oh mon dieu, j'avais raison, il se passait bien quelque chose de bizarre dans ma cathédrale.

Dalek 1 : Identifiez vous !

Évêque : Je suis qu'un simple évêque, ne tirez pas, Dieu vous acceptera vous aussi au paradis.

Dalek 1 : Exterminé !

L'un des Daleks tua l'évêque avec son rayon de la mort, le Docteur de son coté s'approcha de Léa, se faisant alors encercler par les Daleks.

Dalek 2 : Docteur, vous êtes fichu !

Docteur : Ah c'est ce que vous croyez ! Mais j'ai plus d'un tour dans mon sac !

Léa : Vous avez un plan, Docteur ?

Docteur : Non, mais j'en trouverais un, et je vous détruirais encore. Vous ! Daleks !

Dalek 3 : Taisez vous !

Les Daleks étaient près à faire mouche mais du bruit attira leur attention, on aurait dit les moteurs d'un hélicoptère venant de l'extérieur. C'est alors que plusieurs soldats d'Umbrella arrivèrent par l'entrée arrière et se mirent à leur tour à encercler les Daleks. A l'étage aussi se trouvait quelque sniper d'Umbrella. Leur chef arriva à son tour et prit la parole.

Chef : Ne bougez pl......Bordel de merde ! C'est quoi ces boites de conserves !?

Dalek 1 : C'est un piège !

Dalek 2 : Exterminé !

Les Daleks ouvrirent le feu sur les soldats d'Umbrella qui tentèrent de lutter contre la race extraterrestre bien plus forte qu'eux. Léa et le Docteur profitèrent de la confusion pour s'enfuir de la cathédrale par l'entrée principale, laissant les deux camps s'affronter. Le Docteur mena sa compagne dans son Tardis garé non loin d'ici et ils s'envolèrent ailleurs, à une autre date pour éviter que les Daleks ne les suivent.

Léa était très triste d'avoir perdu sa mère, peu de temps après la perte de son père. Elle était maintenant seule, elle devait se débrouiller comme une grande face aux terribles danger se trouvant un peu partout dans le monde. Le Docteur s'approcha d'elle pour la consoler.

Docteur : Si ça peut vous rassurer, elle n'a pas soufferte, les tirs de Daleks tuent instantanément tout ceux qui sont touchés.

Léa : Qu'est ce que je vais devenir ?

Docteur : Oh vous êtes majeur, vous avez toute une vie devant vous. Profitez de cette vie.

Léa : Où sommes nous ?

Docteur : La gare de Strasbourg, on est le lendemain matin, les Daleks doivent déjà être parti depuis un moment.

Léa : Merci en tout cas de m'avoir sauvé la vie, sans vous je serais morte. Allez au revoir monsieur le voyageur du temps.

Docteur : Au revoir Léa, je suis sur que nous nous reverrons un jour.

Léa : Je l'espère aussi, dans de meilleur conditions.

Léa sortit du Tardis pour se retrouver dans l'immense gare qui était étrangement déserte, elle regarda le Tardis partir puis elle regarda aux alentours pour trouver le sortie. C'est alors qu'elle vit des soldats habillait en noir avec béret rouge s'approchait d'elle en trottinant, le logo des nations unis était clairement présent sur leur uniformes. Léa les avait reconnu, c'est UNIT, sa mère bossait chez eux quand elle était encore vivante. Ces soldats l'entourèrent mais curieusement ils ne braquèrent pas d'armes sur elle, elle vit alors une personne sortir du lot, elle ne possédait pas l'uniforme standard. Ce devait être un colonel, ce dernier s'approcha alors de Léa et lui serra la main.

Mouchard : Colonel Mouchard pour vous servir, je suis très heureux de vous rencontrer, Léa Moulin, veuillez nous suivre jusqu'à notre campement.

Léa suivit alors le Colonel et ses gars jusqu'au campement.

Le colonel Mouchard avait conduit Léa a une espèce de salle d'interrogatoire, il l'invita à s'assoir, il alla alors s'assoir devant elle pour lui parler.

Mouchard : Nous voudrions vous poser quelque questions sur le Docteur, nous savons que vous l'avez rencontré, pourquoi est-il venu vous voir.

Léa : Pour corriger une connerie que j'avais faites. Et sinon comment s'est finit le combat à la cathédrale ?

Mouchard : Mal, quand nous sommes arrivé, tous les soldats d'Umbrella étaient morts et les Daleks étaient déjà partit.

Léa : Mince, vous n'auriez pas une arme à me filer ? Au cas où si ils essayaient se s'en prendre à moi.

Mouchard : Oui mais seuls nos gars peuvent y toucher à ces armes, bon sinon...

Avant que le colonel ne puisse continuer sa phrase, une jeune femme vêtue d'une tenue noir entra dans la salle et s'approcha de Léa en montrant sa carte au colonel.

Sandrine : Sandrine Depau, d'Interpol, nous venons chercher Léa Moulin.

Mouchard : Mais nous n'avons pas terminé notre conversation.

Sandrine : Tant pis, allez Mme Moulin, venez avec moi.

Léa, complètement paumé décida de suivre la femme jusqu'à l'extérieur du campement où se trouvait une limousine.

C'était le jour de l'enterrement de Axelle Moulin, Léa y était bien évidemment. Il y avait peu de monde à l'enterrement, enfaite il n'y avait que Seji, Alain, Léa, le fossoyeur et les 2 flics chargés de surveiller Léa, ces derniers étaient d'ailleurs postés à coté d'un arbre non loin de là pour veiller sur Léa. Au final après le discours de Léa en l'honneur de sa mère, Seji et Alain partirent pour retrouver leur enfant à la maison. Le fossoyeur de son coté s'en alla on ne sait où laissant Léa entrain de verser des larmes sur la tombe de sa maman. Le temps était gris, quel comble ! Léa se remémora les doux souvenirs de sa mère et regretta de l'avoir laissé de coté les quelques temps avant sa mort. Léa sentit une drôle de présence non loin d'elle, comme si elle était surveiller par une force maléfique. Elle regarda l'arbre où devait se trouvait ses gardiens mais ils n'y étaient plus, à la place se trouvait une statue d'un ange tenant son visage dans ses mains, comme si il pleurait. Léa commença alors à s'inquiéter.

D'où elle sort cette statue !? Elle n'était pas là quand je suis venu et où sont passés les flics !?

Léa regarda la tombe de sa mère quelque seconde avant de regarder à nouveau la statue, qui s'était mystérieusement rapprocher.

OK, là j'ai peur.

Léa commença alors à courir vers l’entrée du cimetière, le plus rapidement possible, elle regarda de temps en temps derrière pour constater que la statue la suivait. Elle arriva finalement devant la grille menant au parking, elle l'ouvrit et la referma derrière elle pour bloquer la statue temporairement. Elle regarda ensuite où se trouvait sa voiture et s'y rendit rapidement, c'est alors qu’une voix l'interpella, elle s'arrêta de courir et se retourna pour remarquer que c'était le fossoyeur qui l'appelait.

Fossoyeur : Tout va bien madame ? Vous avez l'air paniqué.

Léa : Appelez la police tout de suite !

Malheureusement le fossoyeur se volatilisa devant Léa, elle vit alors l'ange pleureur se trouvant à l'endroit où se trouvait le fossoyeur. La statue pointait Léa du doigt, et son visage était effrayant, on dirait vraiment qu'elle était vivante, cette statue. Léa recula alors tout en fixant l'ange sans cligner des yeux. Quand elle sentit le contact de sa voiture, elle utilisa la clé et entra à tout vitesse dans le véhicule. Elle mit la clé sur le contact et la tourna, la voiture démarra. Elle tourna la tête vers la gauche et remarqua l'ange juste à l'extérieur, toujours avec son visage horrible et faisant peur.

Léa : Désoler mais c'est pas aujourd'hui qu'une vulgaire statue démoniaque aura ma peau.

Léa recula la voiture et fonça sur l'ange qui fut propulser par la caisse contre le mur. Malheureusement la statue resta intact malgré le choc qu'elle venait de subir. Léa ne voulut pas réfléchi d'avantage et jugea bon qu'il était temps de se barrer. Elle quitta la zone au volant de sa belle bagnole tandis que l'ange pleureur abandonna la chasse de sa proie.

Burt était retourné se cacher derrière la carcasse de voiture pour appeler le QG.

Burt : QG ? Ici Echo Leader, nous avons besoin de renforts de tout urgence !

QG (R) : Ici QG, que ce passe t-il !?

Burt : Nous sommes tombé sur un Nemesis, il a déjà tué au moins 2 personnes, il nous faut des renforts.

QG (R) : OK, nous allons voir ce que nous pouvons faire, tenez le coup Burt.

Burt rangea sa radio et sortit de sa cachette, il se rendit alors compte que tous ces amis étaient KO et que le Nemesis était entrain de le regarder avec un regard a glacer le sang. Burt pria pour sa survie. Soudain le Nemesis se prit une rafale de balles explosif dans la nuque, ce qui le mit KO quasi instantanément, mais il n'était toujours pas mort. Le Capitaine Wilson regarda d'où provenait le tir et vit une mystérieuse personne sortir de sa cachette. Le sauveur alla voir Burt pour faire plus ample connaissance avec celui ci.

Agrid : Agrid Crunnigan, enchanté de vous connaitre capitaine Wilson ?

Burt : Comment vous me connaissez ?

Agrid : Pas le temps à la convers, vous devez retourner dans ces tunnels avec moi, vos gars courent un grave danger.

Burt : Je ne vais pas abandonner ceux qui sont là et qui dans les pommes.

Agrid : Ils ne craignent rien, maintenant suivez moi avant que la balle au bois dormant se réveille.

Burt n'eut d'autre choix que de suivre cet étrange personne dans les tunnels obscures.

Burt et Agrid arrivèrent sans problèmes aux survivants, ces derniers se tournèrent vers Léon.

Léon : Capitaine.

Burt voulut prendre la parole mais c'est Crunnigan qui fut le plus rapide.

Agrid : Agrid Crunnigan, je bosse pour la NSA, je vous prie de quitter cet endroit immédiatement, c'est pour votre sécurité.

Agrid remarqua alors la présence de Léon.

Agrid : Léon S Kennedy ? Ma sœur m'a temps parlé de vous, enchanté de vous connaitre. Bon maintenant suivez moi jusqu'à la sortie.

Burt : Mais qu'est ce que vous racontez !? Nous ne pouvons pas abandonné les personnes qui ont été enlevés par Umbrella.

Agrid : Je suis désolé mais c'est trop tard, le gouvernement américain va envoyer les Marines d'ici moins d'une heure pour détruire ce tunnel et éviter que toute infection s'en échappe.

Burt : Hé mais c'était pas dans l'accord passé avec le BSAA, ça !

Agrid : Hé c’est pas moi qui tire les commandes, on m’envoie juste vous prévenir, maintenant je vais me barrer avant que ce tunnel soit exploser, qui veulent survivre me suive.

Agrid se tira alors de la pièce pour remonter le tunnel tandis que Burt se tourna vers les autres.

Burt : Bon, nous faisons quoi maintenant ?

Burt espéra avoir une réponse d'une des personnes du groupe.

Burt avait écouté l'avis des personnes présentes dans la pièce et il était entrain de réfléchir à un plan.

Burt : Bordel....2 Nemesis, rien qu'une seule de ces créatures à réussit à foutre KO tous ceux qui étaient avec moi dehors. Alors 2, on y risque notre peau.

Susan : Capitaine, écoutez !

Tout le monde se tue pendant quelque secondes, on pouvait entendre un écho, ce qui semblait être un cri de détresse résonnant dans l'un des tunnel avoisinant la pièce où ils se trouvaient.

Brice : C'est surement les femmes disparues, faut voir d'où vient l'écho.

C'est alors qu'un autre cri fut entendu, mais celui ci venait du tunnel que Crunnigan avait emprunté pour rejoindre la sortie. Le groupe vit alors se dernier revenir en courant, et débordant de sueurs.

Agrid : Oh bordel, le Nemesis est réveillé et il m'a prit en chasse, je n'ai pas pu le contourner.

Burt : Bon les hommes de l'équipe Bravo encore en forme, vous allez rester avec moi et Crunnigan pour protéger les blessés du Nemesis. Susan, tu dirige mon équipe dans le tunnel d'où venait l'écho. Allez, on se sépare !

Le groupe se sépara en deux pour mener à bien deux objectifs, au péril de leur vies.