[FIC] Déjà Veuf [Terminé]

C'était un grand jour pour Gilbert Montagné, il venait de se marier avec Suzanne Cordasi, une femme qu'il connaissait depuis l'école primaire. Elle était très encore très jolie et paraissait jeune malgré qu'elle avait 38 ans. Elle adorait l'écouter chanter et lui il adorait chanter, ils allaient si bien ensemble. Pour bien fêter le mariage, ils rendirent sur l'île de Marawarzaza que Gilbert avait acheté pour la vulgaire somme de 31 000 001 euros. Toute la famille de la mariée était là alors que celle du marié n'avait pas daigné venir, à la place des amies de Gilbert étaient venus dont Holt Valentine. Cela faisait une trentaine de personne au totale et ils étaient quasiment tous au banqué à la l'extérieur alors que les deux ami Valentine et Montagné étaient à l'intérieur de la petite bâtisse entrain de discuter tranquillement.

Holt : Je suis content que tu m'aies écouté et que tu aies rejoins le BSAA.

Gilbert : Ouais sauf que je suis un SOA et toi un SOU.

Holt : Je suis l'équipe de choc et toi tu es les yeux et les oreilles du BSAA.

Gilbert : C'est complètement ça.

Holt : Bon navré de te fausser compagnie mais j'ai quelqu'un qui m'attend à la maison.

Gilbert : Jill ou une nouvelle conquête ?

Holt : Une vieille conquête, elle s'appelle Erza, allez à plus et garde moi quelques apéritifs.

Gilbert : Ne t'en fais pas pour ça.

Valentine s'en alla par la porte de derrière ne saluant son ami puis retourna à son hélico qui l'attendait non loin de là, Clint s'y trouvait entrain de lire comme d'habitude des magazines cochons. Holt monta à bord et toqua sur la paroi pour lui faire signe de sa présence.

Clint : Alors tout se passe bien là-bas ?

Holt : Ouais impec, bon ça ne te dérange pas de nous ramener à la maison ?

Clint : Meuh non, j'attendais ton signal.

Le pilote alluma les moteurs et fit décoller l'engin pour quitter l'île, s'en savoir que ceci allait leur sauver la vie.

Plusieurs véhicules en noir s'approchèrent de la demeure sous le soleil éclatant de ce mois de juillet, à leur tête une limousine où se trouvaient les deux chefs de l'opération. Javier, un jeune hispanique avec très peu de barbe et les cheveux bruns foncés. Marco, un grand costaud chauve, portant des lunettes de soleils et faisant toujours la gueule.
Ils s'arrêtèrent tous sur le chemin menant au banqué, à quelques mètres de la maison, heureusement ils n'avaient pas encore étaient vus. Javier vérifia qu'il avait toujours son Glock sur lui et entendit son ami lui poser une question.

Marco : Eu pourquoi on attaque ce mec déjà ?

Javier : Bon je vais reprendre tout depuis le début. La fille de Carmine Millione adorait Gilbert Montagné et passait son temps à écouter sa musique, alors pour son dixième anniversaire, son père lui a demandé de venir animer la fête mais il a refusé fermement et a raccroché au nez du Don.

Marco : Aille.

Javier : Personnellement j'ai rien contre ce type, j'ai même aimé quelques une de ses chansons, mais tu connais notre Don, on lui fait pas ce coup là surtout lors de l'anniv de sa fille.

Marco : Et on doit éliminer tout le monde ?

Javier : Ouais aucun témoins. Allez en route.

Les deux mafieux quittèrent leur voiture et tous les autres les suivirent dans le même temps, ils s'avancèrent ensuite vers la fête pour la faire à leur façon.
Entre temps à l'intérieur du bungalow, Gilbert se trouvait en compagnie de son nouveau beau père qui était entrain de lui montrer une arme qu'il avait rapporter de la guerre d'Afghanistan. Un beau HK MP5SD, pistolet mitrailleur, qu'il montra donc à son beau fils.

Beau père : Tu vois gamin, ça c'était mon arme de prédilection quand j'étais à l'armée.

Gilbert : OK et c'était dur la guerre ?

Beau père : Oh ta pas idée mon p'tit, ces arabes ont bien failli m'avoir plusieurs fois.

Gilbert : Ouais... Ces arabes....

Soudain des coups de feu retentirent et dû à ses expériences à l'armée, Richard, le beau père se lança vers la fenêtre comme un tigre sur sa proie et regarda à l'extérieur à travers une fenêtre. Il voyait de là où il était les gens s'enfuirent en courant et d'autres tomber à terre en se prenant des rafales de balles. Ainsi que les mafieux qui s'avançaient en mitraillant tout le monde.

Gilbert : Qu'est ce qui se passe !?

Richard : moins fort, c'est la guerre dehors.

C'est alors qu'arrivant dans la baraque, Suzanne, ferma derrière elle la porte et bloqua avec une planche de surf. Elle se réfugia alors dans les bras de son père puis de son mari.

Suzanne : C'est horrible ! Maman, tante Jacqueline et les autres, morts !

Richard : Ecoutez moi, mon bateau se trouve au quai avec les autres, tenez prenez les clés.

Il les lança à Gilbert qui les rangea alors dans sa poche.

Richard : Vous l'utiliserez pour vous en aller.

Suzanne : Non papa, je ne t'abandonnerais pas !

Richard : Ecoute mon ange, j'ai déjà fais la guerre, alors fais ce que je te dis, c'est pour ton bien. En attendant je les retarderais et ferais diversion.

Suzanne : OK.

Richard : Allez y, je les entends arriver.

Le couple s'en alla par la porte de derrière, la me^me que Hotl avait précédemment prise. Puis il s'en allèrent, parcourant la prairie verdoyante où se trouvait précédemment l’hélico de Clint pour contourner les ennemis et se rendre au quai situé non loin de là. Et justement, ils l'eurent en ligne de mirent, puis il descendirent la petite pente rocheuse et coururent sur la plage avant de sentir le bois grinçant sous leur pieds. La bateau n'était plus loin mais ce fut le Drame, un coup de feu et puis tout s'arrêta. Suz tomba en avant et s'écroula au sol, une balle dans la colonne, morte sur le coup. Le tireur était un jeune gringalet, à première vue ça faisait peu de temps qu'il faisait parti de la mafia. 2 autres de ses potes arrivèrent et puis se fut au tour de Javier de venir.

Javier : Bien joué Tom, tu l'as bien refroidi.

Gilbert : VOUS L'AVEZ TUE !!!!

Javier : C'est toi qu'on visait, mais comme le Don Millione ne veut pas témoin, on a été obligé d'en venir à ça, désoler.

Gilbert : JE VOUS TUERAIS TOUS JUSQU'AU DERNIER !!!!

Javier : Tuez le.

L'un des mecs, armé d'un lance roquette RPG 7 s'avança et s'apprêta à tirer sur Gilbert qui voyant le coup partir, sauta sur le bateau à coté de lui pour éviter le tir qui détruisit une grande partie de l'embarcadère sur le coup. Javier en avait assez d'attendre.

Javier : Finissez le, je vais prévenir le Don que l'opération fut un succès.

Il s'en alla et le jeune s’avança avec son HK USP jusqu'au bateau où se trouvait l'aveugle qui ne voyait encore rien à cette époque. Il était entrain de reprendre son souffle, aillant des cendres sur lui, ça le fit toussoter. Mais dans son état il put rien faire, la mafieux lui tira 3 fois dessus, le touchant au torse puis il poussa le bateau qui fut détaché par l'explosion et le fit aller à la dérive au loin. Il put rejoindre ensuite ses potes et s'en aller, ce fut un vrais carnage.

Tout était noir pour Gilbert, il pensait être mort, que tout était fini et qu'il en pourrait jamais venger sa femme, ses amis... Mais une voix retentit dans son esprit.

??? : Tu es fort, alors réveille toi.

Et justement il commença à ouvrir les yeux petit à petit, et étrangement il semblait se trouver dans une sorte de cabanon. A ses cotés se trouvait un vieil homme noir, barbu et habillait comme les autochtones, ce dernier se présenta immédiatement.

Zarick : Zarick Himaslinam, Sorcier Vaudou, comment allez vous ?

Gilbert : Mieux, physiquement... Moralement....Non.

Zarick : Oui je sais j'ai vu ce qu'il s'était passé, en effet j'habite sur l'île voisine.

Gilbert : Ah oui j'avais entendu parlé de vous.

Zarick : Et j'ai vu ses gens arriver après qu'un hélico soit parti et tirer à vue, je n'ai rien pu faire, je serais mort si j'étais intervenu. Heureusement je vous ais vu arriver à la dérive sur une embarcation et je vous ais soigné du mieux que j'ai pus avec quelques herbes et incantation de mon folklore.

Gilbert : Comment ais je fais pour survivre ?

Zarick : Lwa Baron Samedi a du penser que ce n'était le jour pour votre mort.

Canne : Ou peut être parce qu'on est Dimanche ,

Gilbert sursauta en voyant cette canne arriver et parler.

Zarick : Oh n'ayez pas peur, c'est ma canne, elle s'appelle...

Canne : Ne lui file pas mon nom.

Zarick : D'accord.

Gilbert : Bon c'est pas tout ça, vous avez un moyen de transport pour que je puisse partir pour me venger de ses mafieux.

Zarick : Oui, vous pouvez prendre mon bateau, de toute façon il y en assez sur l'autre île, et leur propriétaire ne pourront pas se plaindre.

Gilbert : Merci de m’avoir sauvé la vie, au revoir.

Zarick : Attendez avant de partir. Ma canne, voudrais ut l'accompagner dans ses périples pour qu'il puisse venger ses âmes souillés par le sang et la violence ?

Canne : Ouais je me fais chier ici, il n'y a pas la téloche.

Zarick : Bonne chance.

Gilbert : Merci à vous aussi.

Même si Gilbert ne semblait ressentir aucune émotion, il souffrait beaucoup, intérieurement. Il s'en alla alors avec son nouveau compagnon, la canne et partit faire de nombreux périples. Une fois sur le continent, il put alerter les autorités mais cacha l’implication de la mafia là dedans car il savait qu'on le prendrait pour un fous. C'était le début d'une longue quête...de vengeance.

(Fin ^^)

Magnifique fic ou l'on apprend comment Gilbert a rencontre sa canne et ou il et veuf^^

Ouais et c'est ce qui a entraîné ensuite sa folie ^^

Oui tout s'explique^^