[RP] Souvenir [Terminé]

se jours jours je n'avais aucun travail ni même mission car tout était calme aux poste , je me trouver a mon bureau a rien faire sauve a m'ennuie ainsi que les autre qui se trouve avec moi . quand aux RPD eux ils avais du boulot la chance , je leva les yeux et je me mi a regarde le bureau mon amoure de-fin qui n'était plus de se monde . se bureau personne ne voulez le prendre , bien sur des souvenir me reviens le voyant assis la en face de moi que j'en et des larme qui me coule sur les jours .

il me manquer tellement que j'en et le coeur qui pleure de nouveau , je me secoue la tête pour ne plus pense a ses souvenir qui me hante . quand a moi je suis très loin de me doute que j allais avoir de la visite

Henri Petrick avait appris il y a deux mois que Saryna Coleen, une de ses anciennes clientes, était morte après un enlèvement qui s'est mal fini, orchestré soi disant par Dimitri Rascalov. Mais ce dernier a démenti publiquement, et une preuve n'a été trouvée pouvant le rallier au crime.
Cette triste nouvelle fut dure pour le Détective Française mais il tenta de vivre avec, du mieux qu'il pouvait, surtout qu'en ce moment ça n'allait pas trop pour lui, niveau affaire.
Il se sentait un peu délaisser par les autres, et ça le chagrinait un peu.
En plus Laura était en France actuellement, donc il ne pouvait pas la voir.
Il avait juste son fidèle Corbeau en guise de compagnie.
Au passage il y avait des rumeurs qui disait qu'un Nouveau Détective s'était installé en ville, et que celui ci était particulier.
Henri voudrait bien le rencontrer à l'ocas juste pour le voir.
Il s’appellerait Naru, juste Naru. Drôle de nom.
Mais notre blasé avait mieux à faire, car il avait entendu dire que finalement Saryna ne sera pas aussi morte qu'elle en à l'air.
Et pour vérifier si tout ceci était vrai, il se décida à se rendre au Commissariat pour confirmer ses soupçons et voir si elle est réellement morte ou vivante.
Il n'eut pas vraiment de problème pour réussir à se balader dans l'enceinte puisqu'il connaissait déjà du monde à l'intérieur, et il put au passage leur dire bonjour, ce qui était cool.
Finalement son cœur s'arrêta pendant quelques secondes quand il arriva devant le bureau de Saryna Coleen.
Elle était là, assise, en chair et en os.
Donc tout ce qu'avait la presse et les médecins étaient donc faux ?
Mais pourquoi ?
Après tout ce n'est pas une célébrité, style Elvis Presley ou Michael Jackson.
Il devait trouver la raison.
C'est son job après tout, si  il n'arrive même plus à l'exercer comme ça là, il mérite juste de plier la chemise.
Il posa donc les mains sur le bureau pour attirer l'attention de la jeune femme, puis il afficha un grand sourire pour montrer qu'il n'avait aucune mauvaise attention à son égard.

Henri : Bonjour Saryna, ça fait un petit moment que nous nous sommes pas vu, et je ne pensais à vrai dire ne pas vous revoir.

Il attendit de voir quelle serait la réaction de la STARS.

je sursauta a la vue des main d'henri sur mon bureau bien sur j'avais pousse un crie chose qui fit rire les autre ,

-salut henri oui sa fait un moment comme tu le dis

il me sourie et je lui rendis sont sourire ,

-vous m'avais surprise henri , qu'elle bon vent vous en mène

je sèche mes larme du mieux que je peut avec un mouchoir

Henri remarqua qu'elle séchait des larmes un mouchoir.
Ça n'avait pas l'air d'aller non plus pour elle.
Il s'empressa alors de lui répondre.

Henri : Hé bien je suis venu parce que je pensais que vous étiez comment dire, morte.

Il avait lâché son sourire pour montrer de l'inquiétude dans ses yeux.
Et la voir comme ça, n'améliorait pas son inquiétude on va dire.

Henri : Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais vous êtes morte officiellement, j'ai même visité votre tombe il y a quelques jours pour vérifier ma théorie comme quoi c'était faux. Et j'avais juste.

Il passa sa main droite dans ses cheveux et il regarda un peu aux alentours avant de continuer.

Henri : Qu'est ce qui s'est passé ? Expliquez moi s'il vous plait.

Il attendit de voir sa réponse.

je me leva de mon bureau

-suive moi dans la salle de repos

je me dirigea vers la salle de repos ou il y avais personne pour le moment , et je l'invita a rentre puis je ferma la porte et je parti m'assoir sur le canapé

-vous voulez savoir se qui ses passe c'est ça

je me tu quelque minute et je me mi a réfléchir par ou commençais , je regarde henri avec surement des yeux rouge .

-et bien voila , je devais espionne yegor avec un micro mais voila tout a foiré a causse d'une taupe qui était autre que mon chef qui lui a était tuer par gil qui m'avais demande de reste dehors . la une voiture a débarque et des homme mon enlever

je me tu de nouveau je n'arriver pas a dire la suite

Elle lui raconte l'histoire et finalement elle se tut après avoir raconté le fait que des hommes l'ont enlevé.
Henri écoutait chacun de ses paroles avec attention, et il décida finalement de s'asseoir à coté d'elle pour la soutenir et l'aider à continuer son récit.
Car il voulait vraiment savoir que tout ceci cachait, et ce n'était rien de bon à coup sur.

Henri : Se faire trahir par son propre chef, ça doit être un coup dur. Mais bon des trahisons c'est monnaie courante, surtout l'année dernière où on avait découvert un sacré tas d'espions à la solde d'Hydra.

Il posa sa main sur son épaule pour la soutenir.

Henri : Mais vous êtes une battante, vous devez rester forte et courageuse. Et surtout surmonter vos peurs, et les décès de vos proches, car c'est ce qui vous tuera si vous n'arrivez pas à passer le cap. La mort de ma femme a bien failli me tuer moi, et ma fille, c'est pour ça que j'ai dû accepter sa mort, et le fait que je m'étais remarier à un connard.

Il la regarda droit dans les yeux avec de la compassion.

Henri : Je pense que Kite aurait dit la même chose si il avait été à ma place à ce moment là, j'ai étudié son dossier, c'était un bon gars ce type, ce qui est dur à croire quand on sait qui est son vrai père.

Il se tut à son tour, pour laisser la pièce s'immerger dans un court silence.

Etats Unis; New Raccoon City
4 Août 2016

Dans le jardin d’une grande maison de Raccoon City.
Aujourd’hui, c’est le bon jour, ça y est, j’ai prouvé la culpabilité de cet homme, quand je dis prouver la culpabilité, c’est seulement me la prouver à moi, je n’ai pas besoin d’autres avis que le mien, mon jugement est implacable, cet homme devait mourir, Dimitri Rascalov devait payer pour ses crimes. Qu’avait-il fait ? C’est simple, il enlevait des femmes, les violaient et les tuaient après. J’ai eu du mal à prouver que c’était lui mais j’ai réussi, contrairement à la police, je n’attends pas d’avoir une commission rogatoire de la hiérarchie, non, moi je bosse seul et je fais à ma manière, à la manière de mon père, c’est le Code qu’il m’a enseigné et je dois le respecté en tout point si je ne veux pas me faire choper et être exécuter ou finir mes jours en prison.
Qui suis-je, je m’appelle Naru, Naru comment ? Juste Naru, je n’ai pas de nom de famille et je n’en ai pas besoin, je ne veux pas être lié à quelqu’un, je suis bien tout seul, je vis seul, je bosses seul et je mourrais seul un jour.
Quoi qu’il en soit j’étais en train de sortir des sacs poubelles de la grande maison dans laquelle j’étais, non ce n’est pas la mienne. Pourquoi je sors des sacs de poubelles et surtout pourquoi je suis content de le faire ? C’est simple cette tâche que personne n’aime faire, je l’adore, pourquoi donc ? Parce que contrairement aux autres qui sortent les poubelles dans les miennes il n’y a pas de déchet, enfin devrais-je dire d’objets inutiles plutôt, vu que l’homme découpé en morceau qui est dans mes sacs est bien un déchet de la société, un tueur comme moi, la différence étant que moi je ne tues que les déchets et non pas les innocents. D’ailleurs mon parcours ressemble beaucoup à celui d’un policier de Miami, lui aussi exécute les meurtriers : Dexter Morgan qu’il s’appelle, un homme charmant d’ailleurs.
Mais revenons à ce qui nous intéresse,  c’est-à-dire, moi qui sort les poubelles pleines de bouts de corps pour les mettre dans ma voiture, une fois fait, je démarre et après plusieurs minutes de route, je m’arrête devant une ferme abandonné, ou du moins dont le fermier est parti, où ? Au royaume des morts et par mes mains en plus, il était aussi un déchet, je l’avais tué chez lui et l’avait donné à ses cochons pour qu’ils le bouffent et depuis toutes mes victimes y passaient après avoir été découpé en petit morceau, c’est pratique pour faire disparaître les cadavres rapidement et sans restes, le seul moyen de retrouvé les morceaux c’est d’ouvrir les cochons mais encore faut-il se douter qu’il y a des corps humains en eux et comme personne n’a de doute puisque tout les animaux sont en bonne santé étant donné que je les nourris en cachette pour éviter que quelqu’un vienne vérifier si le fermier est toujours là.
Une fois le corps du pauvre Dimitri déballé et donner aux cochons, je les regarde commencer à manger et remonte dans ma caisse, une belle jaguar, je démarre pour me rendre au commissariat de la ville, je dois me présenter là-bas pour avoir d’autres vicitmes à tuer, évidemment ce n’est pas ce que je vais leur dire, c’est pour ça que je fais comme couverture détective privé, ainsi je peux leur demander des infos sur une supposé affaire pour fouiller aux archives, je suis en effet très fort pour obtenir des informations, en général je demande à voir les archives et je demande une boisson pour qu’on me l’apporte pendant ce temps je regarde la liste des assassins et des présumés assassins de la ville, cette technique marche à merveille, une fois que j’ai la liste je me l’envois par mail et je ferme tout et fait semblant de chercher ma présumée affaire.
Bon donc direction le commissariat de police, une fois arrivé, j’arrive à rentré en baratinant le policier qui contrôle en disant que je suis attendu par le commissaire, c’est fou comme les gens peuvent avoir peur de la hiérarchie il suffit que tu leur dises que leur chef doit te recevoir et il n’ose pas vérifier ou dire non tellement ils ont peur des représailles s’ils se trompent, enfin je suis rentré.
Une fois à l’accueil, je demande poliment à la réceptionniste :

Naru : bonjour madame, je voudrais savoir où se trouvent le bureau de la criminelle s’il vous plait.
Réceptionniste : Bien sûr, c’est au fond du couloir vous tourner à droit puis c’est la porte à gauche.
Naru : Merci bien.

Je continue donc mon chemin en me souvenant de l’une des mes chansons préférés parodier par mes soins, je commence donc à chanter dans le couloir vide.

Naru : Faîtes place au détective Naru.
Naru : Quelle classe, le détective Naru.
Naru : Bande de veinards.
Naru : Dégagez le passage.
Naru : Et vous allez voir.
Naru : Ce que vous allez voir.
Naru : Venez consulter, acclamer le super détective.
Naru : Fêtez mon arrivée.
Naru : Révolver et pistolet.
Naru : Venez adorer l’idole.
Naru : Détective Naru, le plus fort de tous.
Naru : Naru le psycopathe.
Naru : A genoux, prosternez-vous, soyez ravis.

A ce moment-là, j’entre avec un coup de pied dans la porte d’une pièce qu’il me semblait être celle que m’avait indiqué la receptionniste.

Naru : Pas de panique on se calme.
Naru : Criez vive Naru Naru.
Naru : Venez voir le plus beau spectacle de Raccoon City.

Je vis alors deux personnes tourner leurs têtes à mon entrée plus que remarqué puisque à ce moment-là je criai presque les paroles de ma chanson.

Naru : Détective Naru, plus fort que lui.
Naru : Je n’en connais pas.
Naru : Qui vous vient du japon.
Naru : Jusqu’ici à Raccoon.
Naru : Il a vaincu les plus fort.
Naru : Tout seul avec son QI.
Naru : La terreur des criminels, c’est détective Naru.

Je finis alors ma chanson et me tut en voyant leur réaction

je le regarde silencieuse et je porte mon regard aux sol , je senti la main de henri sur mon épaule il étais entrain de me soutenir . quand a moi je fni par reprendre mon récit

-la je vie leur chef me regarde et le voila qu'il sort son arme , j'ai hue peur et j'ai ferme mes yeux la j'ai entendu un corps tomber a coter de moi il avais tuer un de ses homme . puis une deuxième détonation et je ressenti une horrible douleur a la poitrine et il mon jeté sur le bas coter de la route ,

je m'arrêta de nouveau

-DSL je ne pourrai vous dire se qui ses passe après , mais quand je me suis réveille quelque temps après je me trouver dans une chambre d'hôpital du petite bourgade .

je voie le regard d'henri , quand d'un coup la porte de salle de repos s'ouvre d'un coup sec la je ont vie un homme qui fini une chanson je regarda henri qui comme moi je compris pas se qui se passe

Henri avait écouté tout ce que lui avait dit Saryn et il était surpris par tout ce qu'il apprenait.
Mais il savait une chose, il devait s'occuper de ce Dimitri, lui et ses amies.

Henri : Ne t'en fais pas Saryna, on saura ce qu'il s'est passé, et je vous promet que je réglerais son compte à ce Dimi...

Soudain, la porte fut défoncée de l'extérieur par un homme en train de chanter comme un gros taré.
Notre French Detective avait l'impression d'être dans un Disney.
Il se pinça au cas où mais ne rêvait pas.
Son regard croisa celui de Saryna qui semblait tout aussi perdue que lui.
Quel était le fuck !?
Finalement le clown arrêta de chanter et il semblait enfin se rendre compte du ridicule de la situation, mais Henri ne lui laissa pas le temps de s'exprimer.

Henri : Vous pouvez nous expliqué qui vous êtes et ce que vous fichez ici à chanter comme une Princesse Disney ? Vous n'avez pas l'air d'être un policier, ça c'est sur.

Il regarda l'asiatique devant lui en attendant une réponse crédible de sa part.

Je reçut alors les regards de ses deux personnes qui me font face et visiblement mon comportement les exaspérait, mais que voulez-vous je viens de tuer un mafieux russe qui a tué plusieurs personnes j'ai de quoi être réjoui même si je ne peux pas ressentir les emotions je m'éffroce de faire ce que quelqu'un de normal ferait et être content c'est ce que ferait quelqu'un de normal sauf que vu que je suis anormal je chante comme un taré en plus.
Mais il faut que je répondes à ce mec qui n'a pas l'air d'être flic non plus.

Naru : euh désolé je me suis laissé emorté par ma chanson, c'est vrai qu'à la base il s'agit d'une chanson de disney mais comme j'adore parodié les chansons j'en ai fait une version plus personnelle disons, et puisque vous ne semblez pas avoir entendu les paroles, je vais me présentez, je suis Naru, seulement Naru, je susi un grand détective et ça ça ne s'apprend et vous c'est quoi vos noms parce que mec, t'as pas l'air d'être flic non plus

Avant qu'il n'ait pu répondre, je continuais

Naru : sinon je suis là pour me présenter au bureau de la criminelle mais visiblement je me suis trompé de porte.

Après cette remarque, j'attendsi leur réponse

je regarde cette homme aux nom de naru , puis je porta mon regard sur henri qui lui me regarde ainsi que cette personne qui chercher le bureau du criminel , mais de qu'elle criminel il parler la . je reste silencieuse tendis que henri reste a mes coter , je le vie se lever du canapé et faire face a cette personne .

a vrais dire sont comportement ne ressemble pas du tout a un détective mais plutôt a un fou c'est mon point de vue , je me leva et j'allais partir pour les laisse en tête a tête

-je vais vous laisse entre vous

mais aux moment de sortir je senti la main d'henri me prendre la mienne

Saryna : Je vais vous laisser entre vous.

Henri empêcha alors Saryna de partir en lui prenant la main mais sans qu’elle se retourne.
Il lui glissa alors quelques mots à l'oreille.

Henri : Je m'occuperai du cas de Dimitri, je vous le promet.

Puis il la laissa partir et put donc rester seul avec ce Détective Naru.
Un nom qui sonnait comme Naruto, mais qu'est ce qu'il viendrait foutre là ce ninja !?
Bref, Mr Petrick se présenta enfin à l'autre personnage un peu beaucoup fou.

Henri : Henri Petrick, The French Detective, comme on m'appelle en ville. Et donc en effet je ne suis pas flic, je suis venu ici pour régler ce qui concerne Dimitri Rascalov, un dangereux criminel qui vit sa vie tranquille avec ses hommes de mains sans être jugé. Le genre de cas que le Police ne peut résoudre, vous voyez le genre ?

Il attendit la réponse de l'autre homme.

A l'entente du nom du mec qu'il recherchait je me suis alors dit :

Naru (pensée) : Merde c'est pas bon du tout ça, il recherche le type que je viens de tuer mais de toute façon j'étais justement venu ici pour avoir des informations sur ses hommes de mains, si je veux avoir de l'avance sur eux pour qu'il me retrouvent pas avant que je ne les trouves, je dois avoir les inforamtions de la police pour ça.

Naru : Enchanté de vous connaître dans ce cas monsieur Petrick vous avez dit Dimitri Rascalov, c'est bien cela ? C'est étrange mais nous recherchons kla même personne, peut-être pourrions nous nous entraidés, si la police ne peut résoudre son cas peut-être le pourrons-nous.

Je le regardais de haut en bas pour me le décrire mentalement puis je rajoutais.

Naru : il nous faudrait également des informations sur ses hommes, cela pourrait nous aider à le faire tomber.

J'attendis sa réaction

je regarda henri et je le remercie d'un faible sourire et je parti , non pas a mon bureau mes dans les vestiaire ou je m’isola un peut je replia mes jambe sur ma poitrine et je repensa a kite et a tout ses bon moment passe ensemble

-tu me manque kite

j'avais parler tout bas , j'aurais aime qu'il sois la a mes coter

Naru : Enchanté de vous connaître dans ce cas monsieur Petrick vous avez dit Dimitri Rascalov, c'est bien cela ? C'est étrange mais nous recherchons la même personne, peut-être pourrions nous nous entraider, si la police ne peut résoudre son cas peut-être le pourrons-nous ?

Henri l'observa de long en large.
Ce qui l'étonna chez cet asiatique, c'est ses cheveux anormalement rouges.
Il se serait cru dans un Manga.
Et il avait aussi al drôle d'impression que le mec ne lui disait pas tout, mais après peut être que son instinct le trompait.
En tout cas faire équipe avec ce mec pouvait être une bonne idée.

Naru : Il nous faudrait également des informations sur ses hommes, cela pourrait nous aider à le faire tomber.

Henri : Bonne idée, je suis avec vous.

Il avait finalement franchi le pas, et avait décidé de s'associer avec l'autre détective, pour le meilleur et surement pour le pire.
Il fallait maintenant récupérer les renseignements, et Henri savait où les chercher.

Henri : L'Inspecteur Nick Vanders est en charge de l'Affaire Petrovic/Rascalov avec son partenaire Bob Freeman, ils sauront surement des infos sur Dimitri et ses hommes de mains. Suivez moi.

Il guida alors le Detective Japonais jusqu'au bon endroit.