[FIC] H [Terminé]
2 participants
Page 1 sur 1
[FIC] H [Terminé]
21 Janvier 2015
Etats Unis; Minnesota; New Raccoon City; Dead End; Hôpital Général
Un vieux pick-up, qui semble avoir fait son temps et être rouillé de partout, réussit malgré tout à naviguer à travers les routes étroites de la Nouvelle Raccoon City qui a quand même moins de portes à ouvrir la ville originale qui se trouvait là le siècle dernier, avec son lot d'énigmes en moins dont on pouvait se demander l'utilité dans la vie quotidienne quand tu vas chercher une baguette pas trop cuite à la boulangerie à deux rues de là.
Chloe Price est au volant de cette antiquité qu'elle affectionne personnellement, avec qui elle a passé tant de bons moments avec son ex, Rachel Amber, mais aussi avec sa future femme, Maxime Caulfield, qui n'a pas pu faire le déplacement jusqu'ici, comme pour la prochaine fois à New York City.
David Madsen est le beau père de la fille qui vient d'être présenté, et c'est un ancien vétéran de guerre qui a eu du mal à se remettre à la vie civile sans être trop poussé sur le côté ultra strict, tout en ayant auparavant planqué des caméras dans sa maison pour être sûr que son ex, Joyce, et leur fille, aillent bien, mais il s'est beaucoup calmé depuis peu, après avoir pris du recul par rapport à la civilisation en mode Cyberpunk 2077.
La conductrice arrête sur une place libre, tout proche d'une belle asiatique se nommant Ada Wong, qui les attendait justement pour des raisons dont nous reviendrons ne vous en faites pas, et une fois sortis du véhicule, elle les salue à l'américaine, donc pas de bises qui seraient trop français pour paraître ordinaire dans cette ville francophone.
Chloe : Comment va l'aveugle plus vraiment aveugle ?
Ada : Il va bien, il se remet de ses blessures.
Chloe : Si tout allait si bien, il n'aurait sûrement pas besoin de nous.
Ada : Il veut s'assurer que ni Jérôme Colonel, ni Carmine Millione n'irait s'en prendre à lui pendant son hospitalisation.
David : Ce type attire le ennuis partout où il va, on dirait bien.
Chloe : Décoince toi David, ce gars là, c'est un mec cool, même si c'est vrai qu'il ne faut jamais lui chercher des ennuis puisqu'il essayera toujours de se venger de toi dans ce cas là.
Ada : Au fait, d'où vous connaissez Gilbert ?
Chloe : C'est un vieil ami de ma famille, du côté de mon père biologique, William.
Ada : Il est vraiment ami ou ennemi avec tout le monde.
David : Je commence à cerner le personnage.
Ada : Vous vous sentez assez bons pour pouvoir le protéger en cas de pépin.
Chloe : J'ai déjà tenu l'un des flingues de mon beau père.
David : J'ai fait la guerre, donc je devrais m'en sortir.
Chloe : Donc tu n'as pas à t'inquiéter pour nous.
David : C'est pour le chanteur qu'il faut s'inquiéter.
Ada : Donc on va pouvoir y aller.
Chloe : Et toi tu penses réussir à nous aider au cas où ?
Ada : Plus que ce que tu peux le penser.
Chloe : Je veux bien te croire.
David : Nous te suivons.
Non loin du trio de héros en tout genre, nous avons une berline noire qui les espionne en secret en évitant de se faire remarquer car ce n'est pas le moment pour ça, et vous allez très vite comprendre pourquoi puisque ses occupants sont là incognitos pour la mission qu'ils doivent faire.
Marco Idracheli, celui qui se rapproche le plus d'un bouledogue, tient le volant de la caisse avec droiture, même si ça lui fait un peu mal au dos d'être comme ça, mais il se doit de rester professionnel jusqu'au bout, car sinon le grand chef ne va pas être content, et mieux vaut ne pas l'énerver.
Javier Spinoza est celui qui a été choisi pour être le chef de cette opération, bien qu'il soit un Capo comme l'homme mentionné juste en haut, et donc il garde ses nerfs en acier pour l'occasion, gardant son téléphone portable de dispo au cas où il y aurait une couille dans l'opération.
Deux petits nouveaux, Tonio et Baltia, sont dressés telles des infirmiers, infirmières, et vous comprenez mieux ce qu'ils ont derrière la tête, à savoir piéger le patient fou pour mieux le tuer, chose qu'ils aient déjà dû faire onze ans auparavant, mais pas un quelconque miracle, il avait pu s'en tirer à cette époque là.
Javier : Vous n'avez pas oublié ce que l'on a à se faire ?
Marco : Bien sûr que non, on est pas con.
Tonio : On s'infiltre dans la chambre du vieillard grâce à nos déguisements.
Baltia : On profite qu'on nous regarde pas pour l'étouffer avec son oreiller.
Javier : Je surveille l'entrée de la pour veiller à ne pas être interrompu par un tiers.
Tonio : On s'éclipse ni vu ni connu.
Baltia : On se rend juste à l'entrée de l'hôpital, au niveau du parking.
Marco : Je vous récupère, puis tout est bien qui finit bien.
Javier : Bien, donc on peut y aller.
Marco : Bon courage à vous trois.
Le trois personnages essentiels sortent de leur voiture, puis suivent discrètement ceux qu'ils ont repéré pour qu'ils leur mènent directement à la chambre de Gilbert Montagné qui risque d'être content de voir ses gardes du corps arriver, surtout qu'il va en avoir besoin pour le coup.
La suite, vous la verrez la prochaine fois, et vous allez sûrement adorer ce qui se prépare dans l'ombre des persos.
Ada Wong- Admininstrateurs
- Messages : 131
Date d'inscription : 30/10/2015
Age : 26
Localisation : Raccoon city
Re: [FIC] H [Terminé]
Un paisible soleil illumine cette chambre d'hôpital qui m'a l'air en tout point ordinaire, où on oublierait presque le fait que nous sommes dans un lieu médical, avec les infirmiers qui courent à droite à gauche car ils sont en sous effectif à cause du gouvernement actuel qui ne pense qu'à leur propre pognon.
Gilbert Montagné, qui ne dirige pas encore la France, remarque tout ça, et autant que l'étoile lui fait tendrement sourire, laissant de côté la douleur qui tiraille sa poitrine, autant que la galère du personnel à ses soins ne lui plaît pas, et il espère que les choses changeront un jour pour que ça aille mieux.
N'est il pas content quand il voit ses trois amies débarquer dans sa bulle défensive pour mieux le protéger, et il est sûr qu'avec eux, il ne risquera rien, même si il aurait aimé que Maxine Caulfield soit aussi de la partie, bien qu'il n'avait mentionné que Chloe Price à Leon, ce qui veut dire que c'est son tort.
Pour les accueillir, le patient essaye de se redresser pour se mettre en position assise, sauf que c'est là quel a douleur refait parler d'elle, pile poil quand il ne le faut pas, et cela est remarqué par le trio à ses côtés, ainsi que le médecin qui les accompagnait pour leur montrer la route, et qui se barre aussitôt venu, aussitôt reparti.
Chloe : Relax vieux, on a pas envie que tu te fasses encore plus mal que ce que tu as déjà.
Ada : Te voir galéré nous fait de la peine à voir.
Gilbert : Désolé de ne pas être dans un meilleur état pour vous recevoir.
Ada : Au moins, t'es vivant, et c'est l'essentielle.
Chloe : Complètement, Gilbert est dans la place, hou yeah !
Gilbert : Si Esma me voyait dans cet état, elle me gronderait avant de se blottir dans mes bras en pleure.
Chloe : Qu'est ce qui lui arrivait à sa canne parlante ?
Ada : Il n'a pas souhaité qu'elle fasse parti de l'aventure.
Chloe : Dommage, c'est un gâchis, elle nous aurait été grandement utile parmi nous.
David : Moins de femmes est égale à moins de problème.
Chloe : Je vais passer outre les propos sexistes digne du Moyen-Âge que David vient de nous sortir.
Gilbert : Je regrette un peu d'avoir été aussi con envers elle.
Ada : Tu tiens à elle.
Gilbert : Son absence me pèse lourd.
Ada : Tu t'excuseras quand on aura fini Carmine Millione, et je suis sûre qu'elle te pardonnera.
Gilbert : Je ne sais pas si nous deviendrons un vrai couple, loin de faux semblant de ces onze dernières années.
Chloe : C'est beau l'Amour.
Gilbert : Je ne sait pas encore si ce que je ressens pour elle soit la même chose que pour Suzanne.
Ada : Seul le temps nous le dira.
Chloe : Je te botterai le cul si tu ne t'excuseras pas après tout ce merdier.
Le chanteur de variété rigole un peu face aux dires de ses compagnons d'armes avant de jeter un œil vers la fenêtre d'où la lumière l'aveugle, d'un air pensif à cause du nom de sa canne en sucre dont il est encore indécis à aller plus loin dans leur relation qui s'est soudée au cours d'une seule décennie plus un jour.
Est ce qu'il ira jusqu'à devenir un véritable couple ?
Vous connaissez déjà la réponse.
Néanmoins, il y a un obstacle à jeter dans une benne à ordures, et ça ne va pas être simple car ce dernier n'est pas un moins que rien puisqu'il s'agit d'un des plus grands pontes de la mafia italienne connu à l'international mais toujours en liberté, ce qui gêne l'âme vengeresse en place.
Gilbert : J'espère que ma vendetta est plus proche de la fin que du début.
Ada : Personnellement, je crois qu'il nous reste encore des choses à faire.
David : Ta guerre semble loin d'être terminée.
Ada : On a pas encore atteint la route menant à Carmine.
Chloe : Je suis quand même partante pour toute l'aventure.
David : Fais attention à toi car je n'ai pas envie de te perdre, après avoir déjà perdu Joyce.
Chloe : Ne t'en fais pas, j'ai suis une dure à cuire
Gilbert : J'ai de la chance de vous avoir dans mon entourage.
Ada : Repose toi un peu, pour remettre de tes blessures.
Gilbert : Merci à vous tous.
Les trois visiteurs décident de laisser le blesser se requinquer un coup sans trop le déranger, bien qu'ils ne vont pas se barrer de l'hôpital pour autant, étant donné qu'ils ont pour mission de le protéger face à de potentiel ennemis, en restant dans le couloir qui mène à sa chambre.
Loin d'eux d'imaginer les actions qui déroulent dans leur dos, et ils vont devoir se montrer prudent et malin.
Gilbert Montagné, qui ne dirige pas encore la France, remarque tout ça, et autant que l'étoile lui fait tendrement sourire, laissant de côté la douleur qui tiraille sa poitrine, autant que la galère du personnel à ses soins ne lui plaît pas, et il espère que les choses changeront un jour pour que ça aille mieux.
N'est il pas content quand il voit ses trois amies débarquer dans sa bulle défensive pour mieux le protéger, et il est sûr qu'avec eux, il ne risquera rien, même si il aurait aimé que Maxine Caulfield soit aussi de la partie, bien qu'il n'avait mentionné que Chloe Price à Leon, ce qui veut dire que c'est son tort.
Pour les accueillir, le patient essaye de se redresser pour se mettre en position assise, sauf que c'est là quel a douleur refait parler d'elle, pile poil quand il ne le faut pas, et cela est remarqué par le trio à ses côtés, ainsi que le médecin qui les accompagnait pour leur montrer la route, et qui se barre aussitôt venu, aussitôt reparti.
Chloe : Relax vieux, on a pas envie que tu te fasses encore plus mal que ce que tu as déjà.
Ada : Te voir galéré nous fait de la peine à voir.
Gilbert : Désolé de ne pas être dans un meilleur état pour vous recevoir.
Ada : Au moins, t'es vivant, et c'est l'essentielle.
Chloe : Complètement, Gilbert est dans la place, hou yeah !
Gilbert : Si Esma me voyait dans cet état, elle me gronderait avant de se blottir dans mes bras en pleure.
Chloe : Qu'est ce qui lui arrivait à sa canne parlante ?
Ada : Il n'a pas souhaité qu'elle fasse parti de l'aventure.
Chloe : Dommage, c'est un gâchis, elle nous aurait été grandement utile parmi nous.
David : Moins de femmes est égale à moins de problème.
Chloe : Je vais passer outre les propos sexistes digne du Moyen-Âge que David vient de nous sortir.
Gilbert : Je regrette un peu d'avoir été aussi con envers elle.
Ada : Tu tiens à elle.
Gilbert : Son absence me pèse lourd.
Ada : Tu t'excuseras quand on aura fini Carmine Millione, et je suis sûre qu'elle te pardonnera.
Gilbert : Je ne sais pas si nous deviendrons un vrai couple, loin de faux semblant de ces onze dernières années.
Chloe : C'est beau l'Amour.
Gilbert : Je ne sait pas encore si ce que je ressens pour elle soit la même chose que pour Suzanne.
Ada : Seul le temps nous le dira.
Chloe : Je te botterai le cul si tu ne t'excuseras pas après tout ce merdier.
Le chanteur de variété rigole un peu face aux dires de ses compagnons d'armes avant de jeter un œil vers la fenêtre d'où la lumière l'aveugle, d'un air pensif à cause du nom de sa canne en sucre dont il est encore indécis à aller plus loin dans leur relation qui s'est soudée au cours d'une seule décennie plus un jour.
Est ce qu'il ira jusqu'à devenir un véritable couple ?
Vous connaissez déjà la réponse.
Néanmoins, il y a un obstacle à jeter dans une benne à ordures, et ça ne va pas être simple car ce dernier n'est pas un moins que rien puisqu'il s'agit d'un des plus grands pontes de la mafia italienne connu à l'international mais toujours en liberté, ce qui gêne l'âme vengeresse en place.
Gilbert : J'espère que ma vendetta est plus proche de la fin que du début.
Ada : Personnellement, je crois qu'il nous reste encore des choses à faire.
David : Ta guerre semble loin d'être terminée.
Ada : On a pas encore atteint la route menant à Carmine.
Chloe : Je suis quand même partante pour toute l'aventure.
David : Fais attention à toi car je n'ai pas envie de te perdre, après avoir déjà perdu Joyce.
Chloe : Ne t'en fais pas, j'ai suis une dure à cuire
Gilbert : J'ai de la chance de vous avoir dans mon entourage.
Ada : Repose toi un peu, pour remettre de tes blessures.
Gilbert : Merci à vous tous.
Les trois visiteurs décident de laisser le blesser se requinquer un coup sans trop le déranger, bien qu'ils ne vont pas se barrer de l'hôpital pour autant, étant donné qu'ils ont pour mission de le protéger face à de potentiel ennemis, en restant dans le couloir qui mène à sa chambre.
Loin d'eux d'imaginer les actions qui déroulent dans leur dos, et ils vont devoir se montrer prudent et malin.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
- Messages : 1090
Date d'inscription : 18/08/2014
Age : 27
Localisation : Paris
Re: [FIC] H [Terminé]
Ada Wong attend patiemment le retour de ses acolytes, partis chercher du café, en se tenant droite contre le mur qui fait face à la chambre de Gilbert Montagné, en regardant passer devant elle le personnel hospitalier qui font leur job du mieux qu'ils le peuvent sous le règne de Peter Welson, suivant plus le mandat de Graham que du très regretté Adam Benford pour qui l'agent Leon Kennedy était un proche ami.
Chloe Price envoie chier le système et n'était pour aucun des parties et politiques submentionnés, ce qui se récent à ses fringues qui accentuent son côté rebelle de la société, caractérisé aussi par le café bien noir qu'elle s'est prise pour elle même, léchant déjà son parfum amer avec férocité.
David Madsen a bossé pour son fier pays en allant fusil à la main sur le front des paysages arabiques et d'Europe de l'Est sous la présidence du père d'Ashley, bien qu'il ait un peu changé sur certains points y compris militairement parlant depuis la mort de son épouse Joyce.
Tout ce beau monde est ici en tant que sentinelles veillant à ce que personne de non autorisé vienne voir l'aveugle pour mettre fin à ses jours de manière définitive, là où le boulot avait été mal fait à mainte reprises, et c'est justement de lui dont il est question quand les gobelets sont offerts à toutes les personnes présentes.
Chloe : Il a de la forme le vieux, malgré tout ce qu'il s'est pris dans le buffet et son âge avancé.
Ada : Il a toujours été aussi débordant d'énergie, même quand il a essayé de ma tuer à notre première rencontre.
David : Vous aviez fait quelque chose en particulier pour qu'il veuille votre mort.
Ada : Non non, il tué n'importe qui suivant son humeur.
Chloe : Un pur psychopathe ouais !
David : On ne le dirait pas à vu l'œil.
Ada : Il s'est un peu calmé depuis son voyage à Silent Hill le mois dernier.
David : Une ville connue pour ses disparitions mystérieuses, ce qui n'empêche pas le tourisme d'être élevé.
Chloe : Trop flippant tout ça, ça me donne envie d'aller le coin pour voir si c'est juste.
David : Tu es toujours un peu insouciante.
Deux infirmier, un homme et une femme débarquent pendant que la conversation à lieu, et au préalable il n'y a rien de remarquable chez eux, même si à leur physiques, on a dû mal à croire qu'ils aient réussi à avoir un poste pareil, ou alors ils jouent les gardes du corps aussi.
Hormis le fait que ce ne soit pas ça qui fait réagir la chinoise sous sa fausse identité, mais un autre détail chez eux.
Infirmier : Il mio vestito è troppo stretto.
Infirmière : Stai zitto o verremo notati !
Le simple fait de parler italien lui fait comprendre de qui qui les a envoyé là, et ça explique aussi le look mentionné plus tôt, car ces sont des assassins à la solde de Carmine Millione qui sont venu finir le travail débuté onze ans plus tôt, ou par Jérôme Colonel aussi, ce qui n'est pas bon du temps.
Du coin de l'œil, l'asiatique remarque aussi un troisième gugusse qui surveille le tout à distance, prudemment.
Ada : Ces deux infirmiers sont plus que louche, alors occupez vous d'eux pendant que je m'occupe d'un troisième.
Chloe : D'accord.
David : Faisons comme si notre séparation est normale.
Ada : Oui.
Alors que les toubibs pénètrent dans la chambre de Gilbert, ils ne s'attendent pas à ceux qu'ils soient suivis là dedans, et ça Javier qui poste dans l'angle d'un couloir plus loin sur la droite, ne s'y doutait pas non plus, et il crispe des lèvres du visage alors que celle qu'il n'a pas reconnu et à peine capté ne s'approche vers lui.
Ce n'est que trop tard qu'il découvre l'entourloupe quand la pétasse en rouge fait un saut aérien depuis l'un de ses pieds en talon haut pour bien le sonner à la tête, le plaquant ensuite au sol où il crache ses dents, en ayant une sacrée poigne qui la fait rivaliser avec son époux il faut le souligner.
Ada : Toi, tu vas venir avec moi pour que l'on parle plus en vigueur de ton boss.
Javier : Je ne dirai rien sur lui.
Ada : On a mainte façons de te délier la langue.
Javier : Vous ne pouvez pas m'effrayer pour entacher ma loyauté avers Carmine.
Ada : Tu es si fidèle que ça ?
Javier : Ouais.
Ada : C'est ce qu'on verra bien.
Javier : J'ai sacrifié tant de choses pour être l'un de ses plus proches capos, alors vaffanculo !
Ada : Je veux bien te croire.
Javier : Salope...
Au même moment du côté du patient en danger, Chloe et David y pénètrent armés respectivement d'un Beretta 92FS et d'un Colt 1911 qu'ils braquent sur le duo de comiques qui ont pris la place du personnel en charge des soins ici, à leur grande surprise, tout autant que celle de Gilbert lui même, toujours éveillé.
Tonio et Baltia, c'est leur nom pour ceux qui ne l'auraient pas compris, n'ont pas pris d'armes à feu sur eux afin d'éviter de se faire gauler, ce qui au final n'aura rien donné vu qu'ils se sont fait prendre presque la main dans le sac avant d'avoir pu étouffer l'aveugle avec son propre oreiller.
Obéissant, ils lèvent leur mains vers le plafond afin de ne pas se prendre une balle dans le buffet, et on peut lire de la colère froncer des sourcils sur leur visage, avec un jeu de regards entre eux qui nous laisseraient presque penser à qu'ils jettent la faute l'un envers l'autre pour cette défaite.
Ayant pour but d'emmener l'artiste français loin d'eux, et c'est pour ça que l'ancien militaire de carrière l'aide à se lever de son lit pour le joindre à eux à l'entrée de la pièce, débranchant des fils qui vont sûrement attirer l'attention des vrais infirmier ou docteurs en patrouille à l'extérieur.
Tonio : Vous ne pourrez pas échapper à Carmine.
David : On dirait que tu sais parler assez correctement l'anglais.
Chloe : Les étrangers doivent retourner chez eux.
Gilbert : Une pointe de racisme comme je les aime bien.
Baltia : Vous vous êtes fait un tas d'adversaires.
Tonio : En plus du Don il y a Hydra, la Crisis, la Famille, Umbrella, UNIT...
Baltia : Si ce n'est pas nous qui vous aurons, ce sera quelqu'un d'autre.
Tonio : Abandonnez maintenant, et votre mort sera indolore.
Gilbert : Vous êtes en position de faiblesse par rapport à nous.
Tonio : Comme si vous...
D'un coup, un grand fracas a lieu dans cette chambre d'hôpital, provenant du dos des deux loubards, qui se retournent en sursaut face au nouveau challenger qui revient faire signe de sa survie alors qu'on le croyait mort comme un con dans l'usine de traitement des eaux usés
Le Tyrant 222 créé par Jérôme Colonel refait parler de lui en essayant en un seul saut réussi à exploser la vitre de cette salle, ainsi qu'une portion du mur qui l'entourait, et en se levant droit sur ses pieds, on peut observer que sa taille le fait presque toucher le plafond.
Nouveauté le concernant, c'est qu'il n'a plus les bandages qui enroulés ses mains pour le permettre d'attaquer via des coups de poings, comme celui qui a foutu le revanchard dans cet établissement en premier lieu, et ce dernier n'a pas envie d'avoir un affrontement face à ce boss de niveau, craignant de perdre face à lui.
Sa premières victime d'avère être Tonio, qui est choppé par sa main gauche avec l'aide des griffes désormais à découverts en l'absence de ce qui les retenaient jusqu'à présent, et muni de ses lames avec la main droite, il l'empale violement, en plein dans le torse, l'éliminant pour de bon.
Baltia ne tarde pas à vite le rejoindre, comme en voulant retirer le corps de son collègue du gros lourdaud, ce dernier lui donne un coup d'un revers de la main qui la fond passer par le trou désormais présent, puis elle atterri sur une voiture garée sur le parking ouvert, la tuant sur le coup, malgré l'hôpital adjacent d'où elle provient.
Le trio de gentils profitent de cette diversion pour se tirer loin de là, en priant pour que le saint esprit leur refile un bazooka pour neutraliser la menace, pire qu'un tank, mais ça on verra ça la prochaine fois car c'est bien de garder un peu de suspense dans cette fiction déjà bien chargée en action.
Chloe Price envoie chier le système et n'était pour aucun des parties et politiques submentionnés, ce qui se récent à ses fringues qui accentuent son côté rebelle de la société, caractérisé aussi par le café bien noir qu'elle s'est prise pour elle même, léchant déjà son parfum amer avec férocité.
David Madsen a bossé pour son fier pays en allant fusil à la main sur le front des paysages arabiques et d'Europe de l'Est sous la présidence du père d'Ashley, bien qu'il ait un peu changé sur certains points y compris militairement parlant depuis la mort de son épouse Joyce.
Tout ce beau monde est ici en tant que sentinelles veillant à ce que personne de non autorisé vienne voir l'aveugle pour mettre fin à ses jours de manière définitive, là où le boulot avait été mal fait à mainte reprises, et c'est justement de lui dont il est question quand les gobelets sont offerts à toutes les personnes présentes.
Chloe : Il a de la forme le vieux, malgré tout ce qu'il s'est pris dans le buffet et son âge avancé.
Ada : Il a toujours été aussi débordant d'énergie, même quand il a essayé de ma tuer à notre première rencontre.
David : Vous aviez fait quelque chose en particulier pour qu'il veuille votre mort.
Ada : Non non, il tué n'importe qui suivant son humeur.
Chloe : Un pur psychopathe ouais !
David : On ne le dirait pas à vu l'œil.
Ada : Il s'est un peu calmé depuis son voyage à Silent Hill le mois dernier.
David : Une ville connue pour ses disparitions mystérieuses, ce qui n'empêche pas le tourisme d'être élevé.
Chloe : Trop flippant tout ça, ça me donne envie d'aller le coin pour voir si c'est juste.
David : Tu es toujours un peu insouciante.
Deux infirmier, un homme et une femme débarquent pendant que la conversation à lieu, et au préalable il n'y a rien de remarquable chez eux, même si à leur physiques, on a dû mal à croire qu'ils aient réussi à avoir un poste pareil, ou alors ils jouent les gardes du corps aussi.
Hormis le fait que ce ne soit pas ça qui fait réagir la chinoise sous sa fausse identité, mais un autre détail chez eux.
Infirmier : Il mio vestito è troppo stretto.
Infirmière : Stai zitto o verremo notati !
Le simple fait de parler italien lui fait comprendre de qui qui les a envoyé là, et ça explique aussi le look mentionné plus tôt, car ces sont des assassins à la solde de Carmine Millione qui sont venu finir le travail débuté onze ans plus tôt, ou par Jérôme Colonel aussi, ce qui n'est pas bon du temps.
Du coin de l'œil, l'asiatique remarque aussi un troisième gugusse qui surveille le tout à distance, prudemment.
Ada : Ces deux infirmiers sont plus que louche, alors occupez vous d'eux pendant que je m'occupe d'un troisième.
Chloe : D'accord.
David : Faisons comme si notre séparation est normale.
Ada : Oui.
Alors que les toubibs pénètrent dans la chambre de Gilbert, ils ne s'attendent pas à ceux qu'ils soient suivis là dedans, et ça Javier qui poste dans l'angle d'un couloir plus loin sur la droite, ne s'y doutait pas non plus, et il crispe des lèvres du visage alors que celle qu'il n'a pas reconnu et à peine capté ne s'approche vers lui.
Ce n'est que trop tard qu'il découvre l'entourloupe quand la pétasse en rouge fait un saut aérien depuis l'un de ses pieds en talon haut pour bien le sonner à la tête, le plaquant ensuite au sol où il crache ses dents, en ayant une sacrée poigne qui la fait rivaliser avec son époux il faut le souligner.
Ada : Toi, tu vas venir avec moi pour que l'on parle plus en vigueur de ton boss.
Javier : Je ne dirai rien sur lui.
Ada : On a mainte façons de te délier la langue.
Javier : Vous ne pouvez pas m'effrayer pour entacher ma loyauté avers Carmine.
Ada : Tu es si fidèle que ça ?
Javier : Ouais.
Ada : C'est ce qu'on verra bien.
Javier : J'ai sacrifié tant de choses pour être l'un de ses plus proches capos, alors vaffanculo !
Ada : Je veux bien te croire.
Javier : Salope...
Au même moment du côté du patient en danger, Chloe et David y pénètrent armés respectivement d'un Beretta 92FS et d'un Colt 1911 qu'ils braquent sur le duo de comiques qui ont pris la place du personnel en charge des soins ici, à leur grande surprise, tout autant que celle de Gilbert lui même, toujours éveillé.
Tonio et Baltia, c'est leur nom pour ceux qui ne l'auraient pas compris, n'ont pas pris d'armes à feu sur eux afin d'éviter de se faire gauler, ce qui au final n'aura rien donné vu qu'ils se sont fait prendre presque la main dans le sac avant d'avoir pu étouffer l'aveugle avec son propre oreiller.
Obéissant, ils lèvent leur mains vers le plafond afin de ne pas se prendre une balle dans le buffet, et on peut lire de la colère froncer des sourcils sur leur visage, avec un jeu de regards entre eux qui nous laisseraient presque penser à qu'ils jettent la faute l'un envers l'autre pour cette défaite.
Ayant pour but d'emmener l'artiste français loin d'eux, et c'est pour ça que l'ancien militaire de carrière l'aide à se lever de son lit pour le joindre à eux à l'entrée de la pièce, débranchant des fils qui vont sûrement attirer l'attention des vrais infirmier ou docteurs en patrouille à l'extérieur.
Tonio : Vous ne pourrez pas échapper à Carmine.
David : On dirait que tu sais parler assez correctement l'anglais.
Chloe : Les étrangers doivent retourner chez eux.
Gilbert : Une pointe de racisme comme je les aime bien.
Baltia : Vous vous êtes fait un tas d'adversaires.
Tonio : En plus du Don il y a Hydra, la Crisis, la Famille, Umbrella, UNIT...
Baltia : Si ce n'est pas nous qui vous aurons, ce sera quelqu'un d'autre.
Tonio : Abandonnez maintenant, et votre mort sera indolore.
Gilbert : Vous êtes en position de faiblesse par rapport à nous.
Tonio : Comme si vous...
D'un coup, un grand fracas a lieu dans cette chambre d'hôpital, provenant du dos des deux loubards, qui se retournent en sursaut face au nouveau challenger qui revient faire signe de sa survie alors qu'on le croyait mort comme un con dans l'usine de traitement des eaux usés
Le Tyrant 222 créé par Jérôme Colonel refait parler de lui en essayant en un seul saut réussi à exploser la vitre de cette salle, ainsi qu'une portion du mur qui l'entourait, et en se levant droit sur ses pieds, on peut observer que sa taille le fait presque toucher le plafond.
Nouveauté le concernant, c'est qu'il n'a plus les bandages qui enroulés ses mains pour le permettre d'attaquer via des coups de poings, comme celui qui a foutu le revanchard dans cet établissement en premier lieu, et ce dernier n'a pas envie d'avoir un affrontement face à ce boss de niveau, craignant de perdre face à lui.
Sa premières victime d'avère être Tonio, qui est choppé par sa main gauche avec l'aide des griffes désormais à découverts en l'absence de ce qui les retenaient jusqu'à présent, et muni de ses lames avec la main droite, il l'empale violement, en plein dans le torse, l'éliminant pour de bon.
Baltia ne tarde pas à vite le rejoindre, comme en voulant retirer le corps de son collègue du gros lourdaud, ce dernier lui donne un coup d'un revers de la main qui la fond passer par le trou désormais présent, puis elle atterri sur une voiture garée sur le parking ouvert, la tuant sur le coup, malgré l'hôpital adjacent d'où elle provient.
Le trio de gentils profitent de cette diversion pour se tirer loin de là, en priant pour que le saint esprit leur refile un bazooka pour neutraliser la menace, pire qu'un tank, mais ça on verra ça la prochaine fois car c'est bien de garder un peu de suspense dans cette fiction déjà bien chargée en action.
Ada Wong- Admininstrateurs
- Messages : 131
Date d'inscription : 30/10/2015
Age : 26
Localisation : Raccoon city
Re: [FIC] H [Terminé]
L'implication de Ada Wong dans l'arrestation brutale de Javier Spinoza fait déjà grand bruit au sein de l'hôpital général de New Raccoon City, attirant bien des curieux qui se demandent ce qui cloche dans cette histoire car aucun d'entre eux ne se doute ce qui se trame dans l'ombre.
Cependant les choses tournent très vite au drame, quand un trio hors du commun sort hors d'une chambre tout proche de l'endroit où le Capo s'est fait rétamer la gueule, en ayant des inquiétudes pour leur survis, sauf pour un seul d'entre eux qui semble prendre la situation à la légère.
Gilbert : L'homme sage a dit un jour "Gnabaleu dada schmoulf kadro".
Voilà ce que bredouille Gilbert Montagné en étant escorté vers la sécurité, et on pourrait croire que le vieillard déraille un peu, voir qu'il est complètement siphonner du bulbe, mais avec lui tout est la teneur du possible, donc il n'est pas con d'essayer de comprendre ce qu'il veut dire par là, surtout dans ce moment chaotique.
David Madsen fait l'effort de se le trimbaler le bougre qui malgré son apparence svelte cache un sacré poids qu'il faut se coltiner, bien que l'ancien militaire de carrière n'est pas étranger à des efforts physiques de ce type, ce qui veut dire qu'il tiendra le coup jusqu'au bout de la survie.
Chloe Price essuie quelques tirs au Colt 1911 avant de claquer la porte derrière elle pour ensuite suivre son beau père et le fifou dans l'un des couloirs de l'hospice qui les éloigne encore plus de leur alliée de fortune qui est déjà occupée ailleurs et qui risque de ne pas pouvoir les aider sur ce coup là.
Juste derrière eux, la porte se fait propulser avec fracas contre le mur en face, faisait sursauter tous les témoins de cette sordide scène, les faisant paniquer et fuir quand le Tyrant 222 fait son apparition après d'être baissé pour éviter de se cogner le crane comme un idiot, au vu de sa taille.
Gilbert : J'ai déjà fait la pêche à l'ogive nucléaire dans le Pacifique.
David : C'est pas le moment de perdre la tête, Gilbert.
Chloe : C'est lui que veut le monstre à priori !
En parlant du monstre, celui ci constate qu'il ne va pas assez vite en les poursuivant en marchand, et il se décide à piquer un sprint digne d'un athlète olympien alors qu'ils arrivent au niveau d'un ascenseur, forçant la 7ème compagnie à se jeter dans des directions opposé afin d'éviter son puissant coup de griffe.
Malheureusement, le protecteur du chanteur français a lâché ce dernier sans le processus, laissant le plaisir à l'envoyé de Jérôme de mettre la main sur lui en le soulevant de sa main gauche dans le but de faire de lui un second Tonio, et les autres risquent de finir en Baltia si ils interviennent pour empêcher cet assassinat.
Gilbert : Les papa malins vont toujours au jardin.
Dit il avant de cracher à la gueule de la créature, l'aveuglant temporairement, tout en gardant le sourire.
Gilbert : Si tu crois que je suis une proie facile, tu t'es trompé de route vieux.
Sans crier gare, il plante ses canines à la jugulaire de l'arme bio-organique, ce qui est une autre surprise.
Chloe : Trop fort pépé !
David : Faites que l'ascenseur fonctionne.
Il a profité d'un moment de faiblesse de son ennemi pour pouvoir se rapprocher de lui, et réussir à croquer sa gorge là où ça fait bien mal, et avec un peu de chance, même si pour l'instant c'est pas trop le cas, il pourrait réussir à le vaincre en le faisant pisser de tout son sang, mais rien que de leur ouvrir une voie de sortie est méritable.
Il n'en faut pas plus pour que le chasseur relâche sa proie, lourdement sur le sol avant que celle ci soit réquisitionné par un attrapeur, le même que tout à l'heure, qui va essayer de le guider sur la bonne voie avec sa belle fille qui elle a eu le temps qu'il fallait pour ouvrir les portes de l'ascenseur.
Ensemble, ils pénètrent dedans, aussi vite qu'ils ne le peuvent en voulant échapper à leur poursuiveur, avec la fille aux cheveux teints en bleu qui presse durement la touche désignant le rez-de-chaussée, laissant lentement se fermer l'élévateur, digne d'un film d'horreur qu'on espérerait bientôt le faire se terminer.
Excepté qu'au dernier moment, des mains assez musclées viennent les rouvrir, s'en foutant du nombre de globules rouges qui sortent de sa gorge car il n'a qu'une seule mission donné par son maître, et c'est de mettre fin à la vie du timbré briseur de quatrième mur qui n'est pas Deadpool.
C'est alors que l'ancien soldat américain vient de se rappeler qu'il a toujours sur lui son couteau de combat datant de son épopée militaire, et tel un Chris Redfield, ou un Leon Kennedy, il tranche les deux grosses paluches pour rendre bien moins dangereuse la brute qui leur en veut.
Ayant perdu ses moyens d'être une véritable dangerosité, l'homme ultime digne de l'eugénisme, il ne peut être qu'impuissant à regarder les petites souris s'échapper de son champ de vision, et lui un chat sans griffes, on ne sait pas ce qu'il pourrait bien faire, comme il saigne de partout.
Quelque peu épuisés par la bagarre dont ils viennent de clore avec la survie de tout le monde, ils soufflent un bon coup, en rigolant même pour la punk qui n'a aucune envie de se fritter à nouveau ce type d'ABO, et voudrait juste se reposer avec sa petite amie dans ses bras, après une mission bien menée.
Sans trop attendre, ils atterrissent au 1 Floor, où à priori la confusion générale s'est amenée jusque ici, avec des sirènes de police qui se font entendre à l'extérieur, ce qui se veut rassurant pour nos héros qui vont pouvoir fêter leur victoire en allant au bar le plus proche afin de se beurrer la gueule bien comme il faut.
Chloe : La tournée, c'est moi qui la payera !
Gilbert : C'est bien aimable de sa part.
Chloe : C'est pas tous les jours qu'on échappe à la mort comme ça.
Gilbert : Oh tu serais étonner du nombre de fois où ça a été le cas dans ma vie.
David : Pareil pour moi.
Chloe : Messieurs les va-t'en guerre.
Gilbert : En tout cas, pour le Tyrant, pas de bras, pas de chocolats.
Chloe : J'allais la placer celle là.
David : C'est la première fois que je tombe sur un d'entre eux, en ayant vu seulement à la télé.
Chloe : C'est sûr que c'est pas pareil en vrai.
Arrivés au hall d'accueil, David relâche Gilbert qui arrive à bien tenir debout sans se casser la gueule, ce qui permet à ce dernier de sa balader un peu de droite à gauche sans trop savoir où aller, chose qui est sûrement dû aux produits qu'on lui a administré pour qu'il ne ressente plus la douleur et le font planer par moment.
Le voilà qu'il s'imagine sur scène en train de chanter pour les autres, avec surtout tous les enfants présents dans l'audience, et qui le reconnaissent immédiatement car pour beaucoup, ils l'ont vu passer à la TV en interprétant certains de ses plus fameux hit en anglais.
Gilbert : Schniiiiiiiiiitzel !
Fille : Maman, maman, je veux un bâton de Schnitzel !
Garçon : Ouh, le monsieur Schnitzel !
David : Pas le moment pour ça.
Des tremblements provenant d'un étage supérieur ont de quoi inquiéter le militaire qui a son sixième sens que l'alerte que le danger n'est finalement pas toujours parti, et il prend à nouveau le vieux pour l'épauler car il faut qu'ils s'en aillent d'ici, vite fait, bien fait.
La vérité aussi dure soit elle, allait dans son sens, car il n'en faut pas plus pour qu'un morceau de plafond s'écroule sur le rez de chaussé, écrasant au passage un vieillard et une aide soignante qui ne survécurent pas à ce terrible atterrissage en force, provenant d'un mal incarné.
Le Tyrant 222 fait son retour, à peine quelques minutes après sa dernière apparition, et il a l'air prêt à en découvre en ayant réussi à cicatriser la plaie au cou infligée par sa cible juste avant, et il n'y a pas que ça qui craint de son côté car il y a pire encore à dire.
Ses deux bras ont repoussé, avec le droit étant devenu une sorte de faucille qui va en avoir des têtes passer par son simple coup, et le gauche ayant s'étant transformer en marteau au choc tout puissant, ce qui nous fait donner raison à J. Edgar Hoover pour sa traque des communistes car ils viennent frapper à nos portes.
David : Toujours à nous importuner le salaud.
Chloe : Ses bras ont repoussé, c'est clairement pas du jeu ça !
Alors que tout s'annonçait mauvais pour nos héros, c'est à ce moment précis où le SWAT de la New Raccoon City Police Department, mené par un certain NOOB qui débarque à l'hôpital en crise et essaye de sauver le plus de civils que possible tout ne essayant de terrasser la bête très impressionnante.
Sans perdre de temps, ils l'entourent du mieux qu'ils le peuvent affin de le prendre en tenaille, laissant l'occasion à notre groupe d'aventuriers de le contourner et essayer d'atteindre le sortie comme il faut, excepté que tout ne va peut être pas se passer comme ils l'espéraient puisque la créature se met à grogner.
Chloe : Qu'est ce que vous attendez !? Tirez lui dessus !
NOOB : Bien... FEU !
Les fusils d'assaut mitraillent le monstre qui ne va pas non plus, rester là immobile sans agir puisque sa proie est en train de se carapater ailleurs, ce qui le fait tournoyer avec mains étant désormais des armes, étripant certains flics avec sa faucille, et broyant les os des autres avec son marteau.
Horrifié par ça, leur capitaine se fait dans son froc, et il recule de peur de s'en prendre une belle mortelle, et il décide de jouer le rôle de bouclier pour le trio que l'on suit, faisant ensuite signe à ses hommes de se tirer le là avant qu'ils ne soient tous morts en dépit de leur volonté de l'abattre l'autre chose.
NOOB : Putain, ce truc est plus chaud à avoir que la monstruosité à l'enterrement de Jill Valentine !
Gilbert : Vous aviez réussi à le battre cette autre arme bio-organique, alors refaite le !
David : Enfin de retour parmi nous Gilbert.
Gilbert : Agaga, beubeu !
David : Bordel...
??? : Hé, le pote à Staline !
Le tyran tourne brièvement le visage derrière lui pour regarder une bonne femme, ayant un genou posé à terre et un lance roquette antichar, AT4, tout en arborant un béret rouge ainsi d'un uniforme de combat noir avec un logo à plusieurs endroits dessus qui nous rappelle à qui appartient la base du troisième sous sol de ce bâtiment.
UNIT est dans le Place !
Cette meuf prénommé Piper appartenant donc à la United Nation Intelligence Taskforce, profite que l'autre gros lourdaud n'ait pas compris la menace qui repose sur lui, pour lui faire ravaler sa race, lui envoyant un missile dans le dos qui atteint sa cible, et la fait exploser en plusieurs morceaux, où là il ne pourra pas se régénérer.
Enfin battu cette saloperie !
Fière de cette victoire, la demoiselle lâche son engin qui pèse quand même bien lourd, faisant signe ensuite à l'autre troufion avec elle, James Davis, d'emporter cette arme avec lui jusqu'à leur quartier général en passant par l'ascenseur emprunté plus tôt par la dream team.
L'ancien militaire de carrière qu'est Monsieur Madsen a le réflex de saluer à l'américaine la madame, tandis que Chloe gère le chanteur qui souffre énormément du coup que cette immondice lui avait fait subir chez Jérôme Colonel quand il était dans l'usine de traitement des eaux usées en compagnie de Leon Kennedy et Ada Wong.
Piper : Davis, préviens la Capitaine que tout est arrangé.
David : Merci pour ce sauvetage in extrémis.
Piper : Pas de quoi, même si on affronte pas ce type de menace de manière générale.
NOOB : On a servi à rien nous.
Chloe : Si, juste faire diversion.
Piper : C'est mieux que rien.
D'autres policiers, lambda eux, viennent se montrer, en même temps que certains personnelles du staff de ce lieu viennent soigner les éventuels blessés, et embarquer les morts à la morgue, ce qui nous permet de souffler un peu comme ceux qu'on a suivi durant tout ce chapitre.
Il reste encore à savoir ce que devient Ada avec Javier Spinoza, mais ça se sera pour la fois prochaine, étant donné qu'il ne reste plus que l'épilogue de cette grande aventure que j'ai à vous raconter, et celui ci sera peut être plus court que ces derniers morceaux de l'histoire acruelle.
Cependant les choses tournent très vite au drame, quand un trio hors du commun sort hors d'une chambre tout proche de l'endroit où le Capo s'est fait rétamer la gueule, en ayant des inquiétudes pour leur survis, sauf pour un seul d'entre eux qui semble prendre la situation à la légère.
Gilbert : L'homme sage a dit un jour "Gnabaleu dada schmoulf kadro".
Voilà ce que bredouille Gilbert Montagné en étant escorté vers la sécurité, et on pourrait croire que le vieillard déraille un peu, voir qu'il est complètement siphonner du bulbe, mais avec lui tout est la teneur du possible, donc il n'est pas con d'essayer de comprendre ce qu'il veut dire par là, surtout dans ce moment chaotique.
David Madsen fait l'effort de se le trimbaler le bougre qui malgré son apparence svelte cache un sacré poids qu'il faut se coltiner, bien que l'ancien militaire de carrière n'est pas étranger à des efforts physiques de ce type, ce qui veut dire qu'il tiendra le coup jusqu'au bout de la survie.
Chloe Price essuie quelques tirs au Colt 1911 avant de claquer la porte derrière elle pour ensuite suivre son beau père et le fifou dans l'un des couloirs de l'hospice qui les éloigne encore plus de leur alliée de fortune qui est déjà occupée ailleurs et qui risque de ne pas pouvoir les aider sur ce coup là.
Juste derrière eux, la porte se fait propulser avec fracas contre le mur en face, faisait sursauter tous les témoins de cette sordide scène, les faisant paniquer et fuir quand le Tyrant 222 fait son apparition après d'être baissé pour éviter de se cogner le crane comme un idiot, au vu de sa taille.
Gilbert : J'ai déjà fait la pêche à l'ogive nucléaire dans le Pacifique.
David : C'est pas le moment de perdre la tête, Gilbert.
Chloe : C'est lui que veut le monstre à priori !
En parlant du monstre, celui ci constate qu'il ne va pas assez vite en les poursuivant en marchand, et il se décide à piquer un sprint digne d'un athlète olympien alors qu'ils arrivent au niveau d'un ascenseur, forçant la 7ème compagnie à se jeter dans des directions opposé afin d'éviter son puissant coup de griffe.
Malheureusement, le protecteur du chanteur français a lâché ce dernier sans le processus, laissant le plaisir à l'envoyé de Jérôme de mettre la main sur lui en le soulevant de sa main gauche dans le but de faire de lui un second Tonio, et les autres risquent de finir en Baltia si ils interviennent pour empêcher cet assassinat.
Gilbert : Les papa malins vont toujours au jardin.
Dit il avant de cracher à la gueule de la créature, l'aveuglant temporairement, tout en gardant le sourire.
Gilbert : Si tu crois que je suis une proie facile, tu t'es trompé de route vieux.
Sans crier gare, il plante ses canines à la jugulaire de l'arme bio-organique, ce qui est une autre surprise.
Chloe : Trop fort pépé !
David : Faites que l'ascenseur fonctionne.
Il a profité d'un moment de faiblesse de son ennemi pour pouvoir se rapprocher de lui, et réussir à croquer sa gorge là où ça fait bien mal, et avec un peu de chance, même si pour l'instant c'est pas trop le cas, il pourrait réussir à le vaincre en le faisant pisser de tout son sang, mais rien que de leur ouvrir une voie de sortie est méritable.
Il n'en faut pas plus pour que le chasseur relâche sa proie, lourdement sur le sol avant que celle ci soit réquisitionné par un attrapeur, le même que tout à l'heure, qui va essayer de le guider sur la bonne voie avec sa belle fille qui elle a eu le temps qu'il fallait pour ouvrir les portes de l'ascenseur.
Ensemble, ils pénètrent dedans, aussi vite qu'ils ne le peuvent en voulant échapper à leur poursuiveur, avec la fille aux cheveux teints en bleu qui presse durement la touche désignant le rez-de-chaussée, laissant lentement se fermer l'élévateur, digne d'un film d'horreur qu'on espérerait bientôt le faire se terminer.
Excepté qu'au dernier moment, des mains assez musclées viennent les rouvrir, s'en foutant du nombre de globules rouges qui sortent de sa gorge car il n'a qu'une seule mission donné par son maître, et c'est de mettre fin à la vie du timbré briseur de quatrième mur qui n'est pas Deadpool.
C'est alors que l'ancien soldat américain vient de se rappeler qu'il a toujours sur lui son couteau de combat datant de son épopée militaire, et tel un Chris Redfield, ou un Leon Kennedy, il tranche les deux grosses paluches pour rendre bien moins dangereuse la brute qui leur en veut.
Ayant perdu ses moyens d'être une véritable dangerosité, l'homme ultime digne de l'eugénisme, il ne peut être qu'impuissant à regarder les petites souris s'échapper de son champ de vision, et lui un chat sans griffes, on ne sait pas ce qu'il pourrait bien faire, comme il saigne de partout.
Quelque peu épuisés par la bagarre dont ils viennent de clore avec la survie de tout le monde, ils soufflent un bon coup, en rigolant même pour la punk qui n'a aucune envie de se fritter à nouveau ce type d'ABO, et voudrait juste se reposer avec sa petite amie dans ses bras, après une mission bien menée.
Sans trop attendre, ils atterrissent au 1 Floor, où à priori la confusion générale s'est amenée jusque ici, avec des sirènes de police qui se font entendre à l'extérieur, ce qui se veut rassurant pour nos héros qui vont pouvoir fêter leur victoire en allant au bar le plus proche afin de se beurrer la gueule bien comme il faut.
Chloe : La tournée, c'est moi qui la payera !
Gilbert : C'est bien aimable de sa part.
Chloe : C'est pas tous les jours qu'on échappe à la mort comme ça.
Gilbert : Oh tu serais étonner du nombre de fois où ça a été le cas dans ma vie.
David : Pareil pour moi.
Chloe : Messieurs les va-t'en guerre.
Gilbert : En tout cas, pour le Tyrant, pas de bras, pas de chocolats.
Chloe : J'allais la placer celle là.
David : C'est la première fois que je tombe sur un d'entre eux, en ayant vu seulement à la télé.
Chloe : C'est sûr que c'est pas pareil en vrai.
Arrivés au hall d'accueil, David relâche Gilbert qui arrive à bien tenir debout sans se casser la gueule, ce qui permet à ce dernier de sa balader un peu de droite à gauche sans trop savoir où aller, chose qui est sûrement dû aux produits qu'on lui a administré pour qu'il ne ressente plus la douleur et le font planer par moment.
Le voilà qu'il s'imagine sur scène en train de chanter pour les autres, avec surtout tous les enfants présents dans l'audience, et qui le reconnaissent immédiatement car pour beaucoup, ils l'ont vu passer à la TV en interprétant certains de ses plus fameux hit en anglais.
Gilbert : Schniiiiiiiiiitzel !
Fille : Maman, maman, je veux un bâton de Schnitzel !
Garçon : Ouh, le monsieur Schnitzel !
David : Pas le moment pour ça.
Des tremblements provenant d'un étage supérieur ont de quoi inquiéter le militaire qui a son sixième sens que l'alerte que le danger n'est finalement pas toujours parti, et il prend à nouveau le vieux pour l'épauler car il faut qu'ils s'en aillent d'ici, vite fait, bien fait.
La vérité aussi dure soit elle, allait dans son sens, car il n'en faut pas plus pour qu'un morceau de plafond s'écroule sur le rez de chaussé, écrasant au passage un vieillard et une aide soignante qui ne survécurent pas à ce terrible atterrissage en force, provenant d'un mal incarné.
Le Tyrant 222 fait son retour, à peine quelques minutes après sa dernière apparition, et il a l'air prêt à en découvre en ayant réussi à cicatriser la plaie au cou infligée par sa cible juste avant, et il n'y a pas que ça qui craint de son côté car il y a pire encore à dire.
Ses deux bras ont repoussé, avec le droit étant devenu une sorte de faucille qui va en avoir des têtes passer par son simple coup, et le gauche ayant s'étant transformer en marteau au choc tout puissant, ce qui nous fait donner raison à J. Edgar Hoover pour sa traque des communistes car ils viennent frapper à nos portes.
David : Toujours à nous importuner le salaud.
Chloe : Ses bras ont repoussé, c'est clairement pas du jeu ça !
Alors que tout s'annonçait mauvais pour nos héros, c'est à ce moment précis où le SWAT de la New Raccoon City Police Department, mené par un certain NOOB qui débarque à l'hôpital en crise et essaye de sauver le plus de civils que possible tout ne essayant de terrasser la bête très impressionnante.
Sans perdre de temps, ils l'entourent du mieux qu'ils le peuvent affin de le prendre en tenaille, laissant l'occasion à notre groupe d'aventuriers de le contourner et essayer d'atteindre le sortie comme il faut, excepté que tout ne va peut être pas se passer comme ils l'espéraient puisque la créature se met à grogner.
Chloe : Qu'est ce que vous attendez !? Tirez lui dessus !
NOOB : Bien... FEU !
Les fusils d'assaut mitraillent le monstre qui ne va pas non plus, rester là immobile sans agir puisque sa proie est en train de se carapater ailleurs, ce qui le fait tournoyer avec mains étant désormais des armes, étripant certains flics avec sa faucille, et broyant les os des autres avec son marteau.
Horrifié par ça, leur capitaine se fait dans son froc, et il recule de peur de s'en prendre une belle mortelle, et il décide de jouer le rôle de bouclier pour le trio que l'on suit, faisant ensuite signe à ses hommes de se tirer le là avant qu'ils ne soient tous morts en dépit de leur volonté de l'abattre l'autre chose.
NOOB : Putain, ce truc est plus chaud à avoir que la monstruosité à l'enterrement de Jill Valentine !
Gilbert : Vous aviez réussi à le battre cette autre arme bio-organique, alors refaite le !
David : Enfin de retour parmi nous Gilbert.
Gilbert : Agaga, beubeu !
David : Bordel...
??? : Hé, le pote à Staline !
Le tyran tourne brièvement le visage derrière lui pour regarder une bonne femme, ayant un genou posé à terre et un lance roquette antichar, AT4, tout en arborant un béret rouge ainsi d'un uniforme de combat noir avec un logo à plusieurs endroits dessus qui nous rappelle à qui appartient la base du troisième sous sol de ce bâtiment.
UNIT est dans le Place !
Cette meuf prénommé Piper appartenant donc à la United Nation Intelligence Taskforce, profite que l'autre gros lourdaud n'ait pas compris la menace qui repose sur lui, pour lui faire ravaler sa race, lui envoyant un missile dans le dos qui atteint sa cible, et la fait exploser en plusieurs morceaux, où là il ne pourra pas se régénérer.
Enfin battu cette saloperie !
Fière de cette victoire, la demoiselle lâche son engin qui pèse quand même bien lourd, faisant signe ensuite à l'autre troufion avec elle, James Davis, d'emporter cette arme avec lui jusqu'à leur quartier général en passant par l'ascenseur emprunté plus tôt par la dream team.
L'ancien militaire de carrière qu'est Monsieur Madsen a le réflex de saluer à l'américaine la madame, tandis que Chloe gère le chanteur qui souffre énormément du coup que cette immondice lui avait fait subir chez Jérôme Colonel quand il était dans l'usine de traitement des eaux usées en compagnie de Leon Kennedy et Ada Wong.
Piper : Davis, préviens la Capitaine que tout est arrangé.
David : Merci pour ce sauvetage in extrémis.
Piper : Pas de quoi, même si on affronte pas ce type de menace de manière générale.
NOOB : On a servi à rien nous.
Chloe : Si, juste faire diversion.
Piper : C'est mieux que rien.
D'autres policiers, lambda eux, viennent se montrer, en même temps que certains personnelles du staff de ce lieu viennent soigner les éventuels blessés, et embarquer les morts à la morgue, ce qui nous permet de souffler un peu comme ceux qu'on a suivi durant tout ce chapitre.
Il reste encore à savoir ce que devient Ada avec Javier Spinoza, mais ça se sera pour la fois prochaine, étant donné qu'il ne reste plus que l'épilogue de cette grande aventure que j'ai à vous raconter, et celui ci sera peut être plus court que ces derniers morceaux de l'histoire acruelle.
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
- Messages : 1090
Date d'inscription : 18/08/2014
Age : 27
Localisation : Paris
Re: [FIC] H [Terminé]
Les sirènes de la police résonnent dans ce lieu où règne la désolation, après que des mafieux italiens et un colosse titanesque ont foutu la zizanie, faisant pas mal de mort, y compris dans les rangs des forces de l'ordre, ainsi que parmi les patients, personnels hospitaliers, et autres visiteurs.
Javier Spinoza voit la porte arrière d'une voiture de flics se ferme derrière lui, sans moyen de l'ouvrir à nouveau, tout en étant complètement menotté, ce qui rend la tâche encore plus impossible, alors qu'un officier, séparé du malfrat par une barrière, prend le volant pour l'emmener au seul commissariat de la ville.
Celui qui est en pyjama avec le cul à l'air, c'est Gilbert Montagné qui se trouve devant ce qui reste de sa chambre, désormais entre les mains des enquêteurs qui vont devoir recoller les morceaux de ce puzzle où on ne sait pas par où commencer tellement ça part dans tous les sens.
Heureusement, la cible de tous les maux est accompagné par ses fidèles acolytes, à savoir Ada Wong qui a contribué à l'arrestation d'un des vilains pas beaux, ainsi que Chloe Price et David Madsen qui ont mis leur peau au bûcher pour s'efforcer d'éviter qu'il ne tombe sous les griffes du Tyrant 222.
D'autant plus que le fifou était sous l'emprise des effets secondaires des médicaments qui me faisait plus délirer que ce qu'il délirait déjà de base, ce qui a encore plus compliqué la tâche pour les survivants, et aussi donné une course poursuite d'anthologie qui restera dans notre mémoire collective.
Écoutons tous ce qu'ils ont à nous dire, d'autant plus qu'une conversation amoureuse vient tout juste de se terminer.
Ada : J'ai appelé Leon, et il devrait bientôt revenir nous voir.
David : Comment cela s'est passé de son côté ?
Ada : À priori, la menace de Jérôme Colonel s'est dissipé.
David : Enfin une bonne nouvelle.
Gilbert : Je suis content que Leon ait réussi à s'en sortir de son côté.
Ada : Nous fêterons notre victoire quand il sera là.
Gilbert : Merci aussi à vous tous d'avoir été là pour moi.
Chloe : T'inquiète vieux, si c'était à refaire à nouveau, je serai prêt à le faire. C'était trop cool.
David : Ceux pour qui ont doit la victoire, est quand même UNIT. Aussi ironique soit elle.
Ada : C'est vrai qu'ils t'ont dans leur liste noir quand même Gilbert.
Gilbert : J'aurais été moins surpris si ça avait été le BSAA qui serait intervenu.
Ada : Pas faux.
Gilbert : Ou le SWAT d'une meilleure manière que celle ci, un peu comme la confrontation face à Samantha Clean.
Ada : NOOB aurait été un noob pour ce cas là.
Chloe : Il a le prénom qui va bien avec.
David : Parfois, le nom colle à la réalité.
Gilbert : Allez un câlin pour déjà célébrer notre réussite.
Ada : Si tu veux.
Chloe : Pas trop collant non plus.
David : J'ai vécu pire.
Une accolade amicale se fait entre celui qui se conçoit pansexuel, mais qui va laisser de côté l'envie de baiser un coup pour ne pas rendre cet instant choupi trop glauque, donc oubliez un peu ce que je viens de dévoiler, afin de profiter vous aussi de ce bon moment convivial entre amies ou famille, avec du popcorn.
C'est ainsi que se termine un nouveau chapitre dans cet arc narratif baignant dans la vengeance meurtrière.
Javier Spinoza voit la porte arrière d'une voiture de flics se ferme derrière lui, sans moyen de l'ouvrir à nouveau, tout en étant complètement menotté, ce qui rend la tâche encore plus impossible, alors qu'un officier, séparé du malfrat par une barrière, prend le volant pour l'emmener au seul commissariat de la ville.
Celui qui est en pyjama avec le cul à l'air, c'est Gilbert Montagné qui se trouve devant ce qui reste de sa chambre, désormais entre les mains des enquêteurs qui vont devoir recoller les morceaux de ce puzzle où on ne sait pas par où commencer tellement ça part dans tous les sens.
Heureusement, la cible de tous les maux est accompagné par ses fidèles acolytes, à savoir Ada Wong qui a contribué à l'arrestation d'un des vilains pas beaux, ainsi que Chloe Price et David Madsen qui ont mis leur peau au bûcher pour s'efforcer d'éviter qu'il ne tombe sous les griffes du Tyrant 222.
D'autant plus que le fifou était sous l'emprise des effets secondaires des médicaments qui me faisait plus délirer que ce qu'il délirait déjà de base, ce qui a encore plus compliqué la tâche pour les survivants, et aussi donné une course poursuite d'anthologie qui restera dans notre mémoire collective.
Écoutons tous ce qu'ils ont à nous dire, d'autant plus qu'une conversation amoureuse vient tout juste de se terminer.
Ada : J'ai appelé Leon, et il devrait bientôt revenir nous voir.
David : Comment cela s'est passé de son côté ?
Ada : À priori, la menace de Jérôme Colonel s'est dissipé.
David : Enfin une bonne nouvelle.
Gilbert : Je suis content que Leon ait réussi à s'en sortir de son côté.
Ada : Nous fêterons notre victoire quand il sera là.
Gilbert : Merci aussi à vous tous d'avoir été là pour moi.
Chloe : T'inquiète vieux, si c'était à refaire à nouveau, je serai prêt à le faire. C'était trop cool.
David : Ceux pour qui ont doit la victoire, est quand même UNIT. Aussi ironique soit elle.
Ada : C'est vrai qu'ils t'ont dans leur liste noir quand même Gilbert.
Gilbert : J'aurais été moins surpris si ça avait été le BSAA qui serait intervenu.
Ada : Pas faux.
Gilbert : Ou le SWAT d'une meilleure manière que celle ci, un peu comme la confrontation face à Samantha Clean.
Ada : NOOB aurait été un noob pour ce cas là.
Chloe : Il a le prénom qui va bien avec.
David : Parfois, le nom colle à la réalité.
Gilbert : Allez un câlin pour déjà célébrer notre réussite.
Ada : Si tu veux.
Chloe : Pas trop collant non plus.
David : J'ai vécu pire.
Une accolade amicale se fait entre celui qui se conçoit pansexuel, mais qui va laisser de côté l'envie de baiser un coup pour ne pas rendre cet instant choupi trop glauque, donc oubliez un peu ce que je viens de dévoiler, afin de profiter vous aussi de ce bon moment convivial entre amies ou famille, avec du popcorn.
C'est ainsi que se termine un nouveau chapitre dans cet arc narratif baignant dans la vengeance meurtrière.
Ada Wong- Admininstrateurs
- Messages : 131
Date d'inscription : 30/10/2015
Age : 26
Localisation : Raccoon city
Re: [FIC] H [Terminé]
[Fin de la FIC]
Gilbert Montagné- Admininstrateurs
- Messages : 1090
Date d'inscription : 18/08/2014
Age : 27
Localisation : Paris
Sujets similaires
» [FIC] Ever Ever After [Terminé]
» [RP] Le F.I.J.F. [Terminé]
» [RP] L.L. & C.C. [Terminé]
» [FIC] Let It Go [Terminé]
» [RP] Slayers [Terminé]
» [RP] Le F.I.J.F. [Terminé]
» [RP] L.L. & C.C. [Terminé]
» [FIC] Let It Go [Terminé]
» [RP] Slayers [Terminé]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum