[RP] Le Mystérieux Etranger au Clair de Lune [Terminé]

Au 1st Precinct de la NYPD, une réunion privée avaient lieu dans une salle de réunion au 1er étage de cette station de police où 6 individus des forces de l'ordre se trouvaient, dont 1 du milieu fédéral. C'était l'Agent Dennis Abbott du FBI, normalement basé à Houston au Texas, mais qui a été envoyé aussi loin de son territoire pour diriger les opérations concernant le mystérieux Etranger. C'est lui aussi qui commandait les autres sous la direction de la Homeland Security à Boston.
Il avait réunion en ce début de soirée, alors que le ciel passait à l'orange, les 4 meilleurs éléments de la NYPD qui étaient actuellement disponibles, donc pas tous sont présents, notamment Misty Knight qui est en vacance, mais ceux dispos le sont.
Dans les 4 présents, nous avons le Detective Oscar Clemons du Bureau des Narcotiques du 7th Precinct au Lower East Side qui un vieux dans le métier, même si n'a jamais pu vraiment monter en grade, en même temps c'est surement l'un de moins corrompus en ville qui veut toujours faire son boulot comme il le faut, quitte à l'attirer les foudres de ses collègues.
Nous avons aussi le Sergent Brett Mahoney du Bureau des Homicides du 15th Precinct à Hell's Kitchen qui s'entend bien avec tout le monde et qui a déjà eu l'occasion de collaborer avec tous ses collègues présent dans la pièce au moins sur 1 affaire. Celui qu'il connait le plus c'est Clemons, ils sont tous les deux plutôt sarcastiques, même si Oscar est plus sérieux et cynique que Brett qui canalise son sarcasme dans de l'humour.
Après ça, vint au tour de Martin Soap du Bureau des Gangs du 24th Precinct à Manhattan Valley, plutôt maladroit, il fut pendant dirigeant d'une Team Spéciale pour capturer le Punisher dont il était le seul membre au passage. La quasi-totalité des bons flics étant du coté du Frank Castle, hormis Clemons par exemple qui craint que ce justicier puisse se mettre à tuer des innocents un jour.
Pour finir, il y avait le Captain Strieber du Bureau de Contre-terrorisme qui était celui dans le lot qui connaissait le mieux les deux individus dont on allait parler car il a des dossiers sur eux dans le cadre de son job.
L'Agent du FBI était épaulé par l'Inspectrice Priscilla Ridley qui était en charge de cette station de police et qui était celle qui avait demandé à tout ce beau monde de venir dans ces locaux afin du discuter du cas de Ling, le célèbre cyberbioterroriste.
Maintenant que tous étaient présentés, le show pouvait débuter.

Dennis : Si je vous ai tous réuni ce soir par le biais de l'Inspectrice Ridley, c'est pour parler de l'Individu surnommé Ling dont vous devez avoir entendu parlé.

Oscar : Excusez moi ?

Dennis : Oui Detective... ?

Oscar : Clemons. Pourquoi somme nous là ? Ling est certes un dangereux individu, mais il n'a fait aucune victime à New York pour l'instant, contrairement à celui que les médias considèrent comme son rival, le mystérieux Etranger plus si mystérieux que ça, et que je crois, vous protégez.

Dennis : C'est exact mais Monsieur Poitou n'est pas le sujet d'aujourd'hui, i la la Protection de notre gouvernement, et le Président lui même veut faire en sorte que ses ennemis ne l'atteignent pas.

Martin : Mais comme le disait Ozzy, pour quoi nous ?

Oscar : C'est très simple.

Brett : Ils planquent l'Etranger à New York ?

Oscar : Bingo.

Dennis : Ecoutez, là, c'est de Ling que l'on parle, nous devons nous en occuper en priorité, mais pour se faire nous avons besoin des meilleurs éléments de cette Police pour pouvoir coincer les hommes travaillant et pour Ling et nous permettre de l'arrêter.

Oscar : Je crois que vous vous êtes planté de personnes, si voulez couvrir un pourri d'un autre pourri, faut demander aux Detectives Blake & White, nous on arrête les pourris. Donc tant que le Mystérieux Etranger n'est pas arrêté, je ne le protégerai de rien car je le considère comme en liberté et donc une menace pour les citoyens de cette ville.

Brett : Je suis d'accord avec toi.

Oscar : Sur ce, si ça ne vous dérange pas, j'ai d'autres à chats à m'occuper.

Brett : Pareil.

Les deux hommes se levèrent et quittèrent la pièce, réduisant le nombre de moitié.

Priscilla : Je vous l'avais dit.

Dennis : Et vous, vous comptez être aussi peu coopératif.

Strieber : Je soutiens ceux qui viennent de partir au sujet du fait que Gill Poitou en liberté, ça ne me plait pas, mais ne rien faire au sujet de Ling, ne me plaît pas non plus. Donc si je peux en mettre un derrière les barreaux, c’est mieux que rien.

Martin : Et puis Ling est plus dangereux que l'autre criminel de mon point de vu, ça doit être la priorité.

Dennis : Bien, je suis content qu'on avance enfin dans le dialogue.

Priscilla : Je vous laisse faire le reste.

Alors que tout semblait de calmer dans l'enceinte du lieu de loi, à l'autre bout d'un fils invisible, quelqu'un écoutait la conversation en silence, assis du coté passager d’une voiture à l'arrêt. C'était Frank Castla, alias le Punisher, l'homme qui aimer nettoyer les rues à sa manière et qui avait des alliées dans la Police.
Au volant se trouvait Claire Redfield qui écoutait Envole-moi de Jean-Jacques Goldman grâce à une cassette de l'autoradio dont Gilbert Montagné avait soigneusement choisi les chansons dessus. On peut dire qu’elle accrochait sur ces artistes qu'elle ne connaissait pas auparavant.
Sur la banquette arrière, une silhouette aux yeux dorés termina de fumer sa clope et jeta le mégot par la fenêtre, avant de profiter de l'air plutôt frais du dehors malgré la période de l'année où il faisait très chaud.
Finalement, après plusieurs minutes de d'écouter, celui possédant un crane de mort sur son tee-shirt, rangea son matériel d'écoute puis s'adresser aux autres de façon claire, distincte et précise.

Frank : On a toutes les infos, allons au point de rendez vous.

A ces mots, Claire appuya sur l'accélérateur pour partir d'ici au plus vite.

Assises sur un banc du Bryant Park où des enfants et chiens jouaient entre eux, et où les pigeons mangeaient le pain des vieux, se trouvaient Lucy Dodgera et Ailein Bartley qui était actuellement dans le corps d'Ophelia Sarkissian la copine de la première.
Silver Shroud était aussi dans le coin, s'occupant de faire le guet dans le cas où ils seraient repérés, et donc il n'était pas visible pour l'instant. Les laissant toutes les deux entre elles.
Celle qui avait le béguin pour Holt Valentine sentait que le courant ne passait pas avec la mercenaire qui l'avait dévisagé depuis qu'elle était là, surement dû au fait qu'Ailein avait volé le corps de sa Ophelia. Ça n'a pas de quoi la rendre joyeuse.
Toutefois, notre héroïne avait bon cœur et voulait tenter de la rassure, histoire de calmer les tensions qu'il pouvait y avoir.

Ailein : Je te promet que dés que je peux avoir mon propre corps, Ophelia te reviendra. Même si ça ne sera pas simple, il faut d'abord que je remette les pièces du puzzle dans l'ordre avec l'aide de Holt.

C'était dit, maintenant elle attendit de voir si Lucy avait quelque chose à y répondre ou pas.

L'Hôte du Darkness résidait au 40 Wall Street avec sa compagne Jenny Romano, où se succédaient aussi pour le garder ses hommes de mains, notamment les plus fidèles. Les autres, ils les laissaient s'occuper de garder son territoire si l'on peut dire.
Sa famille à Jackie était l'une des plus anciennes encore debout dans cette ville éclairée, mais il ne s'en vantait pas, et c'était seulement parce qu'il n'avait pas de meilleur choix de job, qu'il gardait celui de Parrain de la Pègre. Il était aussi l'un de ceux pour qui Wilson Fisk, l’arbitre des mafieux, appréciait le plus, il faut dire que l'Imperturbable Estacado contribuait beaucoup à la stabilité de la criminalité récente à New York.
D'ailleurs, tant qu'on parle de leur relation, le Caid avait demandé à le rencontrer ce soir et ils avaient organisé un rendez vous à l'appartement de luxe de l'italien vers 18 heures. Jackie en informa sa compagne qui se prépara pour accueillir les invités et surtout à s'attendre à ne pas voir son copain de la soirée. Elle espérait pouvoir l'accompagner sur cette mission.
L'heure venue, le grand chauve fut à l'heure, il arriva de l'ascenseur accompagné de son fidèle bras droit, James Wesley, et de son meilleur garde du corps, Francis. L'un des homme de mains du Darkness, Vinnie, s'occupa de prendre leur vestes tandis que les hôtes de mains descendaient l'escalier principale de la maison.
Après un serrage de main et quelques bises à l'européenne, on put parler sérieusement.

Wilson : Cet endroit est toujours aussi bien entretenu à ce que je vois.

Jackie : Il le faut, pour impressionner ceux qui viennent.

James : Est ce que vous avez une idée de pourquoi Monsieur Fisk a demandé à vous voir ?

Jackie : Peut être à cause de cette rumeur au sujet d'un Mystérieux Etranger qui serait caché en ville. Les rues sont méchamment agités depuis.

Jenny : Même quelqu'un comme le Punisher pourrait se retrouver déborder.

James : Je vois que nous n'aurons pas besoin de nous perdre dans les explications.

Wilson : Messieurs Gill Poitou et Ling se jouent à un jeu qui n'a pas sa place dans cette ville. Surtout que j'ai récemment annoncé ma décision de vouloir devenir Maire de la ville, ce donc une bonne chose de les voir disparaître avant que je prenne officiellement la tête de la ville.

Jackie : Je dois juste les éliminer eux deux c'est donc ça ?

Wilson : Oui, sans victimes innocentes et de façon discrète.

James : Pour quelqu'un qui se fait surnommé le Darkness, ça devrait plutôt facile.

Jackie : C'est dans mes cordes en effet.

Jenny : Pourrais aussi être de la partie ?

Wilson : Il y a assez de cibles pour cela, bien sûr.

Jackie : Maintenant que ça c'est dit, voulez vous manger quelque chose avant de repartir ?

Wilson : Pourquoi pas, j'ai une faim de loup.

Jenny : C'est par là.

Le Darkness et l'Angelus les accompagnèrent jusqu'à la salle à manger, car c'est toujours bien de manger un peu avant de partir tuer des vilaines personnes.

Ailein : Je te promet que dés que je peux avoir mon propre corps, Ophelia te reviendra. Même si ça ne sera pas simple, il faut d'abord que je remette les pièces du puzzle dans l'ordre avec l'aide de Holt.

Lucy: Ouais ta intérêt de regagner ton propre corps et vite, sinon je me demande ce que fout la personne dont Holt ma parler, sa fais au moins 20 bonne minute que long attends son arriver

Ailein était plutôt surprise par la remarque de Lucy.

Ailein : C'est trois personnes que nous attendons, et ils ne devraient plus tarder.

Elle tenta alors de repérer Silver Shroud, en vain. Il s'était bien caché.

Ailein : Je trouve ce Silver bizarre, surtout ça façon de parler. Elle le rend pas du tout crédible je trouve, après ce n'est que mon avis.

Un soupir sortit de sa bouche, et encore, elle n'avaient pas vu les trois autres personnes envoyées par Holt.

Lucy rigola a cette remarque,

Lucy:Je pense que ce type a du trop regarde de film des police des années 30 et a voulu refaire pareil

Comme dit le proverbe" quand on parle du loup en en vois la queue" Silver apparu comme par magie accompagner jusqu'à nos deux femme, pui il retouna a sa cahcette sans dire ou elle etat car Lucy et aILIEN NE SVAIS MEME PAS

L'un des trois homme pris ensuite la parole

???: Bonjour je me nomme Henri voici David et Jean-Postal

David : Bonjour

Jean-Postal: LAlilolu

Henri: Nous sommes les trois personne qui vont vous aides pour coincer le mysterieux etranger, mais d'habord nous devon nous assurer que le lieux es sur

Ailein était surprise de ces trois personnes, elle s'était attendu à quelque chose de différent.

Ailein : Je ne sais pas, il y a peut être un peu trop de monde, on pourrait aller ailleurs pour discuter.

Tout le monde semblait d'accord pour ça et ils se rendirent donc un lieu avoisinant où ils pourraient parler en sûreté.

Un van noir s'arrêta devant le Bryant Park où il y avait déjà pas mal de monde.
Deux flics faisaient leur ronde en mangeant des hot dogs, l'un ayant versé un peu de ketchup sur son uniforme comme un gros sale et l'autre qui avait chaud et qui se ventilait avec sa casquette.
Un couple était installé sur un banc en train de s'embrasser à la française, le mec prenait les cuisses de la dame qui elle lui prenait son cul. Mais est ce que tout ça allait durer ? Pas sûr.
Il y avait aussi une jeune maman avec un landau, en train de causer à son bébé en l’abritant du soleil qui tapait dur, même en ce début de soirée. Heureusement, il ne sera bientôt plus là.
Aucun signe de crapules ou d'individus dangereux, Castle fit signe à Claire qui était au volant qu'elle pouvait arrêter le moteur et qu'ils pouvaient sortir, le tout ne un regard.
Heureusement que son frère Chris lui avait appris ce genre de signe, sinon elle n'aurait pas été dans la merde;
Le troisième passager resta à l'arrière pour s'allumer à nouveau une clope car il attendait que celui qui était chargé de faire le guet vienne les chercher pour les mener aux autres. C'était ce qui était stipulé dans le message de Holt Valentine.
Frank fut le premier à sortir, toujours avec son crane de mort en guise d’écusson sur son tee-shirt blindé et avec son manteau en cuir qui lui donnait un look cool et reconnaissable face à ses ennemis. C'était aussi pratique et confortable.
A peine il eut quitté son véhicule qu'il attira le regard des deux policier qui passèrent juste devant à ce moment là et qui comme tous les flics de New York le connaissaient bien. En effet, c'était à New York que le Punisher avait commencé sa Guerre contre le Crime, ce qui faisait qu'il était très populaire chez la Police car il faisait ce que eux ne pouvaient pas faire.

Policier Sale : Hey Castle, tu viens encore chasser de la vermine ?

Policer Propre : Si t'as besoin de nous, on ne sera pas loin.

Frank : J'y penserai, bon appétit.

Ceci fait, Claire qui était sortie de son coté, vint le rejoindre.
Ensemble, ils cherchèrent l'ami de Holt qui se nommait Silver Shroud d'après son message et qui ne devrait pas être loin.
Il fallait l'espérer. Pourtant une mauvaise intuition vint perturber notre vétéran au sang chaud.

Frank : Quelque chose ne va pas, va prendre ton arme et protège le véhicule avec le Synthétique, je pars en éclaireur.

Claire : OK, j'espère juste que tu as tort.

Il s'avança le long de l'allée en gardant un FN TPS sous le manteau pour se défendre en cas d'attaque surprise.
Il n'est pas assez con pour y aller sans être armé.

Silver qui était retourner a sa cachette observer les alentour et les suivait furtivement pendant que les groupe composer de Lucy ailein et des trois homme aller dans un coin plus tranquille es surtout ou il y avait moins de monde mais assez proche des environ au cas( je te laisse trouver l'endroit ^^) l'un des trois homme Jean-Postal sembler ne pas être a l'aise il regardait partout autour de lui es ce plusieurs fois, comme si il ce savait qu'il étaient suivie par quelqu'un qui voulait les tuer, lui et ses deux compère, les deux autre homme tenter de le rassurer mais rien n'y fessait, il n'y arrivait, et tout ce qu'il voulais c'etait de dire ce qu'il avait a dire et partir au plus vite

Ailein, Lucy et les trois drôles de zigotos se rendirent à un endroit où ils pouvaient être tranquille pour discuter et finalement ils avaient choisi les toilettes publics, plus précisément celles des filles.
Une fois dedans, David bloqua la porte avec une serpillère tandis que Jean-Postal commençait à être pas à l'aise du tout, ce qui rendait méfiante la femme du BSAA qui les trouvaient louches du premier coup d’œil.
Ses deux potes tentèrent de le rassurer du mieux qu'ils pouvaient mais pour le moment ils n'y arrivaient pas.
Ça laissa le temps aux deux filles d'avoir un petit échange, le tout de façon discrète.

Ailein : Si ils tentent quoi que ce soit, on les tue.

Voilà ce fut courtm ais au moins net et cash.
Finalement l'homme ua nom le plus pourri des droits avait enfin réussi à se calmer et il jeta alors son regard vers Lucy avec quelques intentions derrière son regard qui étaient soit mauvaises soit bonnes, c'était pas clair.
Il s'approcha et s'arrêta à 1 mètre d'elle avant de sortir une figurine tiré de Star Wars de son dos.

Jean-Postal : Lucy j'ai enfin réparé ta figurine d'Han Solo que tu avais cassé quand on était tous les deux au lycée.

Son regard passa alors à l'inquiétude assez rapidement.

Jean-Postal : Tu te rappelles de moi au moins ? Jean-Postal, le petit gros avec son pote Henri l'asthmatique et David le myope qui se cognait partout.

Henri : Ouais c'est nous ça.

David : Qui !? Je vois rien !

Plus de peur que de mal, même si Ailein avait tout de même une question à poser.

Ailein : Comment vous avez su pour le Mystérieux Etranger et les personnes qu'on attendait ?

Jean-Postal : Oh c'est un drôle de type, un certain Ling qui m'a dit que tu serais là Lucy et qui nous a dit qu'avec cette histoire, j'étais sûr de pouvoir t'aborder sans crainte.

Ailein : Oh oh...

Ça sentait le roussi cette homme et les cris à l'extérieur des chiottes n'aidaient pas non plus.
Pendant ce temps dans un petit appart dans le quartier italien du Bronx, Gill Poitou habitait ici sous la protection du FBI depuis qu'il avait passé un accord mais le problème c'est que ça commençait à savoir de ses ennemis et surtout du dénommé Ling.
C'est pour ça que Dennis Abbott informa ses deux agents sur place qu'il allait falloir faire bouger le VIP et qu'un agent du nom de Reede Smith serait envoyé sur place pour les accompagner à une nouvelle planque, plus dans le New Jersey.
Gabe Mancini et Alexa Shultz se rendirent donc dans la pièce où se trouvait l'homme convoité qui était occupé à ses travaux pour le prévenir de ce fait.

Gabe : Monsieur Poitou, une voiture est en route pour vous emmener à une nouvelle planque.

Alexa : C'est une mesure de sécurité pour être sûr que Ling et d'autres ne vous trouvent et en vous tuent.

Gabe : Ce serait regrettable.

Alexa : Si vous avez besoin de quelque chose, vous savez où nous trouver.

L'homme s'en alla se mettre devant l'entrée de l'appart pour surveiller pendant que le femme se rendit à la cuisine pour jouer à un jeu sur son téléphone. Ils prenaient leur job au sérieux au FBI.

Lucy Ignora complètement ce que raconta Jean-Postal,

Lucy: Alors Quesque que vous savez sur notre étranger ?

David : Nous savons qu'il est ici dans un planque au quartier italien du Bronx protéger par le FBI depuis qu'il a passer un accord avec le gouvernement,

Henri : Je me doute que vous aller nous poser une question sur qu'elle accord il aurai pu passer, donc je vais vous le dire, en échange de plusieurs information bien utile sur ses conçurent et bien autres choses, le gouvernement prévois, de ne pas le poursuivre en justice, et de tirer un trait sur ce pourquoi il es poursuivit, et de le placer sous le programme de protection des témoins, mais le problème c'est que tout ce si devait être secret mais une taupe dans le gouvernement a tous balancer, du coup tout c'est ennemie veulent sa peaux notamment Ling qui prévoit de tuer quand Mr Poitou arrivera dans le lieux de rendez vous avec les deux grandes juges qui gèrent cette accords et enfin le signer

Claire vit le monde s'agiter brusquement dans le parc alors qu'elle était toujours dans le van noir avec son Beretta 93R chargé dans les mains et son Browning Hi-Power rangé dans son holster.
Ça faisait déjà un petit moment que Frank était parti et toute cette histoire ne sentait pas la rose, elle le savait du plus profond de son être. Elle y pensa même beaucoup.
Dois je attendre encore un peu ou enclencher le Plan B ?
Car là je sens bien plusieurs armes biologiques débarquer d'on en sait où.
Hum...
Je demande l'avis de l'autre derrière.
Le passager à l'arrière avait fini une nouvelle clope et il referma la vitre en voyant les civils courir tout près du véhicule. La brunette se tourna vers lui pour lui causer.

Claire : Je pense qu'il faut appeler des renforts, vous en pensez quoi ?

??? : Je pense que c'est judicieux en effet.

Dit il en baissant un peu son chapeau qu'il gardait sur la tête, même ne intérieur. Il portait aussi un bel imperméable qui semblait usé avec le temps.
Maintenant qu’elle avait son accord, elle prit son téléphone et composa le numéro d’urgence. Quelqu'un dont la voix lui était habituel décrocha à l'autre bout du sans fils.

Claire : L’alligator est dans la baignoire.

??? (T) : Il faut alors retirer la bonde.

Il raccrocha, les renforts étaient en route.
Du coté d'Ailein, elle avait écouté les explications des deux potes du soit disant geek avec un certain recule car rien ne collait.
En effet, l'autre gars au nom ridicule avait raconté qu'ils étaient là car ils avaient été guidé par Ling sans le vouloir et que donc c'était pour retrouver Lucy qu'il connaissait personnellement.
sauf ses compères continuent de jouer le jeu en mode "Nous sommes les contacts qui vous attendiez", ce qui se contredisait.
En plus pour en rajouter une couche, Jean-Postal lui même leur faisait des signes de la tête pour qu'ils arrêtent leur bullshit car visiblement il était le moins con des trois.
N'entendant plus que quelques cris étouffés de l'autre coté de la porte, l'Ange sentait que les emmerdes allaient bientôt venir et qu'il n'y avait pas de temps à perdre avec ces mecs qui étaient clairement des imposteurs.
Elle réfléchissait à quel pouvoir utiliser contre eux et sachant que son pouvoir de persuasion, on l'avait que trop vue, elle opta pour une magie qu'elle aimait aussi bien.
D'un geste de la main, elle envoya une décharge vers David, ce qui stoppa ses activités cardiaques et il tomba au sol, inerte.
Une fois ceci fait, elle tourna son regard angélique vers les deux autres.

Ailein : Maintenant, réfléchissez bien aux prochains mots qui vous allez dire si vous ne souhaitez pas finir dans le même état que lui là par terre.

Alors qu'elle attendait leur réponse, plus aucun bruit se fit à l'extérieur.

Pendant ce temps homme d'argent, depuis sa cachette non loin des toilette,
il était enfaite dans un arbre assis sur une branche le cul poser sur un coussin,
équipe d'un prototype d'appareil le rendent complètement invisible pendant une durer de temps,
scrutant telle un pervers les environ des toilette public ou ce trouvait le groupe avec ces jumelles,
il avais une belle vu sur par exemple sur  un couple bien a l'abri des passent en plein act énergique,
ou sur des passant donnant a manger au canard, mais quelle que chose intrigua son regard, il aperçu soudaient a sa gauche des passant fuir a tous vitesse l'air affoler
fuient un groupe de six homme diviser en deux groupe et équiper d'uniforme diffèrent et d'arme différente, le premier groupe était revêtue comme le GIGN,
équiper de Fn 2000, l'autre habiller comme le SWAT équiper de Sig 551, suivie d'un homme portant une tenue qui mélanger les deux style en plus d'un béret bleu sur la tète
équiper lui d'une M249, le seul détail commun était qui portait tous un emblème de la crissis sue leur uniforme et ce diriger vers les toilette ou ce trouvait Lucy et Ailien
Silver voyant ceci, fit trois scratch radio pour voir les prévenir du danger

Au 1st Precinct de la NYPD, Le Chef des troupes du FBI dans le coin était toujours dans la salle de réunion où avait eu lieu sa conversation au début du RP, sauf qu'il était seul maintenant.
L'Inspectrice Ridley était partit pour le laisser seul dans l'appel privé qu'il avait à passer, tandis que le Captain Strieber et le Lieutenant Soap étaient partis pour tenter de choper les hommes de Ling.
Abbott tenait donc son portable près de son oreille, attendant que ça décroche de l'autre coté. Ce qui se fit et la voix venait d'un de ses agents qui était actuellement au volant d'une Mercedes-Benz Type 176, chose peu commune aux USA.
Ce dernier répondit plutôt à la cool à l'appel, bien plus que son supérieur.

Dennis : Smith ?

Reede : Ouais Boss ?

Dennis : Vous êtes bientôt arrivés ?

Reede : Je suis à deux pâtés de maison, pourquoi ?

Dennis : Des émeutes ont commencé à éclater un peu partout en ville et je crains que ça soit un coup de Ling.

Reede : C'est pour ça que certaines routes étaient bouchées.

Dennis : Essayez de faire vite, j'ai comme un mauvaise pressentiment.

Reede : Ne vous en faites pas patron, tout se passera bien.

Ils raccrochèrent chacun de leur coté, avec des émotions diverses.
Retour aux chiottes où Ailein attendait toujours une réponse des deux gugusses restants alors que Lucy leur lançaient un regard plus froid que la banquise.
C'est le plus ouvert des deux deux qui se décida de réponse.

Jean-Postal : C'est Crisis qui nous envoie.

Ailein : Dites pas de conneries, ils n'existent plus ou du moins il n'y a plus assez de péquenauds pour maintenir l'ensemble actif.

Jean-Postal :C'est pourtant vrai et ils veulent profiter de l’affrontement entre Ling et l'Etranger pour mettre à exécution leur plan.

Avant de pouvoir ne demandant plus, du bruit vint de la petite radio qu'avait l'ange en sa possession, c'était le signal qui voulait dire qu'ils avaient de la compagnie qui arrivait.

Ailein : Bon bah on continuera cette petite conversation à l'abris. Lucy, va chercher un moyen de se barrer pendant que je couvre l'entrée qui est déjà protégé.

Henri : Vous allez mourir ici.

Ailein : Oh toi tais toi.

Elle lui envoya une décharge à lui aussi car lui coûtait peu de mana.
C'est alors que la porte sauta d'un coup de bottes et une grande figure arborant un signe distinct entra en ce lieu privé, très bien armé.
La femme puissante était prête à lui envoyer le coup mais reconnut alors l'emblème et sut directement que c'était pas un ennemi.

Ailein : Donc le Punisher est dans le coup, où sont les deux autres ?

Frank : Dans mon van mais il y a 7 soldats bien armés qui viennent vers notre position. Je peux m'en occuper pendant que vous fuyez.

Ailein n'avait pas envie de le laisser là mais après il ne fallait pas perdre les infos, donc elle hésitait. Laissant le temps à Lucy de trouver une issue.

Notre ami l'etranger ce trouver au millieu d'un convoit de trois voiture a bord d'une BMW serie 3 berline entour par autre modeles identique direction une nouvelle planque dans le queen pendant un certain avant de partir pour toronto
,le convoie rouler a vite allure, dans les rue ou celui-ci devait passer tout avait etait prevu,
pour faciliter son passage, ainsi que plusieur senario prevu en cas d'attaque,
notre Poitou quand a lui fumer un bon gros cigare des famille parfun specullos et canabis,
buvant un bon wisky, devant La Septième Compagnie au clair de lune diffuser sur les ecran des appuie tete arierre,
il avait beau avoir vu ce film des millier de fois il ce marrer toujours autant comme si c'etait la premer fois qu'il le regarder,
Gill au millieu d'une scene qu'il connaisser par coeur en profita pours'adersser a Granola un notre de ses homme de main

Gill: Tu sais quoi Granola ?

Granola: Non Dites moi Mr

Gill: J'ai l'inpression que c'etait ecrit quelle que part que je devais regarder presicersement ce film la maintenat a ce moment precie dans cette voiture je touve sa bizzare pas toi ?

Granola: Bah non, vous vouliez vous detentre pendant le trajet du coup vous avez choissi un film que vous aimiez bien c'est tout

Gill: M'ouais tu a sans doute raison

Un Passant qui marcher sur un trotoirt s'ecria, mais personne n'entenda

???: Connard,C'est surtout parceque c'es le titre du Rp et c'es ce que veux le scenarion putain de braleurs, elle son belle mes orange elle son belle

Gill: Bon Granola, on n'arrive quand au faite ?

Granola: DAns 30 minite Mr

Gill: Ok