[RP] La Mission d'Henri [Terminé]

J'étais devant cet immeuble, Henri Pétrick un autre détective m'avait demandé de passer chez lui pour me parler de quelque chose d'important et même si j'avais bien d'autres chose's à faire que de me soucier de sa vie, je devais y aller, il a après tout des inforarmations plus poussées que les miennes sur les criminels sévissant dans cette ville et j'en ai besoin alors autant l'aider pour qu'il me le rende autrement.

J'entrais docn dans l'immeuble et sonne chez lui

Gilbert Montagné trouvait cet appartement assez... Sof on va dire, ça lui rappelait un peu le bureau de Jessica Jones dans la série du même nom.
Sauf que c'était un Détective Français Blond avec la quarantaine qui tenait cet endroit.
Ce dernier avait toujours son imperméable marron et sa tenue de profiler des années 50 malgré qu'il faisait plus de 30 degrés dehors mais ça ne semblait pas le gêner.
Contrairement à sa fille qui était en débardeur avec comme logo, celui des Rolling Stones et elle avait aussi une mini jupe blanche comme son haut et une paire de sandales tout aussi blanche, évoquant sa pureté naturelle.
Sa couleur vestimentaire contrasté beaucoup avec Baptiste Sixte, aussi présent, qui était habillé d'une tenue de bureau tout en noir.
Sauf qu’elle avait quelque chose quel es autres n'avaient pas, c'est une gueule cassée, et elle semblait s'être fait amocher très récemment, ça l'aveugle pouvait le voir.
Le dernier personnage présent dans le coin était un perso un peu particulier puisque non humain. C'était Corbeau d'Henri prénommé Laurent, qui était posé sur les jambes de Gil, celui ci le caressait en souriant.

Gilbert : Il a un beau plumage !

En parlant de lui, l'Ancien Agent du BSAA avait ressorti sa vieille tenue d'agent qui traînait au placard depuis un moment, rien que pour cette occasion car Henri lui avait dit que le boulot qu'il allait lui confier à lui et un autre bonhomme n'allait pas être très propre.
Mais il ne savait rien d'autre de ce boulot, ce qui le poussa au final à poser la grand question.

Gilbert : Bon, c'est quoi la mission ?

Baptiste : Faut attendre que le dernier atout soit là, et tu le sauras ensuite Gilbert.

Henri : Il ne devrait plus tarder.

Soudain quelqu'un sonna à la porte, et une ombre fut visible à travers la vitre opaque présente sur celle ci.

Baptiste : En parlant du loup.

Laura : Je vais ouvrir !

Elle s'élança avec sa bonne humeur qui allait mal avec les blessures qu'elle possédait sur son visage, elle ouvrit la porte grand d'un coup, la claquant presque.
Puis elle éleva sa voix avec plein d'enthousiasme.

Laura : BONJOUR !!!

Baptiste grimaça un peu sur l'occasion, Henri de même.

Henri : Ma puce...

Baptiste : Si il n'a pas un tympan brisé après ça, c'est que c'est du solide.

Laura : Oh pardon, allez entrez donc !

Puis elle sautilla presque jusqu'à son père en ne prêtant ni attention aux cheveux ni aux yeux de ce Second Detective assez particulier.

La porte s'ouvrit d'un coup sec devant moi et une fille apparut, aucune idée de son âge mais ce qui était sûr c'est qu'elle devait avoir chaud vu sa tenue et du coup je pouvais comprendre l'absence de couleur noir sur elle mais ce blanc, quel mocheté, le blanc représente la pureré qu'est ce que je détste ça, ah et en plus elle gueule aigue, ca commence bien, je regrette déjà d'e^tre venue, je rentre donc en fermant doucement la porte, je salues ensuite les personnes présentes en enlevant mon chapeau noir et en faisant un signe de main.

Habillé d'un costume Noir, je fixe Henri et ne comprend pas trop la présence de tout se monde, c'est alors que je vis le visage de sa probable fille, j'imagine, il m'en avait déjà parlé une fois après notre première rencontre au commissariat mais je l'avait jamais rencontré. Elle est né comme ça ou on lui a marché dessus ? Je me le demande.

Gilbert se leva en voyant l'invité entrer.
Un homme aux cheveux rouges, typé japonais, aux yeux dénués d'émotions, et tout en noir.
Il lui plaisait, ça c'était sur !
Henri s'approcha de lui et il lui serra la main avec un sourire chaleureux.

Henri : Tu as pu donc rencontrer ma fille, Laura, 22 ans, une belle fille, dommage pour son visage.

L'expression du visage d'Henri se transforma alors une haine, mais pas contre Naru, une haine contre quelqu'un d'autre.
Mais Laura calma le jeu en faisant reculer son père, histoire de faire la bise à Naru qui semblait surpris, en effet la bise était une habitude européenne et donc ni américaine ni japonaise.

Laura : N'ayez pas peur de ma tête, mon père vous expliquera tout après.

Elle recula à son tour, histoire de laisser un peu la place à Baptiste qui était celui qui avait surement l'aura la plus bienveillante dans le tas, après Laura bien sur.
Il serra la main de Naru.

Baptiste : Naru, un nom qui évoque tant de choses, à la fois la Justice, mais aussi la Folie.

Il arrêta la poigne et garda un air mystérieux dans son regard, l'air de dire qu'il en savait beaucoup sur le dernier invité.
Finalement ce fut à Gilbert de lever son gros cul du canapé pour aller voir le Jap, et là surprise ! Il lui fit un Chatbite avant de finalement le prendre avec un de ses bras pour prendre un selfie d'eux deux. Ceci fait, il le relâcha.

Gilbert : Je vais envoyer ça à ma femme, elle va adorer !

Il envoya donc le selfie à Esmaraldine/Shiho Montagné sous un regard bien particulier de Naru à son égard.

Je sers la main à Henri et pendant qu'il me présente sa fille, celle-ci court presque vers moi pour me faire la bise,
c'est pas un truc européen ça d'ailleurs ? Si alors pourquoi. Peur de son visage ? Elle rigole ou quoi, j'aimerais bien rencontrer celui ou celle qui lui a fait ça mais j'y pense ça doit être lié à la demande d'Henri de venir ici, une vengeance petu-être ? Le Baptise me serre la main et me décrit parfaitemetn, saurait-il quelque chose ? Possible mais si c'est le cas, c'est qu'il n'a rien dit puisque je suis encore libre, faudra que je me renseigne sur lui.
Puis Vient le Gilbert qui me ... Ah putain ça fait mal, l'enculé, je vais le trucidé, je le regarde avec un regard glacé chargé de haine et de mépris, je te promets que je vais me venger pour ça, je pourrais d'ailleurs commencer par tuer sa femme dont le nom me rappelle vaguement quelque chose.

Naru : bon je suis là pour quoi, j'ai pas de temps à perdre moi Henri, j'ai un emploi du temps très chargé en ce moment.

Naru : Bon je suis là pour quoi, j'ai pas de temps à perdre moi Henri, j'ai un emploi du temps très chargé en ce moment.

C'est à ce moment là que le corbeau dans la pièce se décida à chier sur la casquette de Naru qui n'avait visiblement rien remarqué sur le coup, contrairement aux autres, et tant mieux pour la vie du zozio qui s'en alla par la fenêtre, pour se promener un peu.
Finalement ce fut Gilbert qui enchaîna lui aussi d'une question.

Gilbert : Ouais c'est vrai, moi aussi j'ai du boulot en ce moment avec Holt Valentine qui revient en ville.

Henri tenta de calmer la haine qui avait resurgi en lui en pensant à une certaine personne, et il leur répondit.

Henri : Je vous ai choisis pour mener à bien un assassinat pour moi. Et Gilbert, je sais que c'est le genre de truc que tu aimes faire, donc j'ai pensé à toi.

Gilbert : Chouette !

Le Détective Français sentit un regard méfiant et remplie de question venant de Naru, il fit signe à Baptiste d'expliquer la raison de sa présence ici.

Baptiste : Après votre première rencontre à toi et Henri, ce dernier m'a demandé de chercher des infos sur toi car il pensait que t'étais loin d'être un simple détective. Et il n'avait pas tort, j'ai appris grâce à des sources d'infos que je ne dévoilerai pas, que tu exerçais ton métier en couverture pour tes actes meurtriers à l'encontre de criminels notoires. Et que tu avais tué au passage Dimitri Rascalov, voila. Henri, en sachant cela, s'est dit que ce serait une bonne idée de faire appel à toi pour éliminer la cible qui on peut dire est aussi un criminel notoire.

Il se tut alors, laissant l'occasion au locuteur de s'exprimer.

Naru : Donc si j'ai bien tout compris, tu me demandes d'assassiner un mec pour toi, tu me prends pour qui je ne suis pas un vulgaire tueur à gage, j'ai un code très stricte à respecter et la première règles de ce code me dit de ne pas me faire prendre hors vous êtes maintenant au courant de certaines choses que je préfères garder secrètes et comme je n'ai pas spécialement quelque chsoe contre vous je ne vous tuerais pas si vous garder ça pour vous, en revanche je ne compte pas travailler à ta botte et même si je devais le tuer, je préfère travailler en solo.

Henri se sentit basculer au fur et à mesure que Naru parlait, il allait déborder à un moment donné, c'était sur.
Et ça arriva quand l'Assassin eut fini sa phrase.
Le Bon Père de Famille se précipita sur Naru et le colla contre la porte, percutant la vitre au passage qui ne brisa pas pour autant. Bonne qualité !
Il avait la rage entre les lèvres, et il cracha sa phrase au passage.

Henri : Ce Connard a failli tuer ma fille ! Elle qui n'a jamais rien demandé à personne ! Et en plus, il s'en tire sans problème ! Alors c'est simple, je veux que sa tête soit coupé dans les prochaines 24 heures, et je connais qu'un type pouvant faire ça par principe et avec conviction, tout en agissant avec efficacité et discrétion, et c'est toi ! Gilbert n'est là que pour servir de bouc émissaire si jamais t'as un problème !

Gilbert : Chouette !

Henri : Alors fais le car sache bien que je te laisserai pas partir avant, si il faut j'en mourrai, mais il faut que tu tues ce salaud qui a osé être mon mari pendant plusieurs années !

Il commença à chialer en même temps qu'il déversait la haine qu'il avait contenu pendant tout ce temps, sur le pauvre Naru qui n'avait lui non plus rien demandé.
Baptiste finalement s'approche des deux et le fit lâcher celui qu'il tenait.
Henri recula un peu et Bap prit la parole.

Baptiste : Excusez le, il est désespéré, faut le comprendre, un père qui voit sa fille se faire tuer à petit feu sans pouvoir rien faire, car si l'un des deux tente quelque chose, c'est la case prison pour eux. Ils n’auront pas autant de chance que vous...

Il s'approcha alors de l'oreille de Naru avec un regard mystérieux.

Baptiste : Je ne lui ai dit qu'une petite partie de ce que j'ai découvert sur vous, mais ne vous en faites pas, je ne leur dirai rien d'autre si c'est ce qui vous inquiète.

Puis il recula un peu et laissa le temps au cousin du Punisher de répondre.

Naru : Même si je ne comprends pas vraiment ce drôle de phénomène que vous appelé l'amour enfin sentimentalement parlant vu que scientifiquement je peux tout à fait l'expliquer mais bon, je dois avouer que le tuer ne me génerait pas tant que ça, le problème c'est que je ne travail qu'à ma manière et en prmier lieu pour le tuer j'ai besoin de savoir s'il a déjà tuer quelqu'un, si j'en ai la preuve vous pouvez être sûr qu'il paiera en revanche s'il s'agit juste d'une vengeance alors qu'il na pas tué quelqu'un, j'y gagne quoi moi ? Je tue les meurtriers pas les tabasseurs de filles même si ça ne me plait pas forcément, alors voilà ce que l'on va faire, vous allez me laisser me charger d'enquêter plus en avant sur les faits et gestes de votre homme et lorsque j'aurais réuni assez d'informations nous aviserons.
Une dernière chose, n'essayez plus jamais de me menacer que ce soit pour vous trois, je n'ai rien contre vous mais si vous interférer trop dans ma vie je serais obligé de m'en prendre à vous et moi je n'irai pas à petit feu pour vous faire souffir, si vous voyez ce que je veux dire.

Naru : Une dernière chose, n'essayez plus jamais de me menacer que ce soit pour vous trois, je n'ai rien contre vous mais si vous interférez trop dans ma vie je serais obligé de m'en prendre à vous et moi je n'irai pas à petit feu pour vous faire souffrir, si vous voyez ce que je veux dire.

Baptiste : Les menaces ne marchent pas contre moi.

Gilbert : Mais j'ai rien dit moi !

Laura tapa alors du coude son père pour qu'il s'excuse envers Naru.

Henri : Désolé si je vous ai offensé, je suis sur les nerfs dernièrement car rien ne va. Je me fait enlever par des terroristes et mon ex décide que c'est le bon moment pour essayer de tabasser à mort ma fille, quand je suis revenu en ville avec Léon, j'ai dû me rendre à l'hôpital où elle était en situation critique.

Il baissa un peu le ton de la voix, des larmes continuant à couler de ses yeux.

Henri : Mais si vous ovulez savoir, je pense qu'il est un danger public, une fois même, il est revenu en sang à la main avec un couteau dans la main et il s'est mis à péter un câble dés que je lui ai posé une question, il m'a alors dit de ne pas dire à qui que ce soit sur tout ce que j'ai vu ce soir là sinon il me tuerait. Quelques jours plus tard, le corps d'une jeune femme a été retrouvée dans une rivière près de là où nous habitions, elle avait été agressée et violée avant d'être tuée à coup de couteaux et jetée dans la rivière. La police n'a jamais retrouvé le meurtrier...

Gilbert : Ah ouais merde putain...

Henri : En plus je le suspecte de traficoter avec quelques syndicats mafieux en ville depuis qu'il traîne ici, comme par exemple le Clan Yoshioka, la Famille Marenzioti ou encore le Red Dragon.

Baptiste : En effet, j'ai trouvé des vidéos de caméras de surveillances, le montrant parler avec des membres de ces différents groupes de la Pègre locale.

Gilbert : Je l'aurai plus vu causer avec le Milieu Niçois mais bon.

Baptiste : Finalement, vous en pensez quoi ? Vous voulez les voir les images Naru ?

Il attendit sa réponse.

Naru : évidemment que je veux ces images et si ce que vous dites est vrai, s'il a bien tué et violé cette femme, alors je me ferais un réel plaisir de le tuer et de le faire disparaître à jamais de la surface de la terre, vous avez une préférence pour la façon dont je m'y prend, je le fais cuir ou manger vivant par des cochons ou encore entterrer vivant après s'être fait coupér les mains et les pieds ?

J'attendis sa réponse en les regardant avec un regard de déjanté.

Naru : en revanche dîtes-vous bien He'nri que ce sera la seul fois que je vous aiderais après ça, je ne veux plus que vosu interveniez dans mes executions et étant donné que je fais ça pour vous en compensation je vosu demande simplement de me donner toutes les informations que vous détenez sur les criminels de cette ville, marché conclu ?

Je lui tendit ma main.

Naru : Vous avez une préférence pour la façon dont je m'y prend, je le fais cuir ou manger vivant par des cochons ou encore enterrer vivant après s'être fait couper les mains et les pieds ?

Henri : Fais lui bouffer ses propres intestins, c'est une mort idéale pour un connard comme lui.

Laura était un peu dégoutté par que son père et le psycho racontaient, mais elle ne préféra rien dire.
Ce dernier imposa alors une offre qu'on ne pouvait pas refuser, et il tendit la main devant lui.

Naru : Marché conclu ?

Henri : Marché conclu.

Ils se serrèrent leur main pour conclure le marché.
Gilbert se mit à applaudir comme un ouf tandis que Baptiste s'approcha de la fenêtre pour respirer un peu l'air frais, et c'est alors qu'il vit en contrebas la femme de Gilbert arriver en jeans, tee shirt et sandale, le tout gris.
Elle avait l'air d'écouter de la musique avec ses écouteurs, donc inutile d'essayer de l'appeler pour lui faire signe de sa présence.
Baptiste rentra la tête à l’intérieur et se tourna vers le mari.

Baptiste : Gilbert, ta femme est là.

Gilbert : Oh cool !

Il se précipita à la porte pour l’accueillir d'avance.
Mais toujours dehors, ce que le PDG d'Armacham Technology Corproation n'avait pas remarqué, c'était la présence de Bernard Archmond de l'autre coté de la rue, en train d'attendre quelqu'un, mais qui ?

bien pour ma part, je lache la main d'Henri et lui demande

Naru : au fait il ressemble à quoi l'homme en question ?

J'atendsi sa réponse

Naru : Au il ressemble à quoi l’homme en question ?

Henri s'approcha de son bureau où se trouvaient des papier et il y prit une photo de la cible avec son nom marqué dessus en blanc.
Il la donna à Naru.

Henri : Le voila.

Gilbert revint à ce moment là avec sa femme sous le bras et il la présenta alors à Laura avec qui elle n'avait jamais vraiment interagie. Une bonne ambiance était installée, même si celle ci allait bientôt être brisée.
Car à l'extérieur, une Derways 313120 Dadi Shuttle s'arrêta devant Bernard qui semblait commencé à s'impatienter et qui fut soulagé de voir ceux qu'ils avaient contactés, enfin arriver.
Il s'approcha de la portière avant droite dont la vitre se baissa pour laisser apparaître le visage de Sofya, une lieutenant du syndicat de Dimitri Rascalov. Celle ci avait son air de femme fatale comme d'habitude et elle salau del a tête l'homme dehors.

Bernard : Alors tout est près ?

Sofya : Oui, tout notre Syndicat est près à intervenir.

Bernard : Cool !

Sofya : C'est donc ici que se trouvent tous les suspects de l'assassinat de la mort de la "disparition" de notre chef ?

Bernard : Oui, le Detective Naru qui enquêtait beaucoup trop sur votre patron. Gilbert Motagné qui est un ami de Yegor Petrovic et cet enflure d'Henri qui à mit aussi son grain de sel là dedans et c'est bien fait pour lui, il y a aussi 3 autres personnes, mais c'est juste 3 témoins indésirables, vous saurez vous en débarrasser. Il y a juste cette Saryna qui...

Sofya : Pour elle c'est bon, on l'avait sous surveillance le jour de la "disparition", ça ne peut pas être elle.

Bernard : Donc vous allez bien faire en sorte qu'ils meurent tous ?

Sofya : Oui c'est bon votre ex mourra, je vous le jure, on une réputation à tenir, par contre vous feriez bien de partir car ça va péter ici et ce serait qu'on que vous fassiez parti des victimes.

Bernard : D'accord, bonne chance !

Et l'enfoiré de Bernard en profita pour se tirer tandis que la Russe s'occupa de prévenir les autres allaient débarquer dans la minute. Puis elle quitta le véhicule, accompagné des 3 autres personnes qui étaient avec elle dedans.
C'est ce moment là que choisit Baptiste pour jeter un coup d’œil par la fenêtre et il assista à la fi nde l'échange, et il prit peur.
Il ferma alors la fenêtre et se tourna vers les autres en essayant de garder son calme.

Baptiste : Je viens de voir Bernard avec des Russes devant et ils n’ont pas l'air content, il faut boucler la porte.

Henri décida de s'en occuper avec sa fille tandis que le PDG prit son téléphone et composa un numéro, pour ensuite dire une phrase bien étrange.

Baptiste : Code 666 777 4869, dépêchez vous !

Il raccrocha mais laissa le portable allumer, c'était très important.
Il se tourna vers Naru et Gilbert qui le regardaient étrangement.

Baptiste : Les Renforts sont en route, nos Black Ops seront là, notre Sécurité Privée aussi vu que le Maire leur a permis d'être en ville, et surement notre Armée Privée aussi, après tout je suis le PDG, ils vont mettre tous les moyens pour me protéger, faut juste tenir le coup jusqu'à leur arrivé.

Il attendit de voir leur réaction.

Naru : Attends, tu es en train de me dire, qu'il y a les putains de sous-fifres de l'enculé que j'ai buté et qu'ils veulent tous nous tuer ? Mais c'est génial, je vais pouvoir buter des gens et sans avoir à cacher les corps en plus vu que c'est autoriser par la mairie, mais c'est mon jour de chance, enfin même si la chance n'existe pas vu qu'il s'afgit de simple probabilités basiques.

Je commençais à sourire sadiquement avant de me souvenir.

Naru : dommage que j'ai pas pris mon pepom ou mes katana ça aurait été drôle.

Je me mit alors à imaginer ce que je pouvais bien faire pour tous les exterminer.

Naru : dîtes Henri, vous avez un peu de Coca, une bouteille ou deux devrait faire l'affaire.

j'attendis sa réaction