[FIC] I'm The Killer Baby ! [Terminée]

Dans ce palace doré qui était jadis loin d'être aussi luxueux, un hurlement effroyable traverse tous ses murs pour se répandre au-de-là dans la quartier, afin d'être sûr de perturber le sommeil de toute la population avoisinante et d'alimenter les rumeurs les plus perturbantes. Pourtant, la réponse à ce mystère est loin d'être galvanisante, étant plutôt ordinaire et compréhensible puisque tout part de ce cauchemar que vous avez pu lire en anglais dans le précédent post.
Il ne s'agit que de Maxime Moulin, qui était au centre de l'épouvantable rêve je vous le rappelle, qui vient d'en sortir en sursaut après s'être sauvagement suicidé dans celui ci en s'autobrisant la nuque, ce qui est sacrément fort à faire. Quoique pas autant que de le faire sans les mains, ce qui nécessite souplesse extraordinaire et ne peut être appris par un entrainement quelconque puisque...
Suis je vraiment obligé d'expliqué pourquoi ?
Disons que vous n'avez le droit qu'à un seul essai.
Si vous n'avez toujours pas compris, arrêtez de lire, et achetez un cerveau avant de revenir.
Le souffle effréné, le prisonnier 5 étoiles essaye de le calmer du mieux qu'il peut en faisant quelques exercices de méditation mental, puis en prenant une comprimé pelliculé de 15 mg d'Escitalopram EG afin de calmer cette anxiété qui met du temps à partir et qui cause de fortes douleurs à la poitrine au jeune homme qui ne galérait déjà pas assez avec sa phobie social, son acrophobie, ou encore son agoraphobie.
Certains diront qu'il l'a bien mérité après avoir génocidé la moitié d'une Terre alternative et d'avoir contrôlé par la parole, à la Killgrave, des milliards de femmes qui n'avaient rien demander pour qu'elles deviennent ses jouets sexuels, à sa manière.
Quand ses pulsions le dominaient et l'ont poussé à faire des choses qu'ils regrettent amèrement aujourd'hui encore, et il est heureux pour une fois de ne pas avoir été comme un homme lambda, sinon le résultat aurait été pire. En effet, il aurait sûrement allé plus loin dans le viol de toutes ces personnes, là où le pire qu'il ait fait ait été de sa masturber avec leurs pieds et sur leurs corps nus sans toucher rien d'autre que la partie déjà mentionnée ainsi que tout ce qui concerne la tête, comprenant bouche, joues et cheveux.
Cependant seules ses mains et sa langue ont touché les visages de ces pauvre victimes.
Peu importe ce qu'il fera à l'avenir, il sait très bien que rien, pas même sa mort ou sa propre souffrance, ne rachètera les atrocités qu'il a commis.
Malgré sa bonne foi, on ne peut pas réparer une fenêtre qui a été atomisé à la bombe A.
Énormément de monde dans sur ce globe le haïssent, y compris lui même, et ça peut se comprendre, j'en faisais aussi parti, ce qui peut se sentir par moment malgré les précautions que je prends, ma colère peut revenir par moment, et il le mérite.
Aucune excuse n'est accepté pour justifier ses actes.
Désormais, il attend de pourrir dans un donjon en étant oublié de tous, ou enfin il l'aimerait parce que les divinités qui surveillent ce dimension ne semblent pas vouloir le laisser périr comme la piètre larve qu'il est puisque tout va à l'encontre de ce qu'il voulait à la base.
Il est plus récompensé que puni de ses actes.
Quelle ironie.
Déjà pour commencer, il y a le fait que malgré ses incessantes demandes, ses geôliers n'ont pas voulu qu'il soit désavantagé par rapport aux autres prisonniers en ayant un aménagement plus pauvre qu'eux, et aussi ils avaient la flemme que créer une cellule à l'ancienne rien que pour lui. Donc c'est le luxe, et si t'es pas content, on te libère, tiens !
Outre ça, au moins une des femmes qui a été esclave de son courroux auparavant a fini par le pardonner pour ses actes, et pour du pardon, c'est du pardon, puisqu'elle lui a demandé de sortir avec lui.
Selon cette personne, c'est parce qu'elle a vu qu'il s'en voulait pour ses torts et qu'elle s'est attachée à sa personnalité qui lui plaît énormément.
Que ça soit ou non un Syndrome de Stockholm ne change rien au fait que ces deux là semblent bien aller ensemble, et sont mignons à voir si on oublie deux secondes comment leur relation a débuté.
Qui est donc cet esprit qui s'est montré indulgent à son égard ?
La réponse se trouve à ses côtés dans ce lit double où il se trouve en ce moment même, se mouvant sous les couvertures pour au final se découvrir toute partie haute de son corps afin de pouvoir se coller contre celui qui est hanté par ses peurs légitimes.
Habituée des gros câlins affectueux, la détective métissée anglo-japonaise Masumi Sera nous étonne toujours de l'énergie qui se dégage d'elle, tant pour rassurer ses proches que pour casser des gueules. Son enveloppe charnelle entoure celle de son petit copain français qu'elle apprécie déjà énormément, bien qu'elle soit un peu jalouse qu'il ait de plus gros atouts qu'elle au niveau de la poitrine, et aurait voulu avoir ceux de sa propre mère.
Seule la lumière de la demi-lune les éclaire en cette nuit bien trop fraîche pour la saison.

Masumi : De quoi as tu rêvé ?

Maxime : Que je te tuais toi, ta nièce, et Stive. Et que je... je...

Masumi : Que tu abusais de moi. Exactement comme la dernière fois ?

Maxime : Pire.

Masumi : Coït ?

Maxime : Oui. Une fois morte en plus.

Masumi : Ne t'en fais pas, je suis toujours vivante. Et je te ramènerai à la raison à coup de poing et de pied avant que quelque chose n'arrive. Enfin d'abord, j'essayerai de te raisonner.

Maxime : J'ai quand même peur de reperdre le contrôle un jour.

Masumi : C'est normal d'avoir peur.

Maxime : Je sais... J'ai juste pas envie de refaire du mal à ceux que j'apprécie beaucoup et sans qui je serai rien, comme mes parents, ou Stive. Mon comportement n'a fait que rajouter des problèmes à leur poubelles déjà bien remplies.

Masumi : Maxi...

Maxime : Mon père a ses soucis de santé, entre le diabète et la tension, qui font qu'il ne verra peut être pas sa retraite, surtout comment son boulot fait tout pour qu'il se casse en jouant notamment avec sa paie. Stive aimerait de son côté avoir son propre chez soi avec sa copine afin de passer des fiançailles au mariage en lui même, sauf qu'il a du mal à tenir le coup aussi avec plein de coups de fouets arrivent d'un coup. Je ne peux rien faire pour eux...

Masumi : Ecoute moi.

Maxime : Je ne vais pas demander à toi, ou à ta famille, ou même aux Avengers comme Leon de les aider financièrement jusqu'à on ne sait pas combien de temps ça pourrait durer ce merdier. Je ne pense pas qu'ils aient envie de vivre aux dépends d'autres personnes sans pouvoir rien faire.

Masumi : On leur demandera. Je n'ai pas envie de rester le cul vissé par terre à attendre que tes parents finissent à la rue, ou que ton meilleur ami soit écrasé par ses responsabilités. Certes, je suis loin d'être une experte de ce que c'est de vivre dans la pauvreté, ayant eu la chance d'avoir une situation familiale assez aisée et d'être bien traitée par maman. Ce sont "Mariés, deux enfants" et "Malcolm" qui m'ont fait prendre conscience un peu de ça, hé hé !

Maxime : Faudrait qu'on se les mate en intégral ces deux séries un jour.

Masumi : Bonne idée !

Maxime : Merci pour toute ton aide. Tu n'étais pas obligé.

Masumi : Dis pas ça ! T'es mon copain et c'est la moindre les choses de se soutenir mutuellement.

Maxime : J'aimerais pourvoir te rendre la pareil prochainement.

Masumi : Ça ne presse pas.

La chatte réincarnée en humaine se frotte le museau contre le cou de celui qui a été son maître quand elle était sous son contrôle, car son odeur corporel qui pue pour d'autres l'attire tel de l'herbe à chat pour elle. Elle susurre alors des mots doux à l'oreille de celui qui sent son rythme cardiaque enfin se détendre un peu, même si la douleur restera encore encrée pendant un bon moment avant de totalement disparaître, temporairement.

Masumi : Je sais très bien que cela n'ira que dans un sens pour l'instant car dans ta position, tu ne peux presque rien faire, mais c'est pas grave. On peut encore s'amuser tous les deux. Je peux par exemple...

L'une de ses mains, plus redoutable qu'elle en a l'air, glisse le long du torse un peu poilu du bonhomme qui s'épile beaucoup quand même, afin de toucher un zone sensible qui fait procurer du plaisir au petit pervers. D'ailleurs ce dernier a un plutôt long membre qui tient dans ses deux mains. Pas de quoi en faire une généralité en cherchant à savoir quelle était la taille du chibre de Fourniret ou de Strauss-Kahn afin d'en faire une thèse solide.
Mieux vaut que je fasse gaffe à ce que je dis, car c'est là que l’avenir nous réservera des surprises.

Masumi : Je dois t'avouer que je suis toute excitée en découvrant les plaisirs charnels, n'ayant jamais eu de vraies relations par le passé. Juste des abrutis qui me traitaient comme de la merde et qui ont fini par voler avec un bon coup de pied dans les fesses.

Maxime : J'espère ne jamais subir ça.

Masumi : Tant que tu ne me décevras pas Maxi, tout devrait aller, hé hé !

Maxime : Encore Masumimi.

Masumi : En tout cas, je suis fière de moi ! Je commence avoir la pratique dans la branlette masculine !

Maxime : Pas contre dans la discrétion...

Masumi : Hé hé !

Maxime : Si seulement tu pouvais le faire avec les pieds, mais j'ai peur que tu lui brises le cou à mon grand gaillard.

Masumi : La pro de Jeet-Kune-Do va devoir faire gaffe à ne pas blesser son petit copain trop choupi.

Maxime : Pourtant l'instant, il n'y a pas eu d'accident, même pas le sexe en lui même.

Masumi : Tu me donnerais combien quand je te monte ?

Maxime : Dix sur dix.

Masumi : Tu voudras qu'on inverse pour que je te note ?

Maxime : Mieux vaut pas,

Masumi : C'est mon petit vieux Maxi à moi ça !

Maxime : Oooouuuuuuiiiii, je sssssuuuuiisiss viiiiieeeeeuuuuux !

Les deux se marrent bien avec leur bêtises qu'ils sortent l'un après l'autre, bien que le jeune homme a vite le souffle coupé avec la bouche entre ouverte quand vient le moment de jouir. Le volcan entre alors en éruption, expulsant un premier jet de lave, avant de laisser le magma couler pour en foutre partout et ravager ce qui se trouve sur le chemin.
La mimine de la garçonne enfantine se lèche les doigts pour goûter un peu ce liquide bien chaud qui lui fait envie, et puis il faut pas gâcher le jus d'homme car c'est précieux, tout autant que celui de femme.

Masumi : Délicieux !

Maxime : Comment tu peux boire ça ?

Masumi : Parce que c'est bon !

Maxime : On a des goûts alimentaires très différents toi et moi.

Masumi : Après, tu n'es pas obligé de faire pareil avec moi.

Maxime : J'essayerai.... Un jour... Peut être... On verra.

Maxime : Gêné ?

Maxime : Un peu. J'aime pas envie que tout le monde entende nos ébats, et surtout pas Martins qui est dans la chambre d'à côté.

George : Pay no attention to me ! I'm just suddenly very inspired to continue GOT !

Masumi : C'est George R. R. Martin que j'entends là !? Je suis fan de Game of Thrones ! Mais qu'est ce qu'il fait ici ?

Maxime : Il va devoir être jugé pour racisme après avoir mal prononcé le nom de la première dame de France.

Masumi : Pourquoi Shiho ne m'a rien dit ?

Maxime : Je crois qu'ils sont occupés à essayer de l'aider, malgré l'instance de la Ligue LGBT pour le foutre derrière des barreaux. Ils ont même fait un bûcher pour cramer ses bouquins, Place de la Bastille.

Masumi : Shishi n'en finira jamais avec sa lutte contre eux, hé hé...

Maxime : Faut espère que leur racisme à ces antitout ne gagne pas.

Tombant sur une note triste, la conversation se tait pendant quelques longues secondes avant que Max n'ait une idée pour radoucir l’atmosphère un peu, en faisant plaisir à la belle femme aux yeux verts qui tient de sa mère pour ses traits physiques affinés, cachant une terrible force dans des muscles qui n'ont pas besoin d'être gros pour pouvoir faire de grandes choses.
Le petit geek à lunettes se tourne vers celle qui est tout aussi nu que lui, afin de la reluquer, de la tête aux pieds qui lui font tant plaisir à contempler tellement ils sont parfaits pour lui en étant ayant les orteils fins, de la bonne tailles et rangés par ordre croissants. Sans compter sur le fait que ses panards sont assez grand et que la sensation de cette peau et ces ongles doux sous la langue est un plaisir inégalé, étant un véritable El Dorado pour celui qui a des goûts que plus de gens qu'on le pense ont mais refusent de l'admettre.
Même le King l'avait, donc un peu de respect s'il vous plaît.
Pour le coup, ce ne sera pas ce morceau là qui intéressera le gourmand puisque ce n'est pas à lui qu'il faut provoquer la jouissance ultime, mais bien à elle, juste en face, qui se retrouve un peu embarrassée quand le regard de son amour s'attarde un peu trop sur ses seins quasi-inexistants.

Masumi : J'ai pas hérité de maman sur ça, hé hé...

Maxime : J'ai jamais aimé les gros seins, ni même été fan de cette partie du corps de toute façon, donc ne complexe pas là dessus. Tu as déjà les pieds d'un ange et la force aussi, bien que tu ne m'ais pas encore fait un mélange des deux pour voir.

Masumi : Je n'ai pas envie de te faire mal, mais si tu le veux vraiment, je pourrai essayer à l'occasion.

Maxime : Cool !

Masumi : Cela fait bizarre d'avoir quelqu'un comme toi qui ne fantasme pas sur les poitrines. En plus,souvent ce sont les gros qui attirent.

Maxime : Je ne m'appelle ni Holt, ni Silver. Bien que le premier soit hypocrite quand il déclare préférer les gros nibards alors qu'il n'ait sorti qu'avec des filles qui en avaient des petits. Marine, Erza et Ailein. Enfin bon, lui c'était un cas à part, car on parle du mec qui aura le plus divisé les Avengers quand même.

Masumi : Ce n'est pas toi qui tient ce titre plutôt ?

Maxime : Non moi ils sont presque tous contre moi à présent, donc ça ne marche pas.

La pro du combat pousse un franc rire avant d'être coupé par la sensation de deux mains qui se mettent à masser ses deux petits fruits rouges, chacun avec une paume dédiée à lui. Cela fait immédiatement réagir les stimulus du corps de la belle Sera qui n'a pas à rougir devant sa cousine, même si elle ne sera rend pas forcément compte que la beauté qu'elle a aussi, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur.
Max se met par la suite à mordiller les tétons car il n'est pas pédé, afin de l'exciter encore plus.
Sans que lui ou elle ne le sache, ils sont épiés depuis le début par une présence cachée dans l'ombre, plus précisément dans un coin de la pièce, près de la porte des toilettes.
Une fine voix faisant très gamine (Vers 5:40 pour écouter) s'exprime alors tellement bas qu'elle n'est pas entendu par ceux trop occupés à à la luxure.

Yami : Je haïs les choses perverses.

Celle qui est surnommée en français "Ombre Dorée", et en japonais "Konjiki no Yami" est là depuis un peu trop longtemps à son goût, bien qu'elle mettra du temps avant de reconnaître avoir fini par développer des sentiments pour celui qu'elle espionne depuis un moment déjà, d'abord pour le compte de son patron chez les Secret Warriors, puis finalement pour son propre compte personnel en invoquant la raison de pseudo méfiance vis à vis du dangereux terroriste qui passera très bientôt au tribunal.
Pour quelqu'un qui avait la poisse, la chance lui sourit dernièrement.
Il aura fallu qu'il tourne mal pour que ça arrive.
Si seulement, il avait fait ces belles rencontres auparavant, on aurai pu sauver tant de personnes.