Resident Evil 9
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[FIC] Mourir un autre jour [Terminé]

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Alain Verger
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Henri/Laura Petrick
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Message  Henri/Laura Petrick Dim 25 Juin - 10:59

Renaissance

3 Avril 2004

???; ???; ???

Rien, le vide absolu.
C'est ce que pouvait ressentir Henri Petrick qui était on peut se le dire, clairement mort. Tout ça à cause de cette histoire de Death Note dont il n'aura finalement jamais le dernier mot.
Finalement une lumière blanche éclaira ce sombre endroit et se rapprocha de lui, pour révéler un long tunnel blanc qu'il voulut traverser pour voir où ça le menait.
Mais quelqu'un en avait décidé tout autrement.

Dieu : Ce n'est pas ton heure Henri Petrick.

Alors qu'il aurait voulu comprendre sur le coup pourquoi cette voix divine avait dit ça, quelque chose l'en empêcha. C'était une vive douleur soudaine qui lui traversa tout le corps comme un choc électrique et qui le fit tellement mal qu'il en hurla à plein poumon.
Une voix résonna ensuite dans son esprit et sembla causer cette douleur, ou en tout cas y était associé sur le coup même si il n'y avait peut être aucun lien réel entre les eux.

??? : Metale Wave, de son vrai nom Kayla Jax, scientifique chargée ne médecine. Cause de la mort, arrêt des fonctions cardiaques sans raison spécifique. Comme pour Bob Holmes et d'autres cas recensés dans le monde.

Quelle est cette voix !? Je...
La sensation se fit à nouveau ressentir de façon plus forte qui l'aurait surement faire s’agenouiller si il aurait pu le faire.

??? : Ouzbek, ou plutôt Stanley Paki, un journaliste locale dans un coin paumé de la France. La cause de la mort est la même que pour les autres, c'est fascinant.

Oh pitié, arrêtez ça !
Il aurait tellement voulu pouvoir pleurer, hurler à la mort ou encore s'évanouir à cause de toute cette douleur, mais il ne pouvait rien faire de tout ça.

??? : Et le petite dernier, The French Detective, de son vrai nom Henri Petrick, un détective privé...

La terrible sensation arriva à son point le plus fort, tellement fort qu'il en réveilla le mort qui ouvrit ses yeux, se mit à dégouliner de sueur, le tout en haletant comme un petit chaton assoiffé.
Le Docteur Poison qui était en train de faire son verdict orale en l'examen fut plutôt surprise de ce come-back inattendu, mais vu son visage, c'était plutôt une agréable surprise.

Poison : Hallo ! Vous ne devriez pas être vivant, surtout après que je vous ais disséqué, mais bon, ça va être plus intéressant pour la suite.

Henri : De quoi, qu'est ce que vous racontez !?

Le French Détective remarqua à cet instant qu'il était sur un lit de morgue avec un drap blanc sur lui. Il le souleva légèrement pour constater un Y taillé sur son corps avec maintenant des points de sutures.
Cette révélation lui fit comme un choc, il ne pouvait pas le croire. Il regarda autour de lui et remarqua une table avec des bocaux avec des noms inscrits dessus.
Il avait le sien, avec ses organes à l'intérieur.
Une seule conclusion, aussi détestable et dégoûtante soit elle, pouvait être possible.

Henri : Je suis mort... Mais vivant ?

Poison : On dirait bien.

En continuant de regarder autour de lui et il remarqua plusieurs autres choses.
Tout d'abord il y avait les corps de presque tout ses camarades de la cellule d'enquête sur d'autres tables funéraires, et eux ils ne semblaient pas vouloir se réveiller.
Il y avait Bob Holmes, dans un sérieux état de décomposition, dont Henri ne connaissait presque rien. Personne ne lui a vraiment dit qui il était exactement, et c'était la première fois qu'il pouvait voir son visage, ou dû moins ce qui en restait.
Kayla Jax, une femme pour qui Henri avait développé un début de béguin et qui s'habillait toujours comme en été. Elle était morte pendant qu'il était en Suède, et il aurait tellement voulu empêcher cela.
Stanley Paki, un homme assez malin mais qui parlait peu. Henri était triste de découvrir que lui aussi avait trépassé, et il donnait peu chère quand à la survie de Irina Berica.
D'autres corps étaient présents mais entièrement couverts sous les draps. Peut être que la dernière membre du groupe se trouvait en dessous de l'un d'entre eux ?
L'autre chose qu'Henri remarqua, c'était un logo en particulier présent sur l'un des murs de l'institut médico-légal. Il devinait donc qu'il se trouvait dans un endroit appartenant à cette branche de l'ONU.
Mais quelque chose dans le visage de la personne à ses cotés ne lui plaisait pas du tout. Il posa quand même LA question juste pour s'en assurer.

Henri : Je ne vais pas pouvoir m'en aller, c'est bien ça ?

Poison : Vous avez tout compris.

Le problème, c'est qu'il voulait s'en aller.
Il balança subitement le drapas sur la femme puis s'appuya avec ses deux mains sur le lit pour pouvoir pouvoir la propulser contre la table avec les bocaux grâce à ses pieds. Tout marcha comme prévu et elle fut neutralisée sur le coup.
Le premier réflexe du détective fut de la fouiller ne vitesse pour prendre ce qui y avait de plus important, en prenant garde à ce qu'elle ne se réveille pas.
Il trouva sur elle une carte d'accès couleur platine, ce qui devait signifier que c'était très important à avoir. La logique jeu vidéo.
Il faut maintenant que je me casse d'ici.
Le problème avec son plan, c'est qu'il était tout nu.
Heureusement, des bruits de pas s'approchèrent du labo, il alla donc se planquer pour voir qui venait.
La seule porte de la pièce s'ouvrit et révéla un soldat portant la tenue réglementaire des forces armées danoises mais avec un béret bleu avec le symbole de UNIT dessus, possédant un Steyr AUG A1.

Soldat : Docteur, j'ai entendu du bruit, vous...

Henri la choppa par derrière à ce moment là et lui fit un étranglement sanguin pour le faire perdre connaissance, mais évitant de le tuer car il n'est pas comme ça notre héros.
Au moins, maintenant il avait des vêtements, une arme et une belle carte d'accès. Il pouvait donc espérer pouvoir sortir d'ici sans trop se faire repérer.


Dernière édition par Henri/Laura Petrick le Jeu 10 Aoû - 11:24, édité 1 fois
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Message  Ailein Bartley Mer 19 Juil - 12:26

Complot

Henri Petrick, maintenant vêtu de l'uniforme danois de UNIT, arpentait leur locaux sans trop se faire remarquer des autres soldats présents dans la base. Pour le moment, il s'en sortait bien, et il priait celui qui l'avait faire revenir à la vie de vite trouver la sortie pour pouvoir se barrer de là et reprendre une vie normale.
Ce serait trop facile.
Il n'avait pas trouvé de cartes et ne savait pas où il se trouvait exactement dans la fourmilière, juste qu'il n'était pas au rez-de-chaussée et que l’endroit était plutôt grand, c'était impressionnant.
Finalement, après quelques escaliers et une arrivée au bon niveau, il la trouva, l'échappée au danger. Sauf qu'il y avait du monde devant la porte de la liberté, donc il dut se planquer à l'angle de l'intersection où il était pour observer tous ces personnages.
Il en releva 4 importants.
Il y avait un homme, la quarantaine d'année et qui avait un regard plutôt sournois à analyser tout ce qui l’entourait au moindre détail. Il portait un uniforme blanc de l'US Navy avec une casquette d'Amiral et beaucoup de médailles un peu partout sur lui. Il était accompagné de deux de ses hommes, des officiers sans importances pour l'histoire de cette FIC.
Il était aussi accompagné d'un homme plutôt connu puisque c'était le Secrétaire général des Nations unies de l'époque, Kofi Annan, qui ne semblait pas appréciés le deux plus hauts gradés en sa compagnie et tentait de cacher son agacement.
Justement, tant qu'on en parle, l'autre plus haut gradé était un Lieutenant-colonel de UNIT avec moins de médailles que l'Amiral mais 10 ans de plus que lui, et qui semblait toujours faire la gueule, aucun sourire.
La dernière tête, celle qui se serait diabolique si on se fiait aux Films Hollywoo...
Attendez, j'ai envie d'éternuer.
A... A... A... Atwilightchoum !
C'est bon, c'est passé.
C'était un Lieutenant qui, pour les connaisseurs avisés comme Henri, portait une tenue antiréglementaire qu'elle avait pourtant eu le droit de porter, notamment grâce à l'aide son Papa plutôt bien placé dans l'Organisation. Malgré ça, elle ne faisait pas honte à son travail, et on va dire que c'était ça le plus importants aux yeux des autres.
Tous ces personnages étaient donc présent et la conversation avait déjà commencé avant l'arrivé du mort-vivant qui l'intercepta en plein vol.

Kofi : ...ainsi je voudrais visiter votre base juste par précaution, ça me fera peut être changer d'avis quand à votre sort, mais je n'y espère pas trop. Même Dieu lui même ne saurait se débarrasser de votre corruption.

Lieutenant-Colonel : Bien sur, mais je suis sûr qu'on vous surprendra, néanmoins je dois rester ici pour m'entretenir ne privé avec l'Amiral, le Lieutenant Tia Karim s'occupera de vous faire la visite.

Tia : Si vous voulez bien me suivre.

Kofi : Bien entendu, vous me semblez plus charmante que ces deux lascars.

Ces deux personnages prirent le couloir en face d'eux et continuèrent devant, passant devant Henri qui ne se fit pas capter et qui put continuer l'écoute des deux autres personnages.

Amiral : Dommage, j'aimais bien son audace.

Lieutenant-Colonel : Je sais, mais son discours d'aujourd'hui pourrait emmener le reste de l'Assemblée de son coté, et ça ne doit pas se produire.

Amiral : Tout se passera comme prévu, évitons juste de tout dévoiler à voix haute, au cas où une oreille attentive nous écouterait.

Il lança un petit regard furtif en direction d'Henri qui eut un frisson lui parcourir l'échine, comme si il était pris en flagrant délit. Pourtant tout continua comme si il n'y avait rien.

Lieutenant-Colonel : Tu as raison, avec le Death Note dans notre poche, on gagnera. Son nom y est déjà marqué, il ne reste plus qu'à attendre le bonne heure.

Amiral : Tu devrais te taire parfois Goth.

Goth : Comment ça ?

Amiral : Tu verras dans quelques instants.

Henri avait son instinct qui lui disait de courir, mais avant d'avoir pu le faire, une personne le poussa contre le mur et lui fit une clé de bras pour ne pas s'en sortir.
La voix qui résonna à son oreille lui était clairement familière.

Poison : Comme on se retrouve mein kinder.

Elle l'emmena ensuite de force pour faire face aux méchants. L'américain souriait d'un air sympa qui cachait ses vrais intentions, et l'autre faisait toujours la gueule.

Amiral : Je te l'avais dit.

Goth : Pourquoi tu ne m'as prévenu plus tôt qu'on était surveillé ?

Amiral : J'ai tenté de te prévenir sans qu'il le voit, mais tu es visiblement plus aveugle d'une taupe endormie.

Goth : On en fait quoi de lui ? On le tue ?

Amiral : Non, on va plutôt lui soutirer tout ce qu'il sait. Enfin on, toi plutôt, moi j'ai quelqu'un d'autre à gérer.

Goth : Ça marche. Marina, emmène le au bloc de torture, on s'en occupera après.

Marina : Ya.

Henry fut donc conduit sans pour contester jusqu'en Enfer, si l'ont peut dire.
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Message  Judy Hopps Mer 19 Juil - 16:38

Parole Sacré

Sanglé à une chaise en métal greffée au sol, Henri Petrick ne pouvait pas trop espérer s'échapper surtout avec les 8 gardes présents dans la pièce pour le surveiller, en plus de 3 têtes connues.
Attendant et redoutant ce qui allait arriver pour lui, il prit néanmoins le temps d'avoir une petite conversation avec lui pour être au clair avec les événements qui se déroulaient en ce moment même.
Ce cauchemar ne veut pas s'arrêter...
Et en plus j'ai mal au crane, et je galère à comprendre ce qui se passe.
Pourquoi suis je revenu à la vie ?
Qu'est ce qui s'est passé après ma mort ?
Ce Death Note là, c'est le truc que moi et la cellule d'enquête on cherchait ?
Qu'est ce qu'il fout entre les mains de UNIT ?
Est ce que le Kira est l'un d'eux ?
Ça n'a pas de sens !
Et c'est quoi cette conspiration que fomentent les deux autres ?
Pourquoi ils veulent tuer le représentant des Nations Unis ?
J'ai beaucoup de questions mais j'ai l'impression qui ne veulent pas me donner de réponse.
C'est plutôt moi qui doit leur en offrir, alors que j'ai surement moins d'infos que sur ce qui sep asse en ce moment même.
Je vais devoir faire avec, si je veux espérer m'en sortir vivant de ce pétrin.

Finalement, sa pensée fut coupé par un vieux poste radio de l'époque qui lança No Control du groupe BLACKFIRE une fois la bonne cassette mise par le Docteur Poison qui était très enthousiaste à l'idée de torturer quelqu'un.
Elle s'approcha de son cobaye avec une seringue pour la planter dans son cou mais celui ci s'agita pour refuser le truc. Elle garda son calme et va voix froide et sadique.

Marina : Si tu veux que je rate mon coup et que ut meurent dans d'atroces souffrances, continue comme ça, je serais heureuse dans tous les cas.

Elle a raison.
Le French Détective se calma un peu et laissa ce produit s'infiltrer dans ses vaisseaux, commençant alors à lui créer des démangeaisons un peu partout dans le corps. Ce qui allait surement devenir très casse couille au bout de plusieurs minutes.

Marina : C'est bon ! Je lui ai injecté mon petit produit qui devrait être de plus en plus désagréable au fur et à mesure que le temps passera !

Goth : Bien, nous pouvons commencer l'interrogatoire.

Henri remarqua enfin la présence de cet imposant personnage, droit sur ses bottes, qui s'approcha un peu sans pour autant se poser quelque part, et qui regarda le miraculeux dans la yeux avec sa tronche tirant la gueule et ses yeux vide de sympathie.
Dans un coin de la pièce, près de la seule entré, se trouvait le Lieutenant Karim qui était assise à une chaise avec son café dans les mains et qui semblait être la seule personne montrant vraiment de l'affection pour ce pauvre type qui n'avait rien demandé.
Pourtant, comme tous les soldats sans nom, elle se taisait car elle n'avait pas d'autre choix si elle tenait au minimum à son poste, et au pire à sa vie.
Elle semble confuse.
Je ne pense pas qu'elle soit au courant de ce que prépare ses supérieurs, mais elle pourrait avoir des dou...


Goth : Monsieur Petrick.

Il l'avait dit en bon français mais avec un accent danois.

Henri : Lieutenant-colonel... ?

Goth : Vous n'avez pas à savoir mon nom, par contre nous allons savoir tout de vous.

Henri : Hormis mon implication dans l'Incident de Raccoon City, je ne pense pas que ma vie soit si palpitante à savoir.

Goth : Détrompez vous, nous savons que vous avez travaillé avec cellule d'enquête pour avoir la réponse à cette série de meurtres impliquant un Death Note.

Henri : Je pense que vous en savez plus sur le sujet que moi.

Mon bras me gratte de plus en plus.
Le reste aussi.


Goth : Vous marquez un point, mais vous en savez plus sur le Kira survivant que nous.

Henri : J'en doute puisque je ne connais même pas son identité, je suis mort avant d'avoir pu le savoir.

Faut que je me concentre.
C'est dur quand tu as envie de te gratter mais que tu ne peux pas.


Goth : Celui qui a causé votre mort n'est plus, nous parlons d'une personne. La Kira du nom d'Irina Berica, bien que ça soit un faux nom.

Henri : Irina était Kira ? Pourquoi ?

C'est pour cela que je n'ai pas vu son corps à la morgue.
Et je continue à avoir l'impression qu'une armée de moustiques me sont passés dessus.
Ça va passer, ça va passer.


Goth : L'important c'est que vous nous donniez toutes les infos que vous avez appris sur elle, sinon...

Henri : Sinon quoi ?

Goth : Sinon ça.

Le Colonel sortit un petit couteau de sa poche, prit la main gauche de bonhomme et l'enfonça sous l'ongle de l'index, de plus en plus profondément.
Le douleur fut si intense que notre Détective en oublia ses démangeaisons et hurla de toute ses forces pour la compenser, tandis que l'allemande jugulait de son coté de voir tout ça, même si elle regrettait que ce ne soit pas elle qui s'en occupe.
Le tortureur s'arrêta quelques secondes pour poser sa question.

Goth : Qu'est ce que vous savez sur la Corsaire ?

Henri : Je ne vous dirai rien !

N'étant pas satisfait de sa réponse, elle recommença jusqu'à lui arracher l'ongle de son socle, causant une perte de connaissance du torturé.
Et c'est pas une claque dans la gueule qui parvint à la réveiller.
Il était out pour le moment, ce qui pouvait se révéler pour certaines forces invisibles qui nous échappes.
Mais ça se sera pour une prochaine fois.
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Message  Judy Hopps Mer 19 Juil - 18:12

Death Note

2 Avril 2004

France; Nanterre; Quartier République

Une scène du passé se profile à l'instant présent, sous des yeux qui la découvrent pour la première fois, comme si il était un spectateur fantôme de cette mise en scène théâtrale.
Un homme regardait un cahier noire avec une drôle d'inscription dessus, comme des voix venaient de celui ci et lui disaient des choses que nous ne pouvons néanmoins pas entendre nous.
Très vite, il secoua sa tête pour remettre ses idées en place et il le mit dans son sac puis il quitta sa voiture personnelle pour rentrer à sa maison devant laquelle il s'était garée.
C'était en soirée, et je pense que vous demandez qui c'est ce type.
C'est bien évidemment le Réceptionniste du Commissariat qui avait causé la mort d'une partie de la cellule d'enquête et qui se rendait chez lui pour aller brûler le bouquin dans le fourneau qu'il possède.
Ça vous va comme réponse ?
En tout cas le type était déjà en train de mettre al bonne clé dans la serrure de la porte d'entrée, quand il entendit des aboiements venant de l'autre coté et une voix innocente demander à l'animal de se calmer.
Déjà, ceux qui suivent ce Forum depuis un moment seront étonner de la présence d'un chien, sachant que les apparitions d’animaux autres que les humains sont plutôt rare dans les fictions qu'on vous propose.
Peut être que c'est parce qu'ils savent à chaque fois il y a une couille dans le potage et qu'ils restent bien sagement dans un coin où n'y a pas de problème. Qui sait ?
Mais je diverge, verge !
A peine la porte fut ouverte qu'un Petit lévrier italien vint s'agripper à son maître qu'il n'avait plus vu depuis la matinée pour lui demander des caresses car seul lui savait bien le faire jouir.
Une autre personne arriva pour tenter de calmer la bête, c'était la fille du Réceptionniste qui du haut de ses 11 ans savait déjà se montrer très autoritaire quand elle le voulait. Elle tenait ça de sa défunte mère.
Elle parvint finalement à convaincre la droguée en manque de retourner se coucher dans son panier car "C'était une bonne fille celle là." puis elle accueillit son papounet adoré en évitant de se faire marcher sur ses délicats pieds nus.

Fille : Alors, comment ça été ta journée papa ?

Réceptionniste : Assez dire, mais papa doit juste régler un truc et après il pourra parler avec toi.

Fille : Oh arrête de me parler comme ça, on dirait que tu me prends pour une fillette de 8 ans.

Réceptionniste : Je sais ma puce, je te sous-estime.

Il lui fit un petit sourire de bon papa et ferma la porte derrière lui avant de se diriger vers la cave où se trouver entre autre le fourneau. Pendant que sa fille, elle, finissait de préparer la table.
Il alluma la lumière et descendit les petits escaliers pour aller retrouver son ami capable de se débarrasser d'un tas de preuves accablantes, ou d'un cahier capable de tuer des gens.
L'homme brancha l'appareil et laissa chauffer progressivement tandis qu'il posa son sac au sol pour l'ouvrir et en sortir l'objet compromettant à l'intérieur.
Cependant, avant d'avoir pu faire cette action, il entendit un bruit de fracas venir de l’entrée puis de des coups de feu réduit au silencieux retentir dans la maison.
De nombreuses pensées inquiètes lui traversèrent l'esprit.
Il se demandait qui ça pouvait être, et surtout il craignait de périr là sans avoir réussi à brûler le Death Note, surtout le fourneau n'était pas encore prêt pour ça.
La porte de la cave sauta, puis il pluie de balles s’abattit sur pauvre flic qui voulait juste pouvoir vivre en paix après ce qu'il avait vécu. Le Lieutenant-colonel Goth Father ne lui laissa un repos éternel à la place.
Il descendit les quelques marches avec deux de ses soldats, tous équipés de pistolets silencieux, pour aller chercher le butin qui se trouvait encore dans sa planque.

Goth : Toi, prends le sac sans sortir le bouquin, et toi éteint ce fourneau.

Tous lui obéir et il remonta en haut où peu de tirs avaient manqué leurs cibles. C'était une petit opération vite fait, bien fait, comme il les aimait même son visage était toujours dans le grave.
Ses hommes, et lui même, étaient vécu pour le coup de combinaisons noires qui faisaient commandos et qui n'étaient pas la norme chez UNIT, mais qui étaient foutrement pratique pour ce genre de mission.
Alors qu'il aurait pu demander à ses hommes de se retirer directement, notre officier préféra faire escale jusqu'à la cuisine car il y avait repéré quelque chose n'intéressant pour lui.
Une fois dans la bonne pièce, il s'adressa enfin aux hommes qui s'y trouvaient.

Goth : Dites aux autres qu'on remballe et que je vous rejoins après avoir pris une récompense personnelle.

Ils lui obèrent, et très vite il put être seul avec sa promise, allongée à moitié sur le ventre avec quelques trous saignant sur son tee-shirt d'Eminem et ses orteils qui étaient appuyés contre le carrelage froid, essayant de gagner une lutte déjà perdu d'avance.
Elle était belle, ses yeux encore vivants, la bouche entre ouverte et sa tête posée sur ses jolies mains. Elle aurait pu devenir encore plus jolie avec le temps, mais elle l'était déjà assez pour lui.
Ayant pour la première fois de la FIC, un sourire gravé sur son visage, il se pencha sur elle pour la sentir de la tête au pieds. Notant qu'elle sentait la cerise qui allait bientôt être posé sur son gâteau.
Il lui ferma ensuite les yeux pour qu'elle ait l'air endormi, ce qui fit encore plus remuer son ami d'en bas. Puis il prit sa tête avec ses mains ridées et l'embrassa sur la bouche.
Une baiser passionné, le sec contre l'humide, le vivant contre la mort.
Elle savait bien embrassée, il l'admettait.
Maintenant il voulait l'avoir pour lui tout seul, c'est pour ça qu'il se décolla de ses douces lèvres pour lui murmurer des mots presque aussi doux à son oreille.

Goth : Je vais t'emmener dans un endroit où je pourrais te faire devenir ma chose dévouée et où ta beauté sera préservée, mais je dois me dépêcher pour cela.

Il la pris dans ses bras, laissant une marre rougeâtre sur le sol, et l'emmena avec lui dans cet endroit où il pourra assouvir ses désirs actuels, au détriment de cette fille décédée.
Le spectateur invisible perd les images et revint dans le noir total, peut être est ce mieux ainsi ?
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Message  Paul Duquart Mer 19 Juil - 22:18

Death Eraser

3 Avril 2004

Royaume Shinigami; Cimetière

Henri se réveilla couché dans un drôle d'endroit qui ne ressemblait en rien à la Terre qu'il a connu. En effet, le paysage était gris et terne, sans vie apparente tout autour.
Juste un paysage désertique avec des gros rochers isolés, et quelques arbres morts. Ainsi que des os se trouvant un peu partout qui étaient d'une taille impressionnante, comme si ça avait appartenu à un gros dinosaure du type Diplodocus.
Éberlué par tout ci, l'homme au grand cœur se releva et regarda tout autour de lui dans l'espoir de voir quelqu'un sortir de quelque part pour lui présenter l'endroit. Mais rien.
Suis je mort ?
Est ce ça qui nous attend après la Mort ?
Pourquoi suis seul alors ?
C'est bizarre.


??? : Hé toi l'humain !

Henri se retourna et vit alors face à lui, à peine quelques mètres devant, une grand femme humanoïde qui ne semblait pas humaine. Son nom était Rem, il le sut instantanément, allez savoir comment.
En tout cas ce n'était pas un mirage et cette personne plus grande que lui le regarda avec son seul œil à découvert, ressemblant à celui d'un chat,qui semblait pénétrer à l'intérieur de son subconscient.
Le genre qui pouvait effrayer, mais Monsieur Petrick avait déjà affronter des puces mutées au Virus T, donc il a déjà vu plus bizarre qu'elle, et encore, il l'a trouvé jolie et il ne put s'empêcher de lui faire un compliment en se présentant.

Henri : Je me nomme Henri Petrick et je suis enchanté de vous rencontrer Rem, je ne m'attendais pas à trouver une belle femme dans un coin visiblement vide de vie comme celui là.

Rem : Tu peux garder tes compliments, on a pas le temps pour ça.

Elle n'a pas tort, il y a le problème du Death Note.
Je suis prêt à parier que c'est de ça qu'elle va me parler.


Rem : Oui c'est bien de ça qu'il est question.

Henri : Vous savez donc lire les pensées, intéressant.

Rem : Assez parlé de moi humain, l'heure est grave et ce n'est pas pour rien que le Grand Dieu Tout Puissant de la Création a utilisé une partie de ses ressources restantes pour te ressusciter.

Henri : A vous entendre dire, il ne semble plus si puissant que ça.

Rem : Tout être vieillit et perd de ses pouvoirs même si il était surpuissant au départ, c'est Mère Nature qui le veut.

Henri : Mère Nature est vraiment une divinité ? J'en apprends beaucoup.

Rem : Bref, si il t'as fait revivre, c'est pas pour te tourner les pouces, il faut que tu stoppes qui se prépare avant que ça tourne au drame.

Henri : Je voudrais bien mais j'ai quelques soucies qui m'empêchent de le faire.

Rem : Ne t'en fais pas, t'as une alliée qui va venir te sauver, je le sens.

Henri : Si vous le dites, d’autres choses à savoir ?

Rem : Oui, tu auras besoin de ça pour pouvoir effacer le nom de l'humain qui ne doit pas mourir pour qu'il ne trépasse pas.

Je reçus de sa part une sorte de gomme qui dégageait une sensation de magie, j'avais l'impression de revivre mes parties de jeux de rôle du passé.

Rem : Pourquoi tu commentes ça comme un personnage de Point'n'click ?

Comme je m'en doutais.
C'est tellement la mort ici qu'ils jouent surement aux jeux vidéos.


Rem : Bon, cette gomme est un Death Eraser, c'est al seule chose permettant d'effacer les noms marqués sur le Death Note. Il peut faire revivre à la vie ceux qui sont morts à cause du Death Note, seulement si le délais de l'heure mort n'a pas dépassé 72 heures.

Henri : Vous avez la solution à tout on dirait.

Rem : Ne joues pas au malin avec moi humain.

Henri : Désolé, c'est plus fort que moi quand je rencontrer quelqu'un qui n'est pas vraiment chaleureux avec moi et qui se sent supérieur, ce que vous êtes, je suis désolé de le dire.

Rem : Pas besoin de t'excuser, les Shinigamis sont naturellement meilleurs que les Humains qui eux sont hideux et égoïstes.

Henri : Pourtant, vous seriez prêt à me jurer que vous n'êtes pas pareil ?

Rem : C'est différent.

Henri : Et tous les humains ne rentrent pas forcément dans le moule, je pense que pour les Dieux c'est pareil.

Rem : Je...

Elle réfléchissait à ce qu'elle pouvait bien répliquer face à ça, mais elle fut heureusement sauvé par l'apparition inopportune d'une autre Shinigami qui voulait lui parler.

Shinigami : Ryuk veut te parler.

Rem : Oh pas lui... Bon Henri, une dernière chose...

La grande femme squelettique fit un signe de tête à l'autre plus humaine pour qu'elle parte avant elle, puis elle retourna son attention vers l'humain avec qui elle causait.

Rem : Si tu remplies bien ta mission, tu auras le droit de revenir vraiment à la vie, et aussi d'effacer le nom de la personne de ton choix dans le carnet, tant que sa mort ne dépasser pas les 72 heures comme je te l'ai dit.

Henri : Ça marche, merci pour les conseils.

Rem : Bonne chance Henri, finalement je t'apprécie bien et j'espère qu'on se reverra.

Henri : De même, à une autre fois Rem.

Elle disparut.
Lui aussi.
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Message  Alain Verger Ven 21 Juil - 13:05

Nouveaux Alliés

Danemark; Aalborg; QG UNIT

Retour au Monde Réel, sur ce sol froid d'une cellule high tech qui avait dû voir passer un tas de prisonniers auparavant, on en sait cependant rien car l'endroit était bien entretenu contrairement aux cachots des Lannisters.
Les murs ternes et gris sonnaient glacés à ses yeux et la porte en acier trempée avec barreau pour la petite fenêtre ne lui laissait presque aucun espoir pour pouvoir se barrer, surtout qu'il n'y avait pas de poignet de son coté.
Henri soupira, il était en prison.
J'ai une mission à faire, mais ces murs m'empêchent de sortir.
Pourtant, c'est pas comme si j'avais prévenue Rem.
Car tant que je suis ici, je ne peux rien faire.
A part, tenter en vain de m'évader, mais ça, ce n'est pas un jeu où j'excelle.J'espère que Laura va bien.
Si ces connard ont touché à UN seul de ses cheveux, ils sont morts.
Personne ne touche à ma fille, déjà pas son autre père.
Je...

La porte de sa cellule grinça, interrompant le fond sa pensée vengeresse pour laisser entrer le Lieutenant Karim qu'il connaissait déjà un peu, mais aussi deux nouvelles têtes, un Sergent et un Caporal.
Le Premier avait un visage grave, marqué par le temps et les batailles, et une carrure costaude qui avait dû aider sur le champ de la mort pour qu'il soit encore vivant à l'heure actuelle.
Le Deuxième avait un teint de la peau plus pale mais semblait très ne forme et vivant malgré ça, le tout accompagné d'une mine méfiante à l'encontre d'Henri.
Ils restèrent bien derrière le Lieutenant qui était leur supérieur tandis que celle ci vérifia du regard le corps du prisonnier pour voir si ça allait bien.
A part son ongle en moins dont son ancien emplacement avait déjà un peu pourri, il n'y avait rien de grave à signaler et donc elle put lever ses lèvres vers le haut, un peu plus soulagée.

Tia : Désolé pour tout ce qu'ils vous ont fait, vous ne méritiez pas ça.

Henri : Ce n'est pas à vous à vous de faire ces excuses, même si c'est quand même gentil de votre part.

Elle aima sa remarque et fut un peu touchée par celle ci.

Tia : Nous n'avons plus beaucoup de temps, je voulais vous amener à mon bureau mais mieux faire ça là, ce sera plus rapide.

Henri : Je pense voir où vous voulez en venir.

Elle perdit son sourire, affichant maintenant l'inquiétude qui la rongeait depuis un moment.

Tia : J'ai réussi à entendre une partie d'une des discutions entre l'Amiral Julius Hirston et le Colonel Goth Father, tout comme vous je présume, et je sais qu'ils prévoient d'assassiner Kofi Annan. Nous devons les en empêcher, sans se faire descendre avant, et je vais avoir besoin de votre aide pour ce coup là.

Henri : Et je devine que les deux hommes qui sont avec vous vont nous aider ?

Tia : Oui, je vais vous faire les présentation.

Elle se mit à coté de l'homme fort et passionné qui voyant l'attention se porter sur lui, devint plus souriant car ça voulait dire qu'il allait pouvoir servir à quelque chose.

Tia : Ser Royland Degore de la planète Xandar qui sert aujourd'hui sous UNIT et est un très bon combattant.

Royland : Enchanté de faire votre connaissance, Henri Petrick, je ne peux que plaindre ce que vous avez dû traverser, après tout nous avons chacun vécut des événements qui se sont marqués dans notre peau, mais nous apprenons à vivre avec. ce sera avec plaisir de vous aider pour protéger le Terre de ces traîtres qui méritent de mourir.

La femme s'approcha ensuite de l'homme plus calme et posé qui tenta de se montrer tout aussi amical que son confrère.

Tia : Duncan Tuttle, le représentant des Vampires dans notre service, il est loyal et est un bon parleur.

Duncan : Plus on aura d'allié dans ce conflit, mieux ce sera, mais nous ne pouvons pas nous permettre de foncer tête baisser dans un pièce et nous devrons essayer au mieux de les arrêter vivant que mort pour espérer obtenir plus d'informations de leur part.

Deux discours différents, il y aura surement un choix à faire.
En attendant, le Lieutenant Karim se replaça devant de son nouvel allié.

Tia : Ce sont les deux seules personnes en qui j'ai vraiment confiance ici.

Henri : Je me posais une question... Pourquoi ne pas avoir prévenu le Secrétaire de l'ONU de ce qui se tramait dans son dos.

Tia : Je l'ai fait, mais il pense pouvoir se débrouiller seul, ou au pire mourir pour sa cause, donc j'ai pas réussi à la convaincre. J'aurais peut être dû prévenir d'autres autorités, ce qui...

Henri : Mauvaise idée.

Tia : Pourquoi ?

Henri : Ils vous tueraient avec l'aide du Death Note.

Une expression d’effroi frappa le visage de l'officier pendant quelques instants, tandis que Royland se mordit les lèvres et Duncan tourna son regard de coté comme pour réfléchir à quelque chose.

Tia : Le Death Note !? Ils l'ont en leur possession et vont s'en servir !? Merde merde merde, ça change tout !

Royland : Ne paniquez pas mon Lieutenant, nous devons garder notre calme pour faire face à cette bien mauvaise nouvelle.

Duncan : L'un d'eux l'a alors en sa possession, et il faudra savoir qui.

Henri : Vous ne le saviez pas ?

Tia : Non pas du tout, mais qu'est ce que vous savez d'autres ?

Henri : Que une entité du nom de Rem a pris contact avec moi pour me demander d'empêcher que cela se produise car ça causerait de terribles conséquences, elle m'a même donné cet objet pour gommer ce qu'il y a de marquer sur le Death Note.

Il sortit la gomme de sa poche, ce qu'il n'avait bien sûr pas sur lui en arrivant dans la cellule, comme si c'était apparu de nul part.

Tia : Un Shinigami vous a parlé ? Oh non, ça veut vraiment dire qu'il va falloir agir vite. Il nous faut un plan.

Royland : Si je peux me permettre, j'en ai un à proposer.

Duncan : De même pour moi mon Lieutenant.

Mme Karim se frotta délicatement les tempes et tenta de reprendre un souffle plus calme et régulier pour pouvoir à nouveau réfléchir correctement.

Tia : Royland commencez, puis ce sera à Duncan.

Royland : Moi je propose qu'on ne perde pas de temps, qu'on aille s'occuper de l'Amiral, qu'on le tue avant qu'il ne puisse tenter quelque chose et qu'on rapporte ce cahier maudit.

Duncan : Qui vous dit que c'est lui qui le possède ?

Royland : C'est logique, jamais ils ne laisseraient cet objet précieux dans le même lieu que ceux qui pourraient stopper leur plan.

Duncan : Non justement que ce serait plus dangereux de l'emmener au Siège des Nations Unis qui remplie de gardes qui pourraient démasquer la supercherie et récupérer sans problème le Death Note.

Royland : Et donc vous pensez que c'est le Colonel qui l'a ?

Duncan : Oui il doit être dans son bureau, et moi je préconise qu'on y aille prudemment en faisant croire qu'on ne sache rien de ce qui se prépare, et dés que l'ennemi aura le dos tourner, on en profitera pour récupérer notre cible.

Tia : Vos 2 théories tiennent la route, Henri vous en pensez quoi ?

L'homme nommé avait sa main gauche sur son menton depuis la prise de parole du Xandarien et il réfléchissait à quoi faire, et il avait une idée.
D'habitude j'aime pas l'idée de se séparer.
Mais là nous n'avons pas le choix.

Il enleva sa main, montrant qu'il allait s'exprimer.

Henri : J'en pense que les deux se valent et qu'il serait bête d'en laisser une de coté.

La contre attaque se mettait en place, espérons qu'elle marche.
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Message  Joker Dim 23 Juil - 17:54

Toujours Plus

Etats Unis; New York; Brooklyn; Red Hook

Un Eurocopter UH-72 Lakota de l'US Navy se posa sur l'héliport à l'arrière de USS Green Bay qui était amarré à quai depuis plusieurs heures déjà. Au loin, dans les eaux bordant la ville, on pouvait voir USS George Washington qui semblait immobile sur l'eau, mais vu la distance ce serait difficile à dire.
La porte de l'hélicoptère s'ouvrit, laissant en sortir le Secrétaire Kofi Annan et l'Amiral Julius Hirnston avec les deux officiers qui avaient accompagné ce dernier au Danemark.
Ils prirent bien soin à se baisser en sortant puis ils s'éloignèrent vite fait de l'endroit alors que l'appareil redécollait pour aller autre-part, on ne sait où.
Il fois à l'intérieur, dans un endroit bien plus silencieux, ils purent discuter.

Kofi : C'est bon, je pense pouvoir trouver le chemin tout seul.

Julius : Vous ne préféreriez pas que je vous accompagne au Siège avec quelque uns de mes hommes, juste par mesure de sécurité.

Kofi : Oh cessez votre mascarade !

La colère lui montant dans les narines en voyant la nonchalance et le petit sourire de son camarade, il s'arrêta pour lui faire face et lui exprimer son ressenti.

Kofi : Je sais que vous avez prévu de m'éliminer, même si je ne sais pas comment, mais je peux vous dire vous n'y arriveriez pas !

Julius : Si cela est vrai, pourquoi être is convaincu de survivre ?

Kofi : Car vous seriez le premier suspecter si il m'arrivait quelque chose, puisque j'étais à vos cotés juste avant ma mort.

Julius : Et si vous mourriez durant le discours ?

Kofi : Ah, je veux bien voir ça. Ça remontera sur vous et mon message passera quand même. Vous n'avez pas les dés du jeu sur ce coup là, laissez la diplomatie en décider à votre place.

Julius : Soit, si cela peut vous faire plaisir, allez y donc. Je ne vous retiens pas.

Kofi : Merci bien.

La ghanéen s'aventura seul dans le couloir pour quitter le navire, vivant si possible. Heureusement pour lui, sa mort n'arrivera pas sur la route, ce serait trop suspect, même la future victime le savait.
Non, il mourra bien durant son discours, c'est bien plus drôle et impressionnant.
Impressionné par l'audace et sang froid de son ennemi, l'Amiral se mit à applaudir pendant quelques instants celui ci en regardant l'endroit où il était parti.

Julius : Dommage que sa langue ne lui servira à rien pour le défendre de la mort, mais bon... Pouvez vous me donner le Précieux ?

L'officier à sa gauche sortit le Death Note qu'il avait planqué sur lui et le donna à son supérieur pour qu'il contempler avec admiration les inscriptions sur celui ci.
Ce grand pouvoir impliqué de grandes responsabilités.
Il l'ouvrit pour regarder ce que son pote Goth avait marqué à la première page. C'était comme il l'espérait et aussi bien détaillé.

Kofi Annan 15H00 Se fracasse le crane contre le pupitre jusqu'à en mourir.

Au moins de tous ces infarctus qui avaient frappé le monde dernièrement, e jeu variait. Mais la fin restait la même, comme pour tout être vivant.
Sauf que notre très haut placé dans l'échiquier voulait durer plus longtemps que les autres, et il n'aimait pas les poids morts qui pouvaient le mener à sa perte si il continuait à se les trimbaler.
Il prit donc une décision qu'il aurait dû prendre déjà il y a un moment de ça.

Julius : Donnez moi un stylo s'il vous plaît.

L'autre officier lui donna un bic qu'il se servit pour un inscrire un nom dans le cahier, et pas n'importe lequel.

Goth Father

D'un coup de plume, il venait de sonner le glas de son fidèle ami et associé, juste par simple précaution, sans vraiment de méchanceté derrière ce geste sûr et efficace.
Après tout, il aurait surement fait pareil dans la même situation.

Julius : Sa route se termine là, il va pouvoir désormais rejoindre ses ancêtres.

Il tendit le stylo à celui qui lui avait donné avec un visage sympathique à son encontre et lui fit signe de s'en aller avant de se tourner vers celui qui avait porté l'objet tout le long du chemin.

Julius : Je vais dans ma cabine, je n'autorise personne à venir me déranger hormis vous et seulement si il y a danger. Est ce bien compris ?

Officier : Bien mon Amiral !

Julius : Repos.

Ils se séparèrent et l'antagoniste alla se mettre à l'aise dans sa piaule.
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Message  Kevin Ryman Jeu 27 Juil - 15:01

Marcheur Blanc

Danemark; Aalborg; QG UNIT

Le Lieutenant Tia Karim et le Caporal Duncan Tuttle étaient en marche, tel Macron, vers le bureau du Colonel se trouvait au 5ème étage pour lui rendre une petite visite de courtoisie.
Ils arrivèrent devant sa porte et la madame y toqua en signe de politesse.
Malheureusement, aucun retour.
Essaya à deux reprises, et son inquiétude augmenta très rapidement.
Pourtant le Caporal resta calme et tenta une hypothèse.

Duncan : Peut être qu'il n'est pas à son bureau ?

Tia : Non il est forcément ici, il ne laisse jamais sa porte déverrouillée en partant.

Elle avait dit ça en vérifiant le verrou et elle actionna la poignet pour ouvrit le tout. Ils entrèrent donc dans ce petit lieu qui sentait la mort.
C'était peut être dû au corps sans âme du colonel, reposant sur son endroit d'écriture, un stylo encore frais dans la main, les yeux globuleux ouverts et dirigés vers l’entrée où ils étaient.
Ça donnait l'impression qu'il es regardait, ce qui n'était pas du tout creepy.
Le Caporal afficha un pointe de tristesse dans son regard car même si c'était un ennemi, il avait toujours respecter l'esprit et la tacticité du Colonel.
La Lieutenant était juste surprise de le voir déjà mort, mais elle n'afficha aucune autre émotion à son encontre. Elle ne l'avait jamais apprécié et même si elle n'était pas soulagé de sa mort, son départ ne lui manquera pas.
Elle s'approcha de son corps pour constater rapidement de la cause de son décès.

Tia : Arrêt cardiaque, il tient encore son autre main près de son cœur.

Duncan : Le Death Note.

Tia : On dirait que l'Amiral a coulé le bateau de son complice.

Duncan : Julius n'a aucun scrupule à faire ça, il va se retrouver seul et nous aider dans...

Tia : Attendez, regardez son visage !

Son doigt pointa le visage de l'homme au passé trouble dont le visage devint plus blanc qu'un mort et donc les yeux prirent une teinte bleuâtre inhumaine.
C'était comme si son visage d'humain n'avait été qu'une façade de son vivant mais qu'une fois mort, le corps le fit revenir à son état d'origine.
Mais si il n'était point humain ? Qu'était il ?
Le Caporal Tuttle ne le savait pas, le Lieutenant Karim le savait.

Tia : Un Marcheur Blanc.

Duncan : Un quoi ?

Tia : C'est une espèce ancienne normalement disparue dont mon Père m'avait parlé et m'avait montré des croquis de leur apparence. Ils vivaient à une époque où l'Humanité ne savait pas encore écrire.

Duncan : Seulement si il en est un, c'est que son espèce ne doit pas être aussi disparue que ça.

Tia : J'en ai bien peur.

Duncan : Sont ils dangereux en règle général ?

Tia : Oui, si on en croit certains Siluriens.

Le vampire voulait poursuivre la conversation mais une alarme l'en empêcha, elle résonna dans toute la base, et signifiait qu'il y avait une couille dans le potage.
Par réflexe, ils sortirent tous les deux leurs armes de prédilection.
Un Benelli Nova pour la madame car elle aimait bien sa précision et son maniement, car contrairement à ce que beaucoup pensent, les fusils à pompes sont bien plus précis que ce que les jeux et films montrent.
Et un Valmet M76 pour le monsieur qui savait bien le manier, ce qui faisait beaucoup compte tenu déjà de ses aptitudes physiques de base dû à sa nature particulière.
En tout cas, des tirs semblaient retentir d'un peu partout dans la quartier général, ce qui montrait bien que la menace était réelle. En plus ils devenaient de plus en plus proches, plus le temps avançait.
Le summum de la tension avait atteint la pièce les deux personnages importants se trouvaient.

Duncan : Vous pensez à quoi ?

Tia : A rien de bon, surtout si c'est que je pense.

Une paire de pieds avança dans le couloir et déboula juste devant ces deux armes braquées sur elle. C'était Valissa Sacrinian, une Silurienne étant soldat chez l'UNIT Danoise.
Elle attendit que ses supérieurs arrêtent de lui viser la figure et elle entra en vitesse en claquant la porte derrière elle avant de la bloquer avec la commode juste à coté et quelques autres objets à coté.

Valissa : Est ce qu'il y a une autre entrée ?

Tia : A part la fenêtre, je ne pense pas.

Duncan : Qui a t-il dehors ?

Valissa : Les Morts nous attaquent !

Tia : C'est bien ce que je pensais, mon père m'avait aussi parlé de ce détail.

Duncan : Comment ça ?

Valissa : Hé bien, d'après nos écrits anciens, les Marcheurs blanc pouvaient faire revenir les morts à la vie pour s'en faire une armée, peu importe l'espèce.

Duncan : Mince...

Valissa : Mais c'est impossible, ça voudrait dire que...

Elle remarqua enfin le Colonel Father mort sur le bureau avec son apparence particulière qui lui fit comprendre le pourquoi du comment de la situation.

Valissa : Le Colonel !? Un Marcheur Blanc !? Comment est ce possible !?

Tia : nous n'en avons aucune idée mais il faut que l'on trouve un moyen de...

Des coups tapèrent subitement à la porte, surprenant tout le monde.
Ils étaient là.
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Message  Kevin Ryman Jeu 27 Juil - 20:52

Piège en Haute Mer

Océan Atlantique; Hélicoptère UNIT

Le Aérospatiale AS550 Fennec de UNIT survolait les eaux bleus du vaste étendu d'où des Dauphins s'amusaient à sauter comme pour faire coucou aux humains au dessus d'eau.
C'est beau un dauphin quand ça joue, vous ne trouvez pas ?
Henri le pensait en tout cas, et il les observait depuis tout à l'heure en silence, et il fut le premier et peut être le seul déçu quand ils arrêtèrent et que l'ennuie du voyage revint avec grandes pompes.
Pour se consoler, il avait le Sergent Degore avec lui, et le pilote. Sauf que le pilote, tout le monde s'en bat les couilles de lui, donc on passe vite fait là dessus, surtout qu'il mourra très certainement durant ce chapitre.
Celui qui survivra, on espère, c’est l'homme qui avait déjà vécu bien des batailles dans l’espace et qui était toujours debout comme Renaud.
D'ailleurs il avait le regard perdu au loin, ce fameux regard de la personne repensant à des souvenirs, mais contrairement à ceux de Kevin Ryman, ils ne semblaient pas joyeux.
La preuve, son visage était de marbre, à part quelques rictus occasionnels.
Le Détective Privé hésitait à le déranger, mais comme il avait le Respect en lui, il le laissa tranquille et partit dans ses pensées à lui.
Je suis content de voir qu'il y a des personnes censés chez UNIT.
Par contre, je trouve ça étrangement drôle de constater que ceux qui veulent vraiment protéger les humains dans cette organisation sont pour une partie pas humain.
Comme ce Duncan qui est un Vampire...
J'en reviens toujours pas que ça soit réel.
Entre ça et le cahier de la mort.
Et Royland qui est un extraterrestre et qui pourtant nous ressemble beaucoup.
Après, je pense qu'il y a des différences entre son espèce et la notre, et je ne sais pas si j'ai vraiment envie de les connaître.
Je me demande quel heure il est ?
Bon si j'en crois la position du soleil, on devrait être en début d'après midi.
Faut espérer ne pas arriver trop tard.


Pilote : New York en vue les gars !

Royland : C’est une bonne nouvelle, plus vite on y sera et plus vite on pourra dévoiler le jeu de l'Amiral Sournois.

En effet, la ville aux nombreux gratte ciels était visible et son horizon se rapprochait de l'hélico. Le problème, c'était qu'il y avait un obstacle entre eux et les Nations Unis.

Pilote : On a un problème !

Royland : Qui a t-il !?

Pilote : On a un porte-avion de la Navy face à nous, et ils nous envoie un comité d'accueil.

Il avait raison car un Sikorsky SH-60 Seahawk se positionna juste devant leur hélico à eux pour les empêcher d'avancer. Et 3 Lockheed Martin F-35 Lightning II le prirent par les trois autres cotés, l'immobilisant complètement.

Royland : Ils nous encerclent ces enfoirés !

Henri : Que doit on faire ?

Royland : Restez derrière moi, je vous couvre.

Le Français préféra l"écouter, ça pourrait peut être lui permettre de réfléchir à un moyen de s'en sortir sans user de talents de tireur qu'il avait point.

Pilote Navy : Appareil inconnu, veuillez décliner votre identité.

Echo 19 : Ici Echo 19 de la Branche Danoise de UNIT, nous venons ici pour rejoindre les Nations Unis afin de prévenir d'une attaque qu ise prépare.

Pilote Navy : Faites demi-tour immédiatement sinon nous serons obliger de tirer.

Echo 19 : Attendez, c'est très sérieux, nous...

Pilote Navy : Nous aussi nous sommes très sérieux, et si j'étais vous, je déguerpirai vite fait et je laisserai le cours du Destin se jouer en silence.

Ser Degore en entendant ça, affichant une brève mien déconcertée qui passa vite à la colère et il dégaina rapidement son Ak 5 avant de se tourner vers son camarde de combat.

Royland : Ils sont à la solde de notre ennemi, je ne vais pas les laisser nous avoir !

Henri : Je ne pense que ça une bon...

Trop tard.
Il avait déjà ouvert la portière gauche de l'hélico et il visa rapidement le pilote du chasseur devant lui et il tira une salve de balles qui le tue très rapidement.
Il avait abattu un des ennemis, mais le temps de dire ouf ou de s'occuper des autres.
Car c'était à leur tour, et le pilote de UNIT fut très rapidement descendu par la menace d'en face, touchant les commandes au passage et envoyant l'engin directement piquer sous l'eau.
Celle ci les avala tout cru, les emportant dans l'abysse.
La Victoire semblait être remporté par Julius et ses hommes.
Était ce réellement le cas ?
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Message  Kevin Ryman Mar 1 Aoû - 12:45

L'Armée des Morts

L'Humaine, le Vampire et la Silurienne étaient coincés dans le bureau du Marcheur Blanc, alors que des morts tapaient à la porte pour tenter de la forcer et d'entrer.
Ne voulant pas rejoindre leur armé, même si pour l'un d'entre eux se serait impossible, ils doivent s'allier pour sortir d'ici.
Le Caporal Tuttle fut le premier à proposer une idée pour leur fuite.

Duncan : Je peux me sacrifier pour vous permettre de vous enfuir par l'entrée principale.

Tia : Caporal, je ne vous laisserez pas risquer votre vie comme ça.

Duncan : De toute façon, si ces morts sont aussi intelligents qu'un zombie de base, ils ne devraient pas réussir à me tuer.

Valissa : Ce n'est pas bête.

Tia : Mais risqué, on ne sait pas combien il y en a dans le bâtiment.

Duncan : C'est un risque à tenter.

Tia : Attendez, j'ai une meilleure idée.

A ce moment là, un trou se créa dans la porte et un bras juvénile entra et commença à gratter pour mieux entrer. La peau de lézard lui tira dessus avec son Hi-Point Model JCP.

Valissa : La porte ne tiendra plus longtemps !

Tia : Vous pouvez vous transformer en oiseau Caporal n'est ce pas ?

Duncan : Oui, ça va me demander de l'énergie mais c'est dans mes cordes.

Tia : Je vais avoir besoin que vous preniez la forme qui vous est le plus pratique pour pouvoir transporter quelqu'un.

Duncan : Je vois ce que vous voulez faire.

Valissa : Pas moi, c'est quoi le Plan ?

Tia : Il y a une fenêtre dans cette pièce, donc le Caporal va pouvoir vous emmener dehors à l'abri.

Valissa : De base je serais réticente pour cette idée, mais à choisir entre la mort et la vertige, je préfère prendre le vertige.

Tia : Bien nous allons faire comme ça.

Duncan : Mais pour vous mon Lieutenant ? Dois je revenir vous chercher après l'avoir déposé ?

Tia : Non c'est OK, j'arriverai à sortir d'ici toute seule et en vie, ne vous en faites pas.

Elle prit sa plus grande assurance pour le convaincre de l'abandonner ici, ce qui marcha, même si il avait quand même une boule dans le ventre à faire ça.

Duncan : Dans ce cas, combattez bien.

Tia : Merci, le plus important est que vous surviviez vous.

L'Homme qui avait vécu déjà des siècles sur cette Planète était très touché par cette remarque, et celle qui avait vécu dans la Planète Bleue aussi.
Après ce regard touchant d'adieu, le Vampire alla ouvrir la fenêtre puis il invita la lézarde à se mettre sur son dos d'avance, par précaution.
Ceci fait, il prit subitement l'apparence d'un aigle royale et se prépara à prendre son envole. Quand il fut près, il s’élança et disparut dans les airs du paysage danois.
Laissant la Lieutenant de UNIT face à ces petits bras qui avaient presque eu raison de la solide portes et des meubles autours.
Elle pointe son canon de pompe vers les troues et patienta. De toute façon, c'est pas comme si elle pouvait s’échapper d'autre part.
D'ailleurs, même si elle ne l'avait pas montré devant les autres, elle avait peur.
Peut que son histoire s'arrête ici et maintenant, c'est pour ça qu'elle adressa quelques paroles à celui pour qui elle avait fait tout ça et qui serait fier d'elle.

Tia : Far, si seulement tu pouvais être là pour voir à quel point je suis devenu forte.

Elle pria Dieu pour lui accorder la force de continuer et elle se prépara à la lutte. Même si celle ci n'était pas celle qu'elle avait imaginé.
En effet, les visages féminins qui se révèlent à elle après le passage de force avaient clairement entre 8 et 12 ans.
C'étaient quatre gamines zombifiées qui venaient pénétrer dans le lieu de refuge et qui allaient attaquer la vivante dés que l'occasion se présenterait.
Cette dernière fut figée en voyant ceci, n'arrivant pas de suite à tirer sur des gosses. Ne comprenant même pas pourquoi elles étaient là.
On est pas dans une garderie après tout.
Ce n'est que quand un bras toucha sa jambe que son instinct de servit reprit le dessus, puis un coup partit, et une tête aussi.
Allez savoir laquelle.
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Message  Shiho Miyano Mar 8 Aoû - 18:52

Le Temps est compté

L'eau dans les poumons circulait dans les conduits comme un corps nu dans un toboggan sans fond. Pourtant la noyade ne vint pas au rendez vous.
Henri Petrick était toujours vivant.
Si on pouvait appeler ça être vivant.
Pour la énième fois de la journée, il était entre deux mondes, il commençait à s'y habituer.
Finalement, c'est pas si mal que ça la perte de connaissance.
Même si c'est une perte de temps absolue.
Et que le temps, on en a pas des masses pour faire ce que l'on doit faire.
Mais je peux rien faire pour le moment.
je dois attendre le signal.

Ce signal, c'est une voix l'appelant pour qu'il se réveille.
Il reconnut sans problème celle du Vétéran Degore.
D'ailleurs, Henri était content d'entendre qu'il avait survécu lui aussi.
Il avait assez perdu de gens jusque là, et pas des mauvaises personnes, c'est ça le pire.
Son accent du nord semblait stressé, heureusement les pupilles de l'inconscient bougèrent, puis se furent les paupières qui s'ouvrirent.
Les deux visage se firent face, avec deux sourires de reconnaissance qui firent plaisirs, suivit d'un petit rire de soulagement du Xandarien.
Celui ci s'écarta ensuite en se levant, laissant celui qu'il avait ramené à la nage jusqu'ici raccrocher toute l'eau mentionnée au debout, ce qui en faisait des litres.
Un homme normal serait mort, mais pas lui.
Impressionnant le Sergent qui avait vu de nombreuses batailles.

Royland : Vous semblez plutôt coriace pour un humain.

Henri : Je m'étonne moi même.

Le French Detective s'aida de son compagnon pour se relever et il regarda les alentours.
Ils se trouvaient au Red Hook, un port à Brooklyn, donc pas du tout dans l’arrondissement où ils de rendaient, ce qui n'était pas bon du tout.
L'activité du lieu n'avait cessé pour de telles broutilles. c'était à se demander si les ouvriers et autre employés avaient remarqué le grand gaillard sortir de l'homme avec un homme à son coude.
Faut croire que non, ou qu'ils s'en fichent.
En tout cas, le Père de Famille regarda sa montre, il était déjà 14H40, le discours était dans 20 minutes. Ils n'arriveraient jamais à attendre les Nations Unis dans les temps, même avec un retard du VIP.
On est pas dans 24H Chronos, on est dans Réalité du Vrai Véritable.
On ne passe pas d'un arrondissement de New York à un autre en moins d'une heure. C'est que dans les fictions que ça arrive ça.
Henri passa ses deux mains sur son visage en serrant les lèvres.
Il n'arrivait à se concentrer pour avoir une pensée claire, il demanda donc conseil au passionné devant lui.

Henri : Royland, vous avez une idée pour nous permettre de rejoindre la Siège en moins de 20 minutes ?

Royland : J'ai une meilleure idée que ça.

Henri : Laquelle ?

Royland : Regardez là bas.

Il pointa du doigt l'USS Green Bay, toujours dans son coin, et qui était tout près, prêt à être abordé par deux hommes en quête de sensations fortes.
Petrick savait ce que sous entendait la Sergent.

Henri : Vous pensez que le Daeth Note et surement l'Amiral sont là dedans ?

Royland : J'espère en tout cas, et comme vous l'avez dit, nous ne pouvons plus atteindre les nations unis maintenant. Donc autant tenter notre chance là bas en priant pour avoir raison.

Henri : C'est vrai, allons aborder ce navire.

Royland : Je suis toujours prêt au combat.

Il avait dit ça malgré le fait qu'il ait perdu son fusil lors du crash, mais il avait toujours son couteau, donc ça allait.
Henri, lui, n’avait rien, mais il ramassera quelque chose au passage.
Ensemble ils se rendirent jusqu'au petit ponton qui menait au gros bateau, que deux Soldats gardés pour éviter que des petits fouineurs viennent s’incruster sur un endroit réserver à la Marine Américaine.
Il allait falloir régler ce problème car ils ne semblaient pas aimer nos héros du premier regard.

Soldat 1 : Reculez s'il vous plaît.

Soldat 2 : Ce Navire est la propriété de l'US Navy, vous n'avez pas le droit d'y monter.

Le premier mec était équipé d'un Colt M4A1 SOPMOD et qu'un Colt 1911, tandis que le second possédait une M16A2 avec lance grenade intégré plus un Beretta 92SB-C en argent.
N'ayant pas une minute à perdre et sachant que la discutions ne mènerait à rien, Royland planta le premier soldat tandis qu'Henri foutu un coup dans les parties intimes du second avant de lui mettre son poing dans la figure.
L'un était mort et l'autre assommé.
Degore prit l'équipement du premier et Henri celui du second.
Ils s'échangèrent ensuite un regard.

Royland : On se sert les coudes comme vous le dites ici.

Henri : Oui, et on ira boire une bière après ça, si on survit.

Armés et dangereux, ils montèrent sur ce ponton de métal pour arriver sur le pont avant où il y avait déjà quelques marins armés ne s'attendant pas à de la visite.
Nos Héros avaient avoir un bonus d'effet de surprise.
Mais ce bonus ne durera pas longtemps, il vont devoir bien en profiter.
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Message  G-Man Mer 9 Aoû - 10:43

Le Discours

New York; Manhattan; Siège Nations Unis

L'Assemblée de l'ONU était bondée par les représentants des pays du monde entier, ainsi que par la sécurité et aussi quelques journalistes autorisés à être là pour filmer le discours de Kofi Annan.
Ce dernier n'était pour le moment pas là car il se préparait en coulisse, et il n'était pas encore le moment, même si celui ci s'approchait de minute en minute.
Chess Roberts, de la WHiH World News, était là pour l'occasion et elle était déjà à l'antenne pour causer aux spectateurs du monde entier, même si c'était en anglais, mais je vous le traduit en français.

Chess : Aujourd'hui, le le Secrétaire général des Nations unies va tenir un Discours pour tenter de convaincre les parlementaires d’approuver la Dissolution de UNIT, le corps scientifique et miliaire de l'ONU chargé du Paranormal et des Aliens.
En effet Kofi Annan défend depuis plusieurs année déjà une position ferme contre cette Organisation créée par l'ONU entre les années 70 et les années 80.
Il met en avant le fait que UNIT créerait plus de problèmes qu'elle n'en résoudrait.
Il est vrai que ces derniers temps, l'ONG en question est sujette à scandale au sujet de ses récentes interventions au Mali et en Bolivie où de nombreux civiles seraient morts par leur faute, même si rien n'a pu être prouvé jusqu'à présent.

La suite étant sans intérêt, passons plutôt de l'autre coté de la caméra.
Non, je ne parle pas du cameraman.
Mais d'un des nombreux spectateurs qui regarde ceci à 14H48, à savoir l'Amiral Julius Hirston, dans sa cabine, un verre d'eau plate à la main.
C'était bien mieux que l'eau salé, lui même en avait fait l'expérience une fois.
C'est pour ça qu'il en but une gorgée, cul sec, celle ci étant bien meilleure qu'un Pudding à l'Arsenic, c'était clair même pour des Gaulois.
En tout cas, le Principal Antagoniste de la FIC avait hâte que le vieux passe l'arme à gauche, comme ça il serait tranquille et pas inquiété comme il était ici pendant l'heure de la mort et n'aurait donc pas avoir un quelconque lien avec celle ci.
Et puis, vu comment il allait mourir, ils allaient vite conclure à un suicide et puis basta.
Le Crime Parfait, digne d'Alfred Hitchcock.
Ça méritait bien de se resservir un peu, non ?
Le problème, c'est qu'un officier entra en trombe dans la cabine à ce moment là, le visage débordant de sueur.
Julius était d'abord énervé qu'on vienne le déranger mais il reconnut l'officier et il sentait qu'il n'allait pas aimer ce qu'il allait entendre.

Officier : Nous sommes attaqué mon Amiral !

Julius : Combien sont ils ?

Officier : Je ne sais, mais ce sont eux qui mènent la danse, il faut partir !

Julius : Prenez le large, ça les occupera pendant que je fuirai de mon coté.

Officier : Affirmatif mon Amiral.

L'homme s'en alla et le méchant en blanc posa son verre et se leva jusqu'à une commode où se trouvait rangé le précieux cahier qui avait déjà causé pas mal de morts.
Ses ennemis ne devaient pas mettre la main dessus.
Mais il ne pouvait pas non plus se permettre de le brûler, pas maintenant.
Il l'emporta donc avec lui, pendant qu'il arpentait les couloirs où une alarme commença à résonner et tout le monde allait au front, tout le monde SAUF lui.
Lui se rendait vers les canots de sauvetage, pour plus de sécurité.
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Message  G-Man Mer 9 Aoû - 11:18

La Croisière s'amuse

Les tirs résonnaient dans l'USS Green Bay, et les corps des soldats de l'US Navy continuaient de tomber au combat. Certains hésitaient même à fuir et à se jeter à l'eau.
Pendant qu'ils se posaient des questions quand à leur survie, le front en face progressait alors qu'ils n'étaient que deux, un vétéran et un civil. Le genre de chose à leur valoir la honte.
Finalement, comme on s'en doutait, la force marine fit preuve de lâcheté ou du'n courage exemplaire, suivant le point de vue, et décida d'abandonner le navire sans le consentement des officiers supérieurs.
D'ailleurs l'un d'eux tenta de les rappeler à l'ordre, mais baissa sa garde par la même occasion, se prenant un tir fatal à l'arrière du crane.
Henri et Royland, ayant éliminé le dernier homme dans ce couloir à ne pas avoir fuit, ils continuèrent leur avancé jusqu'à un embranchement à deux couloirs où ils sentirent une vibration qui manqua de les faire tomber.
Quelqu'un venait de démarrer le gros rafiot, et une autre avait probablement détaché celui ci du quai où il était amarré. Ce qui voulait dire qu'ils partaient en mer les bougres.
C'était pas bon pour les affaires ce délire là.

Royland : Ils veulent tenter de faire fausse route ? Ça n'arrivera pas avec moi !

Henri : On a deux chemin, mieux vaut se séparer pour ne pas perdre temps. Vous prenez lequel ?

Royland : Je prends la gauche.

Henri : OK on se retrouve plus tard.

Ils se séparèrent donc pour couvrir plus de terrain.
Monsieur Petrick arriva assez rapidement dans les niveaux inférieurs du bateau et plus précisément devant la Cabine de l'Amiral où son nom était marqué sur la porte pour pas qu'un con y entre sans permission.
Sauf que la porte était ouverte, et qu'à première vue il n'y avait pas de trace du mec à l'intérieur.
La Colombe Blanche, et celle ci semblait s'être tirée avec l'ouvrage magique.
Laissant Henri comme un con dans cette pièce, ne sachant pas quoi faire.
Finalement son attention fut porté vers la TV qui affichait 14H52 et où l'on voyait Kofi Annan se mettre en place devant son public pour commencer son discours un peu en avance, celui ci étant assez long de toute façon.
Si seulement il savait que l’Épée de Damoclès pesait sur sa tête.
Au même moment, Julius Hirston arrivait à l'air libre, du coté droit du navire, dans une petite parcelle du bateau qui ici n'était pas à l’intérieur.
Il s'approcha des canots et appuya sur un bouton pour en faire descendre un. Grâce à ça, il pourra se barrer jusqu'au porte-avion non loin de là où il sera bien plus à l'abri et surtout où il pourra demander des renforts sans problème.
Mais alors que son moyen de sortie rejoignait l'eau en dessous, une voix plutôt amusée s'adressait à lui au plus profond de son être.

Shinigami : Si j'étais toi, je ne me retournerai pas.

Ce timbre de voix lui fit glacer le sang.
Puis une rafale de balles le traversa, dans le dos, et il tomba par dessus bord, lâchant le cahier au passage. Tombant sur l'objet en contrebas qui partit ensuite à la dérive vers on ne sait où.
Cette salve de munitions venait du Sergent aux nombreuses cicatrices qui était plutôt fier de son coup mais n'avait pas le temps de s'en vanter.
Il se précipita sur le Death Note et se tira avec.
Pas le temps de savoir si Julius était plus vivant que mort, ou vice & versa.
Maintenant, il devait le ramener à Henri pour qu'il puisse effacer le nom de la prochaine victime avant que celle ci passe l'arme à gauche.
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Message  G-Man Mer 9 Aoû - 12:20

Mort Évitée

Ser Royland Degore fonçait tête baissée dans les couloirs du navire pour retracer le chemin emprunté par le français ,en évitant de perdre le cahier de la mort en cours de route.
Finalement, il réussit à descendre jusqu'au niveau inférieur et surtout à tomber sur la Cabine de l'Amiral où se trouvait celui qu'il cherchait.
D'ailleurs, ce dernier avait une expression de joie intense en voyant son compagnon de fortune revenir vivant et avec l’objet qu'il fallait.
Il ne restait plus qu'une chose à faire.

Royland : Vite la gomme !

Henri : Oui oui !

Celui qui avait une imperméable fouilla ses poches pour retrouver le Death Eraser, tandis que l'autre s'occupait d'ouvrir à la page avant de le tendre à son pote.
Tous ces préparatifs faits, un coup de gomme magique vint signer la fin de cette conspiration qui aurait pu avoir de très mauvaises conséquences sur ce monde pitoyable.
La tension baissa de quelques tons, tandis que la voix du celui dont la vie venait d'être sauvé, sortait de la télévision.
Les têtes se tournèrent vers celle ci où l'on voyait 14H57.
Ils attendirent ensuite que l'heure fatidique soit bien passée pour pousser un ouf de soulagement en le voyant toujours debout.
Entre temps le bateau s'était étrangement arrêté, mais ils ne avaient rien à faire et ils se regardèrent droit dans les yeux. Contents d’avoir sauvé la monde à eux deux.
Rien que ça.

Henri : Je pense que nous formons une sacré équipe.

Royland : J'en ai des compagnons d'arme, et pourtant je suis fort d'accord avec votre déclaration.

Henri : On fait quoi du Death Note maintenant ?

Royland : On s'en débarrasse car aucune forme de vie, aussi intelligente soit elle, ne devrait pouvoir mettre la main dessus.

Henri : Entièrement d'accord avec vous.

Royland : Je... Des bruits de pas, en garde !

Le Sergent pointa le bout de son canon en directement en direction de l’entrée de la cabine, suivi par celui de l'arme du Détective.
Le propriétaire des bruits de pas pointa le bout de son nez, c'était un Marin de l'US Coast Guard armé d'un M870P et qui ne semblait pas rigoler vu la tête qu'il faisait.

Marin : Lâchez vos armes qui que vous soyez !

Royland : Je ne pense pas que ça soit un méchant.

Henri : Moi non plus.

Ils rendirent ce qu'ils avaient pris et se laissèrent emporter par les renforts de l'Armée Américaine présents maintient sur les lieues.
Dehors, encerclant le navire, il y avait un Eurocopter HH-65 Dolphin des gardes cotes ainsi qu'un Bell UH-1Y Venom et deux McDonnell Douglas AV-8B Harrier II de l'US Marine Corps.
Les derniers soldats de Hirston encore à bord, ainsi que ceux dans la flotte, s'étaient rendu, en plus de l'Officier qui était aux commandes du rafiot.
La Conspiration fut connu au grand jour, pour le bien de tous.
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Message  G-Man Mer 9 Aoû - 17:52

Tout est bien...

De nombreux treillis militaires vêtus de bérets bleus se baladent dans le port de Red Hook, se mêlant aux casques bleus portés par les Marines pour l'occasion. Ils finissaient tous de régler les quelques détails de cette crise majeure évitée.
Le Colonel Ahmed de la Branche Américaine de UNIT était là et il avait été briefé sur la situation à son arrivé avec ses hommes, et on peut dire qu'il impressionnait que les Gentils aient gagné.
Car c'était pas gagné à en entendre les mésaventures.
Evidemment, même si le monde sera au courant de complot mené par Julius Hirston et Goth Father, on se taira sur les détails du comment, plus que du pourquoi.
Il n'y a jamais eu de Death Note, ni de Marcheur Blanc, ou de Vampire ou d'Alien, tout ça ce ne sont que des foutaises. Même si un certain nombre de personnes croient le contraire, ils ne sont pas assez nombreux pour poser une menace.
Ce n'était pas la première fois que le vieux colonel devait taire quelque chose de gros comme ça, il avait déjà eu à faire ça avec Ailein Bartley.
D'ailleurs, cette dernière lui manquait beaucoup, et il espérait avoir un jour de ses nouvelles car il a été comme un papa de substitution pour elle.
Ne parlons pas plus de ça, il s'était réuni sur un quoi du port, juste devant le Navire de l'Amiral, avec sa comparse danoise, Tia Karim, ainsi que le Détective Petrick et Kofi Annan.
Ils commencèrent par aborder la question de la survie de la demoiselle.

Ahmed : Je suis navré pour les hommes que vous avez perdu à votre QG, mais je suis content que vous ayez survécu et que vous ayez une augmentation, vous le méritez, vous feriez un très bon Colonel, voir même Général mais je m'avance trop.

Tia : Merci Colonel Ahmed.

Henri : Ça n'a pas trop été dur là bas, quand vous avez vu que c'était des enfants ?

Tia : Si, mais je me suis dit qu'ils étaient morts et que donc ça ne valait pas plus que si je tirais sur une bouteille en verre.

Henri : Moi, à Raccoon City, j'essayais de les imaginer ne monstre horrible, c'est ce qui m'aidait personnellement à réussir à tirer.

Kofi : Vous étiez à Raccoon City lors de l'Incident ?

Henri : oui, mais je ne veux pas en parler.

Kofi : Mince, je compatis alors.

Tia : Je n'en reviens toujours pas dû leur arracher la tête ou les brûler pour s'assurer qu'elles ne se relèvent pas.

Ahmed : D'où venaient elles ces gamines morts-vivantes ?

Tia : Hé bien, le Colonel Father avait déjà été soupçonné de pédophilie et nécroph..

Ahmed : Je retire ma question, je ne veux pas en savoir plus.

Kofi : Qu'est ce que Monsieur Hirston deviendra ?

Tia : Les Gardes-Cotes l'ont péchés à moitié mort sur son canot, et là il est actuellement dans le coma. Les médecins ne savent pas si il s'en sortira un jour, il a été sérieusement atteint et pourrait être un légume si il jamais il se réveillait.

Henri : C'est peut être horrible mais je pense qu'il méritait son sort.

Kofi : Je le pense aussi.

Ahmed : En tout cas, Monsieur Annan, je pense que vous pourrez vous reposer mieux maintenant que les deux menaces au dessus de votre tête sont hors d'état de nuire.

Kofi : Oh, comme si c'étaient mais seuls ennemis. Néanmoins je devrais peut être revoir ma position sur votre sujet, je pense tout compte fait qu'une dissolution serait trop dur car vous n'êtes pas tous mauvais dans votre organisation. Je pense plutôt que L’ONU devrait vous laisser prendre votre première envoler de vos propres ailes pour voir comment ça se passerait.

Ahmed : UNIT deviendrait indépendante ?

Kofi : Pas totalement, on continuerait à vous financer mais vous vous dirigerez vous même, comme ça si il y a une couille, ça ne nous retombera pas dessus.

Ahmed : Je ne sais pas si je dois dire merci.

Kofi : Ne le faites pas, c'est loin d'être gagné pour l'instant. En tout cas, merci de m'avoir sauvé et prenez bien soin de vous.

Il les salua de la tête et s'en alla, disparaissant entre les militaires.

Ahmed : Je vais vous laisser aussi juste quelques minutes, le temps de voir où en sont mes hommes.

Il disparut à son tour, laissant le français et la danoise ensemble.

Tia : Comment vous vous sentez ?

Henri : Plus vivant, moins mort.

Tia : Les Dieux de la Mort ont l'air d'avoir respecté leur conditions.

Henri : Faut croire. Je suis content qu'il n'y est pas eu tant de morts que ça.

Tia : Moi aussi, mon père serait fier de moi si il voyait ça.

Henri : Vous allez faire quoi du Death Note ?

Tia : Nous allons le transférer aux Archives Noires par mesure de sécurité.

Henri : Est ce que je pourrais juste le voir une dernière fois pour faire une dernière chose qu'il me reste à faire.

Il avait dit cela en sortant le Death Eraser qui était toujours en sa possession, attendant vraisemblablement une dernière utilité dans ce scénario.

Danemark; Aalborg; QG UNIT

La Morgue était vide de présence de vie avec tous ces corps recouverts de draps blancs et personne pour les surveiller.
Seul la mort semblait régner dans la coin, pourtant d'un de voiles blancs se mit à bouger comme par magie, tombant par terre.
Un visage, surpris d'être vivant après s'être vu mourir, regarda les environs, perdu.

??? : Où suis je ?

Les Morts reviennent à la Vie aujourd'hui.
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