[RP] Sur la Piste de Bonnie & Clyde [Terminé]

je me trouve chez moi assis sur mon canapé les yeux perdu dans le vide ainsi que mon esprit car je ne pense a rien , quand a moi je suis très loin de me doute que le détective que j'ai vue aller venir chez moi en personne . puis je fini par replier mes genoux sur ma poitrine , et je porte mon regarde ma veste qui porte le blason des STARS , et je fini par détourne mon regard en soupirant . je ne pourrai vous dire l'heure qu'on et car pour moi le temps ses arrête a ma mort de mon fiance kite ,

je ferme mes yeux quand un coup j'entend sonne a ma porte se qui me fait lever ma tête . je me demande bien qui sa peut-être , alors je me leva du canapé et je parti ouvrir la porte la je fut surpris devoir en personne le détective alors je me vie rentre .

-bienvenu chez moi se fait pas attention a la déco

car hé oui j'ai une déco pas comme les autre il faut dire que j'ai des vitrine avec tout plein de figurine manga et idem en poster

Un petit immeuble dans le coin Nord Ouest de la ville, près des limites de la ville donc à la périphérie, il y avait même un petit bidonville non loin de là.
Un homme s'y fit halte, c'était The French Detective, il avait des dossiers photocopiés sous le coudes et il était vêtu chaudement car il neigeait dehors mais la neige ne restait pas sur le sol.
Il avait besoin de voir Saryna en urgence à propos de l'affaire la concernant.
A peine entré qu'il pouvait voir à sa gauche, le concierge, dans son petit local à lui où il accueillait les résidents et autres personnes de passage.

Henri : Je cherche l'appartement de madame Coleen.

Concierge : Premier étage, première porte à gauche. C'est une fille bizarre, elle reste cloîtré chez elle jour et nuit,  et pourtant c'est comme si elle n'était pas là.

Henri : D'accord, merci du renseignement.

Il monta au premier et alla sonner à la porte indiquer par l'autre homme.
Finalement elle s'ouvrit, laissant transparaître la femme aux cheveux châtains et avec un air dépressif sur le visage lui ouvrir la porte.
Il entra donc à l'intérieur et elle le laissa entrer.

Saryna : Bienvenue chez moi, ne fait pas attention à la déco.

Petrick regarda les étagères de figurine d'animés ainsi que les posters de même.
Elle semblait beaucoup apprécier cette culture japonaise.

Henri : Sympa chez vous, bon j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle, vous voulez commencer par laquelle ?

Il attendit sa réponse.

je l'invite a prendre place dans le deuxième canapè qui se trouve en face de moi ,

-commençais par la mauvaise aux point ou j'en suis

je le regarde sans plus rien dire , car je suis retombe dans le silence car je lui laisse le temps de réfléchir a se qu'il vas me dire . je regarda les dossier qu'il avais avec lui et qu'il pose sur la petite table du salon

Petrick était confortablement installé dans le deuxième canapé et il posa les dossiers sur la table.

Henri : Si je ne vous ais pas appelé, c'est que je suis sur écoute et qu'il y a deux types qui me surveillent depuis deux jours, j'ai réussis à les feinter maintenant pour venir là mais ils vont surement me retrouver. Ils doivent être de UNIT.

Elle ne semblait pas comprendre ce dernier point.

Henri : C'est qu'on en vient à la bonne nouvelle, j'ai découvert qui sont nos Bonnie and Clyde.

Ils sortit alors les photos de Sarah Kyrine et de l'Homme Pourpre.

Henri : Je vous présente Sandra Kylian et Zebediah Killgrave, tous les deux des membres de l'United Nations Intelligence Taskforce, UNIT si vous préférez, elle était scientifique et lui un simple soldat. Ils sortaient ensemble et tout se passait bien jusqu'en 2009. Lors d'une attaque perpétrée par Gilbert Montagné et Esmaraldine dans le but de sauver un certain Barbus, un Turien de la planète Palaven qui avait percer les défenses dans de leur lieues les mieux protégés. Oui je sais même moi j'ai eu du mal à croire ce que j'ai lu mais étant donné que tout ça c'est censé être top secret, ça doit être vrai. Bref il est mort en tentant de les interpeller, il est tombé dans une cuve d'une substance toxique appelé "Sang de Chimère", un liquide pourpre, et bizarrement après cela Sandra a disparu et Sarah est apparu, intéressant, et l'Homme pourpre aussi a commencé à faire parler de lui après ça. Il a dû survivre à cela et ça a du lui faire un choc dans les neurones, je ne saurais le dire, en tout cas je vais remercier mon vieil ami pour ces infos. Vous en pensez quo ide tout ça ?

Il attendit son jugement.

je l'écoute parler puis je prend les dossier que je regarde en silence , et je reporte mon intention sur henri

-je voie

et je lui redonne les dossier ,

-mais se que je comprend pas pourquoi elle a voulus m'élimine d'une façon bizarre

je le regard pour voir se qu'il aller me dire

Henri : Alors là désoler, je ne sais pas, il faudrait demander à un psychologue, ça, c'est peut juste une sociopathe complètement taré.

Il se tut puis reprit.

Henri : Puis je avoir un verre d'eau s'il vous plait ?

Il attendit sa réponse.

je me leva et je parti prendre un verre d'eau et je reviens avec le verre que je pose sur la table base

-voici votre verre d'eau bien fraiche

je repris ma place dans le silence sans me doute que des personne aller nous tombe dessus , je regarde henri boire le verre d'eau qu'il m'avais demande et le repose sur la table base

Henri posa ses lèvres sur le verre et commença à faire couler l'eau tout le long de sa gorge, allant directement à l'estomac pour ensuite finir à la vessie.
Mais quelque chose attira l'attention d'Henri, il lui semblait avoir entendu du bruit dans le couloir de l'immeuble, il resta néanmoins calme.

Henri : C'est ce que je craignais, ils ont su où j'allais, reste calme et surtout ne les tue pas pour l'instant, ce serait nous causer des problèmes inutiles.

Elle ne semblait ne pas savoir où il voulait en venir.
C'est alors que la porte sauta et que 4 personnes vêtus de vêtements d'hiver entrèrent en trombe, c'étaient des agents de UNIT.
Oui car UNIT comme le BSAA possédait à la fois sa propre armée de soldat, qui était quand même plus importante qu'au BSAA, et aussi ses agents qui étaient chargés principalement de reconnaissance, de surveillance et infiltrations.
Ils encerclèrent bien vite les deux individus, le détective français se leva calmement avec les mains derrière la tête.

Henri : Bonjour UNIT.

Agent 1 : Ne bougez pas jusqu'à ce que les renforts arrivent pour vous extraire jusqu'à notre nouvelle base !

Henri : Oui c'est vrai, je m'en rappel du discours mouvementé en Novembre dernier, comme le BSAA, vous avez dorénavant une base ici dans la ville et c'est approuvé par le Maire, auparavant c'était l'Armée de Terre et les Marines qui en avaient une, mais ils ont foiré avec l'Inframonde, d'ailleurs ce projet vous revient maintenant.

Agent 2 : Vous savez beaucoup de choses.

Henri : C'est mon métier.

Agent 3 : Maintenant taisez vous un peu s'il vous plait.

Il obéit, ça ne servait à rien d'en rajouter et tourna son regard vers Saryna pour voir comment il réagissait à la situation.

je des soldat défoncer ma porte chose qui me fit sursaute , mais je ne bougea pas du canapè je suis même très silencieuse avec mes main sur ma tête et mon regard perdu dans le vide . et de tout façon que voulez vous que je face mes arme sont dans ma chambre , je regarde ses soldat avec un regard vide et je soupire .

et je porte mon regarde sur henri qui lui aussi très calme , ont peut sur tout voir dans mes yeux une personne qui a beaucoup de mal a dormir et sur tout très triste

Ils n'eurent pas attendre longtemps car un bus noir avec marqué UNIT en gros dessus, bonjour la discrétion, s'arrêta devant l'immeuble, et 5 private en sortirent en trombe, accompagné par celle qui dirigeait ces troupes, la Capitaine Marion Price, ensemble ils entrèrent dans l'immeuble et passèrent devant le concierge qui ne comprenait rien à la situation.
Ils montèrent les escaliers et se rendirent dans l'appartement qui fut donc remplie par 12 personnes.
La seule femme de ce groupe de UNIT et aussi la plus haute gradée dans le tas, s'approcha des deux personnes qu'isl tenaient en joue.

Marion : Vous savez que c'est pas bien de fouiner dans les affaires d’autrui.

Henri : Désoler, j'ai dû appuyer sur un mauvais bouton.

Marion : Mais oui c'est ça, Perkins allez discuter avec le concierge pour l'informer de la situation, les autres, avec moi, on les emmène.

Tout le monde partit en groupe et quittèrent l'immeuble sauf Perkins qui resta sur place, il sera récupéré plus tard le bougre
Petrick et Coleen furent donc obligé de monter à bord avec les soldats et agents, le bus démarra peu de temps après les emmenant à la base mentionné plus tôt.
Mais à peine le trajet commencé que Marion s'approcha d'eux pour parler.

Marion : N'y allons pas par quatre chemins, Monsieur Petrick vous avez dû être engagé par cette dame ici présente, Saryna Coleen, maintenant la question est pourquoi et pourquoi ? Commençons déjà l’interrogatoire pour voir si vous êtes coopératif, alors ?

Henri : Si quelqu'un doit répondre, c'est ma cliente, moi je n'ai le droit de rien dire.

Restez à savoir si Saryna allait répondre ou non.

je ne comprend rien a tout se qui arrive et du pourquoi je me retrouve dans se fourgon noir , mais je ne parle toujours pas je reste muette mes yeux vide qui regarde le plancher du fourgon . puis je regarde cette femme de mes yeux vide et je soupire de lassitude ,

-tout se que j'ai dire c'est pourquoi m'avoir embarquer moi aussi

puis je me tu retombant dans le silence

Marion rigola à cette remarque de Saryna.

Marion : Vous me prenez pour une idiote ? Nous l’avons surveillé et avons pu découvert que si il a fouiné dans nos données, c'est pour vous, vous êtes sa client. Mais on ne sait toujours pas la cause et le but. Alors maintenant j'attends.

Petrick arrêta de suivre la conversation, préférant regarder le paysage défiler à l'extérieur du bus.
Il sentait qu’ils allaient passer un sale quart d'heure, mais il espérait se planter.

je me lève d'un coup car j'en peut plus et je fait face a cette femme ,

-ok je vais vous le dire , je lui et demande des info sur une certaine sarah kyrine sa vous vas

ma voie et très calme mais pas moi , quand a mes yeux il reste vide et je me laisse tombe sur le siège avec ma tête baise

Marion resta calme elle aussi et elle racla sa gorge avant de prendre la parole.

Marion : Vous semblez peu coopératif mais bon on fera avec, le problème c'est que maintenant vous êtes en possession d'infos qui doivent être gardé secrètes et donc je ne peux pas vous laisser partir comme ça, vous allez donc devoir causer avec le Lieutenant-Général Sanchez en personne, le Colonel Mace lui demandera de venir. Nous trouverons surement un moyen de régler cette situation sans trop de problèmes, allez nous sommes bientôt arrivé.

Elle se leva alors et alla dans un autre coin du bus pour appeler Mace avec sa radio.
Petrick quand à lui, tourna sa tête dans l'autre sens pour faire face à Saryna.

Henri : Je suis désolé que mon ami n'est pas fait plus attention quand il m'a refilé les infos, maintenant ça va être surement soit on on travail avec eux et c'est pépère, faudra juste éviter de révéler nos infos, soit ils nous enferment au trou pour le restant de notre vie, ou du moins jusqu'à que l'implication de UNIT avec nos deux psycho soit révélé au grand public. Mais bon voyons l'avantage, on pourra nous servir d'eux pour pouvoir s'occuper de Sandra et son copain.

Il attendit de voir la réaction de Saryna.

je tourne mon visage vers henri sans rien dire , puis je le porte sur le paysage . puis on arriva enfin et ont nous fit descendre du fourgon , et ont nous conduit sous un hopital je garde le silence . je regarde de temps a autre henri et ont nous conduit dans une pièce ou ont nous pousse , et voila que la porte se ferme je me laisse glisse le long du mur de la pièce ou je replie mes genoux