[RP] Daesh VS Al-Qaïda [Terminé]

Jean-Pierre : Je pensais que c'était un détail de l'historie sans importance, comme les camps de concentration.

C'est alors que Jean-Jacques Bourdin arriva dont ne sait où, personne ne l'avait remarqué avant.
Il installa deux chaises et fit poser l'invité sur l'une d’elle avant d'aller sur l'autre avec son micro.

Jean-Jacques : Qu'entends je !? Un détail de l'histoire ! Etes vous avec Jean Marie Lepen !? Etes vous du FN !? Aimez vous les fascistes !? Avez vous déjà baisez des affiches d’Hitler !? Répondez ! Les Français veulent savoir !

Je restais sans rien faire à ma place, en même temps je savais pas quoi faire.
Je chuchotais juste quelque chose à Erza.

Moi : Allons chercher les parachutes pour descendre. Il peut s'en sortir tout seul sans nous pour le moment.

Puis je partis en chercher en espérant qu'Erza fasse de même.

Erza, était d'accord avec baptiste, oops pardon je voulait dire Adrien, c'est encore un coup de la voyaseus du temps si j'ai caffouillier,, enfin bref mais avant elle voulu faire qu'ellque chose et alla vers Coffe et lui fouta une énorme gifle et puis un coup de poing, puis elle alla rejoindre

J'appuyais sur le bouton qui ouvrit la soute, donnant une belle vue aérienne de cette ville en plein désert (Image).
Je vis ensuite Erza arriver et je lui donnais un parachute, j'avais déjà mis sur mon dos le mien.

Moi : Être flic, c'est pas facile tous les jours. N'est pas Angel... Oh pardon Erza, je cafouille, non Angel Croft, c'est mon ex. On sortait au collège ensemble. Mais ça c'était avant Anne-Marie Duclaire. Bref, sautons... C'était une mauvaise transition.

Sans vouloir encore plus cafouille je m'élançais dans le vide et attendit le bon moment avant d'ouvrir mon parachute.

Erza, Oh non pas Angel Croft NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON

Puis elle sauta de l'avion

Je continuais à descendre et finalement je déclenchais le parachute pas très loin du sol.
Heureusement que les gardes étaient aussi cons et aveugles que ceux des RP avec Sarah, enfin tant qu'ils ne sont pas dans le camp du perso de Sarah.
Je pus alors continuer ma descente sans voir où était Erza exactement.

Erza se trouver juste a plusieurs mettre au dessus d'Adrien et arriver a bonne distance elle ouvra son parachute, elle chantonnait un peux pour faire passer le temps

Moi et mes 9 hommes, nous avions réussit à arriver dans cet endroit endroit vivant.
Il était déjà 11 heures 40, dans 20 minutes, le président mourra, il fallait le sauver.
Nous étions venu à la base en reconnaissance mais vue que les deux personnes envoyées ici de sont toujours pas là, on nous avait donné comme mission de prendre le président et l'emmener hors de la ville pour l'extraction.
C'était suicidaire mais on avait pas vraiment le choix.
Bien sur alors qu'on avait réussit à trouver un coin à l'abri pour le moment, Lugo se plaignit.

John : On est vraiment obliger de sauver le Président, t'as vu ces mecs c'est une vrais armés contre nous, on a aucune chance, ils sont préparés, on ne bénéficie même pas de l'effet de surprise. En plus les mômes là bas nous regarde bizarres.

Martin : Tu sais parler leur langue, tu pourrais leur demander où est notre cible.

Alphonse : Regardez capitaine, le ciel !

Je vis alors deux personnes descendre le ciel, c'étaient les deux envoyés avant nous mais qui sont arrivés après.
La femme chantait, c'était bizarre.
Mais c'est alors que des tirs fusèrent à leur direction.
Et le parachute de la dame fut troué et elle tomba en piquet sur le toit d'une maison, mais heureusement ça avait lâché 6 mètres au dessus.
Mais elle risquait d’avoir des bleus.
Quand au mec il semblait avoir atterrie tranquille.

Martin : On se sépare ! Lupo et vous 3 avec moi, on va sauver cette mademoiselle en détresse. Adams, dirige les autres vers l'homme.

Et on se séparait pour mieux agir.

Alors que Erza tomber en piquer, voila que super boobs arriver pour la sauver grâce a ses énorme boobs, qu'elle utilisa pour amortir la chute Erza ce qui marcha, mais laissa comme même des bleus car cette conne la lâcha a 50 centimètre du toit et disparu comme par magie, quand Erza ce releva elle vit l cinque personne qui venait vers elle

Nous avançâmes dans les ruelles de la ville avec un style bien Moyen Orient.
Et après avoir tué quelques Djihadistes qui passaient par là, nous arrivâmes à la maison où la civile était tombée.
Lugo défonça la porte d'entrer et braqua son arme sur les personnes à l'intérieur, heureusement ce n'étaient que les habitants du coin qui n'aimaient pas Daesh mais ne pouvaient pas fuir cet endroit pour aller dans les parties de l'Irak non contrôlé car ils se feraient tuer.
Notre Polyglotte préféré leur demanda de nous conduire au toit et l'homme de la maison nous y emmena.
Une fois en haut, nous pûmes enfin voir cette jeune femme qui se relevait de sa chute et nous regarda d'un drôle d'air.

Martin : Capitaine Martin Walker, Delta Force, voici une partie de mon équipe, l'autre partie est allé protéger votre ami. Rien de casser ?

John : Hé bien vous auriez pu vous dépêcher, c'est pas comme si vous aviez le Président des Etats Unis à sauver.

Martin : Calme toi Lugo.

Lugo avait l'air de ne pas être avec moi si une décision et de chercher les personnes qu'ils croisaient mais il nous était utile pour le faites parler un gros nombre de langues.
J'attendais de voir si cette jeune femme ne s'était pas blessée.

Erza: Non  par chance juste qu'elle que juste que qu'elle que bleu, ce qui est étonnant d'ailleurs, c'es pas de ma  faute mais celle du pilote qui je ne sais pas pourquoi a voulu aller dans l'espace, et puis du président j' en n'ai rien a foutre, il pourrai bien crever que sa ne me ferai, enfin bref Je ne me suis pas présenter, je m'appelle Erza Josse

Je lui serrais la main, elle en avait une forte poignée quand même.

Martin : Enchanté de vous connaitre.

John : Je voudrais pas vous déranger mais il reste dix minutes pour sauver le président, et si on le sauve, pas ils nous enverrons pas l'extraction et nous laisserons mourir.

Martin : Ne dis pas n'importe quoi, ils....

Soudain une roquette toucha le mur à notre droite du bâtiment et donc le souffle de l'explosion nous toucha mais heureusement pas sévèrement.
Nous nous retrouvâmes tous à terre et mes oreilles sifflaient.
C'était pas agréable.

Adrien avançait à pas de loup et arriva devant le Nineveh Ruins (Photo) et il se planqua derrière un véhicule pour observer 3 islamistes surveillaient l'entrer.
Ils parlaient une langue qu'il ne comprenait pas.
Mais d'après ce qu'il savait, c'était l’endroit des exécutions donc le Président devrait être là, resté plus qu'à le sauver. Il attendit alors le bon moment en espérant qu'il ne tarde pas trop.

Erza suite a l'explosion c'était retrouver a terre, elle se releva avec mal car le bruit du sifflement désagréable, la déséquilibre, le bruit dura une 20 seconde ou plus si vous le souhaite chère amis lecteurs, en fin bref une fois le sifflement fini elle arriva a ce remettre debout

Erza: J'avais oublier le mal que sa fessait, putain si je chope le ou les enculer qui on ose tirer je les coupe en tranche façon rosette

Nous nous relevâmes, non sans mal et mes gars se mirent déjà en position de couverture pour tirer sur les ennemis en contrebas.

Erza : J'avais oublié le mal que ça faisait, putain si je chope le ou les enculer qui ont osé tirer je les coupe en tranche façon rosette.

Martin : Ça ne va pas être aussi simple, on est dans leur territoire, ce serait comme débarquer en plein milieu de la Corée du Nord et vouloir tuer tous les méchants, tu ne tiens pas 5 minutes.
Non, on prend le président et on se barre.

Je fis signe à mes gars de cesser de tirer et de me suivre, cette Erza nous suivit aussi, c'était sa seule chance de survivre dans ce coin.
Nous descendîmes du toit et quittâmes la maison pour nous engouffrer dans des petites ruelles.

Adrien avait réussit à avancer pour entrer dans les ruines sans se faire réparer.
Il était arriver à l’endroit de l’exécution et il planqua derrière une caisse pour observer sans se faire voir.
Il vit 5 soldats de Daesh dont l'un qui était le bourreau et qui regardait sa montre.
Le Président était juste à coté, un sac sur la tête et les mains liés.
Il était à genou pour être exacte.
Aucune trace de Baghdadi, il ne devait pas être dans le coin, surement trop risqué de s'exposer ici.
Notre flic entendit alors l’exécuteur prendre la parole en français.
Car on le sait tous que la moitié des gars de Daesh sont des français partis au Djihad. ^^

Bourreau : Midi pile, c'est l'heure de le tuer, Yassine, enclenche la cam !

Yassine : D'accord !

Bourreau : Alors les Etats Unis vous avez peur, tellement peur que vous n'êtes pas venu pour tuer votre président.

Yassine : Tu as dis tuer !

Bourreau : Ah merde, on l'a refait !

Tout à coup, des coups de feux retentirent et le bourreau s'en prit une dans la caboche.
C'étaient des terroristes d'Al-Qaïda qui arrivèrent en Pick Up pour tuer leurs concurrents.
Une baston éclata et Adrien resta planqué pour les laisser s’entre tuer.

Erza les avait suivie et se trouvais désormais dans les ruelle

C'était le bazar là, les mecs de Daesh et d'Al-Qaïda s’entre tuaient et pour le moment les deux étaient un peu à execo sur le nombre de kill.
A un moment donné Yassine alla se planquer derrière la caisse où j'étais moi, Adrien.
Il me remarqua alors et le cria sur tout les toits.

Yassine : Un intrus américain !

Moi : Je suis français abruti.

Il se prit alors une rafale de balle venant de l'opposer des combattants.
Je me retournais pour voir une équipe de 5 soldats de la Delta Force qui arrivait en renfort.
Le Président arriva au même moment pour se planquer, ayant réussit à perdre son sac durant la fuite.
L'un des soldats se présenta à moi.

Alphonse : Alphonse Adams, Delta Force...

Moi : Ouais moi c'est Adrien, bon mieux vaut partir avant qu'ils aient fini de se tuer.

On commença à rebrousser chemin avec notre VIP.
Le soldat prit sa radio pour parler dedans.

Alphonse : Capitaine, nous avons les deux VIP, nous nous rendons au point d'extraction, à vous.

Martin (R) : Bien reçut, nous aussi, nous avons notre VIP et nous vous rejoignons, terminer.

C'était parti pour la fuite.