[FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
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[FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Aider un "Ami"
3 Mars 2015
Etats Unis; New York; Brooklyn; Brighton Beach
Gilbert Montagné était entrain de rouler dans les routes dégradés de la ville, il était dans le quartier russophone de Brooklyn et il devait aller retrouver quelqu'un au Velvet Rope, un club tenu par la Mafia Russe.
La personne qui devait retrouver était d'ailleurs le chef d'un des famille de la Mafia Russe les plus importante de toute New York.
C'était Makari Faustin, chef donc de la Famille Faustin, le clic leur appartient, je me répète pour que ça rentre bien dans le crane.
Enfin bref, Gilbert lui devait pas mal d'argent suite à une partie de poker un peu mouvement, et tout le monde sait que faut pas entourlouper Faustin. Mais ce que les gens savent un peu moins c'est que ce n'est pas un homme de parole et donc un gros enfoiré.
Gilbet ne le savait pas et quand il l'appela pour lui dire qu'il avait un job pour lui qui faire effacer ses dettes. Gill marcha dedans et prit le premier billet pour New York.
Maintenant, il était entrain d'arriver au lieu prévu alors qu'il était à peu près 13 heures. Il stationna sa caisse devant le bâtiment où il y avait une queue pas croyable, il espérait de pas devoir attendre 3 heures pour pouvoir entrer.
Il sortit et s'avança vers le videur devant lui, un renoir, très cliché, mais un renoir russe, c'est pas pareil.
Videur : Tu fais la queue comme tout le monde.
Gilbert : Écoutes mec, Makari veut me voir, alors ut me laisse passer si tu veux pas me sucer la queue.
Videur : Hé расслабиться, tu peux entrer le boss t'attends dans le carré VIP.
L'aveugle entra promptement dans la boite, descendit les escaliers pour arriver sur la piste de danse qui était bondé, en haut se trouvait une petite passerelle avec des gogo danseuses, le DJ était en face. Et sur l'un des cotés se trouvait le fameux carré VIP gardé par un grand gaillard de 2 mètre, le crane rasé, une petite barbiche, tirant la tronche et assez musclé. C'est à ce demandait qui sera le grand boss qui dur 3 plombes. Surtout quand on voit derrière Makari Faustin (A quoi il ressemble). On devine qui est al tête et qui est les muscles.
Mais il y avait aussi une troisième personne, que Gilbert ne connaissait pas. Celle ci parlait avec le patron de l'endroit.
Gill voulut s'approcher mais le super garde l'empêcher de passer.
Grand Gaillard : Hé toi pas passer.
Makari : Vlad, c'est un ami, tu peux le laisser venir.
Vlad : D'accord toi passer.
Gilbert entra dans le carré et s'installa à coté de son "ami" qui lui présenta la personne inconnu (A quoi ressemble l'inconnu)
Makari : Gilbert, je te présente Yegor Petrovic, c'est le Russe le plus puissant de New York.
Gilbert : Ravi de vous rencontrer.
Yegor : De même, bon désoler mais je vais devoir vous fausser compagnie. Ces connard de Hells Angels croient que le Bronx est à eux, je vais leur apprendre que non, il est a moi.
Makari : Ouais démonte les bien.
Mr Petrovic s'en alla pour donc péter des gueules, laissant les deux loulous en tête à tête.
Gilbert : Alors, pour cette dette ?
Makari : Ouais tu vas être content, j'ai dus boulot pour toi, histoire d'être quitter.
Gilbert : Et c'est quoi le boulot.
Makari : Comment te dire, il y a une semaine, j'ai affrété un bateau cargo ici et il contenait un lot de diamants pures ayant appartenu à ma famille depuis des lustres. J'y tiens beaucoup tu vois ?
Gilbert : Ouais, on te l'a volé ?
Makari : Hé ouais, et j'ai découvert le fautif. C'est un connard de cuisinier bossant pour moi et qui a prévu de les refiler dans 1 heure à ces enfoirés d'Italiens, la famille Millione, alors que ce sont MES diamants.
Gilbert : Ouais tu veux que j'aille faire foiré la transaction ?
Makari : Bien sur, en plus je sais les antécédents que tu as avec leur boss Carmine, à propos de ta femme.
Gilbert : Je sais... Et ça me va.
Makari : Cool ! Enfin bref le rendez vous à lieu au port de Red Hook, je vais envoyer mes gars t'y rejoindre, ils s'occuperont des gars de Carmine tandis que toi tu t'occupera de CE connard de cuisiner et tu reprendra mes diamants.
Gilbert : D'accord, ce sera fait.
Makari : Tu peux y aller, j'ai quelque chose à faire.
Gilbert quitta la carré puis le club pour retourner à son véhicule, il était content que Faustin ne lui en veuille pas trop pour l'argent qu'il lui devait. Bon en même temps là ce qu'il voulait, c'était récupéré ses diamants, Gill allait devoir l'aider.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Au Café Luxembourg
New York; Manhattan; Café Luxembourg
Ah le café Luxembourg, que de souvenirs, un vrais délice.
Il était un peu plus de 13 heures, ça faisait une demi heure qu'on était dans ce café avec mon pote, Maurice Joubert, heureusement que ce dernier était là. Il avait un meilleur niveau d'anglais que moi, d'ailleurs c'était pas comme à New Raccoon City, ici c'était rare de croiser quelqu'un qui sache parler français, alors je dois avouer que je galérais un peu et j'essayais de comprendre du mieux que je pouvais.
Dommage les serveuses étaient sympas, mais je paraissais d'un gros plouc devant elle à tenter de bredouiller des mots de leur langues mais avec une voix incompréhensible.
Mais vous vous dites, qu'est ce qu'on foutez là !?
Hé bien on venait de finir une petite mission, un vol de méth chez les Hells Angels dans le Bronx, c'était galère ais on avait réussi à se tirer plutôt tranquille au final.
Maintenant on attendait l'arrivé de Del qui devait prendre la drogue.
Mais durant l'attente, on papotait un peu de notre vie actuel.
"Alors la famille, les amis ?
- Ouais mes parents rien à en dire. Gilbert Montagné est en ce moment entrain de chasse les mafieux avec Léon, je crois qu'il arrive bientôt à la fin de sa vengeance. Holt et Erza, ça fait un petit moment que je ne les ais pas vu. Et pour Sandra elle va bien, Wesker ne l'a toujours grillé, tant mieux, je ne voudrais pas qu'il lui fasse du mal.
- Moi, ma sœur est malade, Ebola.
- Merde, désoler pour elle.
- J'espère qu'elle arrivera à s'en remettre."
Des clochettes se firent entendre, c’était Phil (Del) qui arrivait avec ses Ray-ban à la Wesker et son manteau en cuir noir. Il était accompagné de 4 autres joyeux lurons facilement interchangeable et dont on ne connait pas le noms tellement on s'en fout d'eux. Les clichés, c'est indémodable. Il alla s'asseoir à coté de nous et sa meute resta à coté au cas où ça péterait.
"Hey les gars comment vous allez ?
- Ça peux aller. Répondit Maurice.
- On a la méthamphétamine."
Je sortis le sachet de ma poche pour le filer à Del qui avait l'air super content et qui le donna à de ses chienchiens.
"Bon les kids, on ne pourra pas rentrer au bercail tout de suite, on a un autre coup à faire à New York.
- Quel genre de coup ? Demandais je.
- Gros. Des Diamants.
- DES DIAMANTS !? Fit Maurice.
- Bravo la discrétion, enfin c'est surtout le fric qu'on va en tirer qui nous intéresse. Bon je vous résume, un russe, Makari Faustin m'a appelé pour me dire qu'un des ses gars essayer de refiler ses diamants en douce aux Italiens. Il a déjà envoyé un de ses gars s'occuper de ça, ensuite il a prévu de faire un échange avec la Mob Juive pour tirer un max de pognon, l'un de vous deux assistera au deal avec l'un de ses gars pour empocher beaucoup de pognon. On aura le droit à la moitié si tout se passe bien.
- Chouette. Fis je. C'est quand le rendez vous ?
- Je sais pas, il m'a dis qu'il m’appellerait une fois qu'il aura récupéré ses diams."
On avait plus qu'à attendre que tout se passe correctement.
Maxime Moulin- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Chantage
New York; Manhattan; Little Italy
J'avais les yeux bandés, ce qui m'empêcha de voir quand je me réveillai enfin.
Je ne savais pas où j'étais.
La dernière chose dont je me souvenais c'est moi à bord de ma voiture en route pour mon lieu de travail puis plus rien.
C'est alors qu'on m'enleva enfin cette chose qui m'obstruait le vue.
Je vis ensuite un grand gaillard chauve avec une sale gueule, style bouledogue.
Ce dernier tirait une tronche comme pas possible, ça leur arrivait jamais de sourire à ce genre de type ?
Moi : Tu sais Rex, vas chercher ton maître et perds pas de temps.
Evidemment il ne l'entendit pas de la même oreille et m'en foutu une une bien bonne dans la tronche ,ce qui me fit rigoler. J''entendis alors son maître l'appeler derrière.
Carmine : Marco, calme toi.
Marco : Il m'a manqué de respect.
Carmine : Je m'en fiche, c'est pas en le cassant que ça va nous arranger.
Je vis alors le Don sortir de l'ombre, on était dans une cave, le lieu idéale de la torture mais étonnement il n'avait pas l'air de vouloir en faire, de la torture "physique".
Carmine : Monsieur Normikwawal, savez vous qui je suis ?
Moi : Mon traiteur ? Ouais je sais qui vous êtes, Don Millione, de son prénom Carmine. Que me vaut le plaisir de mon enlèvement ?
Carmine : Hé bien figurez vous que vous me devez quelque chose.
Moi : Quoi ? Une pizza ?
Carmine : Vous avez fait échouer un deal avec un de mes chers confrères Albert Wesker l'année dernière. Vous en souvenez vous ?
Moi : Je me souviens juste de la partie Wesker, à croire que vous m'ayez pas marqué à l'époque.
Carmine : Hé bien je vais vous demander de faire un boulot pour moi, sinon je me ferais un malin plaisir à loger une balle dans la tête de vos enfants et de votre femme, ils sont actuellement entrain de faire du shopping dans un supermarché sans se douter qu'on les observe et que leur père se trouve actuellement à New York.
Moi : Vous voulez que je fasse quoi abruti ?
Carmine : Dans 50 minutes, nous devons retrouver un cuisiner dans le port de Red Hook à Brooklyn. Il a volé des diamants à son boss Makari Faustin et veut nous les filer pour s'en débarrasser avant qu'il ne découvre le fautif et le tue.
Moi : Je dois donc aller au rendez vous et prendre les diamants ?
Carmine : Oui, Marco vous accompagnera.
Marco : Vous êtes sur Don ?
Carmine : Marco, tu sais je commencer à regretter Javier, alors tu m’obéis.
Marco alla alors me détacher et on monta ensemble les escaliers, une fois en haut il me fila mon Sig Sauer avec un regard pas très amical, mieux vaut pour moi de pas faire le con. On était dans un petit restaurant Italien appartenant à Carmine et nommé le "Coniglio Asleep". Je montais ensuite dans une limousine, à l’arrière avec Marco, d'autres gangsters étaient là et une autre limousine était aussi derrière.
En tout cas on avait pas mal de monde pour nous couvrir au cas où ça foirerait.
On démarra ensuite pour se rendre à l'arrondissement voisin.
Adrien Normikwawal- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Chasse au cuistot
Brooklyn; Red Hook
Gilbert roulait tranquillement dans les rues de la ville, un beau soleil s'affichait mais il ne tapait pas donc ça ne gênait pas la vue, hum. Grâce à son GPS il put trouver le port où il devait se rendre, même si il avait mi 40 minutes parce qu'en faites c'était quand même de la merde ce GPS. Le technologie, ça n'avait pas que du bon.
En tout cas il mit le clignotant à gauche et quitta la route pour entrer dans le port en passant le vigile qui lui laissa passé.
Mieux valait pour se dernier de se tenir éloigner des événements à venir.
Il alla se garer à coté de l’entrepôt A où se trouvait un tas de conteneurs qui créés un vrais labyrinthe.
Une fois sorti de sa caisse, il regarda les alentours, les dockers qui faisaient leur boulots en déplaçant des caisses avec des transpalettes et chariots élévateurs par exemple ou en en chargeant divers véhicules avec des cargaisons.
Quelques pécheurs habitués du coin étaient aussi là.
Mais ce qui intéressait notre homme étaient les 10 Russes à coté de leur 2 véhicules.
Il alla les voir avec son fameux sourire qui rendrait hystérique une de ses fans de 70 ans.
Gilbert : Alors vous êtes près ?
Russe : Dy JA Budu (Oui)
Gilbert : Dziakuj (Merci)
Russe : Je vois que tu sais parlé le biélorusse, tu es bien l'une des rares personnes que je connaisse dernièrement à le savoir.
Gilbert : Je sais parlé 70 langues dont le biélorusse, ça aide parfois.
Plamen : Moi c'est Plamen.
Vrais Russe : Ils sont arrivés, c'est le moment d'intervenir.
Plamen : Idyjot (Idiot), moins fort, ils vont nous entendre !
Plamen se mit en tête de file et avança dans le labyrinthe, sortant de sa veste marron, son SIG-556 puis la pointa vers là où il regardait. Il tourna la première à gauche et al seconde à droit pour voir devant lui à 10 mètre le deal se tenir. D'un coté le cuistot avec des gars de Millione pour le protéger et de l'autre, les deux personnes censés reprendre les diamants.
Marco : Vous avez les diamants.
Cuistot : Oui regardez.
De là où ils étaient, les russes le virent sortir une petite bourse avec les diamants à l’intérieur.
Cuistot : Vous êtes sur que vous arriverez à faire en sorte qu'il ne découvre pas mon implication là dedans.
Marco : Oui on vous le jure.
Plamen murmura tout bas.
Plamen : C'est le moment.
Il se leva en vitesse et s'avança jusqu'à sortir du dédale et tira dans le tas, touchant un des type à sa droite.
Plamen : Makari veut ses diamants !
Les deux négociateurs s'en allèrent dans la limousine de droite en vitesse et les russes se mirent à leur poursuite en leur tirant dessus. Plamen vit le cuistot monter dans l'autre véhicule, à gauche, avec les hommes de main qui le protégeaient et il cria à Gilbert.
Plaman : Le cuistot tente de se faire la malle !
N'y une n'y deux Montagné repéra une moto non loin de là et l'enfourcha, heureusement les clés étaient sur le contact. Il tourna les poignets et il s'en alla à fond les gaz pour poursuivre les méchants juste devant lui avec pour mission de récupérer le bien de son employeur.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Localisation : Paris
Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Presque
J'étais toujours à l'arrière de la limo, les sièges étaient confortable et on moins on ne pouvait pas me voir avec les vitres teintés. Marco lui il prenait toute la place avec ses grosses cuisses, ce porc, et il se curait le nez sans arrêt.
Un vrais port, ça me répugnait, j'évitais de le regarder.
On arrivait alors au poste de sécurité qu'on passa sans problème et là l'Italien prit la parole après avoir mangé un de ses mickeys.
Marco : Bon tu me laisse parler au cuisinier, toi tu t'occupe de prendre les diamants tandis que les autres surveillent les environs.
Moi : D'accord.
Marco : Et les gars, vous encerclez la zone, si il y a une brouiller, vous revenez avec nous dans cette limousine et les autres qui sont dans l'autre limousine embarqueront le cuistot pour le protéger et l'emmener loin de là.
Homme de Main : Naturalmente.
Finalement on arriva à quai où le cuisinier nous attendait au milieu, seul.
On l'encercla avec les deux véhicules à une assez bonne distance de sécurité.
Puis tout le monde sorti du véhicule, les 4 mecs avec nous restèrent près de la limousine et ceux de l'autre bagnole se mirent aux cotés du demandeur pour assurer sa sécurité comme convenu.
Quand à nous, on se planta devant lui et je laissais les rennes à Marco, pour pas le contrarier.
Marco : Vous avez les diamants.
Cuistot : Oui regardez.
Il sortit de sa poche un petit sac contenant les diamants à l'intérieur, il nous avait pas menti.
Cuistot : Vous êtes sur que vous arriverez à faire en sorte qu'il ne découvre pas mon implication là dedans.
Marco : Oui on vous le jure.
Moi : Vite, avant qu'on se fasse remarquer.
C'est alors que des tirs retentirent et un des gars près de notre limo fut mortellement touché.
Je vis un Roux Russe sortir d'un dédale de de conteneurs à coté de nous.
Roux Russe : Makari veut ses diamants !
Marco : Allez vous faire voir !
A ce moment là, on se dispersa comme convenu plus tôt en cas de couille dans le potage.
On se précipita ensuite vers notre véhicule et on rentra en force à l’intérieur.
Les 3 Italiens dehors se firent méchamment allumés par les 9 Russes à notre poursuite.
Marco : Mignotta ! Inizio ! (Putain ! Démarrez !)
La voiture s'alluma au quart de tour et accéléra pour sortir de cette endroit mais on en avait pas encore finis avec les nos poursuivants.
Adrien Normikwawal- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Un aveugle à moto
Le vent soufflait les cheveux de notre héros farouche qui chevauchait sa moto à grande vitesse sur la route.
En il venait tout juste de sortir du port et il suivait de près le véhicule devant lui contenant le cuistot ainsi que 4 mafieux.
L'un d'entre eux, qui se trouvait techniquement face à Gilbert car assit sur la banquette collé contre l'avant du véhicule, baissa la vitre à ses cotés.
Puis il se mit à tirer avec une MP5 sur notre aveugle qui zigzagua comme un fous pour éviter les tirs et aussi les voitures venant en contresens.
Alors que son chargeur se retrouva vide, Gill put se mettre sur la coté gauche de la limo puis tira avec son pistolet sur le mec, le touchant en pleine tête.
Un type en moins c'était ça de fait.
Ils en restaient deux à l'avant et un autre sur la banquette arrière avec la cible.
Notre aveugle abandonna sa belle bécane et fit un plongeon sur le véhicule et réussit à se rattraper sur le toit.
Il avança alors avec peine vers le conducteur car ce dernier faisait exprès de bouger n'importe comment pour le faire lâcher prise.
Heureusement il en faut plus pour faire tomber notre soldat qui ouvrit la portière avant gauche et extirpa le pilote de sa caisse avant de rentrer les pieds en avant, éjectant le copilote qui avait mal fermé sa portière de son coté.
Deux problèmes de réglé, comme quoi faut toujours attaché sa ceinture les enfants.
Le mec à l’arrière qui en voyait rien avec la vitre teinté le séparant de l'avant commençait à flippé.
Type : Hé les gars, vous êtes toujours vivants ?
La vitre commença à se baisser et soudain il s'en prit une dans la tronche qui le cloua net sur la banquette.
La cible commença à paniquer mais Gilbert qui fut maintenant visible, lui fit chut du doigt.
Notre soldat prit alors le volant pour éviter un accident et il se rangea dans une petite ruelle très ouverte, pas vraiment top pour éliminer quelqu'un discrètement.
Il quitta la voiture et sortit de force le cuisinier avant de le mettre à terre, faisant tomber au passage le sac avec les diamants.
Quand au pauvre bougre, il pleurait tellement son chagrin était immense.
Cuistot : S'il vous plait, ne me tuez pas ! Prenez le sac et allez vous en !
Gilbert ramassa le sac et braqua son arme sur sa cible.
Cuistot : Non s'il vous plait ! Je me tairais, je m'en irais mais s'il vous plait ne me tuez pas ! Je suis qu'un cuisinier, j'ai jamais rien fait de mal dans ma vie !
Gilbert baissa son arme.
Gilbert : Disparais, et fais le mort.
Cuistot : Merci ! Merci ! Je vais aller loin de ce pays !
Il leva d'un coup et s'en alla assez rapidement en manquant de trébucher en chemin.
Gilbert qui avait maintenant son sac, décida de partir avant l'arrivé de la police.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Russes aux Trousses
C'était un moment chaud pour nous, notre chauffeur fonçait à plein gaz dans le port et en arrivant à la sortie, il défonça la barrière de sécurité de pleine force.
Le garde posté là sorti de son petit local et nous cria dessus à voix haute.
Garde : Hé ! Enculés !
Avant de se faire shooter par nos poursuivants qui avaient réussit à se rendre dans leur 2 voitures en un temps record.
C'était parti pour une course poursuite à la Transporteur dans les rues de Brooklyn.
On était évité en tête et c'est alors qu'on commença à nous tirer dessus dans l’espoir de nous envoyer dans le décor.
Marco : On nous tire dessus, faut faire quelque chose.
Adrien : Ouais bein si tu bougeais ton gros cul aussi, ça nous aiderait.
Marco : GRRR.
Il s'énerva et péta sa vitre avant de commencer à canarder à l'arrière avec sa XM8 (Image) sans prendre soin de viser.
Il toucha quelques passants innocents au passage mais il réussit à avoir le pilote d'une des voitures russes, ce qui le fit dévier vers l'autre VH, créant un carambolage fous avec tous les autres véhicules civils aux alentours.
Permettant aux Italiens de prendre la fuite sans trop de problème.
Maintenant tranquille, Marco pouvait se la péter.
Marco : Tu vois que je suis capable de bouger mon gros cul.
Adrien : Ouah !!! Tu sais te servir de ton arme ! C'est pas croyable !
Marco, vexé, braqua son fusil sur Adrien, en ayant un peu marre de ses critiques.
Adrien : Tu sais que si tu me tue, ton maître ne sera pas content.
Marco : Le pire, c'est que ta raison, fais chier.
Une sonnerie vint détendre un peu l'ambiance, c'était celle de mon portable, je décrochais.
Anne-Marie (T) : Salut mon chou fleur.
Adrien : Ah ma douce frite, content d'entendre ta voix, tu es au boulot ?
Anne-Marie (T) : Ouais, je vais opéré un vieille homme à cause d'une appendicite.
Adrien : Bonne chance.
Anne-Marie (T) : Qu'est ce qui a ? Tu parle étrangement ? Tout se passe bien de ton coté ? Où t'es ?
Adrien : Mieux vaut pour toi que tu ne le sache pas, mais je te promet qu'on se reverra.
Je raccrochais alors et soupirais.
Marco : C'est ta meuf ? Elle fait quoi comme boulot ?
Adrien : Chirurgienne. A l'Hôpital de Hautepierre à Strasborug.
Marco : En tout cas t'as bien fais de rien lui dire sinon on aurait été obligé de la tuer.
Adrien : Connard.
Marco : De quoi ?
Adrien : J'ai dis CONNARD.
Marco : GRRRR !!!
Je ne sais pas pourquoi mais ça me faisait plaisir de le foutre en rogne, c'était bien fait pour lui.
Moi ce que j'espérais c'est que tout cela finisse très vite.
Adrien Normikwawal- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Hydra ?
Maxime Moulin et son pote, Maurice Joubert, étaient toujours au Café Luxembourg, plus précisément assis à une table en intérieur, un peu en intimité.
Quelques autres membres de Néo Crisis étaient aussi là pour faire décors, même si on pouvait facilement les distinguer du reste de la populace par leur garde robe de la seconde guerre mondiale.
Et encore parlant de guerre impliqué des nazis, les deux membres de ce groupe organisé allaient parlé de gentils fachos qui sont pas sympas.
Maurice : Hé Max.
Maxime : Yep ?
Maurice : Tu crois qu'on va encore croiser ces nazis d'Hydra ?
Maxime : Qu'est ce qu'ils foutraient ici !?
Maurice : Bah j'en sais rien, mais leur présence en Chine lors du pétage de câble de Crisis était tout aussi surprenante mais pas illogique en soi.
Maxime : C'est vrai tu marques un point là.
Maurice : Qui sait ? Peut être que ces diamants pourraient leur rapporter gros, peut être même qu'ils ont appartenu à Hitler, d'ailleurs l'autre jour chez ma grand mère.
Max cessa d'écouter cet homme qui disait de la merde et il posa son menton sur sa main en soufflant un peu et lança un regard vers ses autres camarades de la nouvelle crise.
Tien, Phil n'est plus à l'intérieur, il est surement dehors...
Peut être qu'il a eu enfin ce coup de fille du Russe...
Ou peut être qu'il voulait juste fumer une clope.
Il y avait deux belles filles à une autre table, elles étaient au gout de Maxime, même si les fringues laissaient à désirer. Malgré ça il aurait aimé découvrir la forme et le gout de leur petons.
Finalement, en pensant à ça, le nom d'une personne lui vint sur le bout des lèvres.
Maxime : Sandra....
Maurice : Non c'est pas Sandra, c'est Géraldine, et puis...
Maxime : Non excuse moi, Sandra c'est le nom de ma nouvelle copine.
Maurice : Ta nouvelle copine !? Hé les gars, Maxou a une nouvelle copine !
Tous les membres de leur groupe levèrent des chopes de bières en l'honneur de Max la menace, mais les autres clients prirent la poudre d'escampette dont les deux charmantes jeunes filles.
Oh mais quel con ce Maurice !
Heureusement pour le jeune amoureux, Del Soluce revint dans le café, faisant fuir tous les serveurs vers l'arrière cuisine.
A priori, la théorie de l'appel était juste.
Del Soluce : Bonne nouvelle les Kids, Faustin a récupéré ses diamants !
Membres Néo Crisis : OUAIS !!!
Del Soluce : Bon maintenant poussez vous, je dois parler avec ceux qui ont des noms !
Il se dirigez vers des deux nommés où la conversation sur la grand mère collabo n'en finissait plus tellement elle regorgeait de petites anecdotes de l'histoire à savourer en famille pour les grands et les petits.
Del Soluce : Maxime c'est toi qui ira là bas.
Maurice : Ah bon !? Pourquoi lui et pas moi !?
Del Soluce : Hé bien j'ai proposé vos deux noms à Faustin et il a laissé son homme de main choisir avec qui il voulait y aller.
Maxime : C'est qui son homme de main ?
Del Soluce : Gilbert Montagné, le chanteur français.
Maxime : Ah bah c'est normal alors, lui et moi on se connait grâce à une connaissance commune ! C'est normal qu'il m'ait choisi !
Del Soluce : Tant mieux pour toi, en tout cas, maintenant tu sais ce qui te reste à faire.
Maxime : Ouais Phil, j'y vais !
Max se leva en vitesse et se tira tel un héros ne quête de gloire vers sa prochaine destination.... Eu...
Del Soluce : Il aurait pu au moins attendre que je lui dise où a lieu l'échange.
Maurice : En plus il a oublié sa veste.
C'est con.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Coup de Fourbe
Retour au Velvet Rope, Gilbert était à nouveau dans le carré VIP du Boss de la boite, accompagné de ce dernier et de 3 jolies gonzesses qui devaient avoir été payé cher pour se faire un mec comme Faustin.
Gilbert lui par contre avait la classe, et ses beaux yeux cachés attirés la convoitises des dames, ce qui semblait irriter un peu le Russe qui finalement lâcha celles qu'ils avaient sous le bras.
Il employa alors un ton assez désagréable en leur honneur.
Makari : Yasno ! Teper' !
Les filles s’exécutèrent non s'en afficher une certaine déplaisance dans leur regard. Vlad les laissa partir en se poussant un peu car c'était une montagne ce type.
Maintenant un peu plus en intimité, Makari ne lâcha pas son regard sérieux et lança les cartes sur table en ce qui concernait la suite du plan.
Makari : Le rendez vous aura lieu au Metropolitan Museum of Art à 15H30 et donc tu devras faire le deal en compagnie de ton ami Maxime Moulin. Normalement il y aura juste Isaac Roth et son acolyte Mori Green, ils m'ont juré qu'ils ne viendraient pas avec leurs hommes de mains.
Gilbert : Tu les crois ?
Makari : Non, c'est pour ça que tu devras les tuer.
Gilbert : Vraiment ?
Makari : Ouais, en plus j'avais pas vraiment envie de leur filer MES diamants, juste de leur piquer leur argent.
Gilbert : Bon OK je veux bien le faire.
Makari : Sinon ça te dérangerait pas de tuer au passage ton am...
Gilbert : Non.
Makari : Je proposais juste ça comme ça, c'est juste que ça me gêne un peu de filer la moitié du fric qui me revient de droit à ces types de Néo Crisis, mais je m'occuperai de ça tout seul.
Gilbert : Bah pourquoi tu leur à demander leur service à la base ?
Makari : Comme ça.
Faustin esquissa un petit sourie guère sympathique et il posa sa main droite sur l'épaule de celui qui ne comprenait pas.
Makari : Tu poses trop de questions, tu sais ça ?
Gilbert : Oui, c'est une vieille habitude que je tiens de mon chat.
Makari : Allez maintenant tu peux aller te préparer à y aller, moi j'attends le bras droit de Fisk pour une conversation très importante.
Gill écouta ses dire et se leva avant de passer par le petit espace qui n'était pas occupé par le grand costaud pour sortir du coin VIP. Ceci fait il pouvait tranquillement quitter le club pour se rendre à sa voiture.
Sauf que dehors, la situation semblait agiter.
Un homme semblait être embêté par 3 motards juste à coté de leurs motos, et le videur était en train de s'approcher pour protéger le type.
L'aveugle du BSAA s'arrêta deux secondes pour écouter ce qu'il y avait à se dire.
Homme : Un peu de tenu je vous pris.
Capitaine Motard : C'est ça, vous pouvez dire à Fisk que si il ne s'occupe pas du Problème Russe, c'est nous les Hells Angels qui nous en occuperont ! Et ce ne sera pas beau à voir, crois moi !
Homme : Vous avez fini ?
Capitaine Motard : Ouais... Rick, James, on se casse !
Les motards montèrent leur bécanes avant de s'en aller, passant devant Gilbert. Quand au second de Fisk, il fut ensuite accompagné par un homme de main de Faustin à l'intérieur.
Visiblement c'était le bordel à New York, et c'état loin d'être fini.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
La Police
Queens; Astoria Heights
Une limousine trouée de balles attirée l'attention de quelques passants au abord de la 30ème avenue, elle était garée juste devant un café. Certains en profitèrent pour la prendre en photo et la partager à leurs amies car c'est pas tout les jours qu'on voyait ça.
Un homme était assis sur le capot de la voiture et faisait signe à ces photographes amateurs d'aller regarder ailleurs, il avait un air italien et c'était pas le seul.
Il y avait aussi un type avec une gueule de bouledogue à la terrasse du café qui était au téléphone et qui semblait se faire remonter les bretelles. Vous l'aurez reconnu, c'était Marco.
Adrien, lui était juste debout sur le trottoir adossé à la limousine, il alternait du regard 3 choses. Marc, le Chauffeur et les habitants lambda qui passaient en le matant d'un drôle d'air.
Tout ça commençait tout doucement à le saouler il faut dire.
Pourquoi rien ne peut jamais être simple ? Surtout que j'avais rien demander, et voilà maintenant qu'il faut que je bosse pour un connard de mafieux capricieux qui menace ma femme de mort.
Une chose est sur c'est qu'une fois que tout ça sera fini, je trouverais un moyen, je ne sais pas lequel, pour le faire tomber, ça c'est sur.
Je déteste ces types qui se croient supérieur alors que ce sont de grosses merdes ambulantes.
En plus j'ai froid et faim, ça n'arrange pas la chose.
Finalement Adrien vit Marco raccrocher et remettre dans la poche avant de son veston avant de se lever tel un malpoli et se s'approcher de lui avec toujours son air agressif.
Marco : La Grande Gueule, avec moi, et toi là tu peux rentrer la voiture au garage, compris !?
Chauffeur : Ça marche.
Le conducteur alla rejoindre le place qui correspondait à sa fonction.
Marco, lui, commença à marcher d'un pas pressé. Le Flic Français le suivit puisqu’il n'avait pas d'autre choix puis il engagea la conversation pour en savoir plus et aussi un peu pour le faire chier.
Adrien : On va où ?
Marco : Astoria Park, le Don nous a envoyé des gars pour nous récupérer là bas.
Adrien : C'est quoi la prochaine étape ?
Marco : Un Musée au centre ville, c'est là bas qu'il y a un deal entre les russes et les juifs pour échanger les diamants contre du fric. Maintenant ferme là et suis moi.
Adrien : Et si j'ai pas envie de me taire juste pour te faire chier ?
Marco : Je t’assomme et je te porte jusqu'à là bas.
Adrien : Oh mais tu es un gentil garçon je sais, tu ne feras jamais ça, mais non !
Marco : GRRRRR !!!
Après un chemin allongé par les réflexion d'Adrien qui savait bien emmerder le monde quand il n'était pas d'humeur, ils arrivèrent enfin devant le parc où les attendait un véhicule bien particulier.
Une Chevrolet Tahoe de la NYPD avec deux de leurs agents au volant. Ça laissait une bonne impression sur la police locale.
Ah ouais d'accord.
Moi qui me plaignait de la corruption dans ma ville, là on est à un tout autre niveau.
Les mecs, ça les dérangent pas de s'afficher en plein jour avec la mafia du coin.
Enfin bon...
Marco : Grouille toi de rentrer dedans où c'est moi qui te fait rentrer, compris !?
Adrien : OK OK gros balourd, j'y vais.
Le Bon Flic alla poser ses fesses d'un coté de la banquette arrière tandis que Marco pris toute la place restante. On pouvait même entendre les deux officiers à l'avant pouffer discrètement de rire en voyante ce gros molosse s'asseoir.
Une fois tout le monde bien installé, la voiture démarra et le policier aux commandes prit la parole.
Officier : On arrivera à destination d'ici 30 minutes vu la circulation.
Marco : OK.
C'était donc pas le moment de lâcher une caisse, en attendant l'arrivée.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Premier Arrivé
Manhattan; Upper East Side
Central Park était surement ce qui était le plus visible depuis la 5ème avenue, bien plus que les building. C'est ce que pourrait se dire n'importe qui passant par là pour venir.
Mais Maxime Moulin, lui évidemment n'était pas comme les autres.
Tiens c'est quoi qu'il y a de collé contre voiture là ?
C'est un chewing gum ?
Du sperme ?
Non on dirait....
Un nain de jardin !
En effet, il avait pas mal de temps à perdre pour se poser ces questions existentielles car c'étaient les bouchons dans ce coin de la ville la plus importante des USA.
Et il était aussi un peu con, faut se l'avouer.
Maxime : Hé !
Oups, autant pour moi.
Il n'est pas aussi con que ce que je pensais.
Maxime : Ah bah merci !
M'enfin bref, la radio dans le taxi où il se trouvait passait Vorrei ma non posto de J-AX & Fedez tandis que le chauffeur avait la tête de sortie et il insultait d'autres personnes en italien.
Maxime qui avait fait Italien 2ème langue pourra vous traduire ce qu'il dit.
Excusez moi mais j'ai la flemme de le faire.
Bon bah OK !
Si on peut plus faire son boulot sans être dérangé par d'autres personnes !
Mais allons bon ma p'tite dame !
Vous voyez ce type, il salie le boulot d'un narrateur sympa comme m...
Maxime : OK OK OK ! C'est bon je vais traduire !
Max, un peu blasé c'est le cas de le dire, se pencha ver l'avant pour bien comprendre ce que disait celui qui parlait la langue de Rome.
Maxime : Bon alors là il insulte leur maman, et puis là il dit que c'est des gros fils de putes... Oh putain cette musique me gêne, je vais la couper.
Il approcha sa main de l'autoradio en voulant l'éteindre, sauf qu'il s'arrêta avant de pouvoir le faire, car quelque chose venait de l'effrayer à l'instant.
Quelque chose de vraiment sérieux pour une fois.
Maxime : Cette chanson... Elle n'est pas censé existé avant l'année prochaine !
L'italien rentra alors entièrement dans le taxi, avec une mine de mort, ce qui fit propulser Max bien dans la banquette, s'agrippant à celle ci.
Chauffeur : Chez ? Tu en sais trop maintenant, je vais devoir t'éliminer.
Maxime : AAAAAAHHHHHH !!!!!
Le lycéen tenait beaucoup à se vie, c'est pour cela qu'il se dépêcha d'ouvrir la portière pour se casser d'ici. Une fois sortie, il regarda aux alentours pour voir où se trouvait la musée et il vit à une dizaine de mètres à sa droite.
Il devait tenter sa chance, c'était maintenant ou jamais.
Il fonça tout droit, tête baissée,claquant au passage la portière avant sur les doigts de son ennemi qui tenait de sortir. Il slaloma ensuite entre les voitures du mieux qu'il pouvait.
Ce qui veut dire en mode Jack Sparrow, manquant de se péter la gueule à plusieurs reprises. Heureusement qu'il y a les bouchons sinon il se serait déjà fait renverser depuis longtemps.
Tu peux pas juste te la fermer le narrateur ?
Non.
Et concentre toi sur ce que tu fais, on est en train de t'insulter.
Ouais ouais !
Sous les jurons des conducteurs, Maxime parvint enfin à traverser la grande route devant les portes du musée où quelques gardiens semblaient les garder.
Ceux ci étaient d'ailleurs en train de repousser des touristes bavarois qui pensaient que le musée était ouvert aujourd'hui, ce qui devait être le cas en effet.
Malheureusement les mafieux en ont décidé autrement.
Maxou se présenta au garde avec sa tête nœud habituel, ils le reconnurent.
Gardien 1 : Vous êtes l'un de nos invités prestigieux du jour n'est ce pas ?
Maxime : Yep, ça c'est bien moi !
Gardien 1 : Bien, vous pouvez entrer, le musée est entièrement à vous pendant le temps de votre réunion.
Gardien 2 : Et passez une bonne journée.
Maxime : Merci, et vous aussi les gars.
Max entra gaiement dans l'immense endroit qui le fit crisper l'instant d'après car son agoraphobie lui revint en tête. Pauvre bout de chou !
Oh ferme ta gueule juste une seconde !
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Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
En Douceur
Gilbert Montagné roulait à fond les ballons dans les étendues verdatres, entre les cages, avec sa belle Cadillac XLR avec Un monde parfait de Ilona Mitrecey en chantonnant gaiement, la vitre baissée.
Il faut dire qu'il chantait bien, contrairement à sa conduite qui était un peu hasardeuse. Il valait mieux ne pas être sur sa route quand il était au volant, Jérôme Colonel pourra vous le dire maintenant qu'il est en fauteuil roulant.
Et du coté des pensées de ce personnage iconique ?
J'aime conduire !
J'aime conduire !
C'est trop cool de conduire à fond dans Central Park !
Ah d'accord...
Il klaxonna après ses dernières pensées, puis percuta encore quelques malheureux visiteurs qui n'avaient rien demander.
Même les illuminés de Daesh ne faisaient pas autant de victime en conduite, alors que eux ils le faisaient exprès, c'est ça le pire.
Nous étions surement déjà à une soixantaine de morts et bien plus de blessés. De quoi choper 3 étoiles.
Le corps tombèrent les uns après les autres sur le pare-brise, il y avait même désormais une grosse marre de sang et plusieurs impacts qui rendaient la visibilité quasi-nul.
Mais il en faut plus pour impressionner Gillou.
Poussez vous bande de cons !
Gilbert est dans le place !
Wouhou !
Gilbert : Un oiseau, un enfant, une chèvre ! Le bleu du ciel, un beau sourire du bout des lèvres ! Un crocodile, une vache, du soleil ! Et ce soir je m'endors au pays des merveilles !
On pourrait l'écouter chanter avec perfection encore longtemps mais malheureusement sa longue route interminable ne l'était pas.
Un moment donné, il percuta de plein fouet un stand de Hot-Dog très très très, acide même. Ce qui fait que ce qui restait de la barrière protégeant Gilbert de ses conneries était en train de fondre.
Gilbert : Oh merde ! Quittons le navire moussaillons !
Il appuya sur un bouton au pif, ça ouvrit un compartiment secret avec toute une série d'autres boutons, rogues cette fois ci. Il appuya sur le siège éjectable et comme son nom l'indique, il se retrouva hors de la voiture avant de pouvoir se prendre un bain d'acide dans la gueule.
Maintenant vraiment en hauteur, l'aveugle put voir sa voiture chérie finir sa course contre le Musée juste en face et disparaître dans celui ci.
Surement un bug, ça sera corriger un jour je pense.
On est sur une beta fermé ou pas ?
Il put ensuite sep oser sur le toit du grand bâtiment et il retira son parachute pour le jeter en contrebas histoire qu'une personne se le prenne dans la face.
Je suis vraiment un connard quand je m'y met.
Mais j'aime ça !
Il s'approcha alors de la partie vitrée du toit pour observer ce qu'il se passait dans la grande salle à l'intérieur.
Il vit principalement l'entrée avant de là où il était, avec les différentes pièces de collection s'y trouvant. A savoir des squelettes de dinos, une statue de pigeon ancestral faite de marbre, deux smilodons empaillés et bien conservés, et diverses choses posés contre le mur.
Il plissa alors les yeux car il pensait avoir vu autre chose, et en effet il vit un jeune homme qui semblait paralysé par la peur et qui était accroché à la cheville d'un tricératops.
L’excellente vision du non voyant le permit de reconnaître son ami Maxime Moulin. Il avait rencontré ce dernier grâce à un ami de famille qu'il a connu depuis tout petit, Holt Valentine.
Ce dernier devait surement essayer de profiter d'une vie "normale" avec sa petite amie, Erza Josse, une rousse que Gilbert a mis du temps avant de se rappeler qu'il la connaissait.
Heureusement, pour une fois, c'était réciproque.
Allez bon, Maxime, j'arrive !
Il tapa alors avec son pied plusieurs fois pour briser la glace qui le séparait de son ami. Ce qui marcha bien ,trop bien même.
Tout se brise sous ses pieds et il fit une courte chute, accompagnée par ses cris de joie, avant de finir en faisant une attaque pieds joints sur le dinosaure qui n'avait rien demandé.
Détruisant une mémoire du passé de cette planète, mais amortissant étrangement sa chute. Tout ça sous le regard plus que surprise de Maxime qui en oublia sa peur initiale et qui avait reculé de plusieurs pas pour ne rien se prendre sur la gueule.
Une fois la poussière causée par cette belle prestation, dispersée, Gilbert put se relever et faire son apparition stylée face au jeune homme face à lui.
Celui ci afficha une vive émotion en reconnaissant son idole de toujours, après Elvis Presley bien sur.
Maxime : Gilbert !!
Gilbert : Toi !!
Ils s'élancèrent ensemble de leurs bras respectives pour faire le plus grand et beau câlin du siècle. Je pèse mes mots.
Maxime : Oh ça fait du bien de te revoir !
Gilbert : Moi aussi !
Ils se séparèrent ensuite un peu en rigolant, les larmes aux yeux.
Maxime : Comment va Esma ?
Gilbert : Qui ?
Maxime : Ta canne bien sur !
Gilbert : Ah ma canne ! Hé hé hé ! Est-ce que je t'ai montré ma collection de taille crayon ?
Maxime : Non, fais voir !
Gilbert : Je l'ai pas sur moi malheureusement !
Maxime : Oh temps pis ! Tu viens faire une dernière danse avec moi ?
Gilbert : Pleine de souffrances ? Bien sur !
Après cette douce conversation improbable, ils commencèrent à marcher dans ce musée dans le but de se rendre à l'étage où le deal avait lieu.
Gilbert : Tu es venu comme ça, les mains dans les poches ?
Maxime : Oui tu me connais, je suis un peu con et suicidaire.
Gilbert : Moi je suis toujours aussi bien armé !
Maxime : Et sinon tu as réglé ton problème avec Hydra ?
Gilbert : Est ce que je t'ai montré ma collection d'origamis, elle est dans ma poc...
Maxime : Non c'est bon, je me tais.
Le reste du parcours se fit silencieusement.
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Echange Courtois
Maxime Moulin et Gilbert Montagné arrivèrent enfin à la zone voulue où comme dans GTA IV, ça allait grave partir en couille. Cette zone était éloignée des escaliers et assez petite.
Il y avait 2 entrée, une menant à la salle principale d'où ils venaient, une autre donnant à une partie en construction de l'édifice. Ajoutons à cela une petite fenêtre étroite donnant un peu de lumière du jour à ce lieu déjà bien éclairée par les multiples lampes l'entourant.
Dans cette pièce, les acheteurs du diamants étaient déjà là. Isaac Roth et Mori Green semblaient être très content de voir que les Russes avaient l'air d'avoir tenu parole, ce qui semblait être aussi réciproque.
Maxime scruta du regard les mafieux juifs pour voir si comme dans un jeu Sherlock Holmes, il ne pourrait pas en savoir plus sur eux.
Isaac se gratta la main droite avec sa gauche, comme si il avait des démangeaisons. Il portait un Glock 17 à sa ceinture et il avait une grosse mallette dans sa main qu'il grattait.
Son partenaire, lui, avait dans sa main gauche des lunettes assez particulières, celles qu'utilisent en général les bijoutiers. Il devait être surement celui sur les eux qui était le spécialiste en diamant et qui saurait savoir si ils étaient faux ou de mauvaise qualité.
Tout ce beau monde se retrouva face à face, Maxime fit alors signe à Gilbert de causer pendant que lui il resterait en retrait pour observer.
Gilbert : Vous avez le fric ?
Isaac : Oui dans cette mallette, regardez.
Il posa l'objet au sol et l'ouvrit devant les yeux des intéressé pour leur montrer un tas de gros billets roses qui faisaient plaisir. Hé oui, c'étaient des euros, pas des dollars.
Isaac : Maintenant à vous de respecter votre part du marché.
Gilbert : Attendez deux secondes.
Gill sorti de sa Poche Tardis une bourse que Faustin lui avait donné quand il lui avait rendu visite la seconde fois. Dedans se trouvaient les diamants.
Mais avant des donner aux Juifs, il avait quelque chose à leur dire.
Gilbert : Ecoutez, Faustin voulait que je vous trahisse en vous tuant pour garder les diamants et empocher le fric. Sauf que j'aime pas ce connard et comme vous semblez être moins mauvais que lui, je vais lui désobéir et lui donner les diamants comme c'était prévu à la base.
Isaac et son ami étaient surpris par cette soudaine déclaration qui pourtant était assez prévisible de la part de ce Russe là. Du coté de Maxime, c'était la même.
Hé ben putain, ça correspond au cliché que je me fais des mafieux russes...
Et des mafieux en général.
Finalement, l'Agent du BSAA leur tendit la bourse que Mori ouvrit pour pouvoir examiner sa consistance, laissant la parole au Boss.
Isaac : Merci de nous avoir fait part de ce coup de fourbe. Nous vous en serons éternellement reconnaissant et nous saurons agir en conséquence.
Gilbert : Il voulait aussi trahir Néo Crisis à la base, mais je l'en ait dissuadé.
Isaac : Evidemment, il aurait fallu un bouc émissaire si son plan avait marché.
Maxime : L'enfoiré !
Isaac : Déjà que Faustin est sur la Liste Noire de Fisk, ça ne va pas s'arranger pour son cul.
Mori : Hé Isaac, regarde !
Il lui tendit les diamants qui étaient éclatant d'une couleur plutôt originale.
Mauve !?
Oh...
Pourquoi pas.
J'en ai déjà vu des roses donc c'est pas moins crédible.
Le Chef de la Mob semblait intrigué.
Isaac : Qu'est ce qu'il y a ?
Mori : Je n'ai jamais vu de diamants mauves comme ça, c'est sublime ! On est tombé sur une mine d'or là, ou plutôt sur une mine de diamants si je puis dire ! Il faut que l'on...
??? : Bougez plus !
Maxime : Oh non cette voix, c'est...
Le chauffeur du taxi anachronique débarqua avec un pistole taser dans sa main, menaçant les quatre hommes dont seulement deux étaient armés.
Chauffeur : JE VAIS TOUS VOUS TUER !!!
Gilbert : C'est qui ce con ?
Maxime : Un con qui veut me tuer pour uen raison bidon.
Gilbert : A ça je connais ces types là, j'en croise tous les jours.
Chauffeur : FERMEZ LA !!!
Gilbert : Oh ta gueule !
A ces dur mots, l'aveugle lança une attaque éclaire lunette de soleil sur le type, ce qui leur permis à lui et à Maxou, de prendre la fuite vers la zone en construction sans oublier de prendre la mallette au passage.
L'italien surexcité se lança à leur poursuite en jetant les lunettes par terres, laissant les juifs avec les diamants, circonspects.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Trouble au Musée
Un silence inquiétant emplissait ce musée à une heure où en tant normal il était bruyant, ne laissant des des objets inanimés dans le décor, telle la grande statue humaine au milieu du grand escalier du fond.
Celle ci faisait atteignait presque le toit du bâtiment et donnait l'impression de surveillance la salle principale d'un regard inquisiteur.
C'est alors que les portes avant s'ouvrir, révélant Adrien Normikwawal et Marco, alors que derrière eux se trouvaient les deux flics qui les avaient accompagné.
Ils étaient vérifier les poux des gardiens vus auparavant qui étaient désormais morts de façon inconnu, mais le flic français et le mafieux avaient leur petite idée là dessus alors qu'ils refermaient les portes derrière eux.
Marco : On dirait que les Russes se sont montrés plus violent que nécessaire.
Adrien : Je ne pense que ça soit les Russes qui ont fait ça... Il doit y avoir autre chose mais quoi ?
Il posa sa main sous son menton tout en regardant sa statue de pigeon d'un air suspicieux.
J'aime pas ça.
C'est calme, trop calme...
La statue roucoula.
Adrien sursauta et fit trois pas en arrière, bousculant le bouledogue qui allait surement encore s'énerver comme à son habitude.
Marco : Qu'est ce que tu fous encore !?
Adrien : La statue !
La pigeon ouvrit ses ailes et commença à battre l'air tout en roucoulant, envoyant du vent dans leur direction. Ils furent propulser dans les airs et heurtèrent les murs derrières eux avec pas mal de violence, ce qui fit très mal sans pour autant les tuer.
Entre temps, Gilbert et Maxime s'étaient installés sur une statue de dragon sous un drap blanc pour se cacher de leur assaillant, ce qui marcha plutôt bien.
Celui passa devant eux sans les voir et continua son chemin.
Malheureusement, avant de pouvoir dire ouf, la dragon s'anima et commença à son tour à battre des ailes, envoyer valser le draps mais pas les deux hommes qui s'accrochèrent du mieux qu'ils pouvaient dessus.
Retour à Adrien qui se mettait douloureusement de sa chute car il avait maintenant affreusement mal au dos. La première chose qu'il vit en se relevant, c'étaient les deux smilodons empaillés prendre vie devant lui et lui rugir dessus.
Oh merde !
Paralysé par la peur, il n'eut pas le réflexe de sortir son flingue.
La dragon de pierre prit finalement son envole, laissant ses deux passagers tenir du mieux qu'ils pouvaient, alors que les salles défilées devant eux.
Ils croisèrent sur la route le chauffeur de taxi qui voyant cet OVNI foncer sur lui, eut comme bon geste de se mettre à plat ventre pour l'éviter.
Il se releva, regarda la chose partir avec ses occupants, et ne put s'empêcher de sortir une phrase clichée.
Chauffeur : Mama mia !
Du cotés des Juifs, ils arrivèrent au milieu de l'escalier en T au fond du grand hall et ils remarquèrent l'agitation au rez de chaussé. Mais avant d'avoir pu voir de quoi il en retournait, ils entendirent un drôle de bruit venant de derrière eux.
Comme une statue d'une dizaine de mètre qui prenait vie et décider d'écraser ces deux insectes face à elles. Ils se retournèrent pour découvrir que le narrateur avait toujours raison.
Le géant leva son pied droit en se penchant un peu pour esquisse un vil sourire à ses potentielles victimes, prêt à les transformer en bouilli.
Issac : Mori, cours !
Jugeant qu'il était moins dangereux de courir dans l'escalier pour descendre, ils firent ça, esquivant le pied du Goliath qui, mécontent, se lança à leur poursuite.
Ce qui fit sans trop de problème malgré la différence de taille et de poids.
Revenons à Max et Gill qui, toujours sur le Dragon, venaient de sortir du Musée par une fenêtre et ils survolaient en ce moment Central Park à grande vitesse.
Les promeneurs et les flics en dessous étaient sur le cul par ce qu'ils voyaient, et des renforts étaient appelés à venir, tandis que la scène était filmée par plusieurs téléphone.
La monture se rendit par la suite vers le Reservoir du parc où il se mis à basse altitude, frôlant l'eau, et causant un stress pas possible à nos héros.
Maxime : ON VA MOURIR !!!
Gilbert : MAMAN !!!
La bestiole sournoise monta alors brusquement tel une flèche avant de finalement se retrouver la tête à l'envers, rappelant à Maxime qu'il avait le vertige aussi.
Maxime : Oh non c'est tout loin en bas !
Gilbert : Arrête de causer !
Pour encore plus de rigolade, on refait le même coup mais inversé, ce qui fait qu'au final on se retrouve au point de départ. Sauf que maintenant les deux humains avaient grave envie de gerber.
Pour Adrien, c'était la misère, puisque les deux félins préhistoriques l'entouraient désormais près à lui bondir dessus pour le... Ah non.
Ils préfèrent se frotter à lui en ronronnant et lui faire des petites léchouilles sur le visage tels de gentils petites chatons.
J'ai toujours eu la cote avec les chats.
C'est à ce moment que décida de débarquer le Chauffeur Italien qui était plus rapide que deux juifs et une immense statue, c'est la magie des champignons magiques comme dirait Nintendo.
Mais là on avait pas affaire à un Mario, et le pauvre type lâcha son pistolet laser comme un con en voyant des tigres à dent de sabre s'approcher de lui avec agressivité.
Juste le temps d'un cri d'effroi et les bêtes eurent raison de lui, il n'était plus qu'une souris entre les pattes de deux gros matous. Au moins, sa mort fut plutôt rapide, c'était déjà ça se pris.
Isaac et Mori arrivèrent à ce moment là vers la porte d'entrée qu'ils défoncèrent à coup d'épaule pour se retrouver devant le bâtiment où des renforts de la police étaient déjà arrivés et bloquaient les lieues.
Un van de journaliste de la CNN était aussi présent, ce qui faisait du beau monde. Sauf que tous n'étaient pas près à ce qui les attendaient.
Les portes furent défoncer un violent coup de poing, et tuèrent quelques malheureux flics au passage. Ce fut ensuite au tour du mur juste au dessus de partie alors d'un colosse faisait son entrée en scène sous les regards médusés des pauvres mortels qui ne comprenaient rien à leur vie.
Un cri d'ogre fut poussé à leur encontre, et d'autres cris plus humains survinrent juste ensuite, tandis que tous les occupants des voitures piégés dans les bouchons en sortirent pour prendre leur jambe à leur cou.
Même la Police ne pouvait rien faire face à ce monstre avec leur petits joujoux. Seuls les vautours étaient satisfaits de ce malheur s'abattant sur la ville.
La Statue avança de quelques pas pour se retrouver sur l’avenue avant pousser un nouveau cri. Elle voulait surement foutre autant de bordel que le Bibendum Chamallow dans SOS Fantômes, et c'était bien parti pour gagner.
Sauf que c'était sans compter sur le duo de choc, armé de leur terrible dragon incontrôlable, qui décida de passer par là juste à cet instant T pour sauver la situation.
Maxime : OH putain regarde moi cette statue !
Gilbert : Ferme ta gueule merde !!!
L’oiseau mythique passa plusieurs fois au dessus de la tête du géant, ce qui gêna beaucoup ce dernier qui agita ses mains dans tous les sens avant de bouger ses pieds aussi.
Sauf que ce qui devait arriver arriva, Golliath perdit l'équilibre dû à sa masse et s'écroula dans un immeuble, se réduisant en plusieurs morceau, et tuant surement beaucoup de citoyens de New York au passage.
On comptera les morts plus tard, Isaac et Mori sont toujours au sol, bouche bée par cet affrontement de bosse épique. La seule chose qui put les distraire était le bruit d'un klaxon puis une voix l'accompagnant.
Adrien : Montez, vite !
Les deux mafieux virent l'Agent Normikwawal débouler avec le véhicule avec lequel il était venu ici et ils leur faisaient signe de monter. N'ayant pas de meilleure idée, ils l'écoutèrent pour pouvoir fuir ce danger surnaturel.
Alors qu'une chanson semblant sortir d'un jeu vidéo, Runaway, jouait à la radio, le véhicule démarra et s'éloigna de la scène de crime sous un mystérieux regard.
Celui ci prit la parole d'une voix grave et un peu déraillé.
??? : Est ce qu'on peut m'indiquer la bonne direction pour mon bureau !?
Mais ce n'est pas fini !
Il reste encore une statue debout, ou plutôt dans les airs, et celle ci ne semble pas vouloir s'arrêter. Et c'est pas un hélicoptère de la police qui allait l'arrêter !
Ni même cette roquette qui... Oh ben ci, elle le toucha et il commença à s'écraser sur le toit d'un immeuble encore debout, permettant à ses passagers de quitter le bord.
Voilà, tout le monde pouvait reprendre son souffle et attendre la suite à venir.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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Re: [FIC] Les Diamants sont Eternels [Terminé]
Nouveau Plan
Jersey City; West Side
L'ambiance était plutôt apaisante au Lincoln Park, bien plus que dans la ville d'à coté. Ce qui faisait un bien fou à Gilbert Montagné qui se reposait un peu après ses périples de tout à l'heure.
Il s'était posé contre la statue iconique du coin, Lincoln the Mystic, ce qui conférait + 30 de Charisme au passage il faut se l'avouer.
Depuis sa position, il regardait les passants défiler sous ses yeux avant une mine sérieuse qui était surprenante mais pas impossible. Ses lunettes en rajoutait à ça, et son charisme aussi.
Près de lui, se trouvait Maxime Moulin qui n'était pas rassurer par la situation et qui regardait dans tous les sens en étant super pas discret. Ça se voyait sur sa gueule qu'il avait des emmerdes au cul.
Gilbert le voyait ça et ça le fit soupirer, il devait faire quelque chose pour ça.
Bon, on va devoir faire quelque chose que je n'aime pas...
Une discutions sérieuse.
Il siffle Max qui l'entendant, alla vers lui comme un bon chien-chien avec son maître.
Gilbert : Maxime ?
Maxime : Oui ?
Gilbert : OK c'est bien ton prénom... Bon tu vas devoir te calmer sinon tu vas attirer l'attention des flics là bas !
Gill pointa du doigt deux policiers en uniforme en train de discuter entre eux tout en se promenant dans le parc.
Gilbert : Et franchement, on a pas besoin de ça en plus.
Maxime : Désolé mais tout ça me stresse.
Gilbert : Je comprends, il y a de quoi.
Les Italiens vont pas être content.
Faustin va vouloir ses diamants et va surement nous tuer si nous le faisons.
La Police de New York doit surement nous rechercher en ce moment là.
Et je paris mes couilles que UNIT doit surement déjà roder dans le coin pour tenter de nous prendre les diamants magiques et aussi me foutre dans une de leur sales cellules qui puent la pisse d'alien.
Maxime : Ça fait beaucoup.
Gilbert : C'est clair.
Maxime : Mais je me sens rassure, je sais pas pourquoi. Surement ton sacré charisme et ta voix si charmante, pourtant je ne suis pas gay.
Gilbert : Ouais je sais, je suis le meilleur !
Tel un Kogoro Mouri en puissance, Gilbert se frotta l'arrière du crane tout en rigolant de façon hyperbolique. C'est juste à ce moment là que Adrien arriva pour leur parler, la bourse content les diamants à la main.
Adrien : Bon Gilbert et ton ami, on doit faire quelque chose.
Maxime : Les Juifs ne sont plus là ?
Adrien : Non, ils pensent que ces diamants appartiennent au Diable et préfèrent rester le plus loin que possible de ceux ci. Et même si je ne suis pas croyant, après ce qui est arrivé au musée, je pense que c'est la meilleure chose à faire.
Gilbert : Et donc on doit faire quoi ?
Adrien : Nous protéger le cul, et pour cela il faut faire trois trucs.
Premièrement... S'occuper de Makari Faustin.
Deuxièmement... S'occuper de Carmine Millione.
Troisièmement... Se débarrasser des Diamants.
Ça tombe bien, on est trois ! Qui fait quoi ?
Gilbert : Je m'occupe de ce bâtard de Carmine.
Adrien : T'es sur de ton choix ?
Gilbert : Ce fils de pute a ordonné la mort de ma femme et sa famille, et ça fait depuis Janvier que je cherche à le faire tomber avec mon pote Léon. Donc je suis TRES sur de mon choix.
Adrien : Hé bien, on en apprend des choses... Toi, tu prends quoi ?
Maxime : Hé bien je ne suis pas le plus fort pour ce qui est de tuer des gens donc je vais choisir les Diamants.
Adrien : OK, attrape !
Il lui jeta les Diamants qu'il se prit en pleine gueule, l'assommant.
Adrien : Bon, moi je vais aller voir ton pote le Russe.
Gilbert : Bonne chance à toi.
Adrien : Ouais à vous aussi.
Ayant fini la conversation, le Bon Flic s'en alla par le même chemin d'où il était venu. Gilbert quand à lui, sortit son portable Tomb Raider et utilisa le coup de fils à un ami.
Gilbert : Léon ?
Leon : C'est Leon sans accent et tu le c'est bien, mais sinon oui je suis là, salut mon ami, comment tu vas ?
Gilbert : Ouais ça va, je suis à New York là et toi ?
Leon : Hé bien je suis au Manoir là et je viens de voir un reportage sur la CNN parlant entre autre de toi et de statue géante, ce qui ne m'étonne pas trop de ta part.
Gilbert : Ouais c'est tout moi... Mais sinon j'aurais besoin de ton aide.
Leon : Je m'en doutais.
Gilbert : Ouais, faisons comme ça !
Et il raccrocha comme un Jean Dujardin sauvage et s'en alla attendre l'arrivé de son meilleur ami, laissant Max tout seul dans l'état où il était.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
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