[FIC] Soutien aux Kurdes [Terminée]

L'heure est à une nouvelle confrontation internationale, séparant une nouvelle fois l'hémicycle en deux camps distincts. En vérité,  il y avait aussi le camp des "Jemenfoutistes", composant la majorité de l'assemblée car après tout, c'est pas chez eux, ça ne les concerne pas.
D'un côté nous avons la France prônant son point de vue toujours autant sujet à dispute en ces temps sombres où la folie règne en ce monde. À savoir la Liberté, l'Égalité, la Fraternité, et un coup de tatane à ceux qui ne veulent pas la respecter.
De l'autre côté là Turquie qui est tombé depuis quelques années déjà dans l'islamisme le plus total pour ce qui est de la politique qui est mené. Cette république est donc divisé en deux, entre ceux qui soutiennent le pouvoir en plus et ceux qui veulent revenir vers une laïcité.
Je vous à présent laisser deux agent du GSPR s'exprimer puisque pour le coup c'est la tâche qui leur est confié, afin que les spectateurs français puissent observer le match sur AB1. A présent, écoutons ce que ces commentateurs, sur leur petit espace perso, ont à dire.

Patrick : Bonsoir Thierry, comment vas tu !?

Thierry : Ça peut aller mon cher Patrick.

Patrick : Qu'est qui a ?

Thierry : J'ai dû sucer la queue d'un gros renoir pour arriver ici.

Patrick : Oh tu sais ce sont des choses qui arrivent de nos jours quand on est Blanc, mais ça ne nous regarde pas.

Thierry : Facile à dire pour toi, t'es d'origine malienne.

Patrick : Si tu le veux bien, décrivons un peu ce que va être le match du jour dans...

Thierry : La WWUN.

Patrick : J'ai pas entendu ! 

Thierry : LA WWUN !!! YABADABADOU !!!

Patrick : Et aujourd'hui, nous retrouvons le champion légendaire et de la catégorie Light Heavyweight car il ne faut oublier que malgré sa petite taille, il est lourd notre Captain Chaos.

Thierry : Il est également très apprécié comme le prouvent ces applaudissements.

Patrick : Le public est en joie, en érection face à sa présence. 

Thierry : Espérons juste qu'ils n'en foutront pas partout.

Patrick : D'ailleurs, ça me rappelle une fois chez mon cousin où. ..

Thierry : Personne ne veut le savoir mon cher Patrick.

Patrick : Et v'là qu'entre en jeu Recep Tayyip Erdoğan, où devrais je dire Snickers, le catcheur qui font le plus sous la bouche.

Thierry : Comment est ce que tu peux le savoir ?

Patrick : Je l'ai déjà sucé chez mon cousin.

Thierry : Je comprends mieux pourquoi tu ne m'as défendu tout à l'heure, parce que t'aime bien sucer le poireau.

Patrick : En même temps, tout le monde devrait le faire au moins une fois dans sa vie.

Thierry : Beurk !

Patrick : Ma femme aussi le fait souvent.

Thierry : Ouais ouais ! Écoute, on dirait bien bien que le foule hue Snickers.

Patrick : Ça c'est parce que ils ne lui ont pas encore...

Thierry : Ta gueule !

Patrick : Et là la lutte commence déjà avec Captain Chaos qui assomme l'arbitre avec l'aide de son énorme et belle teub avant de sauter sur Snickers pour tenter un Hélicouptère !

Thierry : Snickers la lui coupe avec ses dents et la jette à son unique fan qui est juste un random clodo ! 

Patrick : Cet affrontement commence bien !

Thierry : Pour le moment on dirait plus du Free Figjt que du catch, offrez nous un beau spectacle !

Patrick ;: Ah Captain Chaos nous "Tiremoiloreilletuveuxbien qui met son adversaire au tapis !

Thierry : Et il enchaîne avec un Headshot, répandant de la cervelle partout à la manière d'un John Wick.

Patrick : Une telle beauté ! 

Thierry : Bien moins bon que Keanu Reeves.

Patrick : C'est donc Captain Chaos qui la remporte face à Snickers, Victoire par Mort.

Thierry : Ça devient n'importe quoi tout ça !

Patrick : D'ailleurs, c'était pour quel raison le match cette fois ci ?

Thierry : L'invasion de la Syrie par l'Armée Turque pour éliminer les Kurdes en utilisant notamment les prisonnier de Daesh pour les aider, et en ciblant aussi des soldats américains au passage.

Patrick : Que des broutilles en soi !

Thierry : Si tu le dis.

Patrick : On se retrouvera la semaine prochaine, même heure, pour y voir le Choux Blanc et P'tite Teubie s'affronter sur la question de l’utilisation des armes chimiques par l'Iran.

Thierry : Boycottez ce programme s'il vous plaît.

C'est ainsi que ce termine ce moment d’anthologique, sur une victoire française, grâce à leur président préféré.
Les Kurdes pourront souffler à présent, bien que la façon dont leur situation a été réglée laisse à désirer.
Devant un poste de télévision, une bouche savoure les litres de bière qu'elle s'enfile depuis tout à l'heure afin de rester réveiller et donc ne pas être tenter par ce monde des songes qui est enviable, bien qu'il la séparerait de l'ange qui se trouve à ses côtés, avec son gros chat Momo sur ses jambes, lui déjà complètement endormi. Il faut dire que cette bidoche ambulante passe son temps à faire ça, comme tout bon félin de son espèce, voir même plus.
Aimant regarder de la lutte théâtrale quand elles le peuvent, c'est à dire quand elles ne bossent pas, Lucy et Ophelia sont toujours aussi mignonnes à observer dans leur appart de moyenne grandeur perdue dans une commune alsacienne, adjacente du monstre qu'est Strasbourg. Un quartier où les racailles aiment trainer, où des canapés en feu sautent des fenêtres pour le Nouvel Ans, et où des chiens disparaissent lors de leur sorties.
Un havre de paix donc.
Voyons voir ce qu'elles ont pensé du match plutôt court il faut l'admettre.

Lucy : Je ne sucerai pas Erdogan.

Ophelia : C'est tout ce que tu retenu de ça ?

Lucy : Oui.

Ophelia : En même temps, tu préfères les Vagins.

Lucy : Oui.

Ophelia : Tu as déjà sucé un mec ?

Lucy : Oui.

Ophelia : Vraiment ?

Lucy : Oui, une seule fois.

Ophelia : Qui ?

Lucy : Holt Valentine.

Ophelia : Encore lui ?

Lucy : Oui.

Ophelia : Bah dis donc, il s'est tapé la moitié de la Terre ou quoi ?

Lucy : Surtout les Rousses.

Ophelia : J'ai déjà appris l'autre jour que lui et Lina ont eu une aventure, alors ça en plus.

Lucy : Eux ensemble ?

Ophelia : Ouais, durant la période entre le moment où il était avec Marine et celui où il s'est mis avec Erza.

Lucy : On en apprend tous les jours.

Ophelia : Et donc ?

Lucy : Quoi ?

Ophelia : Tu as aimé le goût de la bite ?

Lucy : Non.

Ophelia : C'est pour ça que tu ne le refais plus ?

Lucy : Exactement.

Ophelia : Et parce que tu es lesbienne ?

Lucy : Exactement.

Ophelia : Et que tu as les gencives qui saignent ?

Lucy : Exact... Mince !

Ophelia : Je t'ai eu !

Pour ce venger de ce coup bas, le grande blonde avec une chaussure noire lance Paris Latino de Bandolero avant de se déhancher jusqu'à atteindre sa bien aimée, faisant tomber le gros sac de ses genoux. Telle une succube, elle charme sa victime pour mieux la torturer avec des positions sexuelles très compliquées à faire mais où nous pouvons bien nous rincer l’œil.
Je vous laisse imaginer ça, c'est cadeau.