[RP] Bébé Imprévu ! [Terminé]

C'est par une journée au temps de chien que je me retrouvais chez moi, aujourdh'ui je n'avais pas de client, normal vu le temps qu'il fait, des orages, des éclairs et tout le patafouin, qui voudrait sortir par un temps pareil, enfin, au moins j'avais ma journée de libre et ça c'était plutôt cool, en plus j'avais assouvi la veille mes pulsions avec un meurtre bien sanglant.
Pour une fois je n'avais aucune arme sur moi, bien que ma maison en soit rempli, toutes cachées bien entendu, quoique seul mon fusil restait à portée de main à côté de la porte au cas où.

Grâce à mes honoraires qui sont je l'avoue assez élevé, mais que voulez-vous c'est la crise, j'avais pu me pyaer une petite maison sur le bord du canal de New Raccoon city, une petite maison tout ce qu'il y a de plus sympa.

Seulement un truc clochait aujourd'hui, je ne sas pas pourquoi mais j'avais un mauvais pressentiment

La Partie Ouest, je n'y vais jamais d'habitude. C'est Principalement le Territoire des Italiens.
Je traîne en général au Centre Ville, là où se logent les Irlandais.
Ou à l'Est, zone des Triades, ainsi qu'au Sud, périmètre des Russes.
Il y a aussi le nord où je traîne peu, là il y a juste Le Clan Yoshioka qui sont plutôt cool, par rapport aux autres.
Mais là n'était pas le but du jour.
Mon but actuel était de me rendre au 78 Alans Street, se situant juste à coté du Canal qui relie la Rivière Marble et la Rivière Circulaire. La première était en dehors de la ville et rejoignaient d’autres rivières sur trouvant au sein de la Forêt Arklay. La deuxième coupait la ville comme ce fut déjà le cas avec l'ancienne ville.
C'est là bas qu'habitait ce Naru, celui qui avait tenté de me tuer en Octobre dernier.
Et qui m'a violé aussi il faut dire.
Sauf que... Surprise ! Je suis tombé enceinte de lui !
Autant vous ire que je voulais me débarrasser de l'embryon au départ, mais quand j'ai appris de source sur que ce connard n'était pas mort, je me suis dit finalement ce serait une bonne idée ce bébé.
Et j'ai conçu alors ce plan que une fois enceinte, j'irais lui rendre une petite visite, avec le petit avec moi.
Maintenant, il était enfin l'heure de faire ça.
Je me trouvais à ce moment là en compagnie de celle qui fut avec moi depuis le jour où on avait attaqué la Prison à l'extérieur de la ville. Je veux bien sur parler de Lucy Dodgera.
Elle était de tout cœur avec moi, même si je sentais qu'elle avait une pointe de tristesse à l'idée de se débarrasser du bébé. Mais il fallait me comprendre, quand on voit qui est le père, j'ai peur de savoir ce que sera notre fille.
Nous étions toutes les deux dans une Cadillac XTS Limousine avec pour chauffeur, Sangoku, et il y avait aussi à l'avant Kyte. Oui ce même Kyte qui avait perdu ses deux mains face à Naru, même si il avait pu avoir de nouvelles mains robotiques à la place.
Il restait l'un de mes rares alliées de ce qui restait aujourd'hui d'Hydra, le reste étant du coté de Malick.
Pour ce qui est du temps, il pleuvait à torrent ouvert, et le tonnerre était de sorti, avec son ami l'orage en plus.
Le temps idéal pour un film catastrophe.
Un éclair frappa alors non loin de nous, et bientôt le bruit qui s'en suivit nous parvint à nos oreilles.
Effrayant un peu le rejeton que j'avais entre les mains, dans un gros de tissu qui lui servait de vêtement.
Je tournai mon visage vers Lucy en ayant de ne pas faire attention aux pleurs, et je me mis à soupirer.

Ophelia : Je suis surement la pire des mères qui soit, puisque je suis sur le point d'abandonner ma fille à son monstre de père.

J'écoutais ce que que ma chérie avait à me dire, et c'est alors qu'on arriva enfin devant la bonne maison.
Les deux hommes de devant quittèrent leur places pour nous ouvrir, et nous quittions la limo pour ensuite nous diriger vers l'entrée où je laissai Lucy sonner puisque j'avais les mains occupées.

19 Juillet 2016


Etats Unis; New Raccoon City; Près de la sortie ouest de la Ville

Ophelia : Je suis surement la pire des mères qui soit, puisque je suis sur le point d'abandonner ma fille à son monstre de père

Lucy: J'aurais bien aimer garder cette enfant pour l'elever comme notre enfant, mais bon elle a un pere et je pence qu'il et preferable 'qu'elle le conaise, moi j'ai jamais u cette chance,

la limousine s'arreta devant la bonne maison, Sangoku mouvrit la porte et je decendit, poue me diriger vers la porte et j'apuya sue la sonnette

Je regardais tranquillement la télé, chaîne des informations pour reprérer de futures proies, il fallait que je m'occupe où j'allais perdre les pédales, c'est alors que la sonette retentit, pourtant je n'attendais paersonne et aucun de mes clients n'avait l'adresse de mon domicile alors qui cela pouvait-il bien être ?
Méfiant, je pris en main mon joli katana noir et je me dirigeais vers la porte d'entrée.

Naru : qui êtes-vous, vous n'avez pas lu le panneau propriétaire méchant alors dégagez.

J'étais prêt à ouvrir pour attaquer mais la réponse qui me parvint me fit l'effet d'une bombe

J'attendis qu'il ouvre après que Lucy ait sonné tout en me mettant devant pour pouvoir réussir mon effet de choc quand il ouvrira.
Les gouttelettes continuèrent de tomber, de façon brut, ça dérangeait un peu le petit.
Et j'essayais de faire en sorte qu'il ne fasse pas trop de bruit pour laisser la surprise jusqu'au bon moment.
Finalement la voix de ce psychopathe se fit entendre de l'autre coté. Il semblait méfiant.
Et il avait des raisons de l'être ce salopard.

Naru : Qui êtes vous ? Vous n'avez pas lu le panneau propriétaire méchant alors dégagez !

Cette remarque me fit manquer un sourire, car elle était tellement pitoyable.
Mais bon.

Moi : C'est celle que tu aurais dû tuer quand tu en avais le temps.

Silence.
J'avais dû lui faire un choc, en même temps il devait pas s'attendre à me revoir un jour en chair et en os, surtout au pas de sa porte.
Merci à mes contacts pour ça.
Quand o na les moyens et l'argent, on peut retrouver n’importe qui.
J'entendis le loquet se déverrouiller et la porte s'ouvrir sous les pleurs de notre enfant qui refaisait ses siennes.
Son premier regard porta donc sur la chose que je tenais entre les mains, puis sur moi.
Il ne semblait pas avoir saisi ce que ça voulait dire.
Mais après ma phrase, il le comprendra.

Moi : Bah alors, tu ne dis pas bonjour à notre enfant chéri ?

Je sentis que sa réaction allait me plaire.

En entendant les mots de cette femme à travers la porte j'avais eu un choc
Des questions se bousculait dans ma tête
j'ouvrais la porte et je les vis les deux premières victimes qui m'avaient échappés
j'avais toujours mon arme en main prêt à attaquer quand je vis la petite chose chétive
je ne comprenaisppas pourquoi elles étaientllà et encore moins pourquoi avoir amené un nourrisson pourtant elles savent de quoi je suis capable.

Naru : c'est quoi cette chose, c'est quoi ce bordel.

c'estaaprès cette remarque que la femme tenant lz bébé me dit les mots que j'espérais ne pas entendre.

Ophella : bah alors, tu ne dis pas Bonjouraànotre enfant chéri ?

Encore une fois le choc me traversa rapidement mais la méfiance reprit le dessus, aprèstout cela pouvait peit - être s'avérer faux et n'être qu'un piège pour se venger

Naru : impossible je n'aipas de gosse et je n'ai pas eu de relations non protégés ces neufs derniers mois et encore moins avec toi... à moins que, non ne me dites pas que c'est à cause de ce qu'on a fait sous le coup de ces putains d'hormones.

je ne savais plus quoi penser était - ce possible quecette seule relation sexuelle non prévu aait pu donner un gosse, c'était tellement improbable pourtant.

c'est alors que des souvenirs me revinrent en tête de très mauvais souvenirs , des souvenirs enfouis depuis quelques années déjà re faisaient surfaces, il fallait que je me calme. Dans un murmure àpeine audible je sortis :

Naru : l'histoire ne doit pas se répéter, je ne dois pas faire la même erreur qu'autrefois

Je me repris et m'écrisdu passage.

Naru : bien entrez, seulement vous deux les deux homme restent dehors.

Je referais la porte et les conduisit tous au salon, j''éteins la télé et leur montre le canapé pour les inviter à s' asseoir.
j'avais le regard vide et perdu dans le vague, mon visage ne montrait plus aucune émotioncomme vidé de toute vie.

Naru : Bien entrez, seulement vous deux, les deux homme restent dehors.

Je me tournai alors vers Kyte, il comprit alors rien qu'au regard, qu'il devait obéir à cette requête.
Il resta donc dehors avec Sangoku tandis que je m'aventurais avec Lucy dans l'antre du Démon;
La TV fut éteinte en un coup de télécommande magique, et nous nous posions, moi et ma copine, sur un canapé, le bébé dans les bras, tandis que l'autre resta debout. Il semblait être complètement paumé, j'avais limite envie de rire, mais je préférai me retenir.
Il avait clairement le regard d'un être dérangé, dénué d'émotions, ce qu'on appellerait aussi le vrai regard du sociopathe.
Du moins c'est comme ça que l’appelle moi.
Je décidai alors de m'entretenir personnellement avec Lucy, en chuchotant à son oreille.

Moi : Je te passe le gosse, je dois parler à son père.

Et c'est ce que je fis, elle eut alors le bébé sur les bras, ce dernier s'étant un peu calmé depuis que le tonnerre avait cessé de gronder, il essayait maintenant de dorm... Oh pourquoi je m’intéresse à ce qu'il fait !? Bref je m'approchai, sur la défensif car on ne sait jamais, vers Naru pour le faire un peu sortir de sa bulle.
J'avais comme ça d'hab ce ton plein d'ironies dans ma voix.

Moi : Hé oui, faut un jour assumer ce que l'on fait. Et inutile de m'être la faute sur mes phéromones, car si t'avais pas essayé de me tuer, j'aurais jamais eu besoin de m'en servir.

Sans lui laisser le temps de répondre, j’enchaînai cash.

Moi : Enfin bon, je n'ai aucune envie d'élever un monstre prévenu du sport d'un connard comme toi, donc tu peux garder le rejeton, tandis que moi et ma girlfriend, on reprend notre vie tranquille.

P'tain, j'avais vraiment dit ça.
sans me soucier de ce que pouvait ressentir Lucy à ce moment là...

Naru était perdu dans ses pensée lorsque Ophelia vint lui dire sans tourner autour du pot qu'elle ne voulait pas de l'enfant et pour une il devait reconnaître qu'elle n'avait pas tord il était bien un monstre et qui voudrait élever l'enfant d'un monstre, il tourna la tête en direction de Luc qui s' occupait du petit bébé, ça se voyait sur son visage qu'elle s'est attaché à ce gosse mais la requête de la dirigent d'hydratationil ne pouvait accepter si ce gosse restait avec lui l'histoire se rrépète tait à nouveau et il ne voulait pas que cela arrive.

Naru : euh je... je ne peux pas faire ça, nous sommes ses deix parents certes mais de mon côté il me serait impossible d'élever correctement cet enfant, contrairement à moi tu as des hommes ssous tes ordres ti aurais tout le temps de t'en occupait et même si tu n'es pas la meilleure mère qu'un enfant puisse avoir , tu seras meilleure dans ce rôle que je ne le serais jamais, c'est vrai que je suis quelqu'un de non fréquentable mais ce gosse ne mérite pas d'avoirune vie aussi pourrie, vous devriez vvousen occupez , cela vaut mieux pour tout le monde, crois-moi

Pendant que Ophélia et Naru parlais, je m'occuper du bébé, je le rassurais en le berçant, en lui chantant de jolie petit continue, les même que ma mère me chanter quand j'était bébé,,ce petit bout de chou, s'endormi alors, ce qui me fit sourire de joie, je le regardera dormi un instant , puis je tourna mon regard vers les deux autres

Lucy: Si vous n'arrivez pas tout les deux a vite prendre une décision concernant la petite Kenzie, c'st moi qui devra la choisir et je ne veut pas faire sa alors décidez vous vite qu'on l'en finissent es vite

Cruel dilemme qui se posait à nous.
Si mon moi du Présent avait été là à ce moment là, j'aurais choisi de garder notre fille directement sans poser de question.
Et j'aurais collé une balle dans le crane de son taré de père pour être sur qu'il ne fasse jamais rien de déplacer à son encontre.
Mais j'étais plutôt dégoutter par Kenzie à l'époque, surtout par l'identité de son père.
J'avais peur qu'elle soit comme lui.
Finalement, à ce moment là j'eus un éclair de conscience.
Je me rendis compte de ce qui me poussait à rejeter l'enfant.
Et surtout, je me rendis compte que je n'étais pas la personne na mieux placer pour faire le choix.
Naru non plus.
C'était Lucy qui devait le faire, elle seule.
Je m'approchai d'elle pour lui poser une main chaleureuse sur son épaule, en dévisagent le bambin.

Moi : Je ne peux pas faire ce choix, je suis motiver par le dégoût ce qu'est son père, et la peur qu'elle devienne pareille. Si je venais à choisir, ça finirait très mal pour elle. Et si l'autre là choisissait, ce ne serait guère mieux. Il n'y a que toi Lucy qui peut donner un vrai avenir à ce bébé. Je serais peut être même prête à l'élever avec toi si c'est ton choix, reste voir ce que tu vas choisir ma belle sociopathe adorée.

J'attendis de voir ce qu'elle allait prendre comme choix.

Lucy: Je savais que sa se passerai comme ca, oui je compte la garder et élever seule , car vois tu j'ai un doute sur ce que tu Vien de dire

Ces paroles me blessèrent, une larme coula même de mon œil droit.
Je lâchai son épaule et je reculai de trois pas avant de reprendre un masque froid sur mon visage.
Elle ne me faisait pas confiance pour élever le gosse...
Non elle ne croyait pas en mes paroles, comme si c'était du vent.
Pourtant ce n'était guère du vent, j'aurais fait ça pour elle.
Mais soit, la colère prit la dessus sur mes paroles.

Moi : Comment oses tu !?

Ses dires avaient froids en mon égard et m'avait profondément blessé.
En même Lucy était la seule personne envers qui je m'étais confessée.
Elle était tout pour moi, et je le lui fis savoir.

Moi : Douter de moi !? Alors que je serais capable de n’importe quoi pour toi, même d'arrêter ma carrière de criminelle, voir arrêter de tuer juste pour toi ! Tu as la la seule personne en ce monde qui compte pour moi, toutes les autres pourraient crever, je m'en foutrais complètement !

Un silence venait accompagner mes paroles.
Lucy restait calme, les yeux fixant le bébé qui s'était réveillée grâce à moi mais qui ne pleura point.
Naru... Je ne sais pas ce qu'il faisait mais je m'en foutais à vrai dire, donc il pouvait jouer à la Play 4 ou assassiner des bébés chiots, je n'en aurai que faire.
C'est alors que l’impensable ne produit, car il faut dire que c'était pas le moment pour des broutilles.
Des coups de feux, à l'extérieur.
Par réflexe, j'accourue avec une vitesse d’athlète du 100 mètres vers la porte d'entrée avant d'arrachée la poignet avec ma force inouïe, au moins la porte s'ouvrit, c'était ça de gagner.
Kyte et Sangoku entrèrent en trombe avant de fermer tant bien que mal la porte ,puis de la bloquer pour éviter qu'elle ne s'ouvre toute seule.
Il y avait clairement quelque chose qui puait, et mon fidèle homme de main me le fit vite savoir.

Kyte : Malick nous envoie ses hommes, ils doivent être une trentaine.

Ophelia : Oh putain c'est pas le moment, et franchement il n'a pas autre chose à foutre que d'envoyer les dernières forces d'Hydra pour tenter de me faire la peau !?

Naru vint me rejoindre, surement peu joyeux à l'idée qu'une baston allait éclater dans sa demeure, mais il n'avait pas le choix. Et j'allais lui faire comprendre.

Ophelia : Bon Naruto, tu aimes tuer des troues du cul, ça tombe bien, il y en a un paquet à ta porte, donc viens nous aider au lieu de faire du rien !

C'était parti pour le Fight.

En entendant les coups de feu, j'avais réagiau quart de tours en ssaisissantmon fusil aà pompe et une grenade que j'avais cachée dans un tiroir près de l'entrée.
Contrairement à mes visiteurs, je m'attendais à une possible attaquée de la part des forces armée d'hydra ou du moins ce qu'il en reste, en effet dernièrement j'avais éliminé un certain nombre d'entre eux  frappant toujours de plus en plus haut, seul lleur chef ce Malick n'avait pas encore goûtéaàmes services.

Si ils étaient làce n'était pas pour Ophelia ou lucy mais pour moi et bien que kesois un monstre, j'ai tout de même un coeur qui avait été mis àvif par l'arrivée de ce bébé imprévu, seulement contrairement à mon passé j'avais les moyens d'agir. Et cette fois j'allais agir, il ne fallait pas que la petite kenzie se retrouve comme moi dans la flaque de sang de ses parents sinon ce que craignais ophemia risquait d'arriver, la petite deviendrait comme moi et çà je ne le voulais pas

c'est pourquoi j'avais constitué un plan simple et je remerciait fortement ma précaution d'avoir prévu une issue de secours dans cette baraque et c'est pà la que je ferais évacuer la petite.

je m'adressais donc à  Ophelia qui venait de me sortir une phrase qui me fit sourire par son sarcasme mais pas le temps pour ca

Naru : bon écoutez bien, ces type sont pas venu pour vous, mais pour moi, alors prenez la petite et barrez -vous, je vais m'occuper d'eux et les retenir un maximum.
Descendez à la cave par le salon dans la ccaverne vous trouverez une porte en fer après quelques salle, elle mène àun couloir qui remonte jjusqu à un garage situé plus loin vous y trouverez une bagnole et des flingues dans la bboîte à gants, je les avais prévu en cas de visite des flics mais bon on a pplusle choix.
Je lancer des clés à Ophelia , l'une est pour la porte en fer l'autre pour la bagnole et le garage avec la télécommande.
Maintenant partez et sauvez cette gosse et si elle grandit et qu'elle veut me connaître vous n'aurez qu'à lui dire que je suis mort que ce soit vrai ou faux, c'est la dernière fois qu'on se voit, adieu, Malick t'es un homme mort .


Je finis ma phrase  en ouvrant la porte pour balancer la grenade sur la voiture des attaquants qui explosa tuant le conducteur et je sortis en  tirant sur tout les ennemis qui me tombait sous la main et qui était surpris par l'explosion et le fait que j'étais seulaà sortir cela me permit d"en buter 5 , je me planquer dderrière le reste de la voiture d'Ophelia, je rechargeant avec les quelques balles qui me restait et recommençait à dezinguée ces enculé, après avoir tué le tiers, je n'avais plus de balle et j'allais être obligé de les finir au katana que j'avais attrapé avant de sortir.

De toute façon il était peu probable que je m'en se te cette fois - ci, j'allais soit mourrir, soit être capturé mais c'etait pour la bonnz cause, ce serait la seul chose que je ferais pour ma fille, la seul chose bonne de pa putain de vie, mais si je pouvais b ' allais au moins tuer ce Malick, ce serait probablement le dernier que j'allais tuer mais tant pis, îl le fallait

[- 1 Chargeur Fusil]

Naru : Bon écoutez bien, ces types sont pas venu pour vous, mais pour moi, alors prenez la petite et barrez vous, je vais m'occuper d'eux et les retenir un maximum !

Il croit quoi !? Que je vais le laisser tuer tout les hommes de Malick tout seul !?
Certes, peut être qu'ils ne sont pas là pour moi, mais Malick me tape sur le système, et j'avais prévu de lui rendre une petite visite après avoir fini mon travail concernant Léviathan.

Naru : Descendez à la cave par le salon, dans la caverne vous trouverez une porte en fer après quelques salles, elle mène à un couloir qui remonte jusqu'à un garage situé plus loin, vous y trouverez une bagnole et des flingues dans la boîte à gants, je les avais prévu en cas de visite des flics mais bon on a plus le choix.

Putain, comment i la fait pour dire une phrase aussi longue sans s'arrêter !?
Le voila qu'il me lance un trousseau de clés, servant surement à ouvrir tous les verrous sur la route.
J'avais pas vraiment écouté sa longue tirade à vrai dire.
J'avais envie de bastonner, et dommage que j'avais pas mes petits cocktails sur moi.
Pas grave, on fera avec.

Naru : Maintenant partez et sauvez cette gosse et si elle grandit et qu'elle veut me connaître vous n'aurez qu'à lui dire que je suis mort que ce soit vrai ou faux, c'est la dernière fois qu'on se voit, adieu, Malick t'es un homme mort.

Et le voila qui sort de la baraque, à coup de grenade avant de fermer derrière nous.
Mais vous croyez sincèrement que j'allais le laisser faire le kéké tout seul ?
C'est mal me connaître.
Alors que Sangoku était près de sa maîtresse qui elle tenait notre bébé, tous près à partie, je décidai de m'approcher de Kyte pour lui filer les clés.

Moi : Tirez vous sans moi, je m'occupe de protéger Naru.

Kyte : Je croyais que vous le détestiez.

Moi : Oui, mais seul moi ait le droit de le tuer, pas ce connard de Malick que je hais tout autant !

Kyte : OK, bah allons y !

Ils s'en allèrent de leur coté, moi j'allais m'amuser.
je sortis mon petit Jericho, avec son unique balle, avant le ranger car j'allais prévu de l’utiliser sur Malick.
Je pris à la place mon Gunblade fétiche, sauf que je n'avais pas prévu de l’utiliser en mode fusil.
Je trouve que je me suis trop assoupi dernièrement, il est temps de voir ce qu'est vraiment la Vipère.
J'arrachai la porte complètement de ses gonds, avant de courir de m'élancer pour un double salto avant et finir par un coup portait verticalement vers l'avant avec ma lame, coupant en deux le mec qui s'était approché par la droite pour atteindre la planque de Naru.
Je venais de lui sauver la mise au passage, et voila que je me retrouvai contre ce qui restait de ma voiture, au coté du père de ma fille.

Moi : Bon excuse moi de te décevoir, mais de un, je reste là pour t'aider à tuer ces sales cafards, et de deux... Rêve pas, Malick n'est pas porté sur la baston et se déplace jamais dans ce genre d'occasion, donc tu peux être sur qu'il soit à la Maison Blanche à l'heure qu'il est. Néanmoins, il doit rester en contact avec une de ses blattes pour connaître l'avancé de l'opération. Faut juste trouver laquelle.

Je n'avais même pas chercher à voir si Naru m'écoutait vraiment, mais après si il ne voulait pas se planter, il avait intérêt à tendre l'oreille.

Une Volkswagen up! Phase I se trouvait garé non loin de la zone d'action. Dedans se trouvait Kebo, seul, en pleine conversation téléphonique avec son Boss, Gideon Malick.

Gideon (T) : J'espère que cette fois ci, Ophelia croulera sous nos balles, c'est comme un coup de chance qu'elle soit là. Elle me surprendra toujours.

Kebo : Sinon, que dois je faire en attendant ?

Gideon (T) : Tu restes en retrait, et tu préviens les troupes si la Police arrive, et tu me tiens au courant si les deux cibles sont éliminés, et elles ont intérêts à l'...

Albert (T) : Hé Malick, viens me torcher le cul, tu veux !?

Gideon : Oh putain... Oui tout de suite Monsieur le Président ! Bon, rappelle moi plus tard.

Il raccrocha et Kebo resta donc en alerte, son regard fixé vers la Maison au loin.

Ophélia venait de me rejoindre, à vrai dire, je me doutais qu'elle ne m'obéirais pas, dire que pour une fois que je sauve la vie de mon ancienne cible, celle-ci vient se foutre dans la merde, elle venait néanmoins de probablement me sauver la vie en tranchant un mec qui m'avait pris en tenaille, elle se mit derrière la bagnole pour me sortir sa tirade que je n'écoutais pas puisque un mec arriva avec une mitraillette derrière elle, je pris mon katana, le pointa vers elle, et avant que quiconque n'est pu réagir, je le lancais, il atterrit en pleine tête du mec et le transperça faisant gicler du sang de partou,

Naru : je me doutes que Malick, n'est pas là, néanmoins, il est ma proie et tu sais aussi bien que moi qu'à part toi aucune ne m'a échappé alors, laisses-moi lui régler son compte, j'ai quelque comptes à régler avec lui, un vieux compte qui doit être régler pour le devenir de notre enfant, fais-moi confiance, il essaiera également de la tuer, je n'ai pas le temps de tout t'expliquer, mais je voulais que tu les accompagnes pour les protéger, l'une des cibles de Malick est cet enfant.
Sur ce je me relevais et courut reprendre mon sabre alors que deux gars arrivait, je leur trancha la tête avec mon sabre récupéré alors que de son côté elle éliminait quelqu'uns.
Ca me coûtait de l'admettre mais on formait un bon duo en combat, en à peine dix minutes on avait éliminé la moitié des 20 restants, soit il en restait une dizaine qui commençais à être désemparé.
Ce qui nous facilitais encore plus la tâche, au prix d'une balle dans le mollet, je réussis à en éliminer cinq avec mes deux armes.

[plus de chargeur dans le fusil que j'avais pas précisé lors du dernier psot et -20 PV, je vais modifier la fiche]